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It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 19:36


Peter W. Elwood
37 ans Américaine Marines Travelers
i've got a war in my mind
Dès son plus jeune âge, Peter s’est montré être quelqu’un d’intelligent. Assez pour qu’au fil des années, il puisse étudier sans faire beaucoup d’efforts. Ce fut d’ailleurs une qualité qu’il l’a grandement aidé lors de son entrée chez les Marines et au cours de la période où il a été au sein du système des Marines pour faire des études.

« Semper Fidelis », toujours fidèle, telle la devise des Marines, Peter est quelqu’un de loyal envers ses amis ou les personnes qui ont gagné son respect. Il essaiera d’ailleurs toujours d’aider les autres, sans doute l’une des raisons qui l’a poussé à rentrer dans l’armée. Même si pour cela, il devait se montrer téméraire face au danger et mettre sa propre vie en jeu.  Surtout qu’il estime devoir se racheter après ce qu’il a fait au cours de l’épidémie.

Malgré cette témérité, cela ne l’empêche pas d’être quelqu’un de réfléchis. Combiné à son sens de l’observation, il est capable de prendre rapidement des décisions, qualité qui l’a sans doute aidé à devenir chef d’équipe chez les Marines. Toutefois, ceci n’a pas toujours été une bonne chose car dorénavant il a tendance à se montrer directif dans ce qu’il entreprend. De plus, grâce à sa formation, la débrouillardise qui le caractérisait déjà a pu nettement se développer.

L’un des plus grands défauts de Peter qui l’a sans doute pénalisé à plusieurs reprises et son caractère borné. Que ce soit dans les disputes avec ses copines ou juste pour avoir raison, il a du mal à arrêter quand il a une idée en tête.

Rancunier et orgueilleux. Un beau mélange. Malheureusement pour les autres Peter et à la fois l’un et l’autre. Il ne va pas forcément oublier rapidement si on le vexe ou s’il éprouve une certaine rancœur pour quelqu’un. Surtout si cette personne le blesse dans ses compétences. Pire, si cette personne a raison. De plus, Peter a tendance à se montrer sarcastique, notamment lors de disputes.

   
   

Blond, les yeux bleus clairs, une légère barbe, Peter fait 1m80 pour environ 80 kilos. Il est dur de connaître son poids exact sans balance. Sans parler du fait qu’avec les temps qui courent il était difficile de se nourrir convenablement, chacun mangeait ce qu’il pouvait manger. Pendant qu’il avait la chance de le faire, et Peter ne dérogeait pas à la règle.

Malgré la fin du monde, Peter garde une certaine forme physique. En effet, il continue autant que possible ses exercices militaires qu’il fait tous les matins. Si la situation lui permet, bien évidemment. C’est aussi une des seules choses qui l’occupe vraiment.

Le militaire dispose en général d’un gilet tactique qu’il porte dès qu’il doit sortir quelque part. De plus, il dispose d’un Desert Eagle dans un holster attaché à la jambe et d’une M4. Il possède également un sac à dos où il garde une gourde d’eau et des affaires.
the last of us

  C’est à Détroit que le 13 Septembre 1979 qu’est né Peter William Elwood par une des dernières belles matinées de l’été. La famille Elwood était l’une de ces familles modestes des Etats-Unis. Le père de Peter travaillait dans l’une des nombreuses usines automobiles de Détroit. Quant à sa mère, elle était serveuse dans un petit restaurant de la ville. Ils ne roulaient clairement pas sur l’or.

Malgré cela, Peter a eu une enfance normale, voire banale, et plutôt heureuse. La famille s’en sortait tant bien que mal, mais elle n’avait pas à se plaindre. Dès ses premières années à l’école, Peter se montrait plutôt doué, bien qu’il se contentât rapidement du strict minimum sans jamais forcer pour avoir de meilleures notes. A quoi bon se fatiguer ?

C’est cette logique qui le suivit tout au long de ses années d’école. Collège, lycée. Les professeurs voyaient pourtant un élève appliqué qui faisait des efforts lorsqu’on lui demandait. Peter savait parfaitement qu’il pouvait faire mieux, mais il n’en avait pas l’envie. Or, généralement, lorsqu’il n’a pas envie de faire quelque chose, il ne le faisait pas. Ou du moins, il se contentait du minimum syndical.

Peter était donc un élève agréable qui suivait en cours et faisait le travail demandé – souvent au dernier moment, le matin même. Les seuls reproches qu’on put vraiment lui faire furent les quelques bagarres auxquelles il participa parce qu’il ne s’occupait pas de ses affaires.

Alors âgé de 17 ans, les choses prirent une tout autre tournure pour Peter ainsi que toute sa famille. La petite usine où travaillait son père due mettre la clé sous la porte, et père de Peter perdit par la même occasion son travail. La situation financière des Elwood était alors très préoccupante. Ils arrivaient à vivre, mais la famille ne pouvait rien se permettre à côté.

Rapidement lassé de cette situation, Peter décida de faire quelque chose. Il avait cet ami au lycée – enfin une connaissance plutôt – qui n’était pas réputé pour être quelqu’un de très fréquentable et la nature de ses activités, pour le moins illégale, était connue de tous. Peter savait qu’il pouvait se faire de l’argent, et c’est exactement ce dont il avait besoin. Tant que cela ne faisait pas de mal à qui que ce soit, il s’en foutait pas mal. Il devait s’occuper de sa famille.

Mais voilà, ses parents posèrent rapidement les questions qui fâchent. En même temps, voir leur fils ramener de l’argent tomber du ciel cela éveillait les soupçons. Peter expliqua qu’il avait fait quelques paris sportifs et qu’il avait tout simplement eu de la chance. Ce qui n’était pas trop loin de la vérité, bien que les paris ne fussent pas forcément légaux. Voire pas du tout en réalité. Le jeune homme prenait soin de ramener toujours des sommes qui paraissent crédibles à ses parents. Mais ces derniers n’étaient pas dupes. Cela occasionna quelques disputes mais Peter gardait sa position.

Toutefois quelques semaines après le début de ses activités parallèles, un de ses professeurs le prit la main dans le sac. Le professeur, un ancien Marine, et Peter eurent donc une longue conversation. Le jeune homme pensait qu’il allait se faire incendier, voire virer de l’établissement. Il voyait déjà la réaction de ses parents, leur déception dans leurs yeux et la honte qui allait s’abattre sur lui. Mais non, son professeur ne montra qu’une certaine incompréhension et déception. Il ne s’attendait pas à cela de la part de Peter. Ce dernier dû expliquer la situation, la perte de l’emploi de son père, la situation financière.

Au terme de leur entrevue, M. O’Neill lui promit de ne rien dire à ses parents si de son côté il promettait d’arrêter ces activités. Cela resterait donc entre eux deux. Le professeur proposa même de toucher deux mots à son cousin qui tenait un garage et qui avait besoin de main d’œuvre qualifiée comme son père.

Quelques jours plus tard, ce dernier retrouva un travail aux côtés du cousin de M. O’Neill. Peter tint sa promesse et cessa toutes activités. C’est à partir de ce moment qu’il voua une certaine admiration pour cet ancien Marine. Un véritable coup de chance, les choses allaient rentrer dans l’ordre.

Peter se rapprocha de son professeur afin que celui-ci lui parle un peu plus de son parcours, et notamment de sa formation au sein des Marines.

C’est à la fin de son lycée, alors âgé de 18 ans que Peter annonça à ses parents qu’il allait s’engager dans l’armée. Son père soutint son fils dans son choix, et il se montra rapidement fier de lui, même bien avant qu’il ne commence sa formation. Sa mère se montra nettement plus réticente. Quelle mère ne serait pas inquiète si elle apprenait que son enfant risquait d’aller à la guerre ? Toutefois, elle respecta le choix de son fils.
S’engager semblait pour lui être la meilleure voie. Notamment grâce à l’inspiration que lui avait fournie son professeur de lycée, ancien Marine, mais également parce qu’il ne savait pas quoi faire. Aucun sujet ne le passionnait vraiment, si ce n’était l’Histoire. Il aurait pu faire n’importe quel métier avec une certaine indifférence. Il aurait sans nul doute trouvé un domaine qu’il aimait, mais rien qui ne le passionnait. Rien où il ne pouvait s’épanouir.

Mais grâce au corps des Marines, il trouva sa place. Au cours de ses classes, Peter se montra être un excellent élève. Etrangement, malgré le fait qu’il n’aimait pas qu’on lui dise quoi faire, il n’eut pas trop de mal – après une période d’adaptation – à suivre les ordres. Il montra toutes les capacités qu’on demandait à un Marine.
Après la formation de base dispensée d’environ six mois, Peter prit la décision de rejoindre la Division de Reconnaissance. Ce groupe étant spécialisé dans le soutien aux autres unités, notamment par la reconnaissance, l’infiltration derrière les lignes ennemies, repérer les systèmes de défenses, effectuer du balisage, effecteur des embuscades dans le but de ralentir l’ennemi etc…

A l’issue de ses classes, le jeune militaire profita du système mis en place par les Marines pour pouvoir faire des études. Peter fut basé en Californie. Il cumula donc à la fois sa mission en tant que militaire et des études en Histoire, seule matière pour laquelle il montrait plus d’intérêts que les autres. Après cinq années, il obtient donc un diplôme en Histoire, spécialisé sur la période du XXème siècle.

C’est au cours de ses études qu’il rencontra une jeune femme. Leur relation fut la plus longue qu’entretenue Peter puisque celle-ci dura trois années. Toutefois, les choses firent qu’ils ne restèrent pas ensemble bien qu’ils gardèrent contact en de bons termes.

Au fil des années, Peter monta en grade pour atteindre à ses 25 ans celui de Caporal. Ses états de service étaient exemplaires et les missions auxquelles il participait couronnés de succès. Il intervint notamment sur les théâtres d’opérations d’Irak et d’Afghanistan. La plupart de ses missions consistaient dans la reconnaissance, voire dans le sabotage des unités ennemies. Il ne fut victime d’aucune blessure jusqu’à ses 29 ans.

Dans le cadre d’une large opération pour reprendre le contrôle d’une ville, l’unité de Peter due s’infiltrée derrière les lignes ennemies afin de repérer les défenses mises en place. Les drones et autres satellites ne s'étant pas montrés très efficaces pour obtenir les informations nécessaires. L’opération se passa de nuit, le groupe infiltrant la ville. Toutefois, ils tombèrent sur une embuscade et le Caporal fut blessé au bras. Ils durent combattre pendant plusieurs heures, essayant d’utiliser la ville pour se cacher. Une équipe d’extraction fut envoyée à leur secours pour les ramener à la base. Toutefois, deux des camarades de Peter furent tués au cours de l’embuscade.

Suite à cela, Peter reçut une médaille pour ses actes au combat et sa blessure. Après plusieurs semaines à guérir, il put reprendre les opérations.

A 32 ans, le militaire fut promu au grade de Sergent et il fut mis à la tête d’une équipe de reconnaissance par la même occasion. Il était désormais chef d’équipe. La vie poursuivait son cours, les missions également. Il n’y avait rien de particulier à noter ou à relever au cours de ces années. Quelques tentatives pour avoir des relations sérieuses, mais le métier de Peter ne l’aidait pas à maintenir des relations pérennes.

C’est en Septembre 2015 que les choses prirent une tournure inattendue. Alors que l’unité de Peter rentrait d’une mission au Moyen-Orient de plusieurs mois, le monde bascula dans une toute nouvelle guerre.

Au tout début, Peter n’avait rien remarqué à vrai dire. Les étranges histoires qui circulaient à travers le pays dans la rubrique faits divers n’intéressaient pas le militaire, si bien qu’il n’y avait pas du tout prêté attention. Ce n’est que plusieurs semaines plus tard qu’il comprit que cela avait débuté en Septembre.

Les premiers jours qui sonnèrent la fin de leur monde, Peter ne s’intéressait toujours pas à ce qui se passait. Des gens qui en agressent d’autres, ce n’était pas nouveau malheureusement. Pourquoi s’en préoccuper maintenant ? Mais des bruits de couloir commençaient à se répandre dans la base. Certains parlaient d’une épidémie. Les théories les plus folles commençaient à circuler. Le Sergent sut que la situation devait sérieuse quand toute la base fut en état d’alerte et en ébullition. L’armée allait être déployée pour prêter mains fortes aux autorités. Quelque chose de grave se passait, mais ils ignoraient ce dont il s’agissait.

Jusqu’au jour où la situation devint incontrôlable et que la loi martiale fut déclarée par le président des Etats-Unis. L’unité de Peter fut réquisitionnée pour s’assurer de la sécurité de personnes dites « VIP ». Ils furent déployés à Seattle avec leur navire. Leur objectif était de récupérer les personnalités importantes ainsi que leur famille pour les amener en lieu sûr dans l’une des bases mise en place par l’armée. Entre les émeutes et les infectés, ces cibles prioritaires devaient être protégées. La question étant de savoir si des politiciens méritaient tant d’efforts. Mais le Sergent respectait les ordres et comptait les suivre.

Il ne fallut pas longtemps au groupe d’intervention pour tomber nez à nez avec leurs premiers rôdeurs. Ces derniers étaient difficiles à décrire. Ils ressemblaient à des cadavres en mouvement. Et Peter ne pouvait pas être plus proche de la réalité. Les balles ne semblaient pas les stopper. Du moins jusqu’à ce qu’un membre l’unité leur tire une balle dans la tête. Il n’était pas nécessaire d’avoir un grand esprit de déduction pour comprendre comment tuer définitivement ces choses. Au cours de leur première expédition, le groupe perdit deux membres.

Les jours qui suivirent se ressemblaient. Extraction des personnes et protection du camp de fortune mis en place. Il n’y avait plus de doute, les morts se relevaient. Une blessure causée par un infecté suffisait à avoir raison du pauvre blessé.

Les choses durèrent pendant quelques semaines. Jusqu’au jour où ils découvrirent que la transformation en monstre assoiffé de chairs humaines n’était pas uniquement provoquée par des infectés. Si l’on mourrait d’une autre cause, le résultat était le même après quelques heures. Mais, les militaires du camp mirent trop de temps à le découvrir.  

En Janvier 2016, tout un baraquement fut transformé au cours d’une nuit. Sans doute une personne âgée qui était décédée au cours de celle-ci. Toujours était-il qu’une vingtaine de morts étaient présents au sein du camp. Ce dernier commençait à se réveiller quand l’alerte fut donnée. Mais il était déjà trop tard. Des morts qui marchent étaient présents partout. Les coups de feu fusèrent, la panique prit le pas sur le reste. Les militaires, dont Peter, eurent du mal à contenir les gens. Une brèche fut ouverte dans la fuite de certains civiles, laissant entrer plus de morts.

Le soir, les survivants n’étaient qu’une poignée. Pour la majorité des militaires, une quinzaine dont Peter et deux membres de son unité, ainsi que quelques civils. Un Lieutenant-Colonel de la NAVY prit la tête du groupe étant le plus gradé. Pour lui, ils devaient continuer le combat, et gagner contre les forces du mal qui se déployait sur Terre.

C’est ce qu’ils firent. Il fallut plusieurs mois pour établir une nouvelle base avancée proche de Seattle. Les civils furent mis à contribution et se virent même donner des grades par leur nouveau chef. Peter commençait à se questionner, mais il continuait de suivre les ordres.

Plus les jours passaient, plus l’obsession de leur chef pour cette guerre grandissait. Entre temps, il s’était autoproclamé Général. Leur groupe finit par diminuer. Les anciens civils dont une gamine de 17 ans furent les premiers à mourir au combat. Si bien que courant Avril le groupe d’une vingtaine de personnes étaient diminués par deux. Peter se posait de plus en plus de questions. Mais il aurait dû agir avant. Avant que les choses ne dégénèrent.

Courant Mai, les munitions et les vivres se faisaient de plus en plus rares. La dizaine de militaires tomba sur un groupe de civils. Le « Général » leur ordonna de fournir l’ensemble de leurs munitions et tout l’excédent de leur vivre pour contribuer à ce qu’il disait être l’effort de guerre et de rejoindre le « Groupe de combat contre les forces du Mal ». La tension monta rapidement entre les deux groupes. Jusqu’à ce que la première balle fusa. Une étincelle transformée en brasier.

Peter ne voulait pas tuer de civils, les militaires étaient censés les protéger. Mais tout le monde commença à tirer dans tous les sens. Il tenta bien d’ordonner le cessez-le-feu aux uns comme aux autres, mais rien n’y fit.  Il n’eut pas d’autres choix que de se protéger. Rapidement, la résistance des civils tomba, non sans perte du côté des militaires. Les choses étaient allées trop loin et ce n’était que le début. Le chef du groupe de militaires exécuta deux civils survivants d’une balle dans la tête.

Le Sergent mit en joue leur chef. C’était trop. Nouvelle escalade de la tension. Le « Général » l’accusa d’une mutinerie, de traitrise envers la nation etc. Les autres militaires étaient perdus entre les cris de leur chef et de Peter qui argumentait qu’ils étaient allés beaucoup trop loin, que leur chef avait perdu la raison. Les deux camarades de Peter prirent son parti. Trois contre quatre. La fusillade éclata.  

Le calme retomba après de longues minutes de combat. Peter était le dernier debout, blessé au bras. Tout le monde était mort. Le sang des civils et des militaires étaient répandues sur le sol, infiltrant la terre. Le militaire resta là à contempler la scène. Qu’est-ce qu’il avait fait ? Comment avaient-il pu en arriver là ? Il ne savait plus quoi faire, plus ou moins en état de choc. L’arrivée de deux morts le sortit de sa catatonie. Il s’en débarrassa avant de venir coller une balle dans la tête de tous les cadavres au sol. Hommes, femmes, enfants, militaires et anciens camarades. Méticuleusement pour s’assurer qu’ils ne se relèvent jamais. Puis il brûla les corps.

Peter prit le maximum de vivre et d’armement avant de quitter les lieux. Une énorme part de lui était morte ce jour-là sur ce champ de bataille.

Pendant plusieurs semaines, il erra. Jusqu’au jour où il tomba sur un chalet dans la forêt où il s’installa pour y passer l’hiver. Peter se débrouilla seul. Il chassait, menait des expéditions. Il tenait même une carte pour s’assurer de ne pas visiter deux fois les mêmes lieux. Les jours passèrent, les semaines, les mois et l’hiver également.

Début Mars, il intercepta une communication radio provenant de Seattle sur l’appareil de son ancienne unité. Des personnes appelaient à l’aide. Peter répondit à l’appel au secours. Il allait tenter une mission de sauvetage. Il prit son barda, étudia les lieux indiqués sur la carte de la ville qu’il avait récupérée. Puis, il se mit en route.

Mais une fois de plus, le militaire était arrivé trop tard. Tout ce qu’il découvrit fut des morts. Toute la famille était transformée ou dévorée. De nouvelles balles dans la tête mirent fin à leur agonie, définitivement.

   
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Re: It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 19:37

:Jaden:

(preums :MisterGreen:)
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Re: It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 19:51

Lucian c'est de la merde.
Malbazar aussi, tout comme son nom.

Bonjour.
Bienvenue.

Nerf Annie svp.
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Re: It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 19:53

Salut & bienvenue^^
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Re: It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 19:54

:smile2: :smile2: :smile2:
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Re: It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 20:02

:smile14: :smile14: :smile14:

:MisterGreen:




Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
Yulia Iojov
Yulia Iojov
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Re: It went from a spark to an open flame

Jeu 16 Mar 2017 - 20:06

Bienvenue parmi nous !
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Re: It went from a spark to an open flame

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