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Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 19:44


Abigail Alessitell me more about you

prénom(s) :  Abigail
nom :  Alessi
date de naissance :  15/08/1992
âge : 29 ans

ville de naissance : Portland, OregonI
métier : Athlète de Haut-Niveau
groupe : The Haven

avatar : Marie Avergopoulos

what i am

qualites
Pragmatique
Observatrice
Méthodique
Stratège
Combative
Franche
defaults
Taciturne
Méfiante
Égoïste
Obstiné
Injurieuse
Equipement :
Au niveau de son équipement, elle l'a diversifier au cour du temps principalement en cherchant des armes sur les corps des soldats. Depuis le début de l'épidémie, un pistolet M1911 l'accompagne, il constitue véritablement le prolongement de sa main et il l'a sauvé de nombreuse fois d'une mort certaine, on peut distinguer dessus de nombreuses rayures malgré le soin tout particulier qu'elle a envers cette arme. Sachant que les munitions sont limitée et rare, elle a commencé à chercher une arme de mêlée. Son choix c'est porté aussitôt sur une machette tout à fait classique, comme dernière arme elle se sert d'un fusil de chasse Winchester de calibre 12/89. En dehors de la chasse elle n'utilise que très peu cette arme qu'elle a déniché dans la réserve d'un groupe de survivant durant l'hiver 2017. Le fusil est donc attaché via des sangles à son sac de randonnées pour qu'il ne l'encombre pas lorsqu'elle doit courir, sa petite machette est collée contre sa cuisse gauche et retenue grâce à un holster attaché à sa ceinture. La dernière arme, le pistolet est en dessous de son aisselle accrochée aussi par un holster. Lorsqu'elle est en ville elle n'utilise généralement que la machette qui ne fait en théorie pas de bruit et qui n'utilise pas de munition, son fusil semi-automatique sert principalement de dissuasion.  Son stock de munition est minuscule et ne tient que sur deux chargeurs pour le pistolet  avec toujours un chargeur dans la chambre de l'arme et une vingtaine de cartouche pour le fusil de chasse. Dont 5 étant entreposé dans une cartouchière au niveau de la crosse.

Elle garde aussi avec elle 2 rouleau de bandages qui font l'affaire, ainsi qu'une boite d'anti-douleur pratiquement vide, une bouteille d'alcool fort pour désinfecter, quelques maigres boîtes de conserve puisqu'elle vient à peine de redescendre sur Seattle, une gourde qu'elle remplit dans les rivières à l'extrême bordure de la ville avant de la faire chauffer au cas-où. Pour finir  elle a une lampe torche, un briquet, une pince et une carte de la région avec l'emplacement des tour de guets utilisé avant la fin du monde par les gardes forestier ainsi que quelques babioles qui font office de souvenir comme son téléphone dernier cri, une photo de sa mère et sa première médaille d'athlétisme.
     
Details physiques :
La jeune femme possède des traits du visage anguleux, un nez légèrement retroussé mais aussi des yeux en amande sur les extrémités d’un gris aussi sombre qu’un orage d’été. Ses cheveux, souvent attaché en queue de cheval par pur praticité, sont noir de jais et lisse malgré la crasse que son style de vie lui impose. Son corps taillé pour la course bien avant l’épidémie a conservé une apparence sec avec des muscles saillants. Sous une légère couche de crasse on peut distinguer le tatouage d’un soleil sur le dos de sa main n’ayant pas vraiment de signification particulière à ses yeux, un souvenir de sa jeunesse. Abigail possède d’autres marques de vies, comme une légère brûlures au niveau des côtes, et une longue balafre sur l’avant-bras gauche douloureuse marque d’une rixe pour une pauvre conserve. Elle garde en permanence une veste en cuir noir rapiécé avec des épaulières de fortunes et des protections de skate usé au niveau des coudes et des genoux ainsi qu’une pantalon plutôt large dont le tissu commence à sérieusement s’user. Pour finir elle chausse des bottes qu’elle a subtilisé sur le cadavre d’une militaire, par chance la pauvre avait sa pointure.

Psychologie

Abigail a toujours été aussi silencieuse et observatrice. Elle préfère souvent se taire et analyser plutôt que d'intervenir. Intervenir c'est prendre des risques et elle n'aime pas en prendre sans raison. Face à ceux qu'elle ne connaît que peu, elle peut paraître froide et distante, elle n'engage que très peu la conversation. Dans le même registre, Abigail n'aime pas dévoiler ses sentiments et demeure toujours méfiante même avec ses amis ou des gens qu'elle côtoient. Sa tendance à tout analyser lui a donné aussi un esprit très pragmatique et terre-à-terre, il n'y aura jamais d'envoler lyrique avec elle, ni de rêve utopique. Sa façon de réfléchir pourrait se rapprocher de celle d'un militaire, mais aussi celle d'agir et réagir face aux événements auquel elle est confrontée depuis l'apocalypse, elle établit des stratégies et les exécute efficacement sans dévier du plan initial, d'une façon très méthodique. C'est une «parfaite» petite survivante qui fonctionne très bien toute seule et qui n'aime pas accorder sa confiance et sa vie dans d'autres personnes. Abigail est une personne dont l'égoïsme est exacerbé, son bien-être passera toujours avant le bien-commun, elle n'a jamais voulu essayer de corriger ce vice. Puisque sa survie prime, si elle fait partie d'un groupe elle n'hésitera pas à changer son fusil d'épaule si le vent vient à tourner, dès qu'elle a une opportunité d'améliorer son propre confort Abigail n'a plus aucune moral et saute sur l'occasion, depuis le début de l'apocalypse ses défauts n'ont fait que s'accentuer. Héritage de son ancienne vie, la sportive est obstinée, Abigail ne s'arrêtera et continuera ses efforts tant qu'elle n'est pas satisfaite mais elle est aussi combative. Dans sa discipline, la compétition était omniprésente et il fallait toujours faire mieux, donner le meilleur de soi-même, c'est de cette façon qu'elle a développée cette qualité. Elle n'est pas du tout du genre à abandonner surtout quand sa survie est en jeu.

Cette propension à demeurer seule changera peut-être un jour, ou bien elle sera forcée d'apprendre à fonctionner en groupe ! Qui sait ce que son avenir lui réserve ?




Story of survival

Pre-apocalypse

Abigail est la fille d’une serveuse, italienne et immigré ayant obtenu la green card. La jeune femme pleine d’énergie croyait encore au rêve américain, ses proches essayaient de la convaincre de rester en Sicile pour avoir au moins une vie décente. Forcément elle ne les écouta pas, pour elle l’obtention de se passeport était un signe du ciel, l’Amérique l’attendait ! Sa mère n’était pas exactement intelligente, gentille certes mais pas capable de faire de grandes études ni de s’intégrer à la haute classe américaine surtout avec son accent italien très prononcé et ses maigres connaissances en anglais et puis elle était jolie, son employeur la trouva parfaite dans le rôle de serveuse. C’est peut-être ce mélange qui a séduit son géniteur, un certain Joshua Cornwell lorsqu’il commença à fréquenter un bar huppé pour un soit-disant voyage d’affaire à Portland. Il l’engrossa à moitié bourré dans une sordide chambre d’hôtel, il ne prit même pas la peine de la saluer, non il parti comme un voleur la laissant endormie avec la facture et un futur bébé. Sa mère aurait pu avorter, mais premièrement sa famille était très croyante et donc par extension elle aussi et deuxièmement elle n’arrivait pas à s’y résoudre. Elle trouvait ça trop cruel, elle pensait à ce qu’on bébé pourrait devenir et elle ne voulait pas détruire sa chance et puis elle se réconfortait en pensant qu’une seconde présence dans son miteux appartement apporterait un peu de gaieté.

Elle accoucha  le 15/08/1992. Son bébé était étonnamment calme, évidemment il arrivait à Abigail de crier lorsque la faim se faisait sentir mais elle offrit quand même de bonne nuit de sommeil à sa mère qui dû continuer de travailler puisqu’il n’existe pas de congé maternité dans ce grand pays qu’est l’Amérique. Parfois elle regrettait amèrement de n’avoir pas avorter mais quand son regard croisait la bouille angélique de sa fille, elle changeait d’avis aussitôt. Son amour pour elle n’épongeait pas les prêts qu’elle avait dû prendre et le fait qu’elles vivaient presque dans l’extrême pauvreté, le loyer, la nourrice, la nourriture tout était cher.  

Les choses s’améliorèrent avec le temps, Abigail montrait quelque aptitudes intellectuels et elle restait souvent calme et silencieuse. Sa mère commença à s’inquiéter craignant que sa fille ait un handicap, qu’elle ne puisse pas saisir sa chance dans la vie. Les psychologues qu’elle consulta lui assurèrent que tout allait bien, et elle perdit de l’argent inutilement dans l’histoire. Sa mère déménagea à Gladstone, une ville en bordure de Portland pour avoir un loyer moins cher et un cadre de vie plus calme pour sa fille.

Abigail grandit tranquillement et sans faire de vague dans son école, elle avait une ami, son exacte opposé. Lorsqu’elle venait chez elle, son amie apportait la gaîté que sa mère avait espéré. Outre cette sincère amitié elle n’avait que des connaissances et la chose ne changea pas avec le temps.

Sa mère l’inscrivit à l’athlétisme aux alentours de ses 10 ans pour qu’elle puisse se dépenser et avoir un peu de contact avec d’autres personne. Elle aurait pu l’inscrire à un sport plus collectif mais toujours prévoyante sa mère ne voulut pas la brusquer. La jeune fille avait toujours eu une certaine affinité avec le sport, mais aussi un esprit de compétition très prononcé. Elle adora l’athlétisme et commença à s’entraîner le plus possible tout les jours, ses progrès au fil des années furent de plus en plus rapide et son entraîneur observa avec un certain étonnement ses performances dans les disciplines impliquant la course. La force brute n’était pas son point fort, la vélocité oui et de loin.

Fin collège, en 2006, elle remporta ses premières compétitions «sérieuse», elle continua sur sa lancée durant le lycée. Abigail garda le contact avec son premier entraîneur jusqu’au début de l’épidémie, il venait assister à chacune de ses compétition, elle était grandement reconnaissante même si elle n’arrivait pas vraiment à l’exprimer. Après tout c’est lui qui l’a incité à se focaliser sur la course, c’est lui qui est venu vers elle alors qu’elle restait dans son coin à observer.  Pour en revenir au lycée, elle garda aussi son amie d’enfance et ne noua pas de vrai liens malgré ses victoires sportives et la relative popularité qui en découlait. Elle eut quelques relations sans histoire, sans avenir. Durant ces courtes années, la jeune sportive insista pour intégrer un lycée privé sportif mais sa mère refusa catégoriquement. Elle voulait que sa fille finisse sa scolarité normalement et aussi mais elle ne lui avoua pas ce genre de lycée coûtait trop cher pour le petit salaire d’une serveuse/femme de ménage.

Après le lycée, le début de sa carrière est somme toute classique. Abigail aurait pu aussi intégrer l’armée mais elle n’avait pas vraiment cette esprit de groupe qui caractérisait les forces armées. Elle enchaîne les compétitions, au niveau de l’état puis au niveau fédéral de 2012 à 2014. Elle arrive même à économiser un peu de l’argent qu’elle gagne pour l’offrir à sa mère.

Sauf que la mort est une vicelarde qui adore mettre son grain de sel dans la balance, on diagnostiqua sa mère atteinte du cancer du poumon, en 2014 mais c'était déjà trop tard. Abigail s'en est toujours voulu de n'avoir pas plus insister, de ne s'être pas plus inquiéter lorsqu'elle voyait sa mère s'affaiblir au fil de ses visites. Les médecins et elle savaient que les dés étaient déjà jetés, sa mère avait déjà souffert auparavant de problèmes respiratoires comme de l'asthme sévère et une bronchite tout aussi sévère. De plus têtu comme elle était, sa mère avait continué de fumer malgré ses problèmes de santé.

Sa mort laissa un grand vide dans le cœur de pierre de sa fille, elle ne l'avait pas élevé dans le meilleur cadre de vie mais elle avait fait ce qu'elle pouvait et surtout elle la poussait toujours à faire meilleur, à ne jamais baisser les bras. Elle ne lui en a jamais voulu puisque depuis bien longtemps sa haine était dirigé vers son géniteur et ses enfants, tout particulièrement un certain Isha. Le fumier passait de temps en temps chez sa mère pour continuer d’alimenter la flamme alors qu'Abigail n'était encore qu'un bébé. Chaque fois il trouvait des excuses pour son absence et il lui promettait de rester plus longtemps et de venir plus souvent mais ce n’était que des mensognes
Un jour le salaud lui montra tout content une photo de lui et son tout dernier fils, un certain Isha et il utilisa cet argument pour mettre fin à leur relation. Comble de l'ironie, la photo glissa de la poche arrière de son pantalon et sa pauvre mère s'empressa de la récupérer alors qu’il quittait l’appartement sans même se retourner ou adresser un regard vers le berceau de sa fille.

Elle nourrissait une haine à leur égard pour avoir laisser sa mère se dépatouiller dans la galère, et parce qu'elle s'imaginait qu'Isha vivait une vie parfaite avec un père et une mère et tout ce dont il avait besoin. La description d'homme d'affaire que lui avait fait maintes et maintes fois sa mère ne fit que renforcer cette aigreur.

Abigail n'essaya jamais de les retrouver, sa carrière primait et elle mettait toutes les chances de son côté. Pour noyer son chagrin, elle se plongea complètement dans le sport. Elle devait justement participer à une compétition de niveau continental fin novembre 2015.

Pour noyer son chagrin, elle se plongea complètement dans le sport. Elle devait justement participer à une compétition de niveau continental fin novembre 2015.

Post-apocalypse

10 octobre 2015 - 22 octobre 2015

Abigail fut l’une des chanceuses qui ne vit pas le monde s’effondrer, à vrai dire elle n’était au courant de rien enfoncé dans un des parcs naturels de l’état de Washington avec pour seul moyen de communication un téléphone satellite qu’elle ne s’autorisait à utiliser qu’en dernier recours. Elle était partie le 10 octobre pour une randonnée de une semaine au «Mount Pilchuck», afin de s’entraîner et de surtout se préparer pour la compétition qui arrivait. Elle devait s’y rendre avec son amie d’enfance, mais malheureusement elle eut un empêchement à cause de ses parents et Abigail dût y aller seule.

En sortant donc du parc naturel, après avoir prit un peu de retard, Abigail n’était pas du tout au courant de la crise en cours. Lorsqu’elle arriva sur le parking, il ne restait plus que sa voiture et une moto chose étrange puisque le parking est souvent bondé à cette saison. Principalement par des chasseurs ou des touristes qui venaient profiter du Baker Lake. Elle essaya de démarrer sa voiture, mais le moteur refusa de s’enclencher et son tableau de bord à grand renfort de signaux lumineux lui indiqua qu’il n’y avait plus d’essence dans le réservoir. C’est alors qu’elle commença sérieusement à s’inquiéter, sa main alluma instinctivement la radio qui crépita doucement avant de stabiliser le signal. Un message d’urgence tournait en boucle, priant la population de rester chez-eux et de ne pas interférer dans le travail des forces de l’ordre.

24 Octobre 2015

Elle marcha deux jours de plus pour trouver de l'aide, les sentiers qu'elle emprunta était encore plus vide que d'habitude. Elle continuait de marcher dans cette impression d'être au bout du monde, là où aucun homme ne vit. Sa destination était Granite Falls et son plan était de tout simplement trouver de l'aide et de la nourriture puisqu'il ne lui restait qu'une conserve de mais. Abigail n'avait prévu que pour 1 semaine de balade ce qui est déjà assez conséquent.

Dans la ville, tous les volets étaient fermés. Elle passa à côté d'une voiture de police carbonisée, la tension était palpable et la jeune femme se sentait épier de tous les côtés alors qu'elle traversait la ville. Au bout de la route, elle distingua une silhouette avec un habit de prêtre, au fur et à mesure qu'elle se rapprochait sa posture et sa démarche lui semblant étrange désarticulé. Rien qui ne pouvait la mettre en confiance donc, mais elle était désespérée et son ventre gargouillait misérablement et sauf preuve du contraire c'était le premier humain qu'elle croisait depuis des jours. A une dizaine de mètre de lui elle osa un petit «Bonjour», et le prêtre se retourna du sang recouvrait sa bouche ainsi que sa face blême. Ses dents devenu rouge était de sortie, face à ce spectacle la jeune femme avait l'impression d'être face à une bête sauvage qui en l'occurrence avait terriblement envie de la déguster. Il se racla la gorge d'une façon effroyable et alors qu'il avait toujours son dos voûté sa silhouette se rapprocha rapidement d'elle. Abigail essaya de discuter en vain, elle en conclut qu'il avait la rage ou une maladie dans ce genre et que c'est pour ça que les radios diffusaient des messages d'alerte. Il ne doit pas être le seul dans cet état avait-elle pensé, elle aurait pu se défendre avec le couteau de survie dans sa poche mais elle n'était pas sûr de remporter le combat et la course restait toujours une option appréciable. Abigail était certaine qu'il n'arriverait pas à la rattraper ni la suivre, ses jambes s'enclenchèrent donc. Elle avait beau courir le plus vite possible, son sac de randonnée était d'une lourdeur handicapante, comble du malheur deux autres enragé se joignirent à la course au tournant d’une. Abigail avait réussit à distancer le prêtre mais les deux nouveaux poursuivants étaient dangereusement proche d’elle et sous l’effet de la fatigue ses foulées se firent moins ample et elle perdit progressivement de la vitesse.

La course se termina à l’orée d’une forêt en bordure de la ville, elle c'était étiré sur au moins 10 minutes et la sportive ressentait les premiers signes de la fatigue. Ses foulées étaient moins vives, sa poitrine se soulevait à un rythme plus soutenu. Soudain son pied gauche cogna violemment contre une maudite racine sous la violence du choc et la surprise elle tomba par terre. Le monstre accourait pour le festin et dans un dernier espoir de survie Abigail sortit son couteau avec le vain espoir d’arriver à les battre . Le sort en décida autrement, et un coup de feu retentit puis un autre, le sang d’un des enragés giclait dans tout les sens et laissa deux trous dans son torse mais le monstre n'en démorda pas pour autant et continuer d'avancer vers la jeune femme. Un troisième coup de feu avait retentit  . La bête s'effondra enfin sauf qu’une autre menaçait déjà les deux survivants, il tira en visant le front. Sans surprise la bête tomba aussi, il attendit que le retardataire arrive puis lui foutre aussi une balle entre les deux yeux.

Dès que la danger fut écarté, le tireur affabulé lui aussi d'un sac de randonnée accourut vers la belle. Il l'aida à se relever, et se présenta tout content de faire la rencontre d'une humaine qui n'essaiera pas de le dévorer et qui plus est une star locale dans le domaine du sport. Enfin star, seulement les passionnés d'athlétisme et ceux qui suivait les diffusions des compétions fédérale pouvaient la connaître.


Octobre - Décembre 2015

Étant blessé au niveau de la cheville et sans arme, Abigail resta avec lui. Pendant quelques semaines, il essaya de se rapprocher de la jeune femme essuyant échec sur échec. Au départ la sportive ne restait avec lui que par pur intérêt puis elle commença à s’attacher légèrement au personnage.  Peu de temps après leur rencontre, des véhicules de l’armée passèrent dans la ville pour annoncer une évacuation express. Ils ratèrent l’évacuation à cause de la blessure d’Abigail, le convoie s’éloigna à toute allure et ils n’entendirent plus jamais parlé d’eux. Le vacarme causé par l’évacuation attira un grand nombre de mort et ils durent s’enfoncer dans la campagne.

Leur marche se termina dans une ferme non loin de Granite Falls, les deux survivants trouvèrent retranché dedans une famille apeuré qui n’avait que pour arme des couteaux de cuisine alors qu’Abigail avait récupérer un M1911 sur la cadavre d’un policier enragé après que Mark l’ait abattu avec son revolver. Ils avaient réussi à retrouver des balles de revolver puisque le calibre est assez répandu aux U.S.A, la sportive quant à elle n’avait pas tirer avec son arme qu’à deux reprise. Elle gardait souvent en main son arme pour s’habituer au poids de l’arme et paraître plus crédible avec.

Les deux c’était concerté sur la marche à suivre en découvrant cette famille, Abigail cynique proposa de les détrousser mais Mark refusa catégoriquement. Le randonneur avait un cœur et il ne voyait pas condamner une famille à une mort certaine. Grâce à quelques arguments bancale elle accepta, avec mauvaise grâce, de ne rien tenter.

Printemps 2015

Suite au retour de la belle saison, son partenaire décida de partir plus loin que d’habitude tandis qu’elle reste à la ferme, sauf qu’il n’émergea pas des champs laissé en jachère au coucher du soleil. A vrai dire il n’en émergea jamais, elle décida donc d’agir après s’être fait à l’idée que la mort l’avait eu. Abigail refusait de se laisser avoir par la mort, c’est une survivante qui fait ce qui doit être fait, et cette famille n’était qu’un poids pour elle. De plus il n’y avait plus Mark pour la faire changer d’avis. Les pleurs et les cries de la famille ne lui causèrent aucun remord, elle remplissa  méthodiquement son sac avec les 3/4 des réserves de nourriture. Le père, la mère et leur fille de 8 ans pouvaient se considérer chanceux d’avoir passé l’hiver avec elle, sinon elle aurait prit toute la nourriture. En sortant de la ferme, elle n’avait pas vraiment de remord. Abigail avait prit son dû, elle s’était mise en danger pour ces fichus conserves et puis elle savait d’avance que le père ne tenterait rien. Un homme de bureau, tout gringalet qui n’a pas fait de sport depuis le lycée face à elle avec un flingue, ses chances étaient minuscules.

Février 2017

Après l’épisode de la ferme, elle n’est jamais resté plus de deux jours au même endroit , depuis pratiquement 2 ans maintenant elle restait du côté de Marysville, d'Everett et de Granite Falls sans jamais trop s’en approcher afin d’éviter les rôdeurs, elle restait parfois quelques temps au même endroit mais ce n'était malheureusement pas définitif et elle vivait sur peu de réserve.

Depuis l’automne dernier sa stratégie n’est plus aussi efficace. Pour des  raisons évidente, les montres décident de partir se balader dans la campagne. Ceux encore vivant doivent appliquer la même stratégie qu’elle, les morts on commencé à bouger à la recherche de proie. Ce mouvement de population déstabilisa la survivante qui avait déjà de plus en plus de mal à trouver de la nourriture.

Alors qu’elle marchait avec difficulté dans la neige, sa chance semblait avoir tourner. Elle était frigorifié, affamé, fatigué et elle avait entamé sa dernière conserve, elle n’était pas arriver à trouver de véritable abris pour l’hiver donc elle n’a pas pu faire des réserves. Abigail fut contrainte de vivre au jour le jour en se déplaçant sans cesse pour trouver de la nourriture . Elle priait pour qu’on lui offre une seconde alors qu’elle entrait dans Marysville. Aux abords d’une école, des types lui crièrent dessus et pointèrent leurs fusils sur elle pour qu’elle dégage comme ils le disaient si bien. Abigail n’est pas une idiote, elle savait que sa seconde chance était entre les murs de cet école. Les survivants devaient avoir déjà pillé les environs, et elle savait qu’elle n’aurait pas la force de traverser le reste de la ville surtout avec tout les rôdeurs qui erraient dans les rues.

Son plan était simplissime mais parfois on n’envisage pas le plus logique n’est-ce pas ? Après s’être reposé quelques heures dans une maison étonnamment intacte, elle se mit en route aux alentours de 4 heures du matin. Le grillage de la cour de récrée n’avait pas été affabulé que d’un fil barbelé sur le haut de celui-ci, il était adapté pour contrer des rôdeurs pas des humains. Elle découpa donc une portion de celui-ci avec une pince qu’elle avait prise dans l’établie d’une ferme au début de l’épidémie.

Puis elle s'introduisit dans la cour puis dans le bâtiment. Avançant le plus discrètement possible, son cœur tambourinait contre son torse, ils la tueraient sans hésiter s'ils se rendaient compte de son intrusion. Elle repéra au moyen d'un halo de lumière, le garde dans l'entrée principale, en analysant son ombre elle en avait conclut qu'il somnolait. Comble de la chance, un rôdeur vient frapper contre la porte attirée par la lumière comme un insecte en été. Le type à moitié endormie se leva donc à cause du vacarme provoqué par le monstre, il prit avec lui son fusil de chasse, ce qui compliqua la tâche de la survivante. Il n’était ni très grand ni costaud,  Abigail décida donc d'agir espérant que sa force surpasse la sienne, elle se rapprocha de lui à peu feutré puis d'un coup son bras droit enveloppa le cou de l’homme et sa main gauche se plaça contre sa bouche. Il lâcha le fusil à pompe sous l’effet de la surprise qui se fracassa par terre dans un tintement à en réveiller les morts.

Elle serra de toutes ses forces le cou du garde mais il se débattait et sa force fit basculer la jeune femme par terre. Son dos rencontra douloureusement le carrelage de l'école et elle étouffa, avec difficulté, son cri de douleur. Par chance les coups de sa victime se firent moins vigoureux et bientôt elle fut écrasé par le corps inerte du garde, elle ne prit même pas la peine de prendre son pouls et d'un coup de machette elle trancha la carotide du type. Elle ne voulait prendre aucun risque, surtout que le rôdeur allait en réveiller forcément un autre, un de moins c'était déjà ça. Abigail trouva la réserve du groupe et s'employa à voler un maximum de conserve. Gourmande elle s'empara aussi d'un fusil de chasse, plus précisément un Winchester. Elle sortit saine et sauve de l'école quelques minutes avant que l'un des survivants ne se réveille à cause du bruit.

Juin 2017

Elle fit la rencontre d’un garde forestier à la retraite sur les sentiers qu’elle avait empruntée au début de l’épidémie, aux abords du Mont Pilchnuk. Le retraité avait fuit la fin du monde en se réfugiant dans son ancienne tour de guet, à vu d’œil il devait avoir 75 ans ou du moins dans cette tranche d’âge. Alors que sa première pensée fut de le détrousser. Le vieux garde lui proposa un marché qu’elle ne pouvait qu’accepter, il lui apprenait les bases de la chasse. Savoir tirer avec son arme, construire et poser des pièges basiques et avoir quelques notions en pistage et des connaissances sur les plantes utiles présente dans l’état. En échange l’apprentie chasseuse ramenait de la nourriture pour lui. C’était du gagnant-gagnant, le retraité ne faisait pas d’illusion sa vue baissait et sa vivacité disparaissait peu à peu. Il n’était plus aussi efficace à la chasse, il avait besoin d’elle mais si son air ne lui inspirait pas confiance. Lui avec son fusil en main et elle avec plus ou moins le même modèle, il passa l’été à lui filer des conseils sur le terrain. Les progrès d’Abigail était rapide, il faut dire que son caractère se prêtait parfaitement à l’exercice de la chasse. La patience et sa façon très méthodique de réagir à des événements.

C’était toujours lui qui s’occupait de faire sécher la viande, mais juste avant l’hiver il lui fila quelques tuyaux par gentillesse. Au fil des mois, ils avaient apprit à se connaître et même si son apprentie restait fermé, le retraité développa une forme de sympathie pour elle et inversement.

Février 2018

Le vieux garde forestier s’est éteint dans le froid de l’hiver, son corps fatigué par la vie ne supporta pas les attaques de la grippe puis sans médicament et avec l’impossibilité de s’en procurer son âme ne guerroya pas pour vivre quelques années de plus. Il ne regrettait rien, et son visage se figea sur une expression paisible. Il se reposait pour l’éternité à présent, Abigail aurait pu partir avant que l’hiver arrive et garder la viande pour elle mais elle était resté par respect et reconnaissance envers cette homme et puis elle aimait bien l’entendre raconter ses innombrables anecdotes au coin du feu. Il avait le don de lui arracher un sourire, elle n’attendit la fonte de la neige et elle l’enterra à côté de sa tour de guet. Une jolie croix signalait l’emplacement de la tombe, par respect elle avait inscrit le nom du défunt sur le bois.  Lorsque les temps seront moins dur, elle s’est juré de revenir ce recueillir sur sa tombe en attendant la survie primait toujours.

Printemps 2018

Durant le printemps la chasseuse descend vers Seattle en longeant Marysville puis Everett. Elle passa toute la belle saison à chercher des équipements pour une ancienne tour de guet dans la «Tiger Mountain Forest» qu’elle souhaite transformer en abri pour l’hiver. Elle préféra ne pas remonter au nord puisqu’elle ne se voit pas faire la route à chaque fois juste pour atteindre Seattle et puis sur le moment elle pensa, à raison, que personne trouverait son abris. Abigail rencontre quelques survivants qu'elle aida parfois en échange de munitions ou d'objets utiles à la survie comme des boîtes d'allumettes. Elle arriva même à troquer un peu sa viande séché mais les échanges furent très rares.

Mars 2019

Elle part pour Seattle afin de se rendre à un endroit qu’elle avait un peu fréquenté le printemps dernier. Elle espérait y trouver plus de gens enclin au troc et elle ne fut pas déçu. Sauf que c’est pendant ce mois que des pillards décidèrent d’attaquer le lieu, la chasseuse se planqua derrière un pilier en métal. Elle entendit les balles taper contre le métal mais heureusement aucune d’entre elle ne l’atteigna. Abigail ne participa même pas au combat malgré son armement, elle estimait que c’était trop dangereux pour ce qu’elle risquait.

Après l’attaque elle eut la satisfaction de voir que le troc s’intensifiait et que les cargaisons de faisaient de plus en plus grosses.

La chasseuse décida d’adopter ce schéma à l’avenir, chaque année elle descendra de son refuge quand l’hiver laissera sa place au printemps. Sur sa route, elle chassera des proies dans les foret et plaines qui sont monnaie courante dans l’état puis elle séchera sa viande puis elle vendra tout contre de l’équipement pour son refuge, des munitions, des denrées qu’elle ne peut avoir pendant l’hiver comme des légumes en conserve. Elle décida aussi de faire plusieurs tournée entre les forêts et le No Man’s Land durant la saison pour troquer des objets utiles à sa survie contre de la viande de lapin ou d’autres petit animaux facilement «stockable». Ce mode de fonctionnement lui permit d’obtenir des munitions pour son fusil, des denrées qu’elle ne peut se procurer durant l’hiver comme des légumes en conserve.


Hiver 2019-2020

Elle fut trop gourmande et inconsciente puisqu’elle arrêta sa saison à la fin de l’automne. Elle était certaine que son refuge l’attendait mais en arrivant là-bas, elle découvrit la cabane totalement pillé et détruite. En catastrophe, la survivante se replia à Mt Défiance en priant que l’abri indiqué par la carte de son mentor ne soit pas déjà occupé voir pillé. Abigail avait décider de s’enfoncer encore plus loin dans la chaîne de montagne par peur que les refuges construit dans des endroits moins accidenté soit déjà pillé et donc inutilisable. Elle y arriva juste avant que les chutes de neiges ne la bloque dans sa progression.

Mars 2020

L’hiver fut très rude pour la chasseuse qui redescendit dès que le climat se fit moins froid, elle n’avait presque plus de nourriture. Son refuge était détruit, elle repartait de zéro. Son modèle de vie comportait des failles importante et elle songeait à se rapprocher des villes puisque se cacher dans la montagne la coupe totalement du monde pendant des mois. De long mois où la moindre erreur peut lui être fatal car personne ne viendra la secourir là-bas. Elle a repérer quelques parcs naturel en bordure de l’agglomération de Seattle et puisque le nombre de rôdeur dans les rues se réduit à vu d’œil elle n’a plus vraiment de raison de rester loin des villes. De plus, Abigail reste une humaine, taciturne certes mais la solitude lui pèse beaucoup sur la conscience et elle a besoin comme n’importe qui de contact humain. .

Survie

Durant l'hiver et lorsqu'elle était à la montagne ses journées était plutôt simple. Son rythme de sommeil étant calqué sur le cycle du soleil, elle se réveille à l'aube et s'endort à l'aurore. Durant la journée, elle inspecte les alentours de sa tour de guet a renfort de coup de pelle pour ne pas avoir une mauvaise surprise caché dans le manteau neigeux. Elle récupère aussi la neige qu'elle chauffe pour la boire ou bien cuire un peu de riz qu'elle stockait dans son refuge. Sinon elle lisait ou dessinait durant les temps mort. L'hiver était une période de sa vie où elle ne faisait pas grand-chose, contrairement à la saison de chasse.

Ses journées durant le printemps, l'été et l'automne ne se ressemblaient pas vraiment mais elle a quand même des petites habitudes. Elle se lève et se couche toujours selon le cycle du soleil, le matin est  souvent dédié à la chasse pur et dur et l'après-midi à la confection de piège, elle remplit sa gourde dans les rivières qu'elle croise et elle nettoie ses armes Abigail fouille aussi les fermes, et petit village environnant. Lorsqu'elle passe au No Man's Land, la chasseuse y reste un jour entier puis repart le lendemain matin vers un nouveau terrain de chasse.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) :  EaŦhI
• Âge irl :Haha
• Présence : ÉCRIRE ICI
• Personnage :  Inventé [X] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? Via les top-sitesI
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Le design principalement et l'envie de jouer sur un post-apo bien établit
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X]
• Crédits (avatar et gifs) ÉCRIRE ICI

• Code du règlement  Validé par Jaren

fiche (c) langouste.
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 19:47

Bienvenue Abi!
Bon courage pour ta fiche!



si le soleil se lève sur les autres
On a dévalé la pente en moins d'deux, on a fait comme si on savait pas. On a évité les regards ambigus, on a fait comme si on pouvait pas. On a dessiné la zone, évité les roses, repoussé la faune, compliqué les choses. Mais maudit ami, je veux plus : Danser ce slow avec toi
Johanna L. Gordon
Johanna L. Gordon
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 19:57

Coucou Abigail Smile



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !


N'hésite pas si tu as une question !

J'en profite en voyant ton métier : la liste n'est pas exhaustive mais l'arc fait aussi partie des armes interdites en ce moment. Tu n'es pas obligée de changer ton métier ni le fait que ton personnage ait eu un arc dans son histoire mais au moment de prendre le RP, elle devra l'avoir perdu pour une raison que tu choisiras dans son post-apo Wink
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 20:32

Salut, j'avoue ne pas avoir vu la mention d'armes interdites dans le règlement du coup je tombe un peu de court, étant donné que j'avais choisis cette discipline pour avoir un arc et développer une histoire autour, mais ce n'est pas grave je vais changer pour athlète de haut-niveau !
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 20:33

Bienvenue ! :MisterGreen:
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 20:49

Bienvenue par ici, et bon courage pour ta fiche ! :smile3:
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

Mar 31 Mar 2020 - 21:01

Bienvenue ! :smile6:
Très bon choix d'avatar ! Very Happy
Bonne continuation pour ta fiche ! :smile7:
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Re: Abigail Alessi - L'excellence ou rien

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