Méfiance : S’étant souvent fait rouler lors de sa vie, que ce soit avant ou après l’épidémie, Nick n’accorde pas facilement sa confiance à autrui. Il préfère donc procéder lentement dans ses relations, établissant lentement mais sûrement ses liens avec les membres de son groupe ou alors avec les survivants croisés lors d’excursion.

Introverti : Lorsqu’il était gamin, Nicolas était du genre réservé, voir timide. Tête en l’air, les autres enfants s’amusaient souvent à ses dépens, ce qui conduisit notre protagoniste à s’ouvrir difficilement aux autres.

Opiniâtre : Bien qu’il ne s’exprime pas beaucoup en publique, Nick possède toujours un esprit-critique et offre son opinion en temps et lieux. Cependant, son manque de tact social s’affiche par sa façon de s’exprimer, avec une ténacité presque malsaine. En effet, quand il décide quelque chose, « c’est comme ça ».

Désinvolte : Ayant vécu de façon solitaire une grande partie de sa vie, Nick ne possède pas la sociabilité commune de certaines personnes. En effet, il perçoit tout et tous avec un degré d’arrogance à la seconde ou des dissensions se crée entre lui et autrui.

Rancunier : Lié avec son sentiment de méfiance quasi permanent, Nick ne pardonne pas si facilement une fois la confiance brisée, et ce depuis sa jeunesse. Peut-être est-ce une bonne chose dans l’époque actuelle, en fait…

Généreux : N’ayant pas vécu le grand luxe au cours de sa vie mais ayant reçu une éducation tendre de la part de sa mère, Nicolas a le cœur sur la main malgré la couverture de son livre. Au risque de souffrir de la faim de temps à autres, il n’a jamais hésité à partager ses rations lorsque le temps se faisait plus rude. Toujours prêt à donner un coup de main, il n’attend jamais rien en retour. Le « karma « s’occupe du reste, comme il le dit si bien.

Discret : Certains voient cela comme un défaut, mais pas Nick. Sa manie de ne pas se mêler des choses anodines de la vie, autant avant que maintenant, lui a valu plusieurs compliments de la part de ses pairs. Loin de créer du remue-ménage, certains aiment même se confier à lui, sachant leurs secrets bien gardés.

Attentif : Nick a toujours été un individu attentif à ce qui l’entourait et l’entoure aujourd’hui. Cela lui a même sauvé la peau à maintes reprises. Méticuleux dans ses gestes, il s’assure toujours que tout soit selon les plans avant au lieu de jouer les braves et de se jeter dans la gueule du loup… ou dans ce cas-ci, des rôdeurs.

Sincère : Vous voulez une histoire rose entourée de barbe-à-papa pour vous rassurer dans votre estime personnelle ? Oubliez le projet avec Nick. Il n’emballe pas ses propos dans un joli paquet cadeau de mensonge. S’il a quelque chose à dire, il le dira directement et ce sans le moindre détour enjolivé.

Loyal : Confiance obtenue, ami fidèle s’en suit. Nick n’a qu’une parole et a toujours offert sa loyauté, parfois à tort, à ceux qu’il jugeait dignes de l’obtenir.
Nick n’est pas du genre « évolutif ». Ancré dans une personnalité qu’il a forgée depuis la jeunesse, l’épidémie n’a fait qu’accentuer les traits qu’il possédait déjà.
→ Votre texte doit expliquer chaque trait de caractère (qualités/défauts) que vous aurez choisi dans la partie précédente.

Nicolas mesure 1m80, c’est-à-dire 5 pieds 9. S’étant toujours gardé en forme, il possède donc une musculature modérée, fine mais puissante. Au niveau de ses traits généraux, Nicolas arbore une chevelure un peu désordonnée de couleur brun foncé et une barbe de quelques jours qu’il ne prend pas toujours la peine de taillée. Manque de temps ? Manque d’envie ? Ses yeux sont sombres et légèrement en amande, lui donnant parfois ce petit air espiègle lorsqu’il les plisse.

Nicolas a accumulé quelques cicatrices au cours de sa vie, notamment sur les avant-bras pour s’être brûlé à quelques reprises sur des pièces mécaniques durant sa vie. Elles sont de formes variées ; rondes, longilignes, en étoile, etc. On en compte environs 6 ou 7, réparties sur le bras gauche et droit.

Il n’a aucun tatouage dû à sa peur des aiguilles.

En matière d’équipement, Nicolas possède un Glock 18, récupéré chez son voisin Johnny au début de l’épidémie, un couteau de chasse subtilisé sur le cadavre d’un rôdeur ainsi qu’un pied de biche trouvé dans le sous-sol d’une maison abandonnée.

Pour ce qui est du reste, il traîne toujours avec lui une gourde, une boussole, un canif-suisse et une corde de 15 m, le tout gardé précieusement dans un vieux mais solide sac-à-dos offert par le camp.