Mère : Lysandre ? Premièrement, je la décrirais d'ambitieuse. Très. Quand elle a commencé à monter à cheval, c'était plus un loisir de petite fille. Mais ça c'est rapidement transformé en quelque chose de ... Sérieux. Elle a d'abord appris à monter correctement puis dés qu'elle a pu, elle s'est lancée dans les compétitions. Une vraie championne ma fille ! Bien sûr, elle a de temps en temps baissé les bras. Mais elle n'a jamais arrêté pour autant. Et maintenant elle monte en tant que professionnelle. Je suis si fière. Puis ce n'est pas tout. Elle est tout de même mannequin. Lysandre s'est fait repérer lors d'un shooting photos. Au départ, c'était, il me semble, un "délire" entre copines. Puis finalement elle s'est faite embaucher en tant que mannequin amateur. Et je sens qu'elle en veut plus. Toujours. Elle n'est jamais vraiment satisfaite de ce qu'elle fait ou ce qu'elle a. Et son côté aventureux qu'elle a fait beaucoup. Si elle n'était pas un minimum aventureuse, alors elle n'aurait jamais découvert sa passion pour le cheval et elle n'aurait jamais oser aller à ce shooting. C'est ma petite fille chérie. Tout à fait moi quand j'étais plus jeune. (rire)

Meilleur ami : Comment je pourrais te décrire Lysandre ?... Je dirais qu'elle est bienveillante. Avec tout le monde. Enfin, quand je dis tout le monde, c'est faux. Elle est sans pitié avec ses ennemis. Mais avec ses proches, c'est une autre affaire. Elle donnera toujours le meilleur de soi-même pour faire plaisir ou protéger les gens qui l'entourent. Et je pense que si les gens l'apprécient sans même vraiment la connaître, c'est aussi parce qu'elle est très attachante. C'est vraiment une nana qui rigole souvent, qui a le sourire facile, qui plaisante avec les autres, ouverte d'esprit, pas chiante et je dirais même un peu enfantine. Elle est rigolote ma Lysandre. Pas de prise de tête. C'est pour ça que je l'aime. Bon. J'avoue, elle a aussi son petit caractère... Elle n'est pas parfaite non plus. Elle est possessive et assez turbulente. Elle n'aime pas que je sorte en soirée sans elle, que je sois genre ... en amour pour quelqu'un d'autre. Elle ne supporte pas. Une vraie jalouse. (rire). Puis niveau turbulence alors là vous êtes servis. Elle a besoin de bouger, de parler fort, de rigoler, de courir, de vivre quoi. Puis elle a beau être mannequin, elle se bat tout le temps avec moi. Pour rigoler. Son père est genre militaire donc il l'a entraîné à se battre. Parfois, elle me ferait presque peur. (rire). Vu qu'elle est aussi colérique ça n'aide pas. Quand elle s'énerve vraiment, parfois pour rien d'ailleurs, elle fait peur. Sérieux ! Vous devriez la voir cette petite furie. Mais on l'aime quand même. C'est une personne formidable à mes yeux.

Coach : Lysandre, c'est clairement une jeune femme avec du potentiel. Très sympas. Mais naïve. Parfois, il faut lui remettre les pieds sur terre. Pour elle, je crois que le monde est tout beau, tout rose. Elle pense que la vie, c'est un conte de fées. Qu'elle trouvera son prince charmant. Tout ça quoi. Niveau boulot, elle se donne à fond, elle sait qu'il faut fournir beaucoup de travail pour arriver à quelque chose. Mais à côté, c'est assez drôle. Elle pense que les gens ont tous les moyens, par exemple, de faire du cheval, d'en avoir un. Elle est encore assez enfant au fond, je pense. Ses parents l'on beaucoup protégé. Surprotéger même. Oh ! Et puis Lysandre, c'est l'impatience même ! Elle veut tout en un rien de temps. C'est fou. Elle en zapperait même des étapes importante. Elle sait qu'il faut bosser et que pour atteindre un objectif et bien ça peut prendre du temps. Mais ça n'empêche qu'elle veuille toujours passer à l'étape d'après rapidement. C'est dingue. (rire)

Collègue mannequin : J'ai connu Lysandre il y a de ça quelques mois lors d'un shooting photo. C'était la petite nouvelle quoi. Je n'ai pas osé l'approcher de suite. Au début, j'ai pensé qu'elle était ce genre de fille fausse. Parfois, je la voyais se prendre la tête avec notre supérieurs ou même avec le photographe. Pour moi, c'était juste une gamine qui avait prit la grosse tête et qui se permettais beaucoup de chose alors qu'elle aurait dû s'écraser. Pour être sincère, je ne la supportais pas. Puis un jour, on se changeait dans les vestiaires et j'ai appris à la connaître. On a beaucoup parlé toutes les deux. Au début, j'étais froide, distante, ça a été long. Puis j'ai appris qu'elle était simplement très franche. D’où le fait qu'elle se dispute de temps en temps avec notre patron ou même le photographe (rire). Vu qu'elle n'est pas tout le temps d'accord avec les autres, elle dit ce qu'elle pense et ça peut exploser rapidement oui. Elle n'a pas de filtre. Mais elle est en fait très gentille. Très sympas. Fidèle aussi. C'est ce genre de personne sur qui on peut compter. À moins que je fasse quelque chose de grave bien sûr ! Puis Lysandre est vraiment compréhensive. Très ouverte sur de nombreux sujets qui fâchent. Elle essaye tout le temps de comprendre les autres. Lui parler, se confier est un véritable soulagement. On est de bonne amie oui.

→ qualities
Ambitieuse
Aventureuse
Bienveillante
Fidèle
Attachante
Compréhensive → flaws.
Possessive
Naive
Impatiente
Franche
Colérique
Turbulente

" La jeune femme âgée de 18 ans, ce jour-ci, du nom de Lysandre Colombe Jack, taille un mètre soixante-dix. Un peu petite. Son poids est de 55 kilos. Elle s'habille en taille 36-38. Idéal. Très joli visage. De jolis yeux vert-marron en amande. Un très joli sourire. Des dents bien droites et blanches. Ses cheveux châtains clairs sont plutôt longs et naturellement ondulés. Lysandre a de jolies formes. Niveau soutiens gorge, elle met du 90b. Très bien. Son corps est élancé et fin tout en étant musclé. Sa peau ne présente actuellement pas trop d'imperfections. Son passage d'essai sur la piste pour défilé était réussi. Au final Lysandre est une parfaite candidate si l'on ne regarde pas sa taille un peu petite malheureusement pour un model. "

Je relis ces notes avec attention puis je pars me regarder dans la glace de la salle de bain. Je n'ai pas beaucoup changé au final. À part mes cheveux moins beaux et plus gras qu'à cette époque. Si l'on oublie aussi ma peau qui n'est plus aussi entretenue et mes blessures ici et là. Je suis aussi plus musclé qu'avant. Ce n'est pas une mauvaise chose. Pour le moment, je n'ai pas changé. Peut-être qu'un jour, si tout redevient normal, alors je pourrais être reprise en tant que mannequin ? Qui sait. Si je ne suis pas morte jusque-là. Je soupire longuement et mon regard se porte ensuite sur mes vêtements, abîmés et sales. Bordel. J'ai déjà fait beaucoup mieux  niveau vestimentaire par contre. Je m'habille essentiellement de jean noir, slim, résistant. Je mets aussi de simple tee shirt, basique. Noir, blanc, parfois d'une autre couleur quand l'envie m'en prend. Quant aux chaussures, mes fidèles doc martens noir sont ce qu'il me reste. Je n'ai rien d'autre. Puis pour me couvrir, je mets ma veste en cuir. Je n'ai pas grand chose. Je n'ai pas vraiment le temps de faire les boutiques. Et qu'est-ce que ça me manque ! Bon dieu, je donnerais n'importe quoi pour faire quelques boutiques. Enfin. Ce n'est pas un gros problème quand je vois le monde de dehors. Concernant le côté beauté, je n'ai qu'une toute petite trousse de soin qui contient, une brosse à dents, du dentifrice, du mascara, de la crème et un reste de shampoing. Je ne me limite qu'à ça. Et j'ai déjà la chance d'avoir tout ça. Mes armes sont aujourd'hui ma priorité. Bien plus que le mascara. Je ne quitte jamais mes deux pieux en argent. J'ai aussi un couteau suisse avec moi. C'est tout. Merci papa ! Heureusement qu'il s'est engagé dans l'armée. Grâce à lui, j'ai pu avoir un entraînement digne d'un bon soldat et deux armes superbes. Je le remercie tous les jours de là ou je suis de m'avoir offert tout ça. J'étais peut-être mannequin, mais j'étais un mannequin armée jusqu'aux dents.

Aujourd'hui, je ne suis plus seule. Et beaucoup veulent savoir mon histoire. Histoire triste et heureuse à la fois. Je ne sais pas pourquoi, mais l'idée de la raconter ne m'enchante pas. Très peu pour moi. Alors je vais l'écrire. Tout simplement. Je m'installe confortablement sur un matelas et commence donc mes notes. Alors. Comment commencer ? Je n'écris pas d'histoire. Je ne sais pas vraiment comment procéder. Voyons ... Il était une fois ? Non. Trop Disney. Trop fantastique. L'histoire commence un jour de décembre ... Non. Trop formelle. Mmh. Oh. Je sais ! Tout simplement !

Je m'appelle Lysandre Colombe Jack. Je suis née le 25 décembre. Le jour de noël. Il neigeait. Beaucoup. Et il faisait très froid. Ma mère, une femme merveilleuse du nom de July et mon père, un homme fabuleux du nom de David, ont alors eu pour cadeau, une petite fille. Moi. Vous vous en doutez. Ma vie à débuter tout doucement dans cet hôpital au Canada. Mon pays natal. Superbe. Riche en paysages magnifiques. Remplie de gens agréables. J'ai donc grandis dans un foyer aimant. Ma mère se trouvait être une architecte de renommée. Mon père quant à lui, était militaire.
Je dois avouer qu'ils n'étaient pas souvent là. Surtout papa. Mais je n'ai jamais manqué de rien. Je vivais dans une grande maison. Je mangeais à ma faim. J'avais plein de jouets. De peluches. De livres. De vêtements. Et j'ai même eu le droit à un entraînement de self défense. Je suis rentrée à l'école maternelle assez rapidement. J'avais alors 2 ans et demi. J'ai toujours aimé l'école. D'aussi loin que je m'en souvienne. C'est là que j'ai rencontré mon ami d'enfance. En grande section. J'avais 4 ans et demi. Tu en avais 5. C'est à partir de ce moment que nous sommes devenue inséparable. Ton nom ? Lukas. Beau garçon. Drôle. Attentif. Populaire. Car oui, lorsque nous sommes rentrés dans la cour des grands, tu es vite devenue populaire. Quant à moi, je suis devenue la fille invisible. J'ai passé quelques années dans la solitude. Mais ça ne m'a pas dérangé pour autant.

J'ai pu me consacrer entièrement à mes études. Toi Lukas, tu as continué à me voir de temps en temps. Puis tu as finalement déménagé. J'ai eu mes diplômes les doigts dans le nez. Mais je ne suis pas allé très loin. À l'âge de mes 6 ans, j'ai voulu me mettre au poney. Maman à hésité. Mais papa a tout de suite accepté. C'est vite devenu une passion. J'y passais mes week end et mes vacances. Je me suis rapidement lancé dans les compétitions. J'ai monter les échelons. Petit à petit. Et j'ai eu mon premier cheval à l'âge de 10 ans. C'est à partir de là que ma "carrière" a commencé. J'ai rapidement eu des sponsors. J'ai participé aux concours de cross régionales, nationales et ainsi de suite. Je suis donc devenu cavalière professionnelle. Pour fêter mes 18 ans, j'ai eu mon second cheval. Plus grand. D'une robe incroyable. D'une lignée de champion. Un magnifique hongre Kladruber. Le cheval de mes rêves. J'ai évoluer. De plus en plus. Mais ce n'est pas tout. Tu m'as offert deux pieux en argent papa. Oui ça peut sembler bizarre comme cadeau. Mais tu m'entraîne depuis des années. Je serais capable de me défendre en cas d'agression. Bon. Pour être ranche, je pensais que jamais je n'aurais à m'en servir. Enfin. Continuons. L'année d'après, lors de mes 18 ans, j'ai été prise dans une agence de mannequinat. Malheureusement, c'est aussi cette année-là que ma mère est tombée très malade. Cancer du sein. Un moment très dur. Très éprouvant. Elle s'est battue. Longtemps. Pendant plus d'un an. Mais le cancer était trop avancé. Alors elle s'est éteinte. En décembre. Le 26 décembre. J'avais alors 19 ans. Mon père, à la suite de ça, est parti en mission en dehors du pays. Et depuis, j'ai rarement eu de ses nouvelles. En attendant qu'il revienne, je garde la maison, je travaille dur pour monter les échelons et devenir quelqu'un. Comme maman. Et c'est ce que j'ai fais. Ce que je commençais à faire... Sauf que le destin en a décidé autrement. Ils sont arrivés.
.

Je n'y croyais pas. Personne n'avait envie d'y croire. Au début pour moi, c'était purement et simplement une invention. Des mensonges. Puis jour après jour, tout a commencé à basculé près de Washington. Un virus. Un nouveau virus. Mais comment un si petit machin invisible à l'œil nu pouvait tuer un homme en bonne santé et le ramener à la vie ? Comment ?! Impossible. Je n'ai pas arrêté ma routine pour autant. J'ai continué de vivre normalement jusqu'en fin 2015. Peut-être aurais-je du me préparer au cas où ? Sûrement. Parce qu'en deux ou trois mois, le Canada a aussi été touché. Et j'ai reçu un appel. L'appel. Ton appel papa. Je ne pensais plus avoir de tes nouvelles.

J'étais à la maison à ce moment-là. Tu m'as appelé à midi. Je me souviens de tout. Comment l'oublier ? J'étais prête à partir au haras. Prête pour LA compétition de mes rêves. J'ai décroché pensant tomber sur ma coach. Et sans me laisser le temps de te parler, tu m'as dit "Lys' ? Ma grande. Fuis. Ne reste pas à la maison. Prends tes deux chevaux et part d'ici. Ne reste surtout pas en ville. Ce que tu entends à la radio est vrai. Prends tes deux armes et fuis. Je t'aime ma puce. Fort. J'espère qu'on se croisera. Restes en vie. " Puis plus rien. Tu as raccroché. J'ai mis beaucoup de temps à comprendre. Jusqu'à ce que je décide de faire mes affaires. Il me fallait mes armes. Sous le lit. Dans leur boîte. Un sac à dos. Mes papiers. Quelques vêtements. De la nourriture. Mon téléphone. Des médicaments ? Oui. J'étais perdue. Jamais je n'avais été préparée à ça. JAMAIS. Papa m'a appris à me défendre, c'est déjà ça. Une fois mon sac fait, j'enfile ma veste en cuir et mes doc martens. Je ferme la maison et je prends mon vélo. Pourquoi ne pas avoir passé ce putain de permis quand j'en avais encore l'occasion ?! C'est vrai que d'habitude, je prends les transports en commun. Je ne suis pas loin de l'agence et je vais au haras à vélo. Mais là, j'aurais bien besoin d'une voiture. M'enfin.

Je me dépêche. J’accélère. Je pédale le plus vite possible. Et enfin, j'arrive au haras. Je préviens tous les gens présents. Bien évidemment, ma coach n'y croit pas vraiment elle non plus. Elle essaye de me raisonner. Impossible. Je lui répète qu'il faut partir et vite. Je selle rapidement mes deux chevaux. Sur Idyle, mon tout premier cheval, j'attache quelques affaires de randonnées. J'alternerais de temps en temps. Sans demander mon reste, une fois les deux chevaux prêts, je monte sur Grey et nous voilà partis. Où ? Je ne sais pas. J'essaye de contacter papa, mais rien. Alors je décide de continuer sur un chemin isolé, en pleine forêt. Peut-être que papa est devenu fou ? Peut-être que j'aurais dû attendre. Je ne sais pas. J'ai vu les images à la télé'. Alors je te fais confiance. Pour le moment, il faut avancer. Oui. Et tu avais effectivement raison papa.

J'ai croisé le premier rôdeur prêt de Montréal. Je ne me suis pas arrêté. Je me suis éloigné le plus possible de la civilisation. Et pendant environs un an, j'ai erré. Longtemps. Dés que j'en avais l'occasion, je m'arrêtais pour me reposer et nourrir les chevaux. Dés que je pouvais, je partais voler les petits magasins de bord de route. Et au bout d'un moment, je m'y suis fait. C'est vite devenu ma routine. Tuer des rôdeurs. Voler. Me cacher. Jusqu'à ce que je croise la route d'un très vieil ami. Lukas. Accompagné de deux hommes. Lorsque tout a dégénéré, près de Washington, ils étaient à l'université. Nous avons beaucoup parlé lui et moi. De ces dernières années. Des rôdeurs. Et nous sommes restés ensemble pendant près de 4 mois. Jusqu'à ce qu'un groupe de rôdeur surgissent en pleine nuit. Un massacre. Lukas est mort cette nuit-là. Ainsi que ses deux compagnons de voyage. Idyle aussi. J'ai réussi à m'en sortir de peu avec Grey. J'ai tout perdu en l'espace de quelques minutes. J'ai pourtant essayé de les sauver. Mais les rôdeurs étaient bien trop nombreux. Beaucoup trop. Alors j'ai repris la route en essayant de faire mon deuil.

C'est avec bonheur que, quelques semaines plus tard, j'ai trouvé ce groupe se faisant appeler Issaquah Ranch. Je suis avec eux depuis seulement quelques semaines. Et retrouver un peu de confort et de contacts humains me fait le plus grand bien. J'ai bougé de planque en planque pendant près de 2 ans. En hivers, j'ai cru mourir de froid. Ce groupe de personne est mon plus beau cadeau... Grey a retrouvé une vie plus tranquille. Un boxe. De l'eau. Du foin. Du repos. Tous les jours, je repense à ce fameux soir. Et jamais plus ça n'arrivera. Je me suis promis de protéger ces gens qui m'ont accueillie. Peut-être est ce un peu cliché. Sûrement. À vous de voir. Je pose ma feuille et je m'étire longuement. Il est 22 heure. On est en 2018. Et les mort vivants sont juste là dehors. Je ne sais pas à quoi m'attendre. La vie ou la mort ?

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !