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2 participants

Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 21:22


Thomas Orwell
42 ans Américaine Trader GROUPE/FACTION

Oh my Lord take this soul, lay me at the bottom of the river.


Expliquez ici le caractère actuel de votre personnage.

→ Votre texte doit expliquer chaque trait de caractère que vous aurez choisi d'inclure dans les menus déroulants. A noter que vous devez en indiquer 6 ou 7 de chaque, ni plus, ni moins.

→ Les menus déroulants ne doivent contenir que des traits de caractère, sous forme d'adjectifs. Les habitudes, manies, caractères physiques ou autres n'y ont pas leurs places (Exemple : Alcoolique - musculeux).

→ Veillez à rester cohérent dans vos choix. Par exemple, votre personnage ne peut pas être à la fois avenant et timide. Attention aux synonymes. (Exemple : Courageux syn : audacieux -brave...)


and blood on my hands


Expliquez ici les caractéristiques physiques de votre personnage..


→ Taille, corpulence, style vestimentaire ainsi que les équipements dont il dispose. Évidemment, votre personnage ne peut pas détenir un arsenal complet, veillez à rester logique. De plus, pour l'armement, il vous faudra expliquer sa provenance dans cette partie de la fiche ou dans les deux suivantes, c'est au choix.


a storm is coming


Expliquez ici l'histoire de votre personnage avant l'épidémie.

Tout peut s’arrêter du jour au lendemain. Cette phrase s’était bien trop tard gravée dans le subconscient de Arthur et mourant de froid sur le bord d’une route, loin des yeux et du cœur des passants qui déambulaient honteusement devant lui, il regrettait amèrement de ne pas s’être méfié. Du jour au lendemain, il s’était vu passer de trader chez Goldman Sachs à SDF. Bien entendu sa lente agonie ne s’était orchestrée toute seule. Loin d’être une tragédie grecque, le ciel ne lui était pas tombée sur la tête, les dieux ne s’étaient nullement acharnés sur lui sans aucune raison. Il n’avait été après tout que le seul acteur de sa chute. Une chute violente et rapide résumée en une seule nuit d’égarement. Mais revenons sur sa vie passée, car je vous l’accorde, elle est truculente.

Il faut le dire, Arthur était un bel enculé et sa chute bien que douloureuse ne fut qu’amplement méritée. Enfance dorée, fils unique d’un prestigieux avocat et d’une mère érudite, conférencière dans les plus grandes facultés de la côte est. Gamin, le mendiant ne manquait donc de rien, si ce n’est peut-être de l’amour d’une mère trop carriériste et de l’encadrement d’un père trop peu présent. Il s’était vu de ce fait confié à une armada de nourrices, payées très gracieusement pour l’éducation de ce jeune enfant qui se révélait d’ores et déjà, au plus tendre de son enfance, être brillant. C’est donc tout naturellement qu’on l’inscrivit dans les plus prestigieuses écoles. Si son paternel lui avait bien transmis une seule chose, c’était le goût de l’effort ainsi que de l’élitisme. Jacob Orwell sénior, dès les premiers pas de son fils lui répétait souvent que le plus important dans la vie était de devenir quelqu’un de puissant. Et la façon la plus rapide d’y parvenir étant par le travail. Que la réputation de sa famille ne s’était pas faite en restant vissé le cul sur une chaise mais qu’ils avaient sués sang et eau. Il fallait dire que les Orwell n’étaient à l’origine pas destinés à être riche. Une vague lignée d’enfant de prolétaires et d’ouvrier. Jacob Orwell en son temps, afin d’obtenir son diplôme d’avocat dans une école de second rang, avait dû financer ses études avec bon nombre de boulots tous plus ingrats les uns que les autres. Et s’il était monté à la tête du plus grand cabinet de New York, tout le mérite revenait à son incroyable détermination et non à un carnet d’adresse bien rempli.

Arthur ne poursuivit cependant pas le chemin tout tracé de son paternel dans le juridique, mais se constitua sa propre voie. La finance. Loin d’être une vocation, il avait néanmoins eu très jeune certaines appétences pour ce monde, lisant dès ses dix ans les chroniques de Forbes et jalousant, des étoiles pleins les yeux, les salaires mirobolants des traders de Wall Street. Agé de dix-sept ans, il entra à Harvard et en ressortit avec une maîtrise en économie. Vingt-quatre ans tout juste et voilà qu’il arpentait désormais le monde ingrat et décadent de la bourse. Il n’eut rien à envier à Jordan Belfort dit « le loup de Wall Street » et comme lui, il fut très rapidement un cador en matière de business. Disons que le jeune homme savait bien se faire voir et pratiquait ce qu’on pouvait vulgairement appeler un « léchage de cul de compétition ». Toujours est-t-il qu’il se forma rapidement et à ses vingt-huit ans, soit quatre ans après l’obtention de son diplôme, le jeune trader pu se targuer d’appartenir au siège social de Goldman Sachs située à New York. L’une des banques les plus anciennes et puissante banque des États-Unis. Rapidement, il sut s’y faire une place, à coup de délation –n’hésitant pas à rapporter à ses supérieurs le moindre manquement de ses collègues- et d’un certain génie pour tout ce qui touchait la finance. Il gagna donc très vite les faveurs de sa hiérarchie et des premiers bonus mirobolants, certains chiffrant à plusieurs centaines de milliers de dollars. Détestés de la plupart de ses collègues, on le qualifiait tantôt de « langue de pute » tantôt de « membre de la Gestapo » et on arguait de lui « que sous le régime de Vichy il aurait dénoncé toute une famille de juif si cela avait pu lui apporter quelques francs » -ce que Arthur ne pouvait décemment nier-. Un comble, cependant, quand lui-même marquait un train de vie décadent : entre drogue, escort et placements financier aussi lucratifs qu’illégaux.

A côté de cela, Arthur lors d’une d’une de ses soirées mondaines, rencontra Abigaël, une mannequin, ressortissante Australienne et égérie de Ralph Lauren. Elle arrivait à combiner intelligence, grâce et volupté. Pour la première fois en vingt-neuf ans d’existence, le trader accorda de l’importance à une femme plus d’une nuit et six mois après leur rencontre, ils se marièrent. Pour autant, il n’arrêta nullement son train de vie déluré. Pute de luxe, prétendante en tout genre continuèrent de s’enchaîner. Agé de trente-six ans désormais, il s’était récemment entiché de la femme du directeur général de Goldman Sachs rencontré elle aussi à une fête –une beauté des iles de dix ans sa cadette-. Il lui suffit d’une seule nuit d’égarement, sous deux grammes d’alcool, pour ruiner l’entièreté de sa vie. Il coucha bien évidemment avec cette dame. Le temps de quelques confuses minutes de plaisir. Ce jour-là, il commit deux erreurs. Faire confiance à une autre femme que la sienne et baiser avec la mauvaise personne au mauvais moment. Vaincu par la culpabilité et par acquis de conscience, sa maîtresse reporta sa trahison à son mari quelques jours plus tard. Et c’est là que tout bascula.

S’envoyer en l’air avec la femme du boss lui valut à la fois de perdre son travail et de perdre sa femme. Bien entendu, quand il apprit la nouvelle, son supérieur ne manqua pas de licencier et de lui ruiner sa réputation l’empêchant ainsi de se refaire une carrière. Il ne lui montra que trop bien à quel point lui était le big boss et Arthur un pion dans un jeu d’échec. Il l’écrasa. Le détruisit. Quant à son ex compagne, elle ne se contenta pas de le laisser, elle le traîna devant les tribunaux. En effet, Arthur ne s’était montré que trop peu prévoyant et confiait tout à sa femme –en oubliant bien évidemment de préciser ses aventures nocturnes- ainsi, elle était au courant de ses placements dans des paradis fiscaux. Elle le dénonça sans vergogne au fisc puis s’exila à Seattle, là où siégeait sa famille. Les frais de divorce, le chômage, ainsi que la poursuite pour blanchiment d’argent lui coutèrent énormément d’argent. Défendu par un avocat –conseillé par son paternel- aussi prestigieux que coûteux, il parvint à éviter la prison mais se vit infliger une lourde amende. Il ne fallut que six mois au trader pour être complètement ruiné.  Retour à la case départ, voilà qu’à ses trente-sept ans, il foulait de nouveau les portes de la maison familiale et revenait vivre chez ses vieux. La cohabitation fut catastrophique. Arthur, s’il n’avait jamais eu un train de vie très « healthy » avait cette fois-ci totalement sombré dans l’alcool et ses parents, aussi élitistes qu’ils étaient, ne le concevaient pas. Chaque jour, ils lui enjoignaient de retrouver un travail –éboueur s’il le fallait- ou ils le vireraient de chez eux sans aucune autre forme de procès, mais lui l’ancien trader millionnaire se le refusait. De toute manière, il était bien trop dépressif et amorti par l’éthanol pour dénicher ne serait-ce qu’un petit job. Ils tentèrent vainement de l'envoyer en cure de désintoxication, rien n'y fit, il la quitta deux semaines après, creusant encore plus le gouffre entre Arthur et eux. Finalement, c’est lui-même qui se décida à quitter le nid familial une année plus tard. Il utilisa ses derniers sous pour un billet d’avion New York – Seattle afin de rejoindre son ex-femme dont il avait obtenu la nouvelle adresse par un ancien ami proche du couple. Il espérait vainement recoller les morceaux avec elle mais ne franchit même pas le séant de sa nouvelle maison. Qu’aurait-t-il pu faire de toute façon. Voilà plus d’un an qu’elle l’avait quitté alors à quoi bon ne serait-ce que tenter. Que risquait—t-elle de dire, elle qui n’avait pas hésité à le balancer au fisc, à part lui administrer une claque monumentale et appeler la police.  

Un jour plus tard, il connut sa première nuit dans la rue, puis la deuxième, passant à trente-huit ans de trader à SDF. Il aurait bien pu retrouver le relatif confort de ses parents mais n’en fit rien. En s’exilant, il s’était lui-même condamné à une lente agonie et acceptait ce sort. N'y voyait aucune foi chrétienne, Arthur n'avait jamais été croyant. Il se savait simplement dans une situation inextricable. Revenir chez ses vieux n'aurait été rien de plus que repousser l'inévitable. Dans tous les cas, il se serait fait virer au bout d'un certain temps d'inaction. Oui il aurait très bien pu faire la mariole et trouver un poste dans un fast food, mais lui qui n'avait jamais connu que l'opulence ne se voyait pas revenir à une vie de prolétaire tout en bossant. Dans la rue, il était libre. Libre de faire ce qu'il voulait. Libre de cuver toute l'alcool qu'il avait pu ingérer. Libre d'ignorer ses soucis d'addiction car pour la première fois de sa vie il avait peur. Peur de se confronter à lui-même, peur de devoir suivre une cure, peur d'être confronté à d'autres personnes souffrant du même mal, peur de devoir s'y identifier pour guérir. La perte de son boulot n'avait pas été juste un mal financier, cela lui avait aussi enlevé toute combativité, tout sens de la compétition. Finalement, il préférait se laisser couler sans qu'on le fasse chier et il n'y avait que la rue pour disparaître ainsi. Quitter la société des hommes et s'exiler. Quant à ses parents, il n'était nullement dupe. Arthur se savait être un fardeau. Un sac de linge sale dont on veut se débarrasser à la première occasion. Il ne pouvait plus continuer à lire dans leurs yeux toute la honte qu'ils ressentaient pour lui. Il ne serait plus qu'à jamais le boulet de la famille. Ce serait plus simple pour eux de faire son deuil plutôt que de continuer à se le coltiner. De toute façon, l'ancien trader n'avait jamais été proche de ses vieux.

Rapidement il apprit tous les codes de la rue. Faire face à la violence de celle-ci, mendier près des supermarchés, fouiller les poubelles des restaurants, se laver dans les fontaines, surmonter la froideur de l’hiver... Il développa pour ainsi dire autant de talent en survie qu’en combat, lui qui avant n’avait jamais eu à utiliser ses poings, devait désormais se battre pour sa vie. Toutes les semaines, il épiait son ex-femme par la fenêtre de sa maison, sans jamais se résoudre à lui parler. Quant à ses vieux, il ne sut jamais s’ils avaient tenté de le retrouver. De toute manière, c’était une tâche impossible. Il n’appartenait plus à la civilisation. . Arthur, afin de se rattacher à un semblant d'activité intellectuelle, prenait la peine de consigner certaines de ses journées dans un carnet écorné et noirci par la crasse. Parfois, il riait doucement, en se disant qu’à sa mort, ce petit objet ferait un très bon roman et qu’il rencontrerait peut-être un succès post-mortem. Il avait déjà trouvé le titre "les chroniques d'un golden boy devenu homeless boy". Les jours se succédèrent dans une inextricable routine, deux ans vinrent rapidement, jusqu'à que tout commence.

on the highway to hell


Expliquez ici l'histoire de votre personnage depuis l'épidémie.

→ Les faits doivent commencer dès les premiers temps de l'épidémie, merci de vous référer à la Chronologie

→ La survie de votre personnage devra être bien détaillée sur les premiers mois de l'apocalypse et les derniers jusqu'au présent. Nous autorisons les sauts temporels entre ces deux périodes mais pensez à bien narrer les faits marquants qu'a vécu votre personnage depuis tout ce temps.

Afin de suivre au mieux le parcours de votre personnage, ne négligez pas les repères temporels ! Nul besoin d'indiquer en permanence une date très précise, vous pouvez opter pour des mois, des saisons, des trimestres, etc. Sauf sur le début de l'apocalyse comme indiqué avant.
Cependant, lors d'un passage marquant/important/traumatisant, soyez précis en optant pour un mois car cela peut avoir une incidence positive ou négative dans votre jeu ou via de futurs liens.

→ Dans le même état d'esprit, nous vous conseillons également grandement d'indiquer des lieux. Merci de renseigner lors de votre narration au niveau de quelle ville, quel village, quel quartier ou quelle structure elle se situe.

→ Aucun minimum de ligne imposé mais un texte très détaillé fera obligatoirement un bon nombre de ligne. Conseil d'ami.

→ Intégrer un groupe en manque de membres, ou prendre une scénario vous rapportera des points supplémentaires !

time to meet the devil

• pseudo › insømnium.
• âge › 21 ans.

• comment avez-vous découvert le forum ? › "forum rpg de zombie" sur google. pratique !
• et vous le trouvez comment ? › et bien ça m'a l'air d'être le plus actif, avec suffisamment d'ancienneté pour être pourvu d'une communauté solide qui ne risque pas de l'abandonner du jour au lendemain, un background correct et un design épuré. que des avantages donc !
• présence › difficile à dire. honnêtement, je pense que tout dépendra des fluctuations de mon humeur quant à RP, mais suffisante pour répondre aux deux post exigés par mois.  
• personnage › créé [x] - scénario [...] - prédéfini [...]

• code du règlement ›code validé par Morgan
• crédit › aucune idée, ça vient de google image.
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 21:26

BIENVENUE ARTHUR :p
On te passera peut-être les blagues de kaamelott, sans certitude.





The hate you give
ANAPHORE
Ruben West
Ruben West
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Re: Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 21:34

Bienvenue ici !!! Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! =) Et excellent choix de vava !
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Re: Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 21:39

Viens chez the havennnnns!! ( pub faites mDr )
Super choix de avatar ! !! Bon courage pour la suite . Au plaisir de te croiser en rp
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Re: Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 21:45



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Bienvenue parmi nous !

J'ai bien noté pour ta modification de prénom, de Thomas à Arthur, un admin passera changer cela. En effet même si une seule lettre change, cela est un doublon (même prononciation ^^)
Si tu as des questions, n'hésite pas à les poser, le staff est disponible par MP !

Bon choix d'avatar et bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Very Happy
Invité
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Re: Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 21:48

Olivia Cooper a écrit:BIENVENUE ARTHUR :p
On te passera peut-être les blagues de kaamelott, sans certitude.


Justement Thomas Orwell  Giphy lol

Bienvenue à toi en tout cas, et bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Re: Thomas Orwell

Lun 21 Jan 2019 - 22:00

Bienvenue à toi ! J'ai modifié ton pseudo comme demandé =) Bonne rédaction !
Invité
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Re: Thomas Orwell

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