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4 participants

Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 18:35


Isaiah Walltell me more about you

prénom(s) : Isaiah
nom : Wall
date de naissance : 08 février 1987
âge : 35 ans

ville de naissance : Vancouver, Canada.
métier : Trappeur
groupe : Travelers (The Haven)

avatar : Ricky Whittle

what i am

qualites
intrépide
ingénieux
patient
protecteur
autonome
defaults
inquisiteur
solitaire
borné
froid
hautain
Equipement :
Une petite trousse de soin rudimentaire : Garrot, compresses, sparadrap et ciseaux.
Couteau de survie type Esee 5 avec allume feu.
Une carabine à verrou Browning .308 avec une petite lunette de chasse. Sans munitions la plupart du temps.
Une poche fourre-tout.
Un gros sac de voyage
Details physiques :
Grand et rustre, 1m90 au bas mot, environ 80-85 kilos. Souvent habillé avec des peaux de bêtes tannées et préparées. Rien qui ne sort de l'ordinaire en surface en fait. La peau, en revanche, a écopé de pas mal de traces au court de sa vie, la mâchoire d'un couguar sur l'avant bras gauche, des griffures un peu partout,  qu'elles soient d'origines animal ou végétale... On oublie trop souvent que les arbres sont violents. Fun fact, quand il avait vingt ans, il s'est fait transpercé un bout de cuisse par une branche en trébuchant, effrayé par le cri sauvage d'un castor...

Psychologie

Quand on passe la plus grosse partie de sa vie dans la sauvagerie de la nature, on se forge un sacré caractère. Il faut déjà savoir se débrouiller seul, on ne survit pas  en territoire hostile en dépendant de quelqu'un. Pour aller plus loin, je dirais même qu'on ne vit pas si l'on dépend de quelqu'un... Mais c'est un autre sujet. Il faut être malin, inventif et rusé, il faut prendre l'animal qu'on cherche à contre pied et il ne faut pas en avoir peur ! L'animal sent la peur, il faut du courage et peut être un peu de folie. Il faut s'armer de patience et attendre de longues heures, parfois pour un résultat médiocre voir inexistant. Ce peut être très frustrant comme mode de vie, mais je l'aime comme ça. J'ai fait des erreurs, j'en fais encore, mais je sais ce que je fais et j'ai pas besoin de conseils d'autrui.Le monde de maintenant est encore plus intransigeant et une erreur peut s'avérer fatale. Alors il faut être têtu et ne jamais abandonner, parce qu'elle, la nature, ne vous lâchera pas.
Alors oui, à force d'être seul sans contact humain, surtout depuis que la fin du monde a sonné, on fini par en perdre les codes et les mœurs... La gêne n'est plus là et l’indiscrétion n'existe plus. J'ai tendance à ne pas trop aimer le contact, être chaleureux ? Très peu pour moi. On ne fait plus aussi facilement confiance, même si ça a rarement été le cas par le passé... Et on protège ce qu'on a de plus cher, nos ressources, nos compagnons... Ce qui nous fait avancer et donne une raison de nous lever. Quand je vois tout les gens qui se regroupent pour mieux survivre, pour mieux s’entre tuer, je me dis que j'aime ma vie tout seul. Je n'ai besoin de personne et personne ne dépend de moi. Même Gandhi était plus autonome que certains humains...




Story of survival


Pour être honnête avec toi, je n'aime pas parler de mon passé et de ce qui fait ce que je suis aujourd'hui. Encore moins avec un inconnu. Mais si je suis obligé de passer par les quelques points clés qui parsèment ma vie, alors en voici quelques uns.

Je suis né le 8 février 1987... C'était mon anniversaire y'a pas si longtemps et j’attends toujours mes cadeaux, oui. A Vancouver si tu veux tout savoir, mes parents n'étaient pas trop friands des hôpitaux de campagnes, alors voilà, j'suis un gars de la ville de naissance. Mais ça à très vite changé ça. On est repartit aussitôt dans le fond du Canada, Prince Rupert, tout à l'ouest pas si loin de l'Alaska, encore que. La ville n'était pas très grande, mais comme toute ville Canadienne qui se respecte, elle possédait des infrastructures pour faire du patin à glace... Forcément, j'ai passé quelques années dans l'équipe de hockey sur glace. J'aurais été assez fou pour être gardien de but, mais je n'arrivais pas à rester en place aussi longtemps, alors j'avais vite fini sur le terrain. Si tu regardes bien sur mon nez au niveau des yeux, j'ai une cicatrice... J'ai pris un palet en pleine gueule, rien d'agréable, mais c'était la bonne époque !
Petit, j'étais un casse cou sans nom, ça m'a valu quelques fractures et un nombre incalculable de contusions. Je me rappelle très bien avoir prit la trempe de ma vie quand j'ai fait fuir un caribou lors d'une « initiation » à la chasse par mon père. Il criait qu'il n'avait rien fait au bon Dieu pour hériter d'un fils aussi con... Mais au fond il m'aimait et j'ai compris quelques années plus tard l'intérêt qu'il portait à la nature, à la chasse et la trappe, je compris qu'il voulait me transmettre sa passion et ses  valeurs. Je me souviens encore de l'engueulade entre le père et la mère quand j'avais été me plaindre en rentrant. Ma mère était toujours dans la surprotection, elle travaillait au service des urgences à l'hôpital et ce qu'elle voyait lui donner ce côté protectionniste dont j'ai hérité... Peut être que sans ça, j'aurais fini pire que maintenant, va savoir.

Une fois la puberté passée, j'y pris goût aussi et je le suivis partout. Cette fois en m’appliquant et en l'écoutant à la lettre. Bien sûr,  comme tout gamin de cet âge, je n'avais pas que ça dans ma vie. L'école, les potes et les filles évidemment. Je me rappelle que petit, si les filles ne m'avaient ne serait-ce qu'un bisou, elles auraient probablement écopées d'un coup de tête à la Zizou, mais depuis que la puberté avait fait son entrée, une caresse faisait danser la country à mon caleçon... Comme quoi, on change.
L'école n'était pas vraiment mon fort, rester assis sur une chaise à écouter un gugusse débiter son « savoir », l'apprendre aussi vite que possible pour l'oublier ensuite... Ma mère avait insisté pour que j'obtienne un diplôme et je l'avais écouté. Après l'école générale, c'était déjà plus intéressant, tu choisissais ta spécialité et ils arrêtaient de t'enseigner les bases de la trigonométrie... Je m'étais orienté vers un bachelor's degree en zoologie à Vancouver. Mais l'envie de retourner dans la nature me démangeais, surtout après toutes ces années passées en ville. Alors je retournais trapper avec mon père à Prince Rupert, avec du savoir en plus sur la biologie animal et autre...

J'avais eu pas mal de relations avec des filles à Vancouver. C'était sympa, mais c'était plus contraignant qu'autres choses. Aucune ne faisait l'effort de comprendre ce qu'est un trappeur et peu d'entre elles acceptaient mes longues absence. Une seule, Keeno, elle était de Vancouver et elle refusa de tout plaqué, même pour moi, pour retourner avec moi à Prince Rupert. Aucune idée de ce qu'elle est devenue et si elle est encore à  Vancouver, j'en doute. C'est là où je me rend compte que le paternel avait de la chance, avoir trouver une femme qui accepte ça... Elle vivait sa petite vie, triait les patients aux urgences et ne se plaignait jamais. Jamais. Pourtant, je pense qu'elle en avait vu des abrutis blessés par leur propre connerie.
En 2012, mes parents décidèrent de prendre une retraite à Vancouver, pour maman. Alors je restais au Canada et récupérais leurs biens. Ils firent quelques passages, surtout le paternel pour la chasse. La vie a Prince Rupert n'était pas de tout repos, je suivais les traces de mon père. Il était devenue maître dans la trappe et on partait souvent dans la toundra canadienne. De Prince George aux mines de Grand Duc... La nature sauvage nous ouvrait ses bras et nous laissait observer ses merveilles... Et si on en était capable, elle nous offrait bien plus.



Octobre/Novembre 2015 : Cela fait quelques semaines déjà qu'ils nous cassent les oreilles aux informations, qu'elles soient sur internet, télévisuelles, radiophoniques ou même papiers ! Toujours la même rengaine dans les journaux, un virus sans précédent touche les Etats-Unis d'Amérique, la grande puissance vacille sous la maladie. Elle rend les gens agressifs, on peut voir des gens en manger d'autres sur des vidéos. Des clips choquants où des flics vident des chargeurs sur la population qui ne s'effondre pas.

C'est surréaliste mais c'est loin, il fait trop froid ici pour que le virus survive, du moins c'est ce qu'on pense. C'est pas comme si nous croulions sous le tourisme. Mais la vie ne change pas beaucoup ici, on se tient informé pour nos familles là-bas ou par habitude, on regarde l'évolution du truc... Rien de beau. C'est impressionnant, c'est tout. Ouais, c’est tout jusqu’à ce que ce que ça vienne frapper à notre porte. Il a pas perdu trop de temps, moins d’un mois. Nous qui nous pensions en sureté, le virus est arrivé en Colombie Britannique, certainement à cause du port. Je n'y croyais pas au début, un homme agresse un tenancier d'épicerie qui finit avec le bras arraché. Puis qui se relève à la morgue. Le genre de connerie qui laisse pas indifférent, même moi. Je sens bien que ça commence à sentir mauvais et quand la fin de l’ordre tel qu’on l’a toujours connu vient entraver les communications, je tarde pas à prendre ma voiture et rejoindre Vancouver dans l’espoir d’y retrouver mes parents qui ont fini par s’installer en ville pour offrir à ma mère un semblant de cette vie qu’elle a toujours sacrifié pour la passion de son mari.

J’vais pas vous faire un dessin, je les ai pas retrouvé exactement dans le même état que je les avais laissés… C’était trop tard bien sûr. C’est qu’il m’a fallu un peu plus de temps que prévu pour rejoindre la ville avec les émeutes, la panique sur les routes… Je saurais pas dire précisément ce que j’ai ressenti en voyant les cadavres réanimés de mes vieux. Le plus dur, sans conteste, ça a été d’achever mon père. Lui qui m’avait tout appris et que je croyais invincible depuis le temps… Bref. J’ai compris que c’était la merde à ce moment-là.

2016 : Clairement, l'odeur dans l'air ne me plaît pas et je n'ai pas envie de rester dans la ville, surtout pas ici. Il faut éliminer les risques et le contact humain est le plus gros. Je prends mon chien Gandhi, un malamute d'une cinquantaine de kilos qui n'a pas oublié comment chasser le caribou, mes affaires, et je roule sans m’arrêter jusqu’au sud. Le frère de mon père a une cabane, pas très loin de la frontière. C'est rustique mais c'est là que je passais la moitié de l'année avant, partageant mon temps entre ma Colombie-Britannique natale et le sol de l’Oncle Sam. Le plus gros souci dans le North Cascades National Park, ce n'est ni la végétation, ni la température non. Le plus gros souci, ce sont les grizzlies. Ces salopards sont des machines à tuer, mais si encore ce n'était que ça... Ils sont aussi très futés et m'ont souvent chapardé des animaux attrapés par mes pièges. Les rodeurs étaient problématiques, même si assez facile à éliminer quand ils ne sont pas en meute, à l'instar d'un loup faiblard. Je vis comme ça quelques mois, plus d'un an je dirais. Mon oncle n’est jamais apparu, même si, très franchement, je n’ai jamais nourri de réels espoirs à ce sujet.

Printemps 2018, je me suis décidé à m’arracher de la montagne pour descendre vers la ville. Je reste sur la route, enfin à côté, la route n'est pas sans risque. J’esquive les quelques individus que je croise, par méfiance et parce que plus d’une année à vivre en autarcie avec pour seule compagnie Gandhi m’a quelque peu fait régresser sur le plan social. Je m’aperçois vite que quitter mon refuge était une erreur, la ville n'est plus debout, croiser des êtres humains s'avère rare et pénible. Des menaces, des pleurs, des implorations... Le troc fonctionne bien, mais la compagnie humaine ne me plaît pas, la confiance n'est pas là, sauf pour Gandhi. L'observation m'a apprit beaucoup sur le comportement humain et beaucoup préfèrent tuer qu'aider. Je fais route vers Seattle, malgré tout, des rumeurs disent que la ville a tenu malgré tout et qu'on peut y trouver refuge. Spoiler alert : C’est faux. La cité émeraude est un véritable charnier, un nid à rôdeurs et à pillards. Le demi-tour est vite amorcé et la décision de ne plus jamais m’y aventurer est prise. Je ne sais pas encore que je ne tiendrais pas mon engagement… L’année qui suit ressemble étrangement à la précédente. A la différence près que cette fois, je me suis installé au Mont Rainier. Et si j’ai bien failli me faire bouffer une fois ou deux par un ours et même un cougar une fois, la présence des rôdeurs et des hommes reste anecdotique.

Hiver 2019 : C'est lors d'une session de chasse que Gandhi renifle un gibier inhabituelle. Toujours sur mes gardes, c'est une femme que je retrouve marquée par le chien. Elle est amochée, inconsciente. Je n'ai aucune raison valable de la récupérer et l'idée de la manger ne m'intéresse pas. Comme elle est, elle ne passera pas le mois... Encore moins l'hiver. Mais en revenant sur les lieux quelques jours après pour vérifier, il n'y a aucun cadavre. Remontant la piste, c'est une sorte de chalet que je découvre, habité d'ailleurs. Je passe alors une partie de la saison à les observer depuis l'extérieur. Ils font preuve d'une générosité intéressante, ils ont récupéré la femme et la remette sur pieds petit à petit. Ils ont l'air amicales et se serrent les coudes, même si leurs vivres n'ont pas l'air d'être présent en abondance, ils partagent équitablement. La rencontre, à proprement parler, se fit autour d'un de mes pièges. L'un d'eux s'en était approché trop près et s'était retrouvé coincé dans le piège. Le marché fut le suivant : je le sortais de sa situation et il me présentait au groupe. Gabriel qu'il se nommait, pas très loquace et un accent à couper au couteau. L'échange de mots se fit bref, on avait l'air de se ressembler. C'est de cette façon que je fini l'hiver, au chalet, apprenant quelques astuces de chasses et ramenant de quoi se nourrir.

Mars 2020 : Elena, la brune que j'avais laissé pour morte une saison plus tôt, fait part de sa connaissance d'un lieu de marché et d'échange, le No Man's land... Curieux nom pour un endroit grouillant de vie. J'hésite mais ces gens on fait leur preuve, je peux les croire. Tel un grand souk, j'échange mes biens contre d'autres. Mais les gens y sont présents en trop grand nombre, rien ne m'inspire la confiance ici. Chacun y voit son petit profit personnel et je prédis un désastre dans peu de temps... Je note cependant l'adresse et compte bien y revenir quelques fois par an pour y faire du troc, mais rien de plus. J'abandonne mon groupe et repars vivre seul. Le chalet était intéressant en hiver, mais la saison chaude de l'été me fit décaler plus au sud, vers les sources d'eau du parc du Mont Rainier, plus agréable et riche en ressources.


Fin 2021 : La ville a changé, le marché surtout. L'armée ou ce qui s'en rapproche fortement. Des uniformes, des fusils d'assaut, des blindés et une hiérarchie inébranlable. Tout ce petit monde s'est installé, de force, dans la ville. Avec une certaine candeur, je m'approche de leur base. Des sommations, des canons de fusils braqués sur moi. On manque de me tirer dessus alors que je suis ici dans l'idée de marchander. Nous aurions donc un intérêt commun... Mais il est clair qu'ils n'ont pas besoin de moi et je fais demi tour. Essayant de négocier une éventuel entrée dans leur camp, je m'approche de quelques pas les mains au dessus de la tête, en gage de paix. Mais au lieu d'insister, un enculé de ces fanatiques à ouvert le feu. Une rafale, mal contrôlée. J'ai d'abord pensé qu'il avait tiré en l'air, un coup de semonce. Ayant détalé dans la direction opposé au premier coup de feu, ce n'est qu'après que je réalisais qu'ils avaient tué mon chien... Bien à l'abri derrière leurs protections, je ne pouvais rien faire... Pour l'instant.
Quelques temps plus tard, je croisais la route de marchands, dans une situation similaire, si j'ose dire, à la mienne. Des objets, des denrées, des ressources à échanger. Ils avaient pour habitude de se rendre dans une ancienne paroisse transformée en une sorte de marché entre Federal Way et Renton. Une sorte de No Man's Land de petite envergure. Je décidais de faire le petit bout de chemin avec eux et échangeais mes biens contre des végétaux en conserve ou en bocaux et quelques autres babioles. L'endroit était intéressant et les gens plutôt accueillant. Ils avaient nommé leur truc "The Haven", un peu présomptueux mais ça avait l'air de tenir la route. J'annonçais aux tenanciers que je repasserais certainement à la fin de l'hiver avec de la viande sauvage et du cuir de bonne qualité. Ils m'offrirent du travail dans les champs à la bonne saison, ce à quoi je ne répondis ni par l'affirmation, ni par la négation... Ce pouvait être intéressant d'avoir des légumes frais de temps en temps.


Et bien c'est là une question plutôt difficile... Les jours se suivent mais changent. Mais si je devais résumer le tout en une journée... Elle serait remplie de patience, de ténacité et de chance. Un réveil aux aurores, quand il fait encore nuit mais que le soleil pointe le bout de son nez. Il faut sortir de l'abri avant le jour pour avoir les traces les plus fraîches qu'il soit. On les suit, on les sent, on va même parfois jusqu'à les goûter, très rarement. Et puis quand on trouve des motifs, des répétitions, on installe des pièges. Parfois simplistes, parfois plus complexes. Parfois en évidence pour leurrer, parfois effacé complètement du paysage. Il faut se dire que l'animal est plus futé que nous, qu'il a plus de nez, plus d'oreilles et plus d'instinct, généralement. Alors il faut rusé, faire ce dont il ne s'attend pas. Une fois le piégeage en place, il faut attendre. La chasse est également présente, mais dans un autre coin pour éviter de faire doublon. Puis le tannage des peaux, le débitage, le séchage... J'évite de trop faire fumer, ou alors je fais en sorte de masquer la fumée au mieux.
Certaines saisons, quand tout est prêt, je me rend dans certains campements dont j'ai la connaissance pour effectuer du troc. Et puis je rentre dans ma sauvagerie. Une vie d'ermite si l'on veut, accompagnée d'un gros malamute, enfin, quand il était là...


time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Benjos
• Âge irl : 28
• Présence : Hmm
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Élena... Elle m'emmerde.
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [x]
• Crédits (avatar et gifs) Moua

• Code du règlement He who sat on it had the name Death

fiche (c) langouste.
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 18:40

Et bienvenuuuue !

Super choix de FC, on le voit pas assez Ricky ! :106:


I've always liked to play with fire.
ANAPHORE
Indiana Crawford
Indiana Crawford
The Nomads
Modératrice
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 18:42

Bienvenue à bord ! :smile34:

N'hésite pas si tu as des questions ! =D



bienvenue sur le forum !


Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !
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Anonymous
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 18:45

tu mens, tu m'aimes trop
Invité
Anonymous
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 19:13

Rebienvenue même ! :MisterGreen:
Alors, bien Dying Light 2 ?





Light this world

ANAPHORE
Neela J. Yeo-Jeong
Neela J. Yeo-Jeong
Administratrice
She-Hulk
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 20:15

Hello ! Sois le bienvenu Smile
Invité
Anonymous
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

Ven 11 Fév 2022 - 20:59

re bienvenue a toi! J’espère a tres bientot en rp Wink
Invité
Anonymous
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Re: Isaiah Wall - Bear Grylls sans urine

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