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John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 1:12


JOHN REESE
37 ANS AMÉRICAIN Agent de terrain - C.I.A AMERICAN DREAM

i've got a war in my mind


Explique ici le caractère actuel de ton personnage.

Qualités

Énergique : Aussi loin qu’il se souvienne, John a toujours fait du sport. Depuis le petit club de karaté de son quartier lorsqu’il était enfant jusqu’à l’entrainement rude et intensif de l’armée. Telle une religion, la dépense de soi est une chose fondamentale pour John. Il délaisse rarement ses séries quotidiennes de pompages et d’abdominaux. Même après la pandémie, Reese continue inlassablement à entretenir son corps afin de rester dans la meilleure condition physique possible.

Prudent : La prudence fait partie de l’instinct de cet homme. Ces différentes missions et formations au sein de l’armée et de la C.I.A firent de lui un homme constamment sur ses gardes. Son sommeil n’en est pas moins épargné. John ne se sépare jamais de couteau (ou de son arme de poing lorsqu’il a l’occasion de pouvoir l’utiliser) lorsqu’il dort. De plus, comme il l’a appris à l’armée, Reese dort toujours assis et à l’écart du campement qu’il établit.

Méthodique : John fait toujours les choses comme on lui a appris à les faire. Il est possible qu’il découvre les choses par lui-même, mais il est d’un naturel à toujours procéder par méthode. Pour lui, toute chose doit être faite dans les règles de l’art. C’est ainsi qu’il a appris à procéder. Son entrainement à Langley est un facteur non négligeable dans ce trait de caractère.

Déterminé : Quel que soit la situation dans laquelle il se trouve, John ne perd jamais de vue ses objectifs. Qu’importe les obstacles, il met en œuvre tous les moyens qui sont à sa disposition pour surmonter les épreuves. Il sait cependant être à l’écoute et n’est pas borné. Le grand brun va toujours droit au but en écoutant son cœur et son instinct.

Loyal : C’est l’une des qualités que tout soldat, aussi bloqué soit-il, finit par acquérir. La loyauté implique la droiture, le respect et la sincérité. Mais il y a un facteur bien plus important pour John, qui est la clé de la loyauté : la confiance. John est un homme loyal et dévoué. Cependant, afin de bénéficier de cette loyauté, il faut gagner la confiance du soldat, qui ne l’accorde que difficilement.

Patient : Certaines personnes détestent attendre. Être patient n’est pas vraiment une qualité. Toute patiente à ses limites. La patiente est une force, une arme que l’on apprend à utiliser. La clé du succès repose sur le fait d’avoir un objectif final. Cependant, tout n’est pas toujours comme

Défauts

Renfermé : Il ne l’était pas auparavant. Avant que le monde ne change et que les gens se transforment. C’était un homme très sociable avec des projets d’avenirs comme tout un chacun. John a toujours voulu adopter un ou plusieurs enfants. Trouver la femme de sa vie et fonder une famille. Tout est tombé à l’eau le jour Z. Le jour où l’enfer s’est déchainé sur terre. Ce qu’il a vu et vécut après l’épidémie, l’a conduit à devenir moins communicatif qu’il ne l’était. Les meurtres, les viols, les tortures et les mutilations… Des choses ignobles qui le conduiront à devenir l’homme qu’il est aujourd’hui.

Rancunier : Ce trait de caractère va de pair avec sa détermination sans faille. Un mélange d’aigreur et de ressentiment qu’il traine comme un boulet. Il a longtemps essayé de se défaire de ce défaut, sans succès. John pardonne très difficilement ceux qui l’ont offensé et/ou blessé verbalement ou physiquement. Il éprouve dans ce cas, un besoin négatif… celui de se venger.

Présomptueux : John a confiance en ces capacités et en soi. Une confiance parfois excessive et qui le mets dans des situations très dangereuses. Il a tendance à tomber amoureux de sa propre légende, ce qui lui a valu de frôler la mort à plusieurs reprises.
 
Froid : C’est ce que pensent les gens de John aux premiers abords. Un homme froid et distant. Son silence continuel et sa mine méfiante avec les inconnus, ne l’aide pas à se faire des amis. Il est également sec et concis dans ses réponses. Cependant il devient un tout autre homme lorsque la relation de confiance est établie.

Cruel : C’est l’un des aspects les plus compliqué dans le comportement de John. Tout dépend de la situation et des personnes auxquelles il a à faire, mais de par son entrainement spécial et sa capacité à pouvoir garder son sang-froid même dans les situations les plus désespérées, Reese peut se montrer d’une cruauté sans égale face à ses ennemis. C’est un homme impitoyable.

Solitaire : John sait se retrouver en tête à tête avec lui-même. « Je n’ai besoin de personne et je ne dépends de personne » Se disait-il souvent. Cette facette de sa personnalité existe depuis sa plus tendre enfance. Son éducation ne lui ayant pas inculqué le goût de la découverte d’autrui. Néanmoins, il n’a aucun problème avec la vie en société.




and blood on my hands


Explique ici les caractéristiques physiques de ton personnage..


John Reese est un homme de type caucasien. Il mesure un mètre quatre-vingt-neuf (1m89) pour quatre-vingt kilos (80kg). Le grand homme aux cheveux et aux yeux marron possède une morphologie mésomorphe. Il doit son corps musclé à son entrainement régulier. L’ancien soldat considère que garder son corps en forme et en bonne santé favorisera sa survie. Côté coupe, John aimait les cheveux mi- longs qu’il brossait en arrière avant l’épidémie. Mais pour une question de prudence, il les coupe et les coiffe régulièrement. Il porte également une barbe bien fournie.

Reese n’a pas de style vestimentaire particulier. Il prend ce qu’il trouve utile et à sa taille. Le grand brun voyage avec une parka noire, une casquette des « Sox de Chicago » et un holster accroché au côté droit de sa ceinture dans lequel se trouve son Glock 19. Son arme de poing est accompagnée d’un silencieux et d'un unique chargeur de 15 coups. Du côté gauche de sa ceinture, l’homme garde une lame de vingt centimètres dans son fourreau, couteau de combat qu’il utilise depuis son départ de l’armée. Il garde autant que faire se peut une tenue de rechange dans ses affaires. Il n’a pas de chaussures de rechange et se contente de ses bottes militaires. John possède actuellement un sac tactique à l’intérieur duquel se trouvent un jean, un T-shirt, des jumelles, une gourde pleine d’eau, deux conserves de raviolis et une trousse de premier soin.



a storm is coming


Explique ici l'histoire de ton personnage avant l'épidémie.

John est né le 19 juillet 1979 dans l’état de l'Illinois, à Chicago. Il est le fils unique d’un père ingénieur en aéronautique et d’une mère infirmière. Il est scolarisé dans de bonnes écoles, ses parents se démenant afin de lui payer des études convenables. Le 22 septembre 1998, John obtiendra une bourse afin d’intégrer l’une des meilleures universités du monde, la célèbre University of Chicago. « Une chance inespérée » d’après son paternel, qui lui, avait dû faire un prêt bancaire et enchaîner les petits boulots afin de payer ses études. Le jeune homme entamera des études dans le domaine des sciences économiques. Malheureusement pour lui, sa maman décédera des suites d’un cancer du foie quelques mois plus tard en février 1999. Son père sombrera dans l’alcool, la drogue et la dépression, puis perdra son travail.

Étant dans l’incapacité de poursuivre ses études dans un environnement sain, John quittera le foyer familial et enchaînera de petits boulots afin de subvenir à ses besoins. Il s’enrôlera dans l’armée le 5 septembre 2000. Reese sera stationné au Fort Lewis dans l’état de Washington. Durant neuf ans, il servira dans l’infanterie en tant que soldat des forces spéciales, plus communément appelées « bérets verts ». Il sera notamment engagé en Afghanistan et en Irak. Le soldat sera promu « Sergent » le 10 novembre 2005. Durant sa carrière dans l’armée, John sera amené à intégrer un escadron de la Delta Force en tant qu’opérateur.

John Reese sera recruté par la C.I.A le 23 décembre 2009. Les médailles et les honneurs qu’il obtint à l’armée vinrent étoffer son dossier. La « Central Intelligence Agency » entra en contact avec le militaire afin de lui proposer un poste d’agent de terrain qu’il acceptera sans concessions. Durant les premières semaines, John fus confiné dans un « centre d’entrainement secret » qu’il lui était impossible et interdit de quitter. Il suivit un entrainement rigoureux et intensif dans le combat au corps à corps, l’utilisation de la quasi-totalité des armes à feu existantes, l’informatique ou encore le déminage. La résistance à la torture et à la douleur furent des épreuves très difficiles pour Reese. Les recrues n’étaient que six, Reese y compris. Les six membres réussiront les examens avec d’excellentes notes. John poursuivra donc sa carrière dans l’Agence officiellement en tant qu’agent de terrain. Il sera muté à Washington.

Le grand brun ne pourra jamais nouer de relation sérieuse avec une femme, et se contentera de sa partenaire de mission, Amy, ainsi que d’autres femmes « d’un soir ». Avec sa partenaire Amy Stanton, il participera à des opérations secrètes sous l’autorité de leur supérieur direct, Stuart. Bien que Reese ait les compétences nécessaires pour mener à bien toutes les missions auxquelles il est assigné, il montre de l'hésitation pour exécuter certaines d'entre elles, contrairement à sa partenaire qui elle, est impitoyable. En juillet 2015, John, Amy et Stuart sont envoyés en Chine pour une mission top-secrète.

Une fois arrivés en Chine, Amy et John sont briefés par Stuart et un membre de la N.S.A. Leur mission est d'entrer dans une ville chinoise abandonnée afin de récupérer clandestinement une arme biologique très dangereuse. Cependant, l'agent Stuart dira en secret à chaque agent que l'autre a été compromis et qu'il doit être tué à la fin de la mission. En entrant dans la ville, Reese et Amy trouvent des employés, à l'endroit où le colis est supposé être caché, récemment tués par balles. Ils arrivent tout de même à trouver et à emporter l'objet. Ayant terminé leur mission, Stanton signale leur position à la C.I.A avec un laser. Pendant ce temps, Reese derrière elle l’assassinera de sang-froid.

Le 14 octobre 2015, John Reese est envoyé sur une mission de la plus haute importance. Un laboratoire de Langley semble avoir des soucis et envoie un message de détresse.

*Grésillements* Je suis le docteur Samuel Jones. Nous sommes atta… *grésillements* …avons besoin d’aide le plus vite possible. Nous avons trouvé un… *grésillements* …mais il n’a pas encore été tes… *grésillement* …l’homme. Nous avons besoin d’aide au plus vite

S’en suivit des cris de douleurs et d’agonie. C’est le message qui fut retransmis à John et ses collègues par le superviseur de la mission. Leur mission était de récupérer les disques durs ainsi qu’un échantillon étiqueté « Z-408 ».

TO BE CONTINUED

on the highway to hell


Explique ici l'histoire de ton personnage depuis l'épidémie.

Lorsque l’équipe arriva sur les lieux, ils furent confrontés à un ennemi qu’ils n’avaient jamais vu auparavant. Les chercheurs, des hommes et des femmes, s’avançaient lentement vers eux. Les vêtements pleins de sang, le corps mutilé à plusieurs endroits. Plusieurs mises en garde de la part des agents ainsi que des tirs de sommation ne suffirent pas à arrêter les malades. L’un des infectés mordit un des agents à l’avant-bras. Mais bien équipé, la morsure n’eut aucun effet sur l’homme. L’équipe nettoya la zone en quelques minutes avant d’arriver à l’objectif. Personne n’avait survécu.

Tout le personnel s’était « transformé » en une chose inexplicable. Les disques durs et l’échantillon récupérés, l’équipe se dirigea vers l’hélicoptère. Mais en ouvrant les portes pour sortir, une horde de monstres assoiffés de sang s’y engouffra, forçant l’équipe à retourner dans le laboratoire. Il leur fallut deux jours et une nuit pour venir à bout des monstres qui entraient par vague. Six des huit membres de l’équipe rendirent l’âme dans le laboratoire, déchiquetés par ce qui semblait être des morts-vivants. John ainsi qu’un autre agent survécurent et purent sortir indemnes du laboratoire. Reese avait cependant pris conscience d’une chose très importante. Les « infectés » étaient invulnérables à n’importe quel choc ou coups. Le seul moyen de les « tuer » était d’atteindre le cerveau.

Le reste de l’équipe réussit à rejoindre l’hélicoptère. Ce dernier se trouvait sur une petite clairière. La zone était parfaitement dégagée et il n’y avait aucun signe d’infectés dans les parages. Le pilote était mort et les deux survivants ne pouvaient pas prendre le risque de prendre le contrôle de l’appareil avec les maigres connaissances qu’ils avaient reçus en la matière. Le risque était trop important. Ils prirent alors ce qu’ils purent prendre dans l’hélicoptère ainsi que dans le laboratoire. John s’était équipé d’un sac tactique noir dans lequel il avait pu introduire une trousse de premiers soins, quatre Glock 19 ainsi que huit chargeurs, des jumelles, une gourde en aluminium, et des quelques vivres trouvés dans le laboratoire. John possédait sa tenue tactique ainsi qu’un HK416 avec silencieux, un Glock 19 et un couteau de combat. Beaucoup trop d’après son collègue qui n’avait pas l’air emballé par l’excursion qui les attendait. L’ancien militaire misait sur la prudence. « Mieux vaut prévenir que guérir » disait-il.

Les deux hommes marchèrent vers le nord. Plusieurs véhicules les aidèrent dans leur périple. En deux mois, ils avaient passé la frontière canadienne. Le chaos y régnait et les forces armées ne parvenaient plus à contenir cette marée humaine qui tentait de quitter le pays dans l’espoir d’atteindre une tranquillité inexistante.

- Ces énormes camps de réfugiés, c’est de la merde. Disait John. Cette concentration d’êtres humains attire les infectés par centaines voire milliers. Les militaires n’auront jamais suffisamment de munitions. Ils tueront les infectés, mais d’autres reviendront encore et encore… On doit à tout prix éviter ces zones-là.

Les anciens agents de la C.I.A à court de provisions, avaient appris à chasser pour se nourrir. Ils filtraient l’eau des lacs et des rivières à l’aide de pièces de tissus superposées, puis faisaient bouillir l’eau filtrée. Ils avaient atteint les alentours de Calgary, qui était infestée de morts-vivants. Leur route continua vers l’ouest. Les deux hommes avaient l’intention d’atteindre l’Océan Pacifique en se rapprochant de Vancouver.

Février 2016

Les co-équipiers sont coupés de tout. Ils ne savent absolument pas ce qu’il se passe aux Étas-Unis. Ayant rejoint un groupe de survivants essentiellement composés d’hommes. Ils continuent à avancer vers l’ouest. John se rend compte qu’il est tombé sur de véritables « animaux » incapable de refouler leurs pulsions, mettant en danger le groupe à plusieurs reprises. Ils n’hésitaient pas à violer et assassiner pour le plaisir. Brad, le co-équipier de John refusait d’entendre raison. Cette vie-là lui plaisait et il était hors de question qu’il quitte le groupe. Il avait même menacé John publiquement s’il tentait à nouveau de le dissuader. Une nuit, l’ancien militaire finit par tuer tout le groupe avant de prendre leurs provisions et repartir. « Je rends service à l’humanité » disait John.

Il ne volait les autres que lorsqu’il n’avait pas le choix. Le meurtre était également une solution de dernier recours. Jamais Reese n’avait eu recours à la violence gratuite. Le temps passait tandis que l’homme continuait à avancer, faisant face aux dangers. John ne pouvait plus compter sur personne. Il était seul à la Mercie de ce monde impitoyable. Il devait apprendre à vivre dans la solitude et la méfiance.

Avril 2016

Reese trouve un petit havre de paix. Un chalet dans les montagnes enneigées du sud du Canada. Les infectés n’étaient pas encore arrivés jusque-là. Ce sont les pilleurs qui s’étaient chargés de nettoyer la zone. En effet, les quelques habitations avaient été vidées jusqu’au dernier grain de riz. Durant plusieurs semaines, John travailla durement afin de rendre la zone sûre et habitable. Il installa des pièges de fortunes, bricola des systèmes d’alertes et achemina l’eau potable d’une source jusqu’à lui. Il y vécut près de sept mois. Son combat le plus difficile fut celui contre la faim. Les ressources étaient très limitées en montagne. John devait parcourir de longues distances à pied et parfois passer ses nuits à l’extérieur afin de faire des provisions. Provisions qui était rationnées bien évidement. Sur les sept mois, il n’y eut que trois incident majeurs. À deux reprises, des pillards étaient passés. Aucun n’avait survécu. John s’était débarrassé d’eux, les jetant par-dessus la falaise. La troisième fois, et ce fut une première, des infectés étaient parvenus jusque dans les hauteurs froides de la montagne. Reese avait intégrer une trappe dans le plancher du chalet qui lui permet de s’échapper, en emportant le strict nécessaire qu’il avait préparé dans son sac en cas d’urgence.

Octobre 2016

L’ancien agent de Langley, se retrouve à nouveau sur les routes, livré à lui-même. Pour John, il n’y avait plus de bien ou de mal en ce monde. L’important était de survivre. Il croisait quelques fois des survivants. Parfois pacifiques, parfois hostiles. Suivant la situation, il réagissait différemment, mais n’accordait jamais sa confiance. Il avait vu des choses ignobles et s’était construit une carapace intérieurement. Contrairement aux humains, les morts-vivants ne réfléchissent pas, ne pensent pas et ne cherchent aucune stratégie pour se rapprocher de leurs cibles.

Décembre 2016

John se rendra compte qu’il est au États-Unis, quelques semaines après son départ du chalet. Traversant montagnes et forêt, il se trouvait désormais non loin de Wenatchee, une petite ville longeant le fleuve Columbia. Il rencontrera une petite communauté composée de plusieurs familles. D’anciens bûcherons aux carrures imposantes protégeaient leur famille tant bien que mal. Ils accueillirent John dans leur campement après qu’il ait sauvé une fillette jouant dans un bosquet non loin du camp.

Pour la première fois depuis très longtemps, l’ex-soldat retrouvait un semblant de normalité. L’organisation du camp était impressionnante. Les femmes étaient capables de se défendre aussi bien que les hommes. Ils se trouvaient dans un petit bosquet et avaient fait preuve d’une ingéniosité phénoménale. Le camp était entouré d’un muret d’environ une mètre cinquante très particulier. Muret construit à l’aide de cadavres de morts-vivants.

D’après les réfugiés, les morts-vivants sont attirés par l’odeur. Le mur de cadavres atténue la leur ce qui leur permet d’être relativement tranquille. Les hommes chassent et partent régulièrement en expédition à la recherche d’armes et de vivres. La communauté ne comptait qu’une vingtaine de personne, mais toutes en bonne santé. « Si tu veux manger ton pain quotidien, il faut le mériter » disait l’un d’entre eux. Tout le monde participait à toutes les tâches sans distinction de sexe. John se plaisait parmi ces gens pour qui il commençait à avoir de l’affection et un semblant de confiance. L’ex-militaire mis également à profit ses connaissances au sein du campement. Il leur apprit à tirer, à se battre à mains nues ainsi qu’avec une arme blanche, à maîtriser les techniques de pistage. Reese avait même trouvé une vieille moto cross en bon état, qu’il retapa. Elle était utilisée pour éloigner les hordes qui passaient trop près du camp. Il n’avait aucune pitié pour les assaillants, les pillards et les tueurs qui tentaient de porter préjudice au groupe. En cinq mois, l’ancien agent de la C.I.A passa les meilleurs moments depuis le début de l’épidémie. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, ce moment ne dura que jusqu’au jour fatidique…

Mai 2017

Ce jour-là, il s’était levé à l’aube, avait avalé une portion de flocons d’avoine et s’était entrainé. Il avait salué Jake et Andy, des jumeaux de neuf ans qui l’observaient toujours avec admiration. John avait également aidé Adam à couper les bûches de bois. Puis il s’en alla comme à son habitude, durant plusieurs jours à l’extérieur du camp avec sa moto de cross à la recherche de ressources et/ou d’armes.

Reese travaillait méthodiquement. Il avait établi une liste sur laquelle il inventoriait tout ce qu’il voyait, afin de pouvoir revenir plus tard. Il faisait le tour des villages et des petites villes, amassant provisions, armes, carburant et tout ce qui pouvait être utile. L’ancien militaire avait vécu seul toute sa vie. Puis l’épidémie est arrivée et il se retrouva encore plus seul durant plusieurs mois. La vie à l’extérieur du camp ne l’effrayait pas. Quatre jours passèrent. Reese était de retour. Lorsqu’il arriva aux alentours du campement, le grand brun laissa  le véhicule à un kilomètre, et sa rapprocha du campement à pied. Un, puis deux, puis trois, John comptait les infectés qu’il voyait. Leur nombre était anormalement élevé. Il continua d’avancer, en mettant hors d’état de nuire les quelques morts-vivants sur son chemin, puis il fut face à une vision d’horreur. La tête du petit Jake dépassait. Les infectés dévoraient son corps encore chaud. Il n’y avait plus aucune lueur de vie dans ses yeux. « Suis-je chanceux ou maudit ? » Se dit John à cet instant précis. Les marcheurs se relevèrent, et se dirigèrent vers lui. N’ayant pas le choix, il dut fuir, revenant vers sa moto en courant. Il l’enfourcha, puis s’en alla vers l’ouest.

Après plusieurs heures, il passa près d’un panneau indiquant « Seattle - 107 miles ». À court de carburant, sa moto le lâcha quelques minutes plus tard. Bien déterminé à rester en vie, il se mit alors en marche pour la cité émeraude.

******

Juin 2017

John arrive à Seattle et tombe sur un membre de l'American Dream. Ce dernier étant en difficulté, le grand brun lui portera assistance, puis le ramènera parmi les siens.


time to meet the devil

• pseudo › sur internet, NASUKO
• âge › 22 ans

• comment as-tu découvert le forum ? › En cherchant.
• et tu le trouves comment ? › Vraiment sympa.
• présence › Quotidienne

• code du règlement › Ok - Jay
• crédit › de la bannière et du gif, écrire ici
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 1:13

Présentation postée.
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 7:53

Bienvenue par ici et bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 8:47

John Reese a écrit:Présentation postée. Je sais que j'ai un délai de 10 jours pour finaliser le tout. Je vais bien évidement prendre mon temps pour préparer un scénario pour mon personnage ainsi que pour choisir le visage que portera mon perso' ! Wink

Les NOM et PRENOM du actuels ne sont que temporaires.

Dans ce cas, bon courage pour construire ton personnage Smile et bienvenue !
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 8:56

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 10:00

Bienvenue ici et bon courage pour la création de ton personnage Smile
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

Dim 25 Juin 2017 - 10:04

Bienvenuuue !
Bon courage pour compléter ta fiche Smile hate de voir ce que tu vas faire !



Oh, my eyes are seein' red. Double vision from the blood we've shed. The only way I'm leavin' is dead : That's the state of my, state of my, state of my head
Andrea West
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Re: John Reese - L'ombre d'un homme

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