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Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 16:26


Aponi Tsu'teyahTrop de bouches bavardes, fort peu de têtes pensantes...

prénom(s) : Aponi, Apaniiwa, inspirée du papillon, trois syllabes qui se meuvent avec douceur, s’élèvent dans les airs en un battement d’ailes.
nom : Tsu’teyah, une apostrophe scindant son nom comme son identité, entrelac de ses racines natives renaissantes et de la bannière étoilée qui l’a vu naître.
date de naissance : 17 novembre 1995
âge : 28 ans cette année.

ville de naissance : Toppenish, sous l'œillade du mont Pahto, le créateur de vie.
métier : Barmaid
groupe : La Nation Yakama prend préséance, puis l’impérieuse nécessité de la survie lui impose une collaboration avec The Hallows.

avatar : Amber Midthunder

what i am

qualités
A l’écoute
Indépendante
Empathique
Lucide
Résiliente
défauts
Taciturne
Défiante
Rancunière
Capricieuse
Fouinarde
Équipement :
Exécrant la contrainte et fuyant l’attachement matériel, son attirail se résume ordinairement à ce qu’elle a de plus précieux: elle-même.
Au dehors, ses alliés sont une lance et un surin, passés régulièrement à l’affiloir, ou les armes fournies par son groupe.
   
Détails physiques :
La peau de l’autochtone est souple d’une jeunesse encore fraîche, tannée, boucanée, prompt à se tendre à la moindre sollicitation. Ses cheveux longs, d’un noir fuligineux, tombent bien raide le long de l’échine. Ils ourlent un regard velouté, noyé dans deux puits d’une obscurité vertigineuse, desquels jaillissent des myriades de lueurs, au gré de ses humeurs et de ses sentiments. D’un de ses lobes pend un petit anneau d’argent aux gravures fines, et c’est bien là la seule parure qu’elle porte si ce n’est la chaînette étincelante qui ceint son col.
Le corps, robuste et leste, dégage une sensation de chaleur douce, comme une terre fertile baignée par la lueur de l’aube. Il exhibe une odeur douceâtre de sève et d’herbe fraîchement coupée.

Évolution psychologique

Le profane a une vision romantique de la réserve indienne, y voyant une vaste étendue fertile, préservée, reliquat temporel de la ruée vers l’Ouest et de la conquête d’un territoire vierge et sauvage. Aponi voyait dans cette horizon à perte de vue une absence de perspective, la déshérence d’un peuple livré à lui-même et condamné à prolonger l’acculturation du passé. Tout cela nourrissait chez elle une foi aveugle et profonde envers l’Amérique, la seule nation qui trouvait grâce à ses yeux.
Elle prit le parti de renier son origine et son identité pour les valeurs patriotiques de cette patrie qui l’a vu naître: biberonnée au Cola et enivrée des vestiges enfouis du rêve américain,  elle s’imaginait déjà en self-made woman s’extirpant de l’anonymat des masses et s’élevant vers l’élite. Le manque de ressources l’empêcherait de s’émanciper par l’éducation: qu’importe, plus tortueux était le chemin, plus déterminée elle était à en faire une ligne droite. L’illusion était chancelante et la pandémie le coup de pied qui fit s’effondrer le château de carte. Le sentiment de surplace et une vie de passivité morbide desquels elle s’était toujours soustraite revenaient à la charge au centuple, le désarroi grandissait à mesure que les morts grignotaient les restes fumants de la civilisation.

Plusieurs années de huis-clos firent d’elle la proie d’une succession de sentiments négatifs, sa vie ne tenant plus qu’à un mot: survivre. L’ennui la mit face à sa propre hypocrisie et à un constat patent: les costumes, les coutumes de ces racines qu’elle avait toujours répudiées seraient maintenant les ingrédients de son salut. Muée par la culpabilité et un besoin grandissant, elle s’échine maintenant à faire revenir à la vie cette identité qu’elle a trucidé avec tant de hargne. Fuyant par dessus tout le regard critique des fantômes qui la hantent.




Story of survival


De 1995 à 2011
Aponi est née au sein même de l’endroit où elle a toujours vécu jusqu’à présent: la réserve Yakama, foyer de la nation éponyme. Père comme mère travaillent pour la police tribale, de quoi dégager un revenu suffisant pour vivre une vie simple et frugale. Leur fille est relativement appréciée au sein de la réserve, ses velléités d’émancipation et d’indépendance précoce prêtant les plus sages et anciens à sourire gaiement. Bien qu’ayant des résultats honorables, le scolaire l’intéresse peu. D’une part, la gamine a toujours préféré s’instruire de façon autonome, loin du carcan des programmes scolaires. D’autre part, la moue déconfite des géniteurs lorsqu’elle évoque pour la première fois le mot “université” laisse peu de place aux tergiversations.

Sur ce même laps de temps, Taima, la mère, devient une activiste engagée pour les droits des natifs américains. La lecture d’études et de théories expliquant comment le traumatisme d’une nation toute entière peut se transmettre à ses descendants, même des siècles plus tard, la soulage d’un mal inconscient dont elle ignorait l’existence. Loin de faire naître des vocations, son engagement croît de manière inversement proportionnel à l’intérêt d’Aponi pour son propre peuple: au plus la mère tente de transmettre sa culture et son héritage à sa fille, au plus se creuse le schisme qui s’était créé entre elles.

L’adolescence la charge de ses premiers émois amoureux, partagés avec un autre autochtone du nom de Matho. Ils forment une belle paire, deux idéalistes jeunes et d’une naïveté à faire pleurer les mirettes, entremêlant leurs rêverie et leurs corps, jamais las de s’imaginer une vie chimérique et exaltée au-delà de la réserve. Les soirées et les après-midi devant le catch ou le football américain deviennent leur plaisir secret et coupable, des moments d’allégresse devenus autant de souvenirs teintés d’un voile de mélancolie et de nostalgie. Ils se mêlent parfois aux passe-temps plus conventionnels de Yakama, aux rodéos, spectateurs blasés des pow-wow… sans qu’aucun ne puisse égaler l’allégresse partagée devant un touchdown de Tom Brady.

Comme toutes les réserves, Yakama était un condensé explosif de tous les maux existants à l’extérieur: si cinq pour cent des habitants de l'État de Washington souffraient de dépendances, alors ils étaient au moins cinq fois plus dans la réserve. Matho devient la victime des statistiques et bientôt, la met’ émoussa ses cavités nasales aussi sûrement que sa relation avec Aponi. L’idylle se finit dans un mélange de claque sonore et de porte claquée, l’amertume et la rancœur des rêves effrités. Elle se jura de ne jamais toucher ces choses là, d’une volonté absolue qui n'admettait pas d'exceptions. Depuis, elle tient sa promesse, avec cette sorte de satisfaction intérieure que prodigue la vertu.

De 2011 à 2013
L’ingratitude propre à la jeunesse se mue doucement en reconnaissance sincère, les tensions s’apaisent, mère et fille mettent de côté leurs dissonances et les liens familiaux qui les unissent s’en trouvent apaisés, renforcés. Aponi est leur unique enfant, les années passent et la décrépitude de la vieillesse s’installe, les guerres de chapelle n’ont plus leur place.

L’avenir rutilant de la jeune femme s’est transformé en combat inégal contre l’impitoyable ascenseur social qui, pour elle, n’était pas programmé pour aller plus haut que le premier étage. Faute de perspective universitaire, elle se fait employer dans un bar de Toppenish pour se constituer un capital. Le boulot est simple quoique peu glorieux. Passé une certaine heure, elle devient le réceptacle de pensées délestées de toute inhibition et des confessions les plus intimes des soûlards et autres traîne-semelles du coin. Refaire le monde avec eux devient une sorte d’échappatoire bienvenue.

Portland s'avère être la destination de ses rares excursions en dehors de la réserve, et le témoin d’une autre déconvenue. L’homme est charmant, sa personne entière suinte la réussite et l’opulence, tout en faisant miroiter dans les yeux d’Aponi la liberté que prodiguent une infinité de perspectives et l’absence de contrainte financière. Il en joue habilement, fait de l’inexpérience de sa victime une arme qu’il retourne contre elle. Les mensonges sont mis à nu, le binôme éphémère n’engendre qu’un douloureux rappel qu’elle est seule capitaine à la barre de son destin.

De 2013 à 2015
La majorité s’installe alors que les rêves décrochent. Les maigres économies partent en fumée lorsqu’il faut payer l’hospitalisation du père dont l'irrigation des synapses déraille. Les factures sont payées, le boulot est fait, certains piliers de comptoir deviennent des amis, d’autres plus rares des complices d’un soir. Aponi finit malgré elle par trouver un certain réconfort dans cette monotonie, l’étau de la réserve se resserre insidieusement sur elle. Elle ne lutte pas…


Automne et hiver 2015
Le vent porte jusqu’à ses oreilles les premières rumeurs, des on-dits effrayants et délirants, dans les dix premiers jours. Rien ne peut ternir pourtant ses quelques moments d’évasion à Portland: Aponi jette donc tout ceci aux oubliettes. Sa mère, Taima, vit la chose de façon diamétralement opposée, un instinct insoupçonné la poussant à prendre tout cela avec une gravité notable. L’évocation d’un énième fait divers à la télévision, ce malaise qui remonte le long de sa moelle épinière, les poils qui se hérissent dans sa nuque: autant d’éléments qui lui font empoigner le combiné dans un geste qui tient plus du réflexe que de sa volonté propre. Sa fille doit revenir au sein de la réserve, une mise en demeure non négociable à laquelle Aponi ne peut que se résigner. Le bus quitte Portland quelques heures seulement avant les premiers esclandres et échauffourées.

Ce qui n’était qu’un pressentiment pour Taima devient un émoi pour une frange importante des habitants de la réserve: des familles entières prennent le parti de rester, d’autres partent, tous se demandant s’ils font là le bon choix pour protéger les leurs.

Les parents d’Aponi étant membres de la police tribale, le bon choix est pour eux limpide comme de l’eau de roche: rester et protéger les gens restés sur place, tel est leur office.

- -

Dubitative, la tête contre la vitre du bus, le regard plongé vers la bande d’asphalte qui défilait tel un ruban sans fin, Aponi songe déjà au bus qui, quelques semaines plus tard pour sûr, la mènerait en sens inverse. Quelle lourde erreur.

Quelques semaines sont passées, octobre laisse sa place à un mois de novembre porteur de promesses, des promesses d’hiver naissant et de retour à la normale. Il ne tiendra pourtant que la première. Le quotidien s’aggrave dans la réserve, Aponi comme ses parents sont confrontés aux premiers mangeurs de chair qu’ils ne parviennent à enfermer qu’au prix de collègues gravement blessés, loin de se douter encore de l’issue inéluctable de quiconque se fait mordre.
Aggravant une situation déjà préoccupante, des groupes de pillards se succèdent inlassablement dans la réserve, essentiellement constitués de la lie de l’humanité, d'individus mise au ban de la société et maintenue au dehors, pour des raisons somme toute légitimes. Un sentiment naissant de révolte naît dans l’esprit d’Aponi, spectatrice impuissante de la mise à sac de Yakama, ceci lui faisant prendre conscience de son attachement pour ce lieu siège de presque tous ses souvenirs.

Un groupe de civil armés se pointe à Yakama un matin de novembre, avec la ferme intention de s’en mettre plein les fouilles. En nombre, la bouche vomissant provocations et quolibets, leur hexis laisse peu de place au doute: ce monde naissant est le leur, ils le surplombent avec panache, intimement convaincus que tout leur revient de droit après des années à croupir à plat-ventre dans la fange. Leur groupe passerait avant n'importe quel autre, la moindre sédition serait matée à coups de phalanges et de semelles, l'exécution pure et simple serait le lot des plus téméraires.

Les parents d’Aponi leur tiennent tête. Ils en payent le prix.

- -

Le mois de décembre se présente, sans avoir pu laisser le temps à Aponi ni de faire son deuil, ni d’enterrer ses parents. La situation l’a obligé à les laisser sur place, ne restait le lendemain qu’une mare de sang là-même où les deux ont péri, la privant de corps à mettre en terre.
Le répit lui est refusé par le colonel Ackles, dont le nom est évocateur. C’est auprès de lui que plusieurs familles ont trouvé refuge les premiers jours, et le voilà maintenant aux portes de la réserve pour réclamer son dû.
Les résistants sont fusillés, rien ne peut mettre en déroute le blanc tout puissant, tout cela a le goût amer de l’histoire qui se répète.
Les corps sont brûlés sur ordre de Sahale, chef désigné des survivants, mais les corps calcinés se relèvent.


De 2016 à 2017
Le casino est devenu son refuge, son toit le gardien de son isolement. Elle contemple le vide parfois, sans jamais décider de se jeter dans ses bras comme d’autres de son peuple. Une pensée fugace: tout cela n’est-il qu’un combat ordinaire, les morts contre les vivants ? Le souvenir sombre des pillards vient éclaircir cette vision trop binaire.

Aponi adopte le nouveau mode de vie des survivants. Le parallèle fait avec le mythe des wetkiko l’interpelle: sa mère pouvait-elle savoir ? Est-ce pour ça qu’elle a tant tenu à faire revenir sa fille dans la réserve ? Bien sûr, elle ne pourra jamais lui poser la question…

Le manque de nourriture force les plus téméraires à sortir chercher des vivres. Quelques mois suffisent pour qu’Aponi s’y mette, timidement.


De 2018 à 2019
Une longue escapade, suicidaire lui a-t-on dit, mais couronnée de succès: au fruit d’un dur labeur, Aponi a pu remettre la main sur les livres de sa mère, toujours droits et minutieusement rangés dans la bibliothèque de leur salon. Elle était rentrée, puis sortie à une vitesse déconcertante, sans doute pour s’imprégner le moins possible des ambiances et souvenirs qui hantent ce lieu comme des esprits d’un autre temps.
Ces livres, comme ceux déjà présents dans le casino, sont son chemin de croix, les instruments d’un salut devenu nécessaire. Longtemps elle a renié son identité, venu pourtant est le temps de l’épouser corps et âme.
La quantité vertigineuse de temps libre disponible, source d'abattement et de désœuvrement, est maintenant meublé par l’étude des coutumes, de l’histoire et des mœurs de son peuple. Elle découvre une part d’elle-même qu’elle ignorait et, pour la première fois depuis le début de l’épidémie, peut remonter à la surface et reprendre une bouffée d’air frais après des années d’asphyxie.

- -

Les wetkiko ne peuvent pas être éliminés, ce fait est tenu pour acquis: alors il faut se fondre dans l’environnement, se faire oublier d’eux, prendre ce qu’il faut sans être vu. Elle apprend à s’enfoncer dans le contraire du jour sans laisser l’anxiété la troubler, comme si son corps s'amalgame à l’ombre. Elle ruse, retourne l’instinct primaire des décharnés contre eux. Aponi devint douée à ce jeu là, autant que pour pister ses proies et délivrer leur âme grâce aux armes de fortune fabriquées par Waban.

2020
Quelques mois d’hésitations, de déni, de larmes refoulées, jusqu’à ce qu’Aponi, enfin, inscrive les noms de ses parents sur le mur du casino dédié à honorer les morts.
L’année vient avec son lot de souffrances, l’été ardent manquant de peu de lui faire passer l’arme à gauche.

Hiver 2022
Longtemps, elle a adhéré au mythe du wendigo comme un prophète fou portant une foi aveugle à un dieu païen. Aussi, l’arrivée d’un groupe à cheval, outre la défiance logique qu’il suscite chez Aponi, avec en plus la promesse d’une solution pour renvoyer les morts dans l’au-delà, lui fait le même effet que la plus odieuse des trahisons.
Croire ses étrangers, telle est pourtant la décision de Sahale. La démonstration est un tour de force: les wetkiko peuvent être mis à bas, à condition de viser l’encéphale. Nulle jubilation dans les yeux d’Aponi: seulement un déni et une défiance tenace.
Le groupe repart avec des promesses plus grandes encore, mais elle ne croit ni en leur retour, ni qu’elles puissent être tenues.

- -

Face à l’absence de nouvelles du groupe venu à cheval le mois précédant, Aponi est confortée dans sa méfiance. Autour d’elle, son peuple pourtant semble revenir à la vie: elle les regarde, sifflotants, rénovant des maisons pour accueillir ces nouveaux survivants. Las de ce spectacle, se sentant étrangère à cette folie, elle préfère partir de longues journées, prétextant chasser, mais revient les mains vides et les nippes perlées de sang noirci.


Présent
La méfiance d’Aponi retombe doucement. Son humanité, sa capacité à se lier et à faire confiance, atrophiés après tant d’années, se relèvent péniblement malgré les contractures et les stigmates.
Preuve de sa bonne volonté, elle rejoint les nagiis, apprentie cherchant à se distinguer par son zèle et son audace.


time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Maegi'
• Âge IRL : 28
• Personnage : Inventé [ ] / scénario/prédef [X]

• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Oui [X] / Non [ ]
• Voulez-vous bénéficier de la méthode inclusive ? Oui [X] / Non [ ]

La méthode inclusive vous permet de commencer le jeu directement avec le Maitre du Jeu. En optant pour cette prise en charge, vous terminez votre fiche directement avec un animateur pour qu'il puisse vous intégrer à une intrigue en cours de jeu.

• Code du règlement OK Evan

fiche (c) langouste.
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Invité
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Re: Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 16:30

Bienvenue officiellement !





Light this world

ANAPHORE
Neela J. Yeo-Jeong
Neela J. Yeo-Jeong
Administratrice
She-Hulk
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Re: Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 16:51

Bienvenue officiellement Aponi ! Aponi Tsu'teyah 1342238320

Hâte de te croiser en jeu, et bon courage pour ta fiche Aponi Tsu'teyah 4233749114


stay safe on the Path


Spoiler:
Nihima Sihasappa
Nihima Sihasappa
The Hallows | Conseil
Modératrice
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Re: Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 17:27

Aponiiiii, qu'elle est si belle :smile42: :smile42:

Super choix de PV, trop hâte voir ce que tu nous prépares avec elle Aponi Tsu'teyah 1342238320

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Aponi Tsu'teyah 225781012


you will beg
you'll say how sorry you are.
But i don't do regrets.
Aponi Tsu'teyah ISJRZhd
Frances O'Connell
Frances O'Connell
The Hallows | Conseil
Modératrice
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Re: Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 18:55

Ma Aponiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :smile6: :smile1: :smile1:

Bienvenue par ici !! Bon courage pour ta fiche ! :smile2:



bienvenue sur le forum !


Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !


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Waban Tohotonime
Waban Tohotonime
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Re: Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 23:35

Qu'elle est belle olala Aponi Tsu'teyah 1342238320
Bienvenue à toi !


Flare Guns
IN MY HEAD
TELL ME NOT TO CALL YOU THIS LATE

 
Spoiler:
Lily Evergreen
Lily Evergreen
Junk Town
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Re: Aponi Tsu'teyah

Mar 2 Mai 2023 - 23:55

Ouaiis bienvenue Apo' ! :smile34:

Bon courage pour ta fichette :smile35:
Invité
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Invité
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Re: Aponi Tsu'teyah

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