Duke Amber - Mike Vogel
Mer 2 Oct 2019 - 21:40
Amber
Prénom(s) : Amber
Âge : 36 ans
Date de naissance : 04/05/1983
Lieu de naissance : Houston, Texas
Nationalité : Américain
Groupe : The Remnants
Ancien métier : Militaire
Célébrité : Mike Vogel
Autoritaire
Curieux (Trop)
Individualiste
Obstiné
Vigilent
Calme
Combatif
Sérieux
Duke est une personne juste, il ne supporte pas lorsque les choses ne sont pas mises au même niveau pour tout le monde, que certains puissent avoir du favoritisme dans certains domaine, chaque jours il se bat pour éviter cela. Même s'il vient de l'infanterie, c'est un homme doté d'un grand sens critique qui prendra le temps d'analyser chaque situation, chaque mouvement avant d'aller faire feu, comme quoi, on peut être de l'infanterie sans penser uniquement avec son fusil ! Son ton est toujours autoritaire, enfin, toujours, en grande partie du temps quoi. Il ne supporte pas avoir à répéter les choses, avec lui lorsqu'il dit quelque chose, c'est une fois. Pas deux. C’est en partie pour cela qu’il préfère passer du temps seul, pour ne pas avoir à répéter. Il est très curieux et aime bien toucher à tout ce qu'il peut des fois en irriter certains. C'est un militaire extrêmement loyal envers sa compagnie, et surtout, les États-Unis. Pour terminer sur une petite touche, c’est quelqu'un de très rancunier et se fera un malin plaisir à redonner au centuple les coups reçus.
Avec le temps le militaire s’est encore un peu plus renfermé sur lui même, il ne parle que lorsque c’est nécessaire et préfère en dire le moins possible. Comme pour beaucoup de survivants l’apocalypse, l’a rendu encore plus méfiant avec les inconnus. Mal-gré sa méfiance contre le monde, il ne peut s’empêcher de toujours tenter de sauver la personne en face de lui, même si cette dernière lui a tendu un piège juste avant, il y a eu suffisamment de morts c’est pas nécessaire d’en rajouter d’autres.
Duke porte une barbe qu'il taille souvent, il ne souhaite pas la laisser pousser de trop. Il possède un tatouage au niveau des côtes, un artichaut signe d'un pari perdu en Irak avec son ancienne compagnie. Il n’est ni grand, ni petit, dans la moyenne pour un homme de son age. Une cicatrice orne son avant bras droit, souvenir d’une chute de cheval lorsqu’il avait dix ans. Il n’a que le strict minimum comme équipement, il ne souhaite pas s’encombrer pour rien. Un sac à dos militaire avec des passants molle sur le quel il peut y fixer son sac de couchage ainsi qu’un étui dans le quel est rangé une hachette tactique, récupérée lors de sa première fouille d’un magasin. Sur le flanc droit est solidement fixé son fusil un Tac-338 qu’il a pu récupérer de l’armée, ce fusil c’est presque toute sa vie. Une gourde est constamment fixée à sa ceinture à son arrière gauche. Sur le flanc droit de sa ceinture est accroché un holster pour revolver en cuir qui contient le pistolet de sa mère, un revolver colt 1860, avec sa crosse en ivoire. Ce pistolet, il sait qu’il s’en servira principalement pour disuader et non pas pour partir à l’assaut. Seulement, s’il le garde avec lui c’est principalement pour la valeur sentimentale. Le chapeau de rancher de son père est accroché en haut à droite de son sac lorsqu’il ne le porte pas pour se protéger du soleil.
Je suis né à Houston au Texas, je suis le fils d’un rancher et d’une mère institutrice à l’école locale. Je n’ai ni frère, ni sœur. Ma mère m’a montré la chasse ainsi que les armes à feu très tôt. C’est avec elle que j’ai commencé le tir, elle m’a tout d’abord appris à chasser le faisan ou encore le cerf. Elle m’a offert mon tout premier fusil à mes sept ans, un fusil à verrou Springfield. Je me souviens que nous allions souvent chasser le dimanche alors que mon père préparait le repas du midi. Dans notre famille, ça peut paraître étrange pour certains vieux reac, mais c’est ma mère qui tenait les armes et mon père qui était aux fourneaux. Ils me manquent. A l’origine je me souviens vouloir devenir Cow-boy professionnel. Ouais je sais, dit comme ça c’est très étrange, mais j’adorais vraiment m’occuper des chevaux de mon paternel et surtout, j’adorai les monter. Ça aussi, ça me manque beaucoup. Ce qui m’a fait changer d’avis ce sont principalement les attentats terroristes perpétrés contre les États-Unis. Je suis entré en 2001 à la suite de l’évènement du onze septembre 2001. Je n’avais qu’une seule envie, protéger et servir mon pays ainsi que mes proches. Je me devais de sauver tout ceux que je pouvais. C’est un peu mon credo.
Je me suis fait intégrer chez les Forces Spéciales, ou les SEALS plus simplement en tant que tireur d’élite. Mon passif d’enfant chasseur m’a pas mal aidé à me concentrer sur mon fusil, et ma motivation à tout épreuve m’a principalement aidé à tenir les lourdes qualifications. J’ai pensé plusieurs fois à laisser tomber. Surtout durant la phase de musculation avec l’aide d’un canon à eau braqué sur nous. Ce jour-là, j’ai cru que j’allais tout lâcher avant de revenir le Cow-Boy que j’étais. J’ai donc participé à la guerre d’Irak en tant que tireur d’élite. En tant que tireur d’élite Américain j’ai même eu le droit à une prime sur ma tête. Je pourrais presque prendre ça comme un compliment, si les gars en face savaient au moins faire feu pour toucher la prime. Après la guerre d’Irak j’ai continué à être déployé un peu partout dans le monde et de pouvoir protéger les gars qui étaient avec moi. Avec mon métier je n’ai jamais eu de véritable relation, rien de bien sérieux, avec mes déplacements à travers le monde j’aurai eu beaucoup de mal à tenir une relation à distance comme ça. Bon, c’est vrai qu’à certains moments je n’aurai pas dit non à l’être aimé qui vient vous chercher à l’aéroport au lieu des parents, mais bon. Je n’aurai jamais pu me douter que c’était ma dernière mission et la dernière fois que je voyais cet aéroport. L’épidémie s’est propagée lors de ma permission, l’avantage, c’est que j’étais présent pour ma famille.
• Octobre 2015 / Ranch familial environ à environ 70km de Houston : L’avantage d’habiter dans un ranch c’est que bien souvent, personne n’habite autour de vous, seulement des vaches et des arbres. Je me souviens qu’après avoir lu sur internet que la situation concernant cette épidémie était plus grave que ce que ça en avait l’air. Lorsque mon père a appris la nouvelle, il s’est empressé d’aller dans une boutique pour acheter tout le stock de barbelé, visiblement il était d’avis de placer un périmètre de sécurité autour de la maison et de la grange à chevaux. C’est donc ce que nous avons faits, une zone de quatre cents mètres autour du domicile était entourée de barbelés. J’ai jamais aimé les barbelés. Quadriller la zone nous a pris presque deux jours, c’était long et fastidieux, mais au moins la maison semblait être en prête au cas ou quelque chose tournerait mal. Et puis dans le cas ou tout rentrait dans l’ordre, ça aurait toujours servi pour éloigner quiconque voudrait tenter de pénétrer dans la propriété. Tout ça pour rien, car visiblement l’épidémie se moque bien des barbelés.
• Hiver 2015 / Ranch familial : C’est en hiver que j’ai pour la première fois rencontré un mordeur. Jusqu’à présent nous vivions sur nos ressources mais ce qui ne tarda pas à nous manquer, c’était de l’eau. Pour palier à ce soucis nous avions fabriqués un recycleur d’eau de pluie, seulement voilà, la bâche qui nous servait à récolter l’eau s’est trouée nous laissant donc dans une merde noire. Sans eau, plus de vie. Je suis donc parti chez les voisins, enfin, voisins c’est vite dit quand les premiers habitants se situent à dix kilomètres de chez vous. Dans un soucis d’économie d’essence j’ai décidé d’y aller en cheval, on ne savait pas combien de temps tout ça pouvait encore durer, alors dans le doute, autant mettre toutes les chances de notre coté.En arrivant chez mon voisin, sa porte était enfoncée, la maison avait donc été visitée. En entrant dans la maison, je le vois dos à moi, j’ai dit son nom plusieurs fois jusqu’à avoir son attention. Quand il s’est retourné vers moi j’ai pu constater que son cou avait été lacéré par un couteau, quelqu’un avait tué mon voisin. Et pourtant il était bien debout devant moi. En essayant de m’attraper il est tombé au sol mais ne semblait pas en découdre pour m’attraper. J’ai finalement mis fin à ses jours avec un club de golf qui traînait dans son salon. Cette fois ci, il ne se relèverait pas. Après avoir trouvé cette fameuse bâche dont j’avais tant besoin, j’en ai aussi profité pour récupérer quelques couvertures et pulls supplémentaires, l’hiver était de plus en plus rude, j’avais aucune envie de mourir de froid.
• Printemps 2015 / Ranch familial : Plus le temps passe plus la survie était rude, nous vivions de quelques légumes et de la chasse, mais pour des raisons évidentes j’ai du aller en ville la matinée pour récupérer des vivres. Je n’ai pas trouvé grand-chose, quelques bandages propres et quatre conserves qui semblaient traîner sous une gondole d’une épicerie. En revenant au ranch je n’ai croisé personne sur l’extérieur de la propriété, chose étrange car mon père devait s’occuper des chevaux cette après midi. Je rejoins donc la battisse, et en ouvrant la porte je peux observer mon père et ma mère qui baignent dans une flaque de sang. Je ne pourrais jamais effacer cette image de ma tête, jamais. Un bruit dans la cuisine attire soudainement mon attention, quelque chose tombe sur la sol, je saisis mon Tac-338 dans mon dos, un gars avait descendu mes parents, et ce gars la était en train de se servir dans nos réserves. J’ai… J’ai pas vraiment pris le temps de réfléchir et j’ai tiré sans même faire de sommation. C’était plus fort que moi. Ce gars la venait juste d’assassiner mes parents. Je n’ai pas pu me contrôler. Je suis retourner à l’entrée de la maison, j’ai récupéré le corps de mes parents, puis j’ai enterré les deux corps sous un chêne que les deux adoraient. Je me suis dit que c’était la meilleure des choses à faire pour eux. Et pour moi, la meilleure des choses à faire, c’était de partir d’ici. Partir de ce ranch qui m’avait pris mes parents. J’ai donc fait mon sac, j’ai pris un maximum de choses utiles, je ne savais pas vraiment ou aller. Alors j’ai simplement mis les voiles. Je voulais juste quitter cet endroit.
• Été 2016 / Albuquerque : J’ai rencontré un groupe de survivants à Albuquerque, j’ai sympathisé avec ces derniers et j’ai décidé de rester avec eux quelques temps. Le groupe avait établi le camp dans une petite école qu’ils avaient sécurisés. L’idée n’était pas mauvaise en soit, avec les portails déjà établi, ça faisait une sécurité de plus après tout. J’étais vraiment bien avec ces gens. C’était de superbes personnes, elles aidaient du mieux qu’elles pouvaient les survivants, proposant le gîte et le couvert à ceux qui en avaient besoin. Et puis, comme toujours, l’apocalypse ne fait pas de cadeaux. Un homme mort à l’infirmerie s’est réveillé, attirant avec lui dans sa chute aux enfers d’autres personnes du groupe, jusqu’à avoir les trois quarts du groupe infecté. Notre petite famille n’a donc pas tenu plus longtemps. Ceux qui n’étaient pas infectés ont décidés de fuir dans de multiples directions, dans ma fuite j’ai pu m’en aller sur un des chevaux du groupe. Depuis ce jour, il m’accompagne, c’est mon plus vieil ami désormais.
• Hiver 2017 / Dans une cabane de pécheur proche de Seiver Lake : J’ai établi un campement dans le quel je suis resté un bon bout de temps, ici j’étais éloigné de tout, ici j’avais espoir de retrouver un semblant de vie normale, si l’on exclu tout contact humain. J’étais seul dans cette cabane de pécheur. La seule personne à qui je pouvais parler, c’était mon cheval. Je vivais de chasse, et de pêche. Je croisais que très rarement des marcheurs autour de ma cabane, quelques uns qui traînaient par-ci par la, mais rien de bien méchant. La neige qui tombait me donnait un réel avantage sur les marcheurs et cette idée est bien restée au fond de mon crâne. Si la neige pouvait les ralentir alors je me devais de trouver une route vers le Nord. J’ai l’impression d’avoir passé le plus clair de mon temps sur les routes depuis le départ de l’épidémie. Au bout d’un certain moment, la vie de solitaire ne me convenait plus du tout, alors oui, c’est vrai, j’étais sur de ne plus jamais perdre d’être cher mais la solitude c’est bien pire que ce que je pensais. C’était la plus grosse épreuve à passer. Et c’est en janvier que j’ai décidé de mettre les voiles ailleurs.
• Été 2018 / A environ cent kilomètres à l’est : Sur les routes menant au Nord, j’ai décidé de faire un petit arrêt dans les terres sauvages à l’est. Je n’avais jamais mis les pieds la bas. C’est vraiment somptueux comme endroit, je n’ai jamais vu aussi beau dans notre pays. Je me suis joint à un groupe vivant dans la vallée. Ce groupe la vivait de la chasse, et ils ont construits une sorte de mini campement, quelque chose de vraiment très bien élaboré. Je retrouvais doucement la civilisation et des personnes à qui parler. Converser m’a tellement manqué pendant ces longues périodes en solitaire. Chaque jour au cas j’aidais à l’élaboration de plusieurs choses, que ce soit de /a construction d’une maison, ou encore de la chasse, il y avait toujours quelque chose à faire sur le camp. C’est ce qui me rendait vivant à nouveau, de m’occuper avec des gens, de pouvoir contribuer à un semblant de société. Vivre en ermite, ce n’est vraiment pas pour moi. J’ai besoin de me savoir utile pour les autres. Tout semblait parfait ici, jusqu’à une dispute avec le chef de cette communauté au sujet des réserves concernant l’arrivée de l’hiver. Le ton est monté entre nous. Il m’a poussé, et nous en sommes venus aux mains. Et je l’ai tué. Sans faire exprès, il est tombé à la suite d’un mauvais coup dans le visage, il s’est écroulé tête la première contre un rocher aux abords de ce ruisseau. Tout le monde à tout vu. Ils m’ont tenu responsable de tout cela, ils étaient bien décidés à me faire payer pour ça. J’ai du fuir en direction de la ville, ils ne connaissaient que trop bien le terrain et je n’avais aucun avantage sur place. J’ai du fuir avec mon cheval. Ils m’ont chassé et poursuivis jusqu’à la bordure de la ville, j’y étais presque, encore quelques centaines de mètres et j’entrais en ville, j’aurai pu les semer. Et puis j’ai pris une balle dans le flanc gauche. Tout ce dont je me souviens, c’est d’entrer en ville, et de m’effondrer deux rues plus loin. Lorsqu’ils m’ont vus chuter de mon cheval, ils ont tout de suite pensé à ma mort certaine. Ce n’était pas le cas heureusement pour moi.
• Avril 2019 / Seattle : Je me remet doucement de mes blessures, en plus d’avoir pris une balle en arrivant en ville, j’ai aussi fracturé ma jambe lors de ma chute à cheval. Je crois que je remercierai jamais suffisamment la personne qui m’a récupéré et ramené au campement. Sans cette personne je serai sûrement mort. Pour le moment je dois encore me mouvoir avec une canne pour aider ma jambe, mais tout ça s’arrange vitesse grand V. J’ai hâte de pouvoir rencontrer la personne qui m’a sauvé la vie, et de la remercier comme il se doit. Moi qui pensait ne pas m’attarder de trop dans une aussi grande ville, je dois dire que je me suis attaché à ce groupe qui m’a aidé lorsque j’étais au plus mal. Maintenant que je peux presque marcher correctement je vais pouvoir envisager de faire de nouvelles sorties. J’ai hâte. Je n’aime vraiment pas rester cloîtrer dans un endroit sans pouvoir faire grand-chose.
Du fait que Duke se remet doucement de sa blessure, il participe doucement à la vie du camp pour le moment, il fait des tâches simples afin de quand même justifier sa présence sur le camp. A défaut de pouvoir partir en expédition tout de suite, il s’est mis à la surveillance du camp. Il a un bon rapport avec l'autorité du fait de son passé avec l'armée. Il sait recevoir les ordres, et comment les exécuter. Il ne discute pas avec les ordres de son supérieur.
Chaque jour il s’occupe de veiller à ce que rien d’anormal n’approche des limites de la ville de fortune, il tente d’assurer la sécurité des survivants à sa manière, ses jumelles sur son flanc gauche, il scrute les horizons et espère à ne jamais avoir à sonner l’alarme. Généralement il y reste jusqu’aux environs de dix-huit heures. Juste après la fin de son service il aime s’occuper de son cheval, il en prend soin pendant de longs moments. Il a vraiment hâte de pouvoir remonter à cheval, c’est l’une des choses qui lui manque le plus actuellement.
Lorsqu’il n’est pas en service il passe le plus clair de son temps à essayer de rééduquer sa jambe au plus vite, il commence à en avoir sérieusement marre de devoir se déplacer comme ses grands-parents. Qu’il travaille ou non, chaque soir aux alentours de vingt et une heure il fait un check complet de son sac à dos. Quelque chose de très minutieux, il ne veut pas manquer de quoi que ce soit au cas où il serait forcé de partir au dernier moment.
• Âge irl : 22 ans
• Présence : 5/7
• Personnage : Inventé [X ] / scénario/prédef [ ]
• Code du règlement :
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Re: Duke Amber - Mike Vogel
Mer 2 Oct 2019 - 22:46
Bienvenue dans le coin
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Re: Duke Amber - Mike Vogel
Jeu 3 Oct 2019 - 0:35
Bonne rédaction !
Coucou et bienvenue !
N'hésite pas à nous contacter si tu as des questions^^
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Re: Duke Amber - Mike Vogel
Jeu 3 Oct 2019 - 2:28
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Re: Duke Amber - Mike Vogel
Mer 9 Oct 2019 - 16:45
Bon courage pour la rédaction de ta fiche!
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Re: Duke Amber - Mike Vogel
Mer 9 Oct 2019 - 19:30
Beware
Beware.
- Eden P. St John
Sanctuary Point | Medic
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