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Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Sam 31 Oct 2015 - 23:43


Charlie BUSHBURY
31 ans • Américaine • Institutrice •  The travelers

i've got a war in my mind

Lorsque Charlie se regardait dans le miroir, ce qui était plutôt fréquent avant les évènements, elle voyait une jolie femme brune, aux longs cheveux et aux yeux vert, une peau halée. Elle se trouvait plutôt belle et elle aimait prendre soin d’elle. Charlie s’amusait à prendre des poses langoureuses avant de se reconcentrer et rire d’elle-même. Quand William rentrait, elle s’empressait d’aller le voir, lui raconter sa journée, lui demander comme la sienne s’était passée, elle ne se lassait jamais de parler, un moulin à parole, insatiable. Surtout quand il s’agissait de parler à William. Heureusement, il avait fini par s’y habituer et il s’agissait là également, peut-être, de ce qui avait fait son charme au début de leur relation. Ça, et sa force de caractère. Charlie voulait toujours avoir raison et elle avait beaucoup de mal à accepter que les autres puissent la contredire, surtout quand elle était sûre d’une chose. Sa force de caractère… sa mère s’amusait à l’appeler ainsi, pour d’autre, cela relevait juste une forme d’entêtement, ce qu’elle était après tout. Elle avait appris à vivre avec ses défauts, voire d’essayer de les améliorer. Elle était gentille, c’était déjà bien et sociable, les gens lui parlaient plutôt facilement et elle aimait parler aux gens.

C’était une fille joyeuse, toujours avide de nouvelles rencontres, mais ne supportait pas la déception, d’autant plus quand elle provenait d’une autre personne. Extrêmement rancunière, elle ne pardonnait pas facilement, voire jamais. Étant institutrice, elle aime bien, de plus, se trouver au commande et se trouve être autoritaire, bien que douce et sachant relativement manier les mots. Elle aimait à croire qu’elle arrivait à faire faire aux gens ce qu’elle voulait qu’elle fasse. Ce n’était pas de la manipulation, si les gens ne voulaient pas le faire, elle n’y pouvait rien et elle ne s’en servait pas à des fins individuelles. C’était une fille bien, tout ce qu’on pouvait trouver de bien en tout cas, avec des défauts comme tout le monde.

   

and blood on my hands

Petite et fière de l’être, Charlie ne mesure seulement 1,57m. Elle se trouve charmante et jolie, elle assume parfaitement son physique. Elle possède les cheveux mi-long ondulé et bruns. Les yeux vert, elle possède également les traits fins. Très souriante quand la situation le permet, elle laisse aussi ses cheveux pendre sur ses épaules. Elle est très mince et n’est pas forcément extrêmement musclée.

Assumant son physique, Charlie est une jeune femme extrêmement coquette. Elle aime porter des robes, des bijoux, se maquiller, prendre soin d’elle tout simplement. Depuis les évènements, ses rituels matinaux ont quelque peu changé, la peur lui nouant le ventre. Malgré cela, elle ne quitte jamais ses bagues et ne s’attaque que très peu les cheveux, sauf parfois, pour plus de praticité.

Elle possède une arme léguée par son père, qui pratiquait de la chasse et qui lui as appris ainsi que deux boites de cartouche. Elle possède également un couteau, qu’elle ne quitte pas malgré le fait qu’elle ne sache que peu s’en servir.

a storm is coming

Les élèves étaient déjà partis de la salle de classe et avaient emmené avec eux le bruit qu’ils pouvaient faire. Je jetais un œil sur les murs, couverts d’affichages, de cartes, de dessins, représentations à eux seuls de nombreuses choses que la classe avait vécu et s’apprêtait encore à vivre, signe principal d’un mois d’activité dans les locaux. Le mois d’octobre résonnait avec beaucoup de plaisir, annonciateur des prochaines vacances à venir, les élèves étaient épuisants. Me reconcentrant, je me plongeais à nouveau dans la correction des cahiers de mes élèves avant de prendre part au rangement de la classe. Je devrais songer à en parler le lendemain, l’hygiène et la propreté étaient une affaire de tous. Ce n’était ni à moi, ni à la personne chargée de l’entretien de ramasser les morceaux de papier, de remettre les chaises déplacés ou jetés négligemment par terre par les élèves.

Ayant terminé, je mis mon sac sur l’épaule, fermais la porte derrière moi et saluais d’un signe de la main Jean-Marc, le gardien de l’école, à la sortie accompagnée de mon plus beau sourire. Il fermait toujours derrière lui et était digne de confiance. De plus, cela avait toujours été une personne agréable et très intéressante. J’avais parfois l’impression qu’il avait quinze vies derrière lui. Sur cette pensée, j’atteignais ma voiture rapidement et roulais prudemment jusque chez moi. William n’allait pas tarder à rentrer également. Je me garais et commençais à préparer le repas de ce soir, je n’étais pas une excellente cuisinière, parce que créative. Ma nourriture n’était pas forcément toujours comestible, même si parfois les inventions n’étaient pas tous horribles à goûter.

Ma vie à Ravensdale était complètement banale, mais il y faisait bon vivre, malgré la fraicheur de l’état de Washington. Toutefois, ce fut à quoi j’avais toujours aspiré : une vie banale et heureuse. Gary, notre chien à William et moi, me quémanda à manger, ce que je lui refusais. C’était un chien de type berger allemand, très sociable et incroyablement gentil, si j’avais pu l’emmener à l’école avec moi, je l’aurais bien fait. Je n’avais jamais eu de soucis avec lui, il n’aboyait quasiment jamais, ce qui était une chance lorsque l’on vivait dans un lotissement. Je m’amusais à l’appeler le chien parfait. Ma mère n’habitait pas loin de chez moi, heureusement, depuis le décès de mon père il y a deux ans à cause d’un stupide accident de chasse, la solitude de ma mère fait peine à voir et nous essayons, Joan, ma petite sœur, et moi-même de passer autant de temps que nous le pouvions auprès de cette dernière. Cela était moins difficile pour ma petite sœur, de 15 ans ma cadette, qui vivait encore chez ma mère. C’était l’occasion pour moi de la voir, même si elle passait quand même de temps en temps chez William et moi. J’étais normalement heureuse, connaissant quelques tracas du quotidien, mais rien de très grave. J’étais entourée par une famille que j’aimais et qui m’aimait, ma vie était telle que je l’avais toujours imaginée. Je ne souhaitais rien réclamer d’autre.

Tout en coupant une tomate, mon regard se perdit dans la contemplation de la fenêtre. Ravensdale… C’était une petite ville dans laquelle j’avais toujours vécu, depuis toute petite depuis que mes parents m’avaient élevée. J’avais grandi, bercée d’amour et de soutien. J’avais la petite vie chouette de province que chacun pouvait espérer avoir : c'est à l'école que je rencontrais Grace, ma meilleure amie. Je tombais follement amoureux de son frère, William, passant d'une amourette d'enfant à un grand amour, j'ai commencé à sortir avec lui au lycée. Je rêvais, comme beaucoup de petites filles, de devenir princesse plus tard, mais la raison avait vite repris le dessus et m’étais appliquée à devenir enseignante.

on the highway to hell

J’avais terminé de préparer la salade lorsque William passa les portes de notre maison, il m’embrassa pour me dire bonjour et je lui demandais aussitôt si sa journée s’était bien passée.

- Le petit Mickaël, commençais-je, moqueuse, avait oublié son cahier de jour chez lui, enfin, d’après ce qu’il osa me raconter et jusqu’à ce même cahier se révéla au grand jour, manger par son chien, en lambeau, de son sac. Les enfants ne savent pas vraiment tenir leurs affaires propres, c’est incroyable, tu aurais vu l’état de la classe aujourd’hui ! Ce sont des CM1 et pourtant, quand on voit l’état de ma classe après les arts visuels, tu trouverais cela à peine croyable, continuais-je sur ma lancée en dressant la table. Tu m’écoutes quand je parle ? Demandais-je, en remarquant que William ne semblait pas intéresser par ce que je racontais.

Son regard était tourné vers le poste de télévision, qui diffusait les informations en ce début de soirée.

- Une piste d’intoxication est ouverte pour ces crimes, poursuivait le présentateur de télévision.

Je n’avais pas écouté un maître mot de ce qui avait pu se dire, mais le visage de William en laissait long à dire sur ce qu’il venait de voir.

- Chéri ? Que se passe-t-il ? Il semblait choquer, pour autant, sans que cela doive constituer une sorte de banalité, il n’était pas rare de voir des choses choquantes à la télévision.
- Le monde devient fou… Murmura-t-il, puis reprenant, plus fort. Des hommes et des femmes commencent à s’attaquer dans la rue, ils deviennent complètement tarés. Heureusement, ils n’ont pas mis d’images, je crois que cela aurait été encore plus choquant.

Avec un soupir de consternation, nous passâmes à table. Les évènements du lendemain nous donnèrent raisons. Il ne s’était strictement rien passée de « grave », du moins, de plus grave encore que ce qui se passait habituellement. Je me refusais de penser cela en terme de banalité, le meurtre et les crimes ne pouvaient pas être considérés comme des banalités quand des hommes et des femmes mourraient, dans d’atroces souffrances, comme le disait William. Deux jours passèrent ainsi, l’inquiétude commençait à grimper, mais ce n’était pas non plus extraordinaire. Les informations ne parlaient plus que très peu de ce « fait divers », ils en parlaient seulement pour dire que l’enquête avançait.

- C’est une machination ! S’écria un soir William qui était en train de lire une page internet.

J’étais en train de préparer un cours pour le lendemain, les élèves étaient inquiets et il était difficile de les contenir pour les rassurer. Je levais la tête de mes notes pour regarder William. Même Gary avait levé la tête pour regarder son maître, il semblait tellement insouciant.

- De quoi ? Lui demandais-je, curieuse de savoir de quoi il voulait parler.
- Cette histoire d’intoxication… Regarde-moi ces photos et ose-moi me dire ensuite qu’on ne nous cache pas la vérité ?

Bien malgré moi, je m’avançais de l’écran et regardais les photographes, montrant des personnes mortes, elles n’étaient pas du tout en bon état et je manquais de vomir en voyant les corps lacérés et mordus en divers endroits. Cela paraissait tellement irréaliste, comme tiré d’un mauvais film d’horreur.

- Tu sais c’est quoi le pire ? La rumeur circule que… les morts reviendraient à la vie… Il rougit, se sentant peut-être bête de dire cela.
- Comme tu le dis, dis-je en lui caressant la joue, ce ne sont que des rumeurs. Les morts ne peuvent pas se relever, dis-je d’une petite voix. Ce n’est pas possible, nous ne sommes pas dans un film d’horreur, mon chéri. Je sais que ce qui se passe te touche beaucoup, et cela me révolte aussi de voir toutes ces personnes mourir, dis-je en tempérant mes paroles, mais il faut surtout essayer de faire la part du vrai et du faux. C’est clair que nous ne savons sûrement pas tout, la preuve avec ces images, dis-je en englobant l’écran sans le regarder, mais des morts qui se relèvent ? Vraiment ?

Cela n’empêchait pas les gens de commencer à avoir peur, William était brave, il ne montrait pas son inquiétude, mais je voyais bien qu’il croyait à ces histoires. Pour moi, ce n’était que des rumeurs, non pas stupide, mais mués et inventés pour augmenter et alimenter notre terreur, cela ne servait à rien d’y croire. Le lendemain pourtant, la classe avait commencé à se vider, juste deux ou trois élèves par classe, juste assez pour contribuer davantage au sentiment de frayeur.

Pourtant, allongés dans les bras de William, j’étais obligée de croire à ce qui se passait et à la réalité des choses. Une part de moi ne le souhaitait pas, mais je n’étais pas imbécile. Un virus se trouvait bien confirmer, mais la situation restait sous contrôle. Ce n’était pas ce que William pensait, surtout en considérant les rumeurs qui circulaient sur Seattle, la ville la plus proche, concernant les morts. Ravensdale ne fut pas particulièrement touchés par la vague de militaires, ce fut surtout les grandes villes, mais nous n’en étions pas moins inquiétés. Ma mère souhaitait rejoindre la ville de Seattle, où elle pensait être plus en sécurité. Joan serait avec elle. Je ne pouvais pas encore partir, l’école comptait sur moi.

William décida de prendre les choses en main et en me promettant de revenir au plus vite me chercher, il décida d’amener ma mère et ma jeune sœur à Seattle. J’espérais qu’elle serait rassurée, il s'agissait de sa demande folle. Je ne comprenais pas sa volonté de se rendre dans une ville beaucoup plus dense que la nôtre, d'autant plus que les autorités compétentes prononçaient le contraire. Ma mère, tout comme William, soulignait que l'on ne pouvait pas avoir confiance à ces autorités. Ma famille ne fut pas les seuls à partir sur les routes, à la recherche d’un abri plus sûr en ville. Ce fut juste après cette vague de déplacement que le gouvernement obtempéra pour demander aux populations de ne pas céder à la panique et de faire le moins de mouvement possible. A l’école, il y avait de moins en moins de personnes, mais je m’obligeais à y aller tous les jours, d’autant plus que seul avec Gary, je me sentais seule et je me morfondais dans l’inquiétude à l’idée de savoir William, ma mère et ma sœur sur les routes, sans nouvelles d'eux.

Les jours passèrent, rapidement, et un discours du Président de la République ne me rassura pas du tout. Selon lui, un vaccin était en cours de recherche et surtout, que la situation était sous contrôle. Ne l’avait-il pas dit quelques jours auparavant ? Il ne me semblait pas que la situation était sous contrôle, tout cela était tellement pénible. Seul Grace et son mari étaient restés à Ravensdale, tant mieux, elle était d’une présence rassurante, malgré le fait qu’elle avait une frayeur monstre de ce qui était en train de se passer.

Dix jours après les premiers évènements, des camps de réfugiés près des villes furent ouverts. J'espérais que ma famille déciderait de revenir, avec William. Mon instinct me criait de fuir les grandes villes, d'où la raison pour laquelle je me trouvais encore à Ravensdale. J’étais tellement inquiète pour eux. J’autorisais même Gary à dormir avec moi, sa chaleur me protégeait. L’épidémie se révélait mondiale, les choses dégénéraient. Selon la formule des spécialistes, c’était le début de la fin. Ma gorge se serrait à cette idée et la terreur manquait à de très nombreuses reprises de me paralyser. Me rendre à l’école ne servait plus à rien, plus personne ne s’y trouvait. Puisqu’on nous avait précisé de rester chez nous, c’est ce que je fis. J’essayais de me rationner niveau alimentation. Je me sentais de plus en plus seule, j’avais de plus en plus peur. Grace ne passait plus, quelques jours auparavant, elle m’avait expliquée qu’elle comptait partir avec son mari au plus vite et m’avait invité très fortement de partir avec eux, je ne pouvais pas accepter. William allait revenir. Ce fut au supermarché que je faillis mourir pour la première fois. Je n’avais plus rien dans les placards, j’avais été obligée d’y aller. Madame Marind se trouvait là, l’œil hagard, elle ne semblait pas me voir, mais pourtant, un instant fort semblait la pousser vers moi, les bras tendus, le souffle rauque, son corps semblait toutefois normal, mais son regard ne me trompait pas. Elle n'avait plus l'air humaine. C'est alors que je compris la réalité qui commençait à m'entourer : les morts revenaient vraiment à la vie. Avec mes maigres jambes, je courrais, m’enfuyant, laissant ma nourriture pour retourner dans la sécurité – ce que je croyais l’être – de mon foyer.

Les jours passaient, inlassablement et William aurait déjà dû revenir une semaine auparavant. La ville n’était pas si loin que cela, surtout en voiture. Il y avait eu probablement des complications et je ne pouvais m’empêcher de me ronger les ongles à l’idée de ce qu’il avait pu arriver à ma famille et à mon chéri. Je pleurais souvent, trop faible pour les évènements. Avec une horreur non dissimulée, je décidais de ressortir l'arme de mon père, celle qui m’avait été légué à sa mort et dont j’avais appris à me servir avec mon père lors de nos parties de chasse. Je ne pourrais pas survivre infiniment, je voulais me battre. Je voulais retrouver William qui était toujours vivant, j’en étais persuadée, je refusais de penser à une autre éventualité.

time to meet the devil

   
• pseudo › sur internet, Charlie Bushbury
   • âge › 21 ans

   • comment as-tu découvert le forum ? › En cherchant un forum RPG sur Walking Dead
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   • présence › Le plus possible !

   • code du règlement › OK par Jay
   • crédit › By Tumblr and me
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Sam 31 Oct 2015 - 23:44

Bienvenue pour la seconde fois ici Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury 1342238320
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Sam 31 Oct 2015 - 23:47

Aha merci ! J'espère qu'il n'y a pas de mise à jour pour tout de suite (mais bon, d'un côté, j'ai pu m'inscrire pour le groupe traveller donc c'est tout bénéf)

*Croise les doigts*
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Dim 1 Nov 2015 - 3:41

Bonjour Savannah et (re)bienvenue !

Avant toute chose, on va devoir modifier ton pseudo. En effet, Jane est un prénom déjà réservé donc pour éviter d'éventuels malentendus ou autres, deux choix possible :
- soit, comme pour tout ceux qui ont un second prénom pas utilisé, on met "J." à la place ;
- soit, on enlève tout simplement.

Tu nous diras ce que tu choisis et on modifiera en conséquence.

Aussi, il y avait un petit problème dans ta fiche avec le code, du coup j'me suis permis de la réparer pour que ça soit tout propre ^^
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Dim 1 Nov 2015 - 11:25

Merci, c'est génial (je n'ai pas réussi où était la faille ><)... Alors du coup, si c'est possible, parce que pour moi Savannah Jane était un ensemble chouette, est-ce que ce serait possible d'enlever Savannah Jane pour mettre Charlie ? Merci d'avance, si c'est accepté, je modifierais ma fiche, bien entendu !
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Dim 1 Nov 2015 - 12:03

Hell'comeuh !
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

Dim 1 Nov 2015 - 16:19

Ton nom est changé Wink
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Re: Une vie à toute épreuve - Présentation de Charlie Bushbury

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