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Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 6:28

Dawn
Phelbs

WHO AM I
- Informations personnage -
Nom : Phelbs, ça vous rappelle quelqu'un ? Étonnant non ? Mais Phelbs c'était son nom de famille avant le sien. Son nom rien qu'à lui et plus le temps passe, moins il a envie de le partager avec quelqu'un. C'est d'ailleurs l'une des seules choses qu'il a partagé avec elle.
Prénom(s) : Dawn, un prénom qui souligne à merveille la fonction qu'il occupait et le cœur qu'il mettait à l'ouvrage. Amener la lumière, la justice, sur l'ombre de l'obscurantisme. CA fait très prophète mais si on peut jamais se jeter quelques fleurs, à quoi bon être performant dans son boulot.
Âge : 45 ans, mais il fait tout son possible pour ne pas le paraître.
Date de naissance : 20 Octobre. De base il était censé naître scorpion. Au lieu de ça il est balance, et faut bien avouer que c'est beaucoup moins classe. Quand il était petit il adorait dire qu'il était prématuré. Ce qui était évidemment totalement faux. Il s'est juste contenté de prendre tout le monde à revers.
Lieu de naissance : Dawn est né à Boston. Pas vraiment dans les quartiers mal famés, mais il connaissait les gamins du coin. C'est peut-être ce qu'il l'a poussé à vouloir défendre les droits des opprimés.
Nationalité : Américaine, il pourrait aussi dire Irlandaise, mais ce ne sont là que des origines éloignées. Il n'a d'insulaire que quelques touffes de barbe un peu roux qui tendent à blanchir avec l'âge.
Groupe : The Remnants, pas trop le choix étant donné qu'il a son petit bout de femme qui le dirige.
Ancien métier : Avocat Fédéral, un métier qu'il a aimé à ses débuts, mais qu'il a finit par associer à la mort de son marriage.
Célébrité : Tom Hardy
- Qualités -
Éloquent
Rationnel
Patient
Positif
Passionné
- Défauts -
Passif
Idéaliste
Académique
Triste
Contestataire

WHAT'S IN MY HEAD

- Psychologie du personnage -

Dawn était avocat fédéral. Alors une partie non négligeable de ses affectations consistaient à protéger ses clients. Il défendait ses derniers devant la cours, montait un dossier, argumentait, assiégeait son adversaire, le mettait à terre. C'était sa petite guerre à lui, son ring de boxe. Les mots sont autant de parades, de directs, d'uppercut qu'il utilise. C'était un peu le Mohamed Ali des juristes. Aujourd'hui, bien que cela semble invraisemblable, les mots ont toujours leur utilité lorsqu'il s'agit de défendre l'opprimé.
Le problème, c'est qu'il n'a jamais su anticipé les problèmes. Oh, il les voit bien venir, mais Dieu seul sait pourquoi, il attend que ces derniers se trouvent à quelques centimètres de son visage pour réagir. Il n'aime pas trop être à l'initiative, ce n'est pas vraiment un décisionnaire à moins que la situation devienne critique.
C'est peut-être aussi parce qu'il fait preuve d'un positivisme à toutes épreuves. La situation merdique qui lui arrive droit dans la gueule, s'il y a 1% de chance qu'elle se transforme en quelque chose de mieux. Est-ce que ça ne vaut pas le coup de croire que ça peut arriver. 1% c'est mieux que rien après tout non ?
A force de penser que le meilleur est toujours possible, envisageable, il en devient idéaliste, utopiste.Pour quelqu'un qui prend facilement du recul sur tout c'est assez ironique non ? D'autant plus que ça a tendance à le mettre dos au mur assez facilement.
Dawn s'appuie sur les faits. Ce n'est pas un très grand fan des théories du complot, de quelques armes bactériologiques dont on aurait perdu le contrôle. Il constate les faits avec une simplicité déconcertante et établis un diagnostic quasi-médicale. A partir de là il est en mesure d'agir au mieux. On pourrait presque croire que son esprit en est très simple tant il s'applique à suivre des procédures de façon millimétrées. S'il est particulièrement efficace dans ce qu'il fait grâce à ça, il en devient parfois prévisible à  force de suivre toujours le même schéma tactique. Parfois il s'en rend compte,  et dès lors il devient difficile de savoir qui tombe dans le piège de qui. Surtout quand on sait à quel point il peut être patient. S'il tend un piège et ce même en face de sa cible, il ne cessera d'attendre que cette dernière l'oubli pour tomber dedans.
Parce que Dawn va au bout des choses, il ne s'attaque à rien à moitié. C'est une personne entière avec des principes établis, logiques qui va jusqu'au bout des choses quel qu'en soit le prix. Sa conscience dicte sa conduite et il serait bien incapable d'aller à l'encontre de sa morale, de ses valeurs personnelles.
Quel paradoxe que celui du positif triste. S'il voit le bon chez chacun, il a du mal à le voir en lui. Le déroulement de sa vie personnelle le déçoit, il aurait voulu faire mieux, être autre chose. Alors il est certain que l'apocalypse n'arrange rien. Mais c'était déjà un sentiment qu'il avait développé. Le fait de n'avoir rien achevé, que rien n'était abouti.
Finalement, l'avocat est quelqu'un qui a beaucoup de mal avec l'injustice, l'autorité non justifiée. Il apprécie pouvoir faire preuve de respect et d'obéissance lorsque la personne à laquelle il le témoigne l'a mérité. Mais lorsqu'il s'agit d'abus de pouvoir pur et simple, il monte au créneau. C'est un défenseur du droit, un chevalier de la loi, du moins c'est ce qu'il aime penser.

Dawn est quelqu'un de sincèrement bon qui n'aspire qu'au bonheur et à l'épanouissement de ses pairs. Il considère chacun comme son égal, n'associant pas le fait qu'il ai été l'un des premiers admis sur l'île avec une appartenance à une quelconque ancienne élite. Même en ces temps sombre il continue de penser que le droit et la justice règnent toujours en maître absolu. Que nul ne peut s'y soustraire et que quiconque le mettrait en doute paierait le prix fort.  


WHAT AM I MADE OF

- Physique / équipement -
Allons-y allonzo,
Dawn fait une taille normale, le mètre soixante quinze même s'il aimerait bien grappiller quelques centimètres supplémentaires pour atteindre le parfait mètre quatre-vingt. Par contre, il est presque aussi large que haut. Et c'est sans doute ce qui marque en premier chez lui, cette carrure imposante, massive, le fait qu'il dégage une vraie force physique naturelle. Véritable paradoxe avec sa personnalité donc, mais il faut bien avouer que le bonhomme s'entretient. Il fut un temps où il portait une attention particulière à sa capillarité. Sa barbe était taillée, ses cheveux rasés de près ou au moins coiffés. Après tout il avait un rang à tenir au vu de sa fonction. Aujourd'hui c'est beaucoup moins vrai pour sa barbe, la mousse à raser n'étant pas facile à trouver. Ses cheveux sont moins laissé à l'abandon mais profite moins de soins qu'autre fois tout de même. Vous l'aurez sans doute remarqué, Dawn est brun. Là où cette information peu sembler totalement inutile (parce qu'elle l'est) c'est qu'il a les yeux bleu. Et oui, c'est la classe. Si on s'attarde un peu sur les miroirs de l'âme de l'avocat. Ces derniers choquent par leurs nuances. Suivant l'éclairage, on y voit des teintes ambrées, vertes. Toute une palette qu'un peintre se ferait plaisir de retranscrire. Ses yeux lui suffisent à partager la moindre émotion, le moindre sentiment.

L'avocat a de nombreux tatouages sur le torse, ainsi que les épaules. Ca peut paraître assez impressionnant et surtout contraster avec son travail. Mais on peu cacher beaucoup de choses avec une chemise vous savez. Il y a donc relativement peu de personnes qui sont au courant de leur présence. D'autant plus que dans le Nord des Etats-Unis il est assez rare qu'on se mette à poil pour faire un petit bain de minuit. Il a une petite cicatrice au niveau du sourcil droit, ce qui fait qu'en tout il en a trois. C'est l'un des seuls souvenir qu'il a gardé de son enfance à Boston. Ah, et il lui manque un petit doigt de pied.

Dawn prête plus d'intérêt au côté utilitaire d'un habit qu'à son style. Pendant longtemps l'une de ses techniques favorites a été de regarder sur internet comment les gens s'habillaient pour reproduire les mêmes choix de couleurs afin de ne pas trop paraître ridicule en société. Le problème c'est qu'aujourd'hui il n'en a plus trop l'occasion. La plupart du temps un gros menton de cuir noir doublé en mouton, un jean et des grosses chaussures font l'affaire. Il lui reste également des gants en cuir et un bonnet de son ancienne vie. Il n'aime pas trop porter les affaires qui ont été ramenées d'expéditions. Il les acceptera docilement mais ne les portera jamais vraiment.

Concernant son armement, il n'a à sa disposition qu'un P226 et un couteau de chasse. Comment a-t-il fait pour se procurer une arme à feu ? On est aux Etats-Unis nom de Dieu ! Un simple pistolet comme ça devrait même pas nécessiter un permis. Dawn le gardait toujours dans la boîte à gant de sa voiture alors il l'a emmené au camp lorsque l'équipe est venue le chercher. Le couteau ? Il l'a troqué, c'est toujours utile.


HEAR MY STORY



1974 - 1985

Dawn est l'aîné de sa famille. Quatre ans après sa naissance, il fut suivis d'un petite frère. Ils ont toujours eu une relation assez étrange. Ils n'ont jamais vraiment su être proche l'un de l'autre. Leur personnalité respective semblait parfaitement incompatible. Comme deux aimants, tellement proche l'un de l'autre mais se repoussant en même temps. Tous deux ont passés leur enfance, leur adolescence à Boston, entouré d'une famille minuscule mais aimante. A sa connaissance, Dawn n'a ni cousins, ni oncles et tantes, ni grands-parents. Comme si ses géniteurs étaient Adam et Eve. Il les a bien questionné quelque peu à ce sujet, mais il a rapidement compris qu'il n'obtiendrait rien. Tout ce qu'il sait sur le passé de ses parents c'est que ces derniers sont anglais. Chose suffisante pour lui. Il avait l'âge où on souhaite s'inventer une vie, s'imaginer différent du reste des autres enfants. Alors il annonçait à qui voulait l'entendre qu'il était anglais, parfois même il se disait originaire de Birmingham, Liverpool, Leeds, Londres, des noms de villes qu'il avait entendu, dont il ne connaissait rien, mais qu'il répétait, comme un enfant. Cette passion pour le royaume insulaire fut la base de deux choses. Parmi ses quelques tatouages, l'un d'entre eux se trouve sur son coeur, le drapeau du Royaume-Uni. Résultat d'une soirée rudement alcoolisée alors qu'il était en études supérieurs. L'autre fut sa passion pour les sports de combat. Le premier fut la boxe anglaise mais on l'incita à se diriger vers la lutte pour commencer.

Et Dieu seul savait à quel point il en avait besoin dans cette ville. Ils ne roulaient pas sur l'or sans pour autant être pauvre, vivant donc dans un quartier populaire. Vingt pour-cent de la population de Boston était originaire d'Irlande, et il fallait bien avouer qu'ils en étaient plutôt fier. Y lâcher un petit américain qui aimait crier sur tous les toits qu'il était anglais c'était un peu comme donner un caniche en pâture à un Grizzli qui a pas mangé depuis trois mois. Son espérance de vie est d'environs quinze secondes, le temps que l'ours lui fiche un bon coup de patte et le dépèce gentiment. Pourtant Dawn a survécut. Il fallait avouer qu'à l'époque il avait une sacré grande gueule et le coup de poing facile. A force de faire preuve de caractère il s'est fait accepter. Il était l'Anglais et ça lui convenait parfaitement.

1985 - 1993

L'adolescence l'assagit. Peut-être était-ce la pratique très régulière d'un sport de contact qui faisait qu'il se maîtrisait plus en dehors. Il fallait dire qu'il avait un joli niveau dans le domaine. Alors forcément les enfants du quartiers rechignaient un peu plus à se bagarrer avec lui en sachant pertinemment qu'ils risquaient une dérouillée exemplaire. Plus besoin donc de faire la grande gueule, l'Anglais prenait petit à petit la forme de celui qui serait un jour avocat. D'ailleurs si on lui avait dis à l'époque qu'il s'orienterait vers cette voix et qu'il parviendrait à ce niveau d'études, il ne l'aurait sans doute pas crû. Il avait de très bonne note, ses parents mettaient un point d'honneur à ce qu'il réussissent lui et son frère. Il faisait également preuve d'une intelligence et d'une vivacité d'esprit naturelle. Mais ce n'était pas vraiment ce don un adolescent rêvait. Se faire appeler maître, porter un costume toute la journée, gratter à longueur de temps. Non. Déjà à l'époque il rêvait, voyait grand, faisait des plans sur la comète. Il se voyait déjà en train de soulever la ceinture de champion du monde poids lourds. La foule applaudissait si fort qu'il ne l'entendait plus, il ne faisait plus que ressentir les vibrations dans sa cage thoracique. La seule chose audible était son rire, un rire d'enfant qui accomplissait son rêve. Et même si ce ne fut jamais plus que cela, un rêve, il pouvait s'imaginait encore, des années plus tard, le souffle court, les bras fatigués et le sang dans la bouche entrain de savourer sa victoire.

Petit à petit, Dawn se détournait de son propre intérêt. Il s'ouvrait aux autres et à leurs problèmes. Il tentait, avec le peu de moyens qui étaient à sa disposition, de rendre les autres meilleurs. Il défendait bec et ongle ceux auquel il tenait. Il prenait conscience de la condition quasi-miséreuse de certains de ses semblables. Le point de départ de ce changement d'attitude était venu de son géniteur. Ce dernier lui avait expliqué que dans le monde il existait trois types de gens. Les moutons, les loups, et les chiens de berger. Contrairement à ce que pensaient la plupart des gens, le diable, le mal, existait. Ceux qui ne savaient pas se défendre lorsque le diable frappait à leur porte étaient les moutons. Ensuite il y avait les prédateurs, qui s'en prenaient au plus faible par la force. Ceux là, c'étaient les loups. Et enfin, il y avait ceux qui avaient été béni du pouvoir de défendre autrui, de le protéger. Ceux là étaient né pour se confronter aux loups, c'étaient les chiens de berger. Il avait finalement ajouté que cette famille n'élevait pas de moutons. Abattant sévèrement son poing fermé sur la table qui en trembla, il conclut en disant que le moindre loup dans cette famille serait durement puni. Étrangement, Dawn a toujours gardé ce souvenir dans un coin de sa tête, comme si c'était un événement marquant de sa vie, un tournant, une nouvelle page. Peut-être qu'inconsciemment il attendait de pouvoir sortir la tirade à sa descendance s'il en avait une un jour. Son père n'avait jamais été violent, il n'avait jamais levé la main sur eux et n'avait eu besoin de hausser le ton qu'à de rare occasions. Il était de ces personnes dont le regard vous transperce et qui suffit à faire dans votre pantalon.  

1993 - 2000

Cette période de sa vie fut sans doute la plus agréable. La fin du millénaire le faisait avancer à pas de géant. Aidé d'un excellent dossier et ayant obtenu des bourses intéressantes, il fut admis à l'Université de Columbia en plein cœur de New York. Le changement d'ambiance fut radicale. Il n'était plus le gamin intelligent du quartier, il passait même pour un simplet à côté de certains étudiants. L'université en elle même était une marche de géant en comparaison de ce qu'il avait vécu jusqu'alors. Mais il y avait de bon côté à cela. D'abord, les soirées. Un peu moins provocateur sur son patrimoine génétique, sa réputation avait fini par le rattraper, et avec elle tout celle de l'île. Il ne comptait plus le nombre de pintes descendues par semaines. Oh, rassurez vous, il ne s'est jamais senti obligé de les descendre. Ca lui faisait plutôt plaisir d'ailleurs.  

Il développa une seconde famille là bas. S'attachant très, trop, rapidement il mettait un point d'honneur à former une fraternité avec les siens. Oui, Tolkien l'avait quelque peu influencé avec ses écrits. En parallèle, Dawn s’épanouissait dans ce qu'il étudiait. Ces sept années à étudier le droit passèrent en un claquement de doigts. Il était dans son élément là bas. Il nageait dans un bain de bonheur, se nourrissant de jurisprudence et s'abreuvant de camaraderie. C'est pendant cette période se fit faire ses premiers tatouages. Des trucs ignobles, stupides pour la plupart. Mais au milieu de ce capharnaüm de peinture, certains d'entre eux avaient un sens. Mais quand on le lui demandait il préférait détourner l'attention en disant qu'il les avait fait faire tout en étant totalement saoul.

2000- 2007

Son métier le passionne. Il est d'ailleurs sa principale raison de vivre. Il a profité d'avoir obtenu son diplôme d'avocat fédéral pour retourner à Boston afin d'y exercer. C'est deux ans après son retour qu'il rencontra la jolie rousse. Assistante juridique, il ne cessait de la croiser au tribunal de Boston. Mais comment approcher du fruit défendu sans avoir l'air trop suspicieux ? Alors oui, au début il l'a recommanda plus parce qu'elle l'intéressait que parce qu'il avait épluché son pedigree. Cependant, loin de lui l'idée de monnayer ses services de quelque façon que ce soit, il ne s'agissait que d'une manière de se faire remarquer. Il désirait simplement attirer son attention, susciter son intérêt.

Force est de remarquer que cela fonctionna. Non pas qu'il recommande à qui que ce soit de faire la même chose, mais dans son cas... Après un an de travail acharné pour arriver à ses fins, Dawn obtenu enfin le Saint-Graal de la validation. June acceptait officiellement de sortir avec lui. L'Anglais n'était pas spécialement un crétin en matière de femme, et il était loin d'être un coureur de jupons. Mais il fallait bien avouer qu'avoir une petite amie et un vrai boulot en même temps cela sentait le début d'une petit famille avec une vie heureuse à plein nez ! Du moins c'était le parfum du couple pendant une année entière. Jusqu'à ce que la jeune femme parte à Chicago pour un poste d'avocat. Jamais il ne regretta autant une décision. Celle de laisser partir celle pour laquelle il tombait amoureux. Oh, ils entretenaient toujours une relation. Mais à quinze de route de différence ce n'était plus exactement la même chose. Le supplice dura deux ans supplémentaires. Arrivant en fin de contrat, Dawn eut l'opportunité d'un poste en Californie, tout comme June. Douze heures de trajet les séparaient encore. Continuant de prendre sur lui, il fit de mauvaise fortune bon cœur.

2007-2014
   

Dawn déployait tout les efforts du monde pour que son couple prenne finalement l'envol qu'il espérait tant. Ils se marient, il décida de se rapprocher de son lieu de travail, quitte à obtenir une situation moins avantageuse. Mais rien n'y fit. La femme qu'il aimait et qu'il a suivit à travers tout le pays n'était plus qu'un bourreau de travail. Une machine à affaires. Son ambition était démesurée, on aurait dit qu'elle voulait dévorer le monde. Petit à petit, l'avocat avait l'impression de ne plus être qu'un de ses conseillers, un élément de la carrière de la rousse. L'avait-elle jamais aimé ? Son refus total de fonder une famille parce qu'il s'agirait d'un frein pour sa carrière fut un véritable coup de massue pour lui. Pourtant il lui avait proposé d'être père au foyer, d'arrêter son activité pour qu'elle puisse continuer à être active. Rien n'y faisait.

Plus le temps passait plus Dawn avait l'impression qu'elle lui volait sa vie. S'il s'était arrêté à une autre fille peut-être qu'à ce jour il serait père ? Si elle avait refusé sa demande ne mariage peut-être qu'il aurait eu le temps de se reconstruire ? Le temps passe et ses sentiments s'estompent. Seattle est la dernière chance pour le couple marié depuis déjà cinq ans. Mais en l'espace de deux ans rien ne change. Il ne cesse de lui laisser une dernière chance, bien qu'il ai l'impression qu'elle n'attende plus qu'une chose, qu'il demande le divorce.


10/24/2015

Depuis sa petite terrasse, Dawn observait les grandes rues vides de population. Devant les portes les déchets se sont amassés. Au loin on entendait un certain brouhaha. Accoudé sur la rambarde, il grattait l’intérieur de la peau de ses pouces avec ses index. Il faisait ça lorsqu’il stressait, mais rarement à ce point, jusqu’au sang. Comment son monde, le monde avait-il pu basculer ainsi dans la folie, dans le chaos, en un laps de temps aussi court. Il avait failli boucher son évier en regardant une vidéo d’une jeune femme la tête plongée dans les entrailles d’un enfant en bas âge. Quelle était cette folie ?

Il était seul, isolé. June était partie quelques jours auparavant, lorsqu’ils pensaient encore que ce n’était là qu’un nouveau SRAS. Elle avait choisi de se confiner à Fort Ward avec son nouvel grand ami le sénateur machintruc. Lui s’était dis qu’il pouvait bien terminer son travail ici, là où il était certain d’avoir une connexion internet stable. A ce moment, il devait la rejoindre sept jours plus tard pour son anniversaire. Mais cela faisait quatre jours supplémentaires sur le rendez-vous de départ. Le réseau saturait, il lui était impossible de contacter qui que ce soit. La loi martiale était en place, impossible de sortir de chez sois sans une bonne raison. Les pillages en tout genre se multipliait, plus le temps passait, plus rester en ville semblait être une mauvaise solution. Combien de temps avant que son immeuble soit pris d’assaut par une bande de pilleurs ?

Sa décision était prise, elle l’était déjà depuis quelques jours il n’avait fait que ressasser. Il avait accordé quatre jours supplémentaires à son épouse, avec un peu de chances elle aurait envoyé des soldats venir le chercher. Sans doute le pensait-elle mort, peut-être qu’elle l’était. Il avait pris contact avec des voisins de son étage. Un couple qu’il connaissait un peu, il avait déjà fait quelques randonnés avec eux, s’étaient invité à dîner. Ce n’était sans doute pas les meilleurs experts en survie, mais à eux trois ils réunissaient déjà pas mal de connaissances. Et Dawn le savait, la connaissance était la clef. Mais la connaissance ne faisait malheureusement pas tout. Sur le sol de son grand salon, il avait trié ses dernières denrées qui pouvaient-être consommées sans avoir besoin d’être préparées, des habits chauds, résistants, un gros sac de randonnée, et quelques livres sur la faune et la flore locale. En dernier il rangea dans son pantalon -il avait vu ça dans des films- un P250. June comme lui étaient Avocats Fédéraux, des menaces de mort, de viol, d’enlèvement, ils en avaient reçu un paquet. Jamais cela ne s’était concrétisé, et il n’aurait jamais pensé avoir à sortir l’arme à feu de son tiroir. Elle avait toujours été là comme une assurance, une présence rassurante quand un nouveau papier rempli de fautes d’orthographe arrivait et on l’oubliait quelques jours plus tard jusqu’à retomber dessus.

01/24/2016

L’hiver était bien là, plus rude qu’il ne l’avait jamais semblé être. Sans doute que ce ressentit était en parti lié au fait que la cabane de chasseur dans laquelle le trio avait échoué était presque aussi bien isolé qu’un sac plastique troué. Certes ils s’étaient tous équipé chaudement. Mais aucun d’entre eux n’auraient pu soupçonner de telles températures et surtout sur une durée aussi longue. Ils s’étaient réfugiés dans la montagne à l’Est de Seattle. S’ils avaient dû ainsi rallonger le chemin, c’était avant tout parce la ville grouillait de marcheurs, comme ils les appelaient. Sans doute que l’important population de base les avait fait grandir ici et qu’ils n’étaient plus assez développé pour raisonner. Difficile à dire, Dawn n’avait pas vraiment pris le temps d’entretenir la conversation avec eux les quelques fois où il les avait rencontrés. Dans la forêt, dans la neige, ils ne représentaient pas un réel danger et surtout ils n’en avaient vu que très peu s’y aventurer. La chaleur plus importante au sein de la ville devait sans doute les attirer.

Mais les marcheurs n’étaient pas la principale source de préoccupation pour lui et ses compagnons d’infortunes. Le froid, le manque de nourriture, étaient pour l’instant bien plus mortels. Le pied gauche de Dawn avait commencé à s’insensibiliser de plus en plus vite. Surtout à son extrémité la plus petite. Le deuxième homme du trio quant à lui avait attrapé une vilaine, très vilaine pneumonie. Aucun d’entre eux n’étaient médecin, où n’avaient suivis de formation médicale. Mais ils étaient tous des têtes dans leur domaine. La première chose qui leur vint à l’esprit ne fut donc pas de piller des pharmacies au hasard, d’autant plus que seule, la jeune femme était en danger face à des pilleurs sans doute plus nombreux, étant donné qu’elle était à présent la seule à pouvoir se déplacer. Heureusement il y avait un lieu qui n’était pas vraiment la priorité des voleurs et bandits de grand chemin en tout genre. Il renfermait une quantité importante de combustible en plus de permettre à chacun d’acquérir un minimum de connaissance en un minimum de temps en sachant qu’internet n’était plus de ce monde. La bibliothèque fut donc la cible de raids de la part de la troisième comparse. Médecine et techniques de chasses étaient au menu. Avec les moyens du bord, ils tentèrent tant bien que mal de sauver les meubles, mais plus le temps passait, plus son pied mourrait.

05/24/2017

La situation avait bien changé en un an. Pas forcément en bien. Dawn y avait perdu un petit doigt de pied. Si l’amputation n’avait pas été douloureuse et s’était même montrée simple étant donné que le doigt était totalement gelé, la guérison n’avait pas été une partie de repos. La chaire qui se soignait et la plaie qu’il fallait régulièrement désinfecter l’avait plongé plus d’une fois dans les pommes. Petit à petit il avait guéri. Après quoi il avait dû réapprendre à se déplacer, bien que petite l’amputation eût modifié sa perception de l’équilibre et s’il voulait pouvoir s’enfuir face à une horde de rodeurs, il avait plutôt intérêt à être entraîné. L’autre malade n’avait pas eu autant de chance. Ses poumons l’avaient lâché avant le retour des beaux jours. L’avocat a longtemps culpabilisé de penser que si son homologue n’avait pas été malade, il aurait certainement mis à la porte du chalet, une bouche malade à nourrir qui n’appartenait pas à leur couple n’était pas nécessaire. Il avait su rester assez en forme malgré la fièvre pour ne jamais trop éveiller cette idée. Leurs réserves épuisées les deux se mirent donc en route. Tous deux n’étaient plus que l’ombre d’eux même, de loin on pouvait facilement les prendre pour des marcheurs avec leur allure rachitique et leur pas mal assuré. Mais ils réussirent tant bien que mal.

Tout l’été durant ils ont marché vers le Sud avec toujours la ferme intention de rejoindre Fort Ward. C’était leur seul réel but de survie. L’objectif qu’ils s’étaient fixé pour continuer d’avancer, de survivre. Cette période fut beaucoup plus facile que la précédente. Le temps plus agréable, la faune plus abondante, il était bien plus aisé de se nourrir. Le seul problème était que les marcheurs n’étaient plus du tout gênés par les conditions météorologiques et commençaient doucement à s’aventurer en dehors des villes. Le duo continuait donc de rester particulièrement éloigné des grands axes et autres villes. Le réapprovisionnement qu’ils effectuaient se faisait la plupart du temps dans des lieux un peu plus insolites. Fast-foods, pharmacies de lycées, tout ce qui avait été un minimum préservé du reste de la population. Vous saviez un steak-haché de chez McDo’ ça pourrit même pas en deux ans ? Ils progressèrent donc lentement mais surement, jusqu’à s’arrêter dans la forêt à l’Est d’Olympia pour passer l’hiver.

Rodés, ils se préparèrent bien à l’avance pour ne pas être pris au dépourvu par les grands froids. Mieux équipés, mieux coordonnés, ils étaient plus efficaces. Ils colonisèrent une cabane de rangers, établissant un périmètre de sécurité pour être alerté de la présence de rôdeurs ou d’autres êtres humains. Sur les lieux de passage des animaux, ils installèrent collets, fossés, et pieux afin de capturer un maximum de proies pour ensuite fumer la viande. Dieu bénisse le réalisateur de Into the Wild pour ce précieux conseil. Inéluctablement, tous deux se rapprochèrent, la perte supposée de toute famille existante, la présence constante de l’autre et le fait qu’ils se connaissaient depuis un certain temps aida. Aussi le fait qu’ils aient été de dormir l’un contre l’autre tout l’hiver pour rester au chaud sans avoir à faire de feux aida grandement.

A l’aube de Mai 2017, Dawn se résigna à l’idée qu’il avait définitivement perdu sa femme. Il n’en fut pas particulièrement triste, cela faisait déjà quelques temps qu’il avait abandonné l’idée de la revoir. Qu’elles étaient les chances pour qu’il retombe sur elle dans ce vaste monde ? Pour qu’elle ne soit pas morte ou revenue à la vie ? Très proche de zéro selon ses estimations. Plutôt bien installé au beau milieu de nulle part. Le couple pris la décision de rester ici, plus rien ne les obligeait à embrasser un mode de vie nomade après tout. D’autant plus que lorsqu’ils sortaient de la forêt, ils tombaient régulièrement sur des marcheurs ou entendaient au loin des coups de feu. Rien de particulièrement rassurant.

10/20/2017
 

Tout se passait beaucoup trop bien. Beaucoup trop bien. Evidemment qu’il fallait un élément perturbateur. Comme si leur vie n’avait pas connu assez de rebondissement. La fin de l’histoire ne pouvait-elle pas simplement être « et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » ? Non ? Il faut forcément que quelque chose leur tombe sur la tête ? Et par quelque chose on parlait tout de même d’un sapin de vingt mètres de haut. Difficile de dire si c’était le tremblement de terre qui l’avait causé. Mais sans avertissement, ce dernier était tombé sur leur habitation. Les voilà repartis sur la route. Mais il était déjà tard dans l’année, l’hiver venait à grand pas. Déjà les souvenirs douloureux de leur première saison froide en période de survie refaisaient surface. Eux qui pensaient avoir mis ce cauchemar derrière eux, voilà que ce dernier revenait à grand pas.

A deux, ils étaient trop faibles. Il fallait tenter le tout pour le coup, donner une dernière chance à l’humanité. Trouver un groupe, une communauté et essayer de l’intégrer le plus rapidement possible était leur objectif. Ils n’avaient pas grand-chose avec eux, les seules armes qu’ils possédaient était le P250 de Dawn et un vieux fusil de chasse mal entretenu. Ils n’avaient tous deux tirés que très peu de coups de feu, mais leur réserve de munitions étaient plus que limitées. Ils ne représentaient pas un grand danger, d’autant plus qu’ils étaient bien peu nombreux. Ils étaient en bonne forme et ça c’était un plus, cela signifiait qu’ils ne venaient pas quémander mais bien apporter du sang neuf.

03/04/2020

Aussi fou que cela puisse paraître. Ils étaient parvenus à trouver un groupe avec une certaine facilité, en quelques semaines à peine. Peut-être que la chance avait fini par tourner après tout ? Ironie du sort, ils étaient installés non loin de leur objectif de départ, trois ans auparavant, sur la côte du « Stavis Creek Natural Resources Conservation Area ». Le campement était assez standard étant donné que toutes les habitations étaient construites par la volonté de ses habitants. Des grandes huttes étaient donc formées, cela évitait de devoir construire à chaque fois qu’un nouveau groupe se joignait à eux. Il existait un véritable élan de solidarité et de bienveillance au sein de la communauté. Redonnant espoir à Dawn en une civilisation écroulé. Au plus profond des enfers, il existait toujours cette petite flamme d’espoir, intrépide et vivace, elle pliait comme un roseau jusqu’à être grande de nouveau. Au fond elle ne faisait que suivre un cycle, grande puis petite, petite puis grande.

Tout se passait pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu’à un nouvel hiver. Poussé à la porte par les pluies diluviennes sans doute, ils attaquèrent. Ils attaquèrent comme des bêtes sauvages, on aurait presque vu la mousse sortir entre leurs dents serrées et cariées. Alors que les marcheurs étaient de moins en moins un problème pour des survivants qui s’étaient adapté à leur présence. Une nouvelle folie prenait l’humanité. L’instinct de survie dépassait tout entendement. Rapidement débordé, Dawn se fit assommer. Le réveil ? Confus. Il était dans un vrai lit, il était propre, et portait des sous-vêtements propres eux aussi. Où était-il ? Où étaient ses affaires ? Et surtout, où était-elle ?
  



Pour l'heure Dawn attend qu'on lui affecte une véritable tâche. Il se verrait bien enseigner auprès des enfants, transmettre du savoir. D'autant plus qu'il a toujours adoré les gosses. En tant qu'homme de droit il se verrait bien médiateur au sein de la nouvelle communauté. D'ailleurs il voudrait que cette fonction s'étende au delà de cette simple affectation afin que le pouvoir central ne soit pas en plus en possession du pouvoir judiciaire. Il n'est clairement pas à l'aise avec la façon dont est géré Fort Ward. Bien qu'il soit nouveau, il n'hésite pas à partager sa contestation. Tout l'art de son argumentation consiste à ne pas être répréhensible tout en en donnant fortement l'envie à sa femme. Il espère pouvoir rapidement gagner la confiance d'autrui, il a besoin de rendre les autres meilleurs s'il ne veut pas se concentrer sur sa condition misérable. Son cerveau doit rester actif, le contact des plus jeunes comme de ses semblables lui est donc indispensable. Il ne rechigne absolument pas à donner un coup de main quelque soit la tâche. Vivre seul lui a permis de développer certaines compétences. Il touche un peu à tout sans vraiment savoir s'il fait des conneries ou non. La chasse tient plus de la chance qu'autre chose, la pêche de patience, et l'agriculture de connaissance, du moins selon lui. C'est un tireur correct, un chasseur banal et un pêcheur du dimanche, mais au moins il se rend disponible.


Time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Top Gun
• Âge irl : 23 ans les d'jeun's
• Présence : Plutôt élevée habituellement, presque 24h/24 avec le confinement.
• Personnage : Inventé [o] / scénario/prédef [x]
• Code du règlement : code validé par June

• Comment avez-vous découvert le forum ? :
Bazzart ou PRD je crois
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? :
J'aime bien quand c'est assez complet, pointu. Et là bas c'est complet et pointu. En plus le design est franchement sympa (chapeau bas). Vous avez une activité soutenue du coup j'ai pas peur que le forum s'effondre dans deux mois (rip les forums marvels). Et enfin j'ai trouvé un scénar qui me botte bien avec Tom Hardy comme "ex"-marie de Jessica Chastain, y'a pire non ?
• Crédits (avatar et gifs) :
tumblr/giphy



passeport :
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Re: Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 7:33

Bienvenue chez nous !

Tu vas faire des très très heureuses qui attendent l'arrivée de Dawn depuis un moment !

Au plaisir de te voir en RP ! Razz
Invité
Anonymous
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Re: Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 8:52

Dawn !!! :smile34: :smile34: :smile34:

Trop contente de voir ce scénario tenté !! Bon courage pour ta fiche !!! =D
Invité
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Re: Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 9:26

Bienvenue Dawn!
Bon courage pour ta fiche et à très vite en RP!


Inachevés
La médiocrité commence là où les passions meurent. C'est bête mais j'ai besoin de cette merde pour sentir battre mon cœur. J'ai tellement misé sur mes faiblesses et mes failles, j'mérite une médaille au final j'ai fait qu'briller par mes absences.
Levi M. Amsalem
Levi M. Amsalem
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Re: Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 10:05

Bienvenue ici et bon courage pour ta fichette
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Re: Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 10:21

Bienvenue Dawn !! C'est un bon choix de scenar en effet **
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Re: Justice for all | Dawn | Over

Lun 30 Mar 2020 - 10:21

:Jaden: :Jaden: :Jaden:

Coucou à toi et bienvenue !



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !


On est déjà en contact par MP mais je le redis : si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas Wink
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Re: Justice for all | Dawn | Over

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