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ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 20:07


NORAH JIN
32 ANS AMERICAINE INTERIMAIRE ISSAQUAH RANCH

i've got a war in my mind


Explique ici le caractère actuel de ton personnage.

Norah a toujours été un rayon de soleil ambulant: elle sait mettre de la bonne humeur partout où elle passe, elle est de ceux qui mettent de l'ambiance et qui soudent un groupe. Son énergie est communicatrice et sans limite, bien qu'elle ai appris depuis l'apocalypse à l'utiliser à bon escient plutôt qu'à la distiller sans réserve. Son énergie, en plus de radier autour d'elle et d'être quasiment sans limite, est la plupart du temps positive: elle préfère voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide, et ce, d'autant plus depuis que le monde part en sucette: elle refuse à l'adversité le pouvoir de l'atteindre, ce qui peut la faire paraître parfois insensible et peu empathique, car elle cherchera toujours à offrir des solutions plutôt qu'à aller dans le sens de ceux qui l'écoutent. Elle est de fait de nature assez dispersée, désorganisée, car elle a du mal à canaliser cette énergie qui l'habite, même si la survie et la vie post-apocalypse l'ont souvent obligée à combattre sa capacité innée à atomiser sa concentration sur une multitude de sujets. Son esprit est toujours à dix endroits à la fois, en train de prévoir le futur proche, le futur lointain, et une foule de possibilités et d'idées, réalistes ou non. Le flot des idées qui l'habitent en permanence peut devenir parfois trop lourd à porter, et au fond d'elle même, elle souhaiterait pouvoir se taire et faire ce qu'elle à a faire sans s'occuper des attentes des autres: mais son côté maternel, sa volonté sans faille et sa propension à trop s'occuper de ce que les gens pensent l'amènent à toujours être égale à elle même, et à rester, encore et toujours, celle qui motive les autres et les aide à être la meilleure version d'eux même. Car elle est exigeante, envers les autres, et envers elle même: si elle n'est plus capable de soulever les foules et d'aider autrui, alors elle se considère comme bonne à la casse. Car elle connaît ses défauts: arrogante par moment, superficielle sur les bords, elle a gardé les traits d'une élève en vogue de lycée qui avait le monde à ses pieds. Mais sa première qualité, elle ne l'abandonnera jamais. Elle n'abandonne jamais.

Mais lorsqu'elle est seule, elle se laisse aller aux larmes ou aux pensées qui l'occupent en permanence: sa sensibilité la rend susceptible aux humeurs de chacun, car malgré son apparence parfois détachée des émotions d'autrui, elle reste une éponge, et ce qu'elle enregistre chaque jour peut parfois lui peser. C'est aussi pour cela qu'elle reste indépendante, car quitte à écouter et à satisfaire les attentes des gens, elle préfère réduire le champ d'influence, car elle est désireuse, au final, de faire ce qu'il lui plaît. Elle a gardé ce côté immature, ce désir de faire ce qu'elle veut, quand elle veut, avec qui elle veut. Cette puérilité participe aussi à son charme, lui donnant ce côté femme-enfant qu'elle entretient malgré elle.


and blood on my hands


Explique ici les caractéristiques physiques de ton personnage..

Norah fait un mètre soixante douze, une taille qui l'a souvent distinguée au sein de ses camarades coréennes, mais que très peu au sein de l'ensemble de ses compagnes de classe. Elle fait un petit cinquante kilos, de quoi avoir une allure de mannequin, mais peu de force physique. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle ne s'est que très peu battue lors de sa vie, préférant la majeure partie du temps la fuite à la défense ou l'attaque, ses longues jambes lui permettant d'avoir une foulée longue et légère.

Loin de la vie privilégiée qu'elle avait l'habitude de mener autrefois, Norah porte le plus souvent des habits rapiécés maintes et maintes fois, aux coutures usées et déchirées, tombant de manière informe sur son corps longiligne, lui évitant les regards lourds ou appuyés des hommes ou des femmes qui pourraient désirer plus qu'une simple compagnie. Plus de maquillage, plus d'atour: le seul luxe qu'elle se permet, c'est l'entretien de sa chevelure sombre et lisse, dernier symbole de l'extrême féminité qui était autrefois la sienne, le souvenir d'une existence qui n'est désormais plus. Elle ne prends plus de plaisir à prendre soin d'elle, car à quoi bon ? Il n'y a plus personne pour la regarder de cette manière. Lorsque le temps se refroidi, elle enfile une lourde parka à la capuche cernée de fausse fourrure, son seul véritable luxe vestimentaire.

Elle porte la majeure partie du temps un couteau de chasse, accroché à sa ceinture, bien qu'elle rechigne toujours à s'en servir: elle préfère les armes à feu, qu'elle peut utiliser à distance. Mais le règlement du ranch est strict: pas d'arme à feu au sein du camp. Dans sa poche, un couteau suisse, dont elle se sert dès que l'occasion l'exige, et souvent des restes de sa journée: clous, morceaux de papiers en tout genre. Autant d'ustensiles que d'activités quotidiennes. Elle ne possède que peu de choses de valeur: une photographie, d'elle et de son premier amour, dans un parc d'attraction, cornée et usée plus que de volonté. Une chaîne en or, portant un pendentif et une bague, qu'elle porte toujours contre sa poitrine en permanence. Voilà ce à quoi sa collection personnelle se résume: sa vie d'antan, résumée en deux objets, périssables et abîmés par les marches et les larmes.


a storm is coming


Explique ici l'histoire de ton personnage avant l'épidémie.

Norah est la fille unique d'un couple de sud coréens, exilés aux Etats-Unis, désireux d'avoir leur part de l'american dream. Elle a toujours été une enfant choyée: les fonctions de ses parents, entrepreneurs, lui ont permis d'avoir à peu près tout ce qu'elle voulait ... Sauf la liberté de vivre sa vie comme elle l'entendait.

Être fille unique avait ses avantages en matière de cadeaux et de traitement, mais cela faisait aussi d'elle l'unique objet des ambitions de parents originaires d'un pays conservateur, avec des notions de travail et d'acharnement éloignées de ce qu'elle pouvait observer à l'école. Elle développa très tôt un fort sens de l'indépendance, rejetant l'autorité de ses géniteurs et vivant sa vie comme elle l'entendait, quitte à désobéir et à en subir ensuite les conséquences: soirées avec ses amies jusqu'à tard le soir - bien au delà du couvre feu imposé par ses parents, notes bonnes mais pas exceptionnelles, flirts avec de nombreux garçons - en particulier les caucasiens, éloignés de l'idéal asiatique familial. Les réprimandes lui passaient au dessus du crâne: tout ce qu'elle désirait, c'était assouvir son besoin d'adrénaline, faire ses propres erreurs, apprendre la vie à son rythme et comme elle l'entendait.

Le bal de promo de sa dernière année de lycée lui permit de rencontrer son premier - et probablement dernier - amour: un jeune asiatique, excellant à l'école, avec tous les traits de l'enfant impeccable en tous point. Il était l'exemple parfait de ce qu'elle aurait dû être, et de ce qu'elle exécrait par dessus tout, et pourtant, l'alchimie eut lieu quasiment instantanément. C'était le grand amour, l'amour de l'été, les premiers véritables émois, l'ivresse. Ils s'étaient promis l'un à l'autre, étaient prêts à s'enfuir pour abandonner le joug de familles tyranniques. Mais elle avait une mauvaise influence sur lui, lui qui était promis à une brillante carrière, à grimper les échelons, à suivre les traces de son père; et elle était trop investie dans cette relation, devenait encore plus imprudente qu'elle ne l'était déjà, perdant tout intérêt dans les études. Alors la famille de Norah déménagea, loin de l'été et loin de l'ivresse, à Seattle.

A partir de cet instant, tout s'enchaîna très vite: Norah, dévastée, entra en faculté de médecine, comme ses parents le souhaitaient, et se fiança avec un homme qu'elle n'aimait pas: un homme parfait, sans défauts, sans intérêt, sans saveur. Elle tenta de s'enfuir, en vain. Ils se marièrent, ils tentèrent d'avoir un enfant: car c'était ce qu'il désirait par dessus tout, aveugle au fait que sa femme prenait de quoi empêcher une possible grossesse. Entre temps, Norah quitta la faculté, et se mit à enchaîner les petits boulots: babysitter, serveuse, hôtesse d'accueil. Si ses parents voyaient d'un très mauvais œil ce "travail de pacotille", elle se plaisait à changer de casquette constamment, à ne jamais savoir de quoi le mois suivant serait fait. Elle vivait ainsi sa vie, pendant que son mari devenait chirurgien et s'illustrait comme un brillant médecin dans son service. Ils ne parlaient que très peu, échangeant quelques mots au dîner. Elle tenta plusieurs fois de contacter son premier amour, mais sous la tutelle d'un mari et de parents bien décidés à ne pas la laisser repartir dans des vices qui appartenaient au passé, elle n'en eut jamais la chance. Elle exécutait ce que sa mère appelait le "devoir conjugal", prenant toujours soin de prendre la pilule qui lui empêchait de porter un enfant.

Sa vie prit le tournant de la routine: métro, boulot, dodo. Elle vivait une vie sans excitation, sans joie, sans surprise. Jusqu'à l'épidémie.

on the highway to hell


Explique ici l'histoire de ton personnage depuis l'épidémie.

L'épidémie débuta en septembre 2015, et c'est ainsi que la nouvelle vie de Norah débuta également.

En octobre 2015, les agressions à Seattle débutent, et même si le mari de Norah garde le secret médical, elle comprends à son attitude et à son stress général qu'il sait des choses qu'elle ignore à propos de ceux qu'elle appelle avec un rire jaune les "hannibal lecter". Il refuse d'en parler à table, et les discussions se font encore plus moroses que d'ordinaire, mais Norah reste aveugle à la catastrophe qui se prépare. Sa vie se déroule comme elle s'est toujours déroulée: elle jongle entre chiens, bébés, plateaux, assiettes et clavier, pendant que son mari vit à quelques mètres de ceux qui se relèvent. Le phénomène est totalement inconnu, et il se retrouve malgré lui au contact de fluides: erreur professionnelle ou simple négligence, il n'est pas hospitalisé à son tour et il rentre au foyer sans s'alarmer. Norah ne rentre que très tard ce soir là, et retrouve son époux au lit, en prise avec une fièvre violente qui durera toute la nuit. Au petit matin, elle annonce l'absence de son mari au travail pour cause de maladie, et on lui annonce qu'une ambulance viendra le chercher, car on commence à s'inquiéter des répercussions de la présence de ces individus cannibales sur le personnel. Norah s'annonce elle même absente au cabinet médical où elle officie d'ordinaire, afin d'accueillir les urgentistes, mais lorsqu'elle se retourne, son mari est juste là, sur le seuil de la porte, et des râles s'échappent de sa bouche. Il se jette sur elle, et aux râles du revenants se mêlent les hurlements de Norah qui se saisit du couteau de cuisine le plus proche pour le planter dans le crâne de son conjoint jusqu'à ce que son corps s'étale sur le sol immaculé de la pièce, des fluides d'une couleur suspecte s'écoulant de son cadavre. Lorsque les urgentistes arrivent, ils récupèrent le corps, et conduisent Norah jusqu'à l'hôpital, où elle subira une batterie d'examens. Elle ressort un jour plus tard, et le lendemain, l'hôpital est placé sous quarantaine.

Tout s'enchaîne très vite: Norah, seule, n'ose plus sortir de chez elle, de peur de croiser ceux qui ont sûrement contaminé son défunt mari. Elle n'a même pas le temps de réaliser qu'elle est désormais veuve, sa bague toujours au doigts, lorsque son immeuble est vidé par les forces de l'ordre dans le but de les escorter jusqu'à un bâtiment étroitement surveillé. Elle ne prend qu'un sac, quelques vêtements, une photo, un médaillon et son portable, et un couteau suisse. Ses parents refusent de suivre l'armée, et décident de rester dans leur appartement: ils n'ont pas confiance en les autorités américaines, disent-ils. Mais Norah, elle, préfère s'en remettre aux mains de ceux qui ont sûrement plus d'informations que le reste de la population. Elle est d'ordinaire indépendante, mais son intuition lui souffle que sa vie en dépend. Tous les soirs, dans son coin de pièce, elle appelle ses parents. Un jour, le téléphone ne réponds plus.

La petite télé à leur disposition diffuse en boucle les informations, et elle en a le dos glacé. Elle serre la photographie usée d'une époque désormais révolue contre elle en s'endormant, luttant contre sa phobie panique de l'obscurité alors que la dernière personne éveillée éteint les lumières.

Le camp, qu'elle pensait être une des dernières niches de sécurité dans la folie qu'est devenue Seattle, commence à devenir un danger en lui même. Des civils sont réquisitionnés pour aider les militaires, et un soir, Norah décide de prendre la fuite: elle préfère survivre seule, gérer la situation comme elle l'entends, plutôt que de devoir se plier à une autorité déplacée, fidèle aux valeurs qu'elle a toujours défendu. Elle prend son sac à dos, une bouteille, des vêtements chauds, sa photo, son téléphone, son médaillon, de la nourriture, un couteau et son couteau suisse, et elle décide de tenter sa chance dans la folie de la ville. Elle évite les groupes de survivants qui ont décidé de tenter le périple en solitaire, tout comme elle: elle n'a que peu confiance en eux. Elle a vu ce que la peur peut faire chez l'Homme, et elle n'a pas quitté les zones dominées par les militaires pour se retrouver sous le joug d'un autre meneur: elle sait qu'avec sa corpulence, son poids, et sa force, elle n'a aucune chance de se faire entendre.

Très vite, elle sort de Seattle, après avoir rencontré plusieurs hordes de revenants: elle se terre où elle peu, attendant leur passage et enchaînant sur une course effrénée aussitôt le dernier passé, la peur lui enserrant la poitrine comme une chaîne. Elle ne savait pas très bien où elle allait, évitant le plus souvent les routes et leur préférant les zones boisées. Elle faisait son bout de chemin, prenant malgré elle la direction de Issaquah Ranch, réalisant de larges détours.

Aux environs de septembre 2016, Norah fait la rencontre d'un groupe de survivant: deux couples accompagnés de leurs enfants. Ils accueillent Norah dans leur groupe de manière temporaire tout d'abord, car elle est affamée et déshydratée. Mais sa fibre maternelle et sa verve naturelle lui font très vite prendre le rôle de grande sœur pour les trois jeunes enfants, dont les yeux graves d'avoir vu le monde devenir vu retrouvèrent une légère étincelle. Comme chaque fois que la jeune sud coréenne passait quelque part, l'ambiance s'en fait ressentir: les journées sont davantage rythmée, les repas, bien que frugaux et rapides, sont animés, et le soir devient le moment de récréation des jeunes membres du groupe qui se regroupent autour de Norah, la babysitter de fortune. En échange, les parents assurent leur sécurité, ayant réussi à récupérer durant leur périple une quantité conséquente d'armes et de munitions.

Mais en décembre 2016, une attaque de revenants ne se déroule pas comme les autres: les armes, loin de les neutraliser, ne font que ramener d'autres congénères, et alors qu'ils menacent de se faire encercler, Norah s'enfuit avec les trois enfants, laissant derrière eux les parents. Ils courent, la mort à leur trousse, le plus jeune enfant dans les bras de la jeune femme, le cadet lui tenant la main et l'aîné devant elle, des larmes coulant sur les joues des trois bambins, quel que soit leur âge. Ils ne s'arrêtent de courir qu'une fois la nuit tombée, et Norah se retrouve avec la responsabilité de faire tout ce que ses compagnons avaient jusque là géré. Quatre mois durant, elle se transforme en maman de substitution. Le froid est violent, pour eux qui n'ont que la parka de Norah pour s'abriter le soir: elle et les enfants s'en enveloppent avant de s'endormir, leur seule chaleur corporelle pour se réchauffer jusqu'au petit matin, lorsque le soleil se lève à nouveau. Norah dort peu: elle veille une grande partie de la nuit, trop effrayée par l'obscurité pour fermer l’œil. Elle préfère de toute façon surveiller les alentours, à la recherche de potentiels revenants qui les attaquerait de nuit. La fatigue s'accumule un peu plus chaque jour, mais elle continue à marcher inlassablement, espérant un jour trouver un refuge pour les bambins: le plus jeune reste contre elle, enlacé dans un porte bébé de fortune, et les deux autres restent dans ses jupons, trop effrayés pour oser s'éloigner. En avril 2017, à nouveau soumis à une attaque de rôdeurs, ils sont sauvés in extremis par un autre groupe de survivants, d'une vingtaine de personnes. Ils recueillent les enfants par pitié, ou charité - impossible de le savoir derrière leur faciès glacials, mais refusent de prendre Norah, une adulte, avec eux. Elle se retrouve donc à nouveau livrée à elle même, et erre, à peine nourrie et hydratée, pendant deux mois. Le départ des enfants est un coup dur, même si elle sait que c'est pour le mieux et qu'avec le groupe, ils seront bien plus en sécurité qu'ils ne l'avaient jamais été avec elle. Mais elle n'a plus cette raison impériale de se lever le matin et de chercher de quoi manger pour nourrir ses enfants d'adoption: elle avale ce qu'elle croise, croisant toujours les doigts pour que les baies ne soient pas toxiques. Tout redevient comme aux débuts de l'épidémie: elle évite les revenants, et court lorsqu'ils la remarquent malgré son habituelle discrétion. En juin 2017, elle aperçoit enfin le ranch, où elle s'échoue, épuisée et dénutrie. On la recueille, on la soigne, et lorsqu'elle est apte à se lever à nouveau, on lui apprend à se servir d'une arme blanche. On lui confisque le pistolet qu'elle avait emprunté à ses défunts compagnons de voyage.

Elle n'avait jamais eu de poste défini dans le passé, et il en fut de même dans le ranch: on lui attribuait toutes les petites tâches de tous les jours. Elle n'avait pas beaucoup de force, mais elle était volontaire, et elle avait de l'énergie à revendre, et c'était tout ce dont ils avaient besoin. Elle se fait petit à petit sa place au sein du ranch.

time to meet the devil

• pseudo › kittybeez
• âge › vingt et un ans

• comment as-tu découvert le forum ? › par hunteddown, une copine qui devrait pas tarder à ramener sa fraise !
• et tu le trouves comment ? › design: magnifique. Activité: au top. Tout est beau et sombre, tout est méga détaillé et sérieux, +1 !
• présence › je passe tous les jours, et je peux rp minimum une fois par semaine.

• code du règlement › Ok Morgan.
• crédit › @star1000douxie.tumblr
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 20:11

Bienvenue !
Et bon courage pour finir ta fiche ! ♥



Oh, my eyes are seein' red. Double vision from the blood we've shed. The only way I'm leavin' is dead : That's the state of my, state of my, state of my head
Andrea West
Andrea West
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Re: ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 20:19

Encore une vétérinaire ?! Y'a autant d'animaux malades post-apo :MisterGreen: ?! Bienvenue ! Ahah
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Re: ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 20:20

Je me faisais la même réflexion que Selene x)
Bienvenue à toi et super vava Smile
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Re: ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 20:25

Merci à vous trois :smile6: y'a que du beau monde ici :smile34:
j'ai pas encore pris de décision finale, mais comme je suis étudiante véto, je mets toujours un peu ça par défaut le temps de trouver autre chose ain't no mountain high enough + norah 279361377
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Re: ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 20:27

Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche en tout cas Smile Encore une verte, ça fait plaisir ^^
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Re: ain't no mountain high enough + norah

Lun 10 Juil 2017 - 21:13

Welcome here, bon courage pour le reste de cette fiche déjà bien entamée Wink
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Re: ain't no mountain high enough + norah

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