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Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Dim 11 Déc 2016 - 17:44


Luis Nishimura
35 ans Japano-américain Artiste,  acteur Evergreen Ridge
i've got a war in my mind

La qualité première que l'on peut reconnaître à Luis, c'est sa franchise. S'il a quelque chose à dire, il le dira et ne prendra pas quatre chemins pour le faire. En effet, il préfère blesser en disant la vérité que mentir, ce qui, pour lui, n'apporte jamais rien de bon à personne. En quelque sorte, cela peut inclure son côté entêté, borné, qui ne lui font jamais démordre quoi que ce soit lorsqu'il l'a en tête. Ambitieux ? Ce n'est rien que de le déclarer ! Avant l'épidémie, Luis possédait de grands projets pour son avenir et même s'il tombe souvent en cours de route, sa force est celle de se relever et d'aller toujours de l'avant. Aujourd'hui, il possède toujours de l'ambition ; ce sont juste les conditions qui sont différentes.
Sportif, pourtant généralement pacificateur, Luis n'hésite pas à user de la violence lorsqu'il n'y a plus que cette solution qui s'offre à lui (ou qu'il a trop été provoqué par l'adversaire). Ces situations demeurent rares puisqu'il est surtout du genre bien intégré, n'aimant pas particulièrement faire de vagues. Enfin, Luis est une personne résistante, qui ne se laisse pas démonter facilement. Par possession, par acquis, il n'abandonne pas les siens et fait tout pour défendre ce qu'il a obtenu.



Luis mesure 1m85 pour une corpulence moyenne (disons qu'il s'entretient pour être en forme). Ses cheveux sont bruns, tirant sur le noirs, plutôt mi-longs, mais rasés sur les côtés. Ses yeux sont noisettes, classiques. En revanche, ce qui se remarque le plus chez cet homme, ce sont ses tatouages. En effet, Luis en possède plus d'une trentaine répartis sur tout son corps. Chacun possède une signification bien précise, mais il n'en parle pas à tout le monde.

Ce qui constitue l'arme de Luis, c'est un Hanbô, une arme japonaise. C'est un bâton qui mesure environ 90 cm, à la base plutôt offensif. Néanmoins, Luis a truqué le sien en dénichant une chaîne pour l'enfermer à l'intérieur de ce bâton en cas de besoin.
the last of us

avant l'épidémie

Luis est né le 14 Septembre 1981 dans la Préfecture d'Ôsaka, au Japon, d'une mère américaine et d'un père japonais. Son prénom est la transformation de "Rui" en japonais, ou tout simplement "Louis" en l'honneur à son grand-père maternel. Luis, donc, est enfant unique et grandit comme n'importe quel autre enfant, néanmoins pas mal bercé par la musique dès son plus jeune âge.
A son entrée à l'école, Luis se révèle être un bon élève sans avoir trop d'effort à fournir. Ce qu'il préfère cependant, c'est le football. Il finit par faire capituler ses parents qui acceptent de l'inscrire dans un club et c'est d'années en années qu'il construit son futur rêve de métier. Lequel ? Devenir un footballeur professionnel, bien sûr ! Il est doué avec le ballon rond, s'entraîne souvent avec ses amis, son équipe et c'est grâce à cela qu'il obtient une bonne réputation au collège, puis au lycée. Malheureusement, c'est lors d'un match que son rêve se brise : il se casse le genou et en se rendant à l'hôpital, le verdict est sans appel. Luis peut continuer de jouer au football, mais de manière occasionnelle.
Affreusement choqué, blessé et découragé, ses notes deviennent moins bonnes. Il traîne de plus en plus tard le soir, avec de mauvaises fréquentations. Il apprend à fumer, à boire, teste la drogue, enchaîne quelques conquêtes, mais c'est également à cette époque, autour de ses quinze ans, qu'il fait sa plus belle rencontre. Complètement saoul, il tombe nez-à-nez avec une vieille guitare folk noire, jetée dans une benne à ordure. Ses mains s'en emparent, comme si un lien s'était auparavant établi entre elle et lui. Il a l'impression qu'ils se ressemblent, tous les deux. Il la conserve, la répare, jusqu'à ce que ce soit elle qui raccroche les pièces de Luis ensemble.
C'est en regardant des vidéos sur Internet de ses groupes préférés qu'il apprend à jouer de la guitare. Il se perfectionne chaque jour, mettant du cœur et de l'ambition à cet ouvrage. Il a découvert une autre passion, peut-être moins dangereuse que la première et qui le soigne, pansant petit à petit ses blessures morales. Puis, un peu avant la fin du lycée, il intègre un groupe de musique avec d'autres amis, s'inspirant du style Visual Kei, mais aussi Américain. Le début d'une longue histoire débute donc.

Décidant de vivre pour sa passion, contre l'avis de ses parents, le jeune homme de dix-sept ans quitte la maison familiale pour se rendre à Tôkyô, la capitale. A partir de ce moment, il se fait repérer par un groupe de musique plus important et c'est grâce à son audition, ses paroles et ses compositions qu'il est choisi pour l'intégrer. Luis est le guitariste le plus jeune, mais aussi le plus ambitieux et passionné dans son travail. Malheureusement, ce n'est pas le cas des autres membres ce qui, trois années plus tard, les conduisent à la séparation.
Malgré cet échec, Luis ne se laisse pas abattre puisqu'il s'est fait repérer par une maison de disques. Il signe un contrat et entame finalement une carrière solo. A peine majeur, il rencontre alors le succès, classant ses singles et albums dans le top cinquante des charts. Luis est fier, prend de l'assurance et tente de renouer davantage de liens avec sa famille. Sa mère le félicite, l'encourage même, mais son père demeure de marbre, peu convaincu que son fils pourra vivre de cet art. Pour lui, ce n'est qu'une passe, un mouvement. Luis doit retomber sur ses pieds et envisager une carrière plus sûre pour lui.
Cependant, les années défilent et Luis ne fait qu'accroître davantage son succès. Ses tournées ne passent plus seulement que par le Japon, mais aussi par la Corée, la Chine et, enfin, par l'Amérique. A ses vingt-cinq ans, le jeune homme décide de partir là-bas pendant six mois environ afin de mieux étudier cette langue donc il entend parler sa mère depuis son enfance. Il apprend également la culture et se produit dans les rues. De nouvelles portes s'ouvrent à lui à partir de cet instant puisqu'il est invité à participer à un concert. Puis, ce sont ensuite les siens qui se déroulent aux Etats-Unis, au Chili, au Brésil, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Angleterre.
Tout cela s'enchaîne très rapidement, mais c'est au cours de cette année d'étude en Amérique que Luis rencontre sa future épouse et mère de leurs deux petites filles. Entre eux, c'est le coup de foudre et ils ne manquent pas une occasion pour passer du temps ensemble. D'ailleurs, c'est aussi en partie grâce à Mila que Luis a de nouvelles ambitions, recherche autre chose. Il créé son propre label afin de s'auto-produire, quittant celui qui l'a recueilli des années plus tôt. Désormais, Luis voit plus grand, bien plus grand ; et ça fonctionne à merveille.

Installé à Los Angeles depuis peu de temps, c'est en Mars 2009, que Mila et Luis se marient puis c'est en Juillet de la même année que née leur première enfant : Lilie. Leur seconde fille, Aoi, née en Octobre 2010, faisant de Luis un père comblé. Ces trois femmes sont la prunelle de ses yeux dont il est extrêmement fier de parler, de représenter et d'aimer. Elles sont absolument tout pour lui et il donnerait tout pour elles.
En parallèle à sa vie privée bien remplie, sa vie professionnelle l'est tout autant. Il traverse les continents pour rencontrer ses fans, échanger avec eux des heures de plaisir. Luis, au cours de sa carrière, a changé plusieurs fois de style musical, appréciant toucher à tout, tenter un peu tout. Il n'a pas fait que grandir, il est devenu mûr en même temps que sa musique, que tout l'amour qu'il porte envers sa famille.
A tout ceci, s'ajoute également sa prestation dans un film. Cela lui a ouvert de nouvelles portes, un nouvel horizon. Après la musique, pourquoi ne pas s'essayer au cinéma ? Luis a hésité avant de se lancer dans le projet, puis il a finalement accepté le rôle qui lui était proposé.

depuis l'épidémie

Si Luis était à Seattle en Octobre 2015, c'était dans le cadre de l'une de ses énièmes tournées. Cette tournée, américaine, débutait à Seattle pour ensuite lui permettre de sillonner un peu tout le pays. N'ayant pas eu connaissance des cas isolés qui ont commencé à se déclarer, pour le chanteur-guitariste, c'est le début d'une tournée comme n'importe quelle autre qui s'annonce. Il embrasse sa famille avant de prendre l'avion direction Seattle sans jamais se douter un seul instant que ce serait la dernière fois qu'il verrait Mila, Lilie et Aoi.
C'est le 12 Octobre qu'a lieu sa première représentation alors que de nombreuses inquiétudes planent sur la ville émeraude. Des bruits, des rumeurs, des chuchotements partout dans les rues. On ne sait pas tout, et la représentation à malgré tout lieu, même si les billets pourtant tous vendus ne remplissent pas toute la salle ce soir-là. La situation dégénère, Luis commence à se poser des questions lui aussi, mais il a confiance envers les autorités. Cependant, quelque chose lui dit qu'il ne devrait pas trop s'en remettre à elles. Le 13 Octobre, il est contraint de cesser sa tournée, au moins pour les trois prochaines dates, dans un premier temps.
Cloîtré à l'hôtel, il tente de joindre sa famille demeurée à Los Angeles, mais les lignes sont saturées et il ne tombe, qu'au mieux, sur le répondeur. Les militaires affluent, le président tente un discours mais tout le monde a bien compris que cela sonne faux. La maladie se propage à vitesse grand V et personne ne semble pouvoir lutter contre. Luis se ronge les sangs dans son hôtel et ne supportant plus d'y rester, manquant cruellement de quoi manger, il descend voir ce qui se passe dans la ville.

C'est le chaos.
C'est le chaos le plus total. La ville est à feu, le trafic aérien est interrompu. Impossible de quitter la ville, impossible de se ravitailler. Ils parlent d'une épidémie, des gens décédés se relèvent et mordent les vivants.
Des infectés. Ils appellent ça des infectés.
La ville est à feu. Il m'est impossible de rebrousser chemin, mais j'ai pu retourner à l'hôtel récupérer ma guitare, une gourde et une photo de ma famille. Des infectés rôdent partout. J'ai dû en repousser certains, mais comment est-ce qu'on les... tue ?
J'essaie de me cacher, de ne pas me faire voir. Mais rapidement je comprends qu'il me faut une arme pour me défendre. Un bâton, assez long, et une chaîne. Je bricole ça, agenouillé dans la poussière quand j'aperçois une combattant qui tue un infecté par un coup porté à la tête. Il est là, le point faible ? Il faut que j'essaie. Il faut que je me batte. Il faut que je survive pour retrouver ma famille !
Le monde d'avant n'existe plus.
Chaque jour, je dois me frayer un chemin parmi les infectés, sans me faire attraper. Les questions ne se posent pas, c'est comme ça. Mais où va vraiment le monde ? Les bâtiments sont détruits, la violence est de mise. Chacun pour soi. On nous dit de patienter, de survivre le temps que ce virus soit éradiqué par les scientifiques ; mais je n'y crois plus. Je ne crois plus en cette humanité qui s'effondre.
Je perds la notion du temps à errer comme n'importe quel autre de ces infectés. Mais moi, moi je suis vivant. J'apprends à voler, à me battre et suis bien heureux de voir que mes entraînement de boxe et mes joggings matinaux m'aident à tenir la route face à ces monstres qui se déplacent en masse. Parfois, je rencontre d'autres combattants, d'autres survivants. La méfiance règne dans toutes les relations que je peux tisser le temps d'une semaine ou d'un jour. Rien ne s'arrange.
Rien ne s'arrangera jamais. Et j'ai peur. Oui, j'ai peur. Pour la première fois de ma vie, j'ai réellement peur de ce qui arrive. Je n'ai pas de nouvelles de ma famille depuis le début du mois d'Octobre où je suis parti serein. Il faut que je les retrouve, à tout prix. Et je n'ose même pas imaginer le pire. Mila et les filles m'attendent là-bas, cachées, bien en sécurité.


C'est au début du mois de Janvier 2016, un peu comme apporté avec la nouvelle année, que Luis tombe sur un nombreux groupe de survivants. L'hiver n'est pas terminé, mais il sait que ses ressources sont maigres et viennent à s'affaiblir de jour en jour. Il ne peut plus se permettre d'errer tout seul, de se battre tout seul. Il a besoin des autres et de se joindre à ce groupe. Et puis, il apprend qu'il s'en va de Seattle, qu'il s'éloigne de cette ville pour trouver une retraite. Alors il choisit de les suivre, de mettre ses capacités à contribution pour le bien de tous. Le monde ne redeviendra jamais comme avant, mais une once d'humanité peut toujours tenter de revivre en certains des êtres humains.
Luis se fait petit à petit une place au sein d'Evergreen, reprenant du courage et de la force par la même occasion. Il sait se montrer disponible, droit et juste, contribue à la vie du groupe comme tout le monde. Il a l'impression d'avoir trouvé une sorte d'équilibre, mais à la vérité, il n'est pas dupe ; ce n'est qu'une illusion. Les rôdeurs sont partout et l'épidémie ne cessera pas. La survie est de mise, la sécurité aussi. Mais Luis n'oublie pas son objectif premier : retrouver sa famille. Pour cela, quitte à lui se mettre en danger, il sort de ce cocon douillet pour patrouiller autour du camp et progresser ainsi jour après jour. Il ne perd pas cette ambition qui a toujours su le hisser plus haut qu'il ne l'aurait jamais cru.

Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix.

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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Dim 11 Déc 2016 - 18:05

Oh bah Miyavi CARREMENT !
<3
Bienvenue Smile
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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Dim 11 Déc 2016 - 18:14

Yep, carrément ! Même pas peur Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix 2046361295

Merci !
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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Dim 11 Déc 2016 - 19:33

Tien je trouvais ça bizarre de jamais l'avoir vu tenter le bonhomme.
Bienvenue parmi nous.
Grace à toi, je viens de prendre dix ans dans les dents xD
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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Lun 12 Déc 2016 - 3:18

Bienvenuuuuuuue ! Very Happy




Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
Yulia Iojov
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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Lun 12 Déc 2016 - 4:17

Oh cet avat Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix 1442386177
Bienvenue par ici !
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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

Lun 12 Déc 2016 - 7:43

Welcome ! Smile

Sympa le choix d'avatar ^^
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Re: Luis Nishimura - Il faut ouvrir les yeux : on ne sera jamais en paix

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