Amber K. Sullivan

Mer 4 Nov 2015 - 21:39


Amber Kim Sullivan
27 • AMERICAINE • JOURNALISTE PHOTOGRAPHE • CENTURYLINK FIELD

i've got a war in my mind

Tout comme il y a deux versions à chaque histoire, il y a deux versions à chaque personne. Une version que nous révélons au monde et l’autre que nous gardons cachée... Une dualité gouvernée par l’équilibre de la lumière et de l’obscurité. Chacun de nous a la capacité d’accomplir le bien et le mal mais ceux qui sont capables de brouiller la ligne de division morale détiennent le vrai pouvoir. Moi même je n'ai jamais réellement pu déterminer qui je suis vraiment, à toujours changer de visage pour m'adapter à ce que les gens veulent de moi, j'ai finit par m'y perdre. Comme Hamlet l’a dit à Ophelia, « Dieu nous a donné un visage et on s’en crée nous même un autre ». La bataille entre ces deux moitiés d’identité... qui l’on est et qui l’on prétend être : c’est ingagnable. C'est pour ça que je suis si difficile à cerner, puisque je suis capable de devenir n'importe qui, à n'importe quel instant. Personne ne me connaît de la même façon, des uns aux autres, il y a énormément de variantes et il n'est pas facile de trouver celle qui me correspond le mieux. En soi, avec le temps qui passe, c'est la façon que j'ai trouvé pour me protéger. Ne jamais laisser personne me connaître davantage que je ne le souhaite, m'entourant d'un voile de secrets et de mystères. Ce n'est pas forcément le meilleur comportement à adopter en communauté, on pourrait même considérer ça comme une sorte de manipulation, mais beaucoup d'événements au cours des dernières années ont fait en, sorte de me rendre plus distante avec autrui. A mes dépends, j'ai apprit à aimer la solitude ainsi que ses nombreux avantages et contraintes. Je me suis faite à l'idée que le Monde est rempli de connards et que ça ne changera pas de si tôt. En fin de compte, la seule présence la plus rassurante, c'est la notre.

Pendant trop longtemps j'ai été naïve au point de croire qu'il était possible de s'appuyer sur quelqu'un d'autre dans les moments difficile, pour surmonter les obstacles que la vie dresse devant nous. « Accorder de l'importance à quelqu'un, c'est aiguiser soi-même le couteau qu'on pourrait vous enfoncer dans le dos ». Pour moi, ce fut des épées entières. Dans les situations de crises, quand il s'agit de sa propre survie - par là j'entends le fait de réussir dans ses projets à tout prix - l'Homme est programmé pour faire passer ses intérêts avant tout le reste. J'ai donc du apprendre à ne plus me laisser marcher sur les pieds. Dans mon choix de carrière, il valait mieux que je sache affronter les plus fourbes.

En tant que journaliste, je sais faire de ma plume et de ma parole, des armes redoutables et destructrices. Assez observatrice, je sais souvent d'avance dans quoi je m'embarque, il est donc rare que je me retrouve au beau milieu d'un cas désespéré. Parfois, il m'arrive de comparer la vie à une éternelle partie d'échec contre le destin, où il faut sans cesse avoir deux ou trois coups d'avance pour éviter de se faire surprendre. Les seules et uniques fois où je me suis mise en danger c'est lorsque je me suis confrontée à des personnes en qui il m'était impossible de lire, ce qui rendait l'équilibre des choses assez incertain. Au fond de moi, j'ai gardé un peu ces côtés amicaux et bienveillants, qui font que je pourrais faire tout et n'importe quoi pour quelqu'un qui à de l'importance à mes yeux. A ce propos, quand il s'agit de ces gens là, ma loyauté n'a aucune limite envers eux. Toutefois, ça fait bien longtemps que je n'ai pas tissé des liens qui n'ont pas volé en éclats.

Autrement, je ne pense pas être une fille très chiante. Du moment qu'on me laisse tranquille, j'en ferais de même avec les autres, je ne demande rien de plus qu'à ce qu'on me foute la paix. Je ne suis peut être pas très bavarde, mais je sais me montrer de bonne écoute. Dans ma nature, je ne suis pas du genre à me plaindre, sans doute parce que je suis bien consciente qu'il faut passer par la galère pour que les choses soient bien faites. Et justement, j'aime ce qui est bien fait, je ne supporte pas l'irrégularité, tout doit être parfait. En général, c'est ce qui ressort dans ma façon de faire et d'agir, je ne laisse pas la place à la négligence. Je ne suis ni trop conciliante, ni trop pragmatique, j'essaye de trouver le juste milieu,  me laissant essentiellement guider par mon instinct. Je ne me laisse rarement influencer par mes sentiments, je fais toujours selon ce qui me semble le plus juste dans mes prises de décisions. M'enfin bon, je n'ai pas l'âme d'un leader. Et quand je ne suis pas la seule à être embarquée dans quelque chose, je préfère exécuter les ordres plutôt que de les donner. Je préfère rester discrète en général, sans trop m'effacer non plus, mais quand il faut dire les choses, dans une situation où il le faut vraiment, je serais sans doute la première à le faire, j'ai une grande gueule et je l'assume.


and blood on my hands

Je suis de taille moyenne, un mètre soixante et un, pour cinquante cinq kilos. Plutôt fine, j'ai été dotée de formes plutôt généreuses. Couplées à ma chevelure blonde, je représente un peu le classique, de la fille qui rentre dans la préférence de beaucoup d'hommes. Concernant mon style vestimentaire, je n'ai pas grand chose à dire, je préfère ce qui est simple, et me fondre dans la masse, ce qui est toujours utile pour un photographe.

Et sinon... je suis toujours accompagnée de mon appareil photo, et de ce qui va avec. Objectifs, trépied, etc...

a storm is coming

Si je vous disais que ma vie avant tout ce bordel était pleine de rebondissements en tout genre, animée par un bon nombre de péripéties, je vous mentirais. Et sincèrement, je préférerais vous mentir plutôt que de vous raconter un truc chiant et sans intérêt.  

Au départ, je n'avais pas été désirée. Je suis le résultat de la connerie de deux adolescents, bravant les interdits, s'étant persuadés que les probabilités d'avoir un enfant dès la première fois étaient peu élevées. Ils ont donc fait leurs histoires, et paf ça fait des chocapics ! A dix-sept ans, et bien partie pour faire de longues études - Harvard lui avait été destinée par ses propres parents - ma mère ne pouvait pas se permettre de garder l'enfant qu'elle portait. D'un commun accord, avec mon père et sa famille, tout le monde avait envisagé l'avortement. Une date avait été fixée, tout avait été mit en place pour l'interruption de la grossesse. Mais le jour J, tout avait basculé, mes parents s'étaient résignés à aller jusqu'au bout de la manœuvre, ils n'avaient pas eu la force nécessaire pour le faire. Ils s'étaient rendu compte que c'était inconcevable pour eux de "tuer" leur futur bébé, auquel ils s'y étaient déjà attachés. Et c'est bien sûr contre l'avis de leurs familles respectives qu'ils avaient prit et accepté la décision de devenir de jeunes parents. De toute manières, ils n'ont jamais été seuls, leur entourage a finit par s'adapter et envisager la chose, ils ont donc bénéficier de tout le soutien nécessaire dans cette longue et interminable épreuve.

Neuf mois, c'est le temps qu'il aura fallut pour que je pointe le bout de mon nez. Ni trop tôt, ni trop tard, j'avais déjà acquis le sens de la ponctualité, arrivant pile poil à la date prévue. J'avais peut être aussi le sens de l'humour... je suis née un premier avril.  L'accouchement s'était plutôt bien passé, malgré les quelques heures de batailles qu'il aura fallut pour me sortir de mon petit nid douillet. Oh ça oui, je pense que je devais y être bien au chaud dans les eaux maternelles, alors je m'étais acharnée pour pouvoir y rester, en vain bien sûr. Je n'ai rien pu faire contre cette force qui m'expulsait vers l'extérieur. Mes premiers cri avaient illuminés le visage de mes parents, à ce moment là, rien ne pouvait les rendre plus heureux. Ils savaient que les embûches allaient être nombreuses, qu'ils allaient devoir faire énormément de sacrifices, mais peu leur importait, ils étaient prêt à tout pour leur petite fille. Cependant, il y avait tout de même un détail pour lequel ils n’avaient pas été préparés, simplement parce qu'ils n'avaient jamais trouver de véritable accord commun à ça. Le prénom. Les idées avaient défilé, mais jamais une seule fois ils ont été sur la même longueur d'onde. Du coup, ils se sont retrouvés bien cons, avec leur fille dans les bras, sans être encore décidés à comment ils allaient l'appeler. Finalement, le compromis aura été de me nommer avec les deux prénoms qui leur tenaient à cœur, ajouté à ceux là, le prénom de ma grand-mère maternelle. Amber Kim Danaelle Sullivan donc, ça ne sonnait pas trop mal.

J'ai grandit au cœur de Manhattan, au sein d'une famille qui se voulait être assez soudée. Du côté de ma mère, mes grands-parents avaient de quoi nous aider financièrement, ce qui lui a permis de continuer ses études - à mi temps toutefois - tout en s'occupant de moi. Elle avait renoncé à son avenir professionnel dans l'immédiat, abandonnant ses rêves pour Harvard. Quant à mon père, lui, il a tout simplement lâché ses études pour trouver du boulot. Ça n'aura pas traîné, il a atterri chez Pizza Hutt, comme livreur. Bon, il n'avait pas un super salaire, mais c'était suffisant pour pouvoir subvenir aux besoins de la mère de son enfant. Tous les deux ont finit par construire leur petite vie, affrontant leur quotidien sans jamais se plaindre, bien que je n'ai pas rendu les débuts si faciles que ça. En général, j'avais été une enfant plutôt sage, quoi qu'un peu trop hyperactive. Il m'a toujours fallut quelque chose à faire, j'étais intenable, un vrai petit monstre. Mais mis à part ça, je n'ai pas énormément de trucs à dire, j'ai été élevée en parfaite petite fille américaine, dans les traditions du pays : Famille et patrie avant tout.

A l'école, j'étais sans doute destinée à suivre les traces de ma mère, j'étais plutôt brillante. Alors que celle-ci commençait à devenir une avocat reconnue, je lui faisais honneur en enchaînant les bonnes notes durant ma scolarité. De toute manière, c'était tout ce qu'elle me demandait, elle n'a jamais été très chiante avec moi, du moment que je ne foirais pas ma vie en faisant des conneries. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était de me créer un avenir, me donner tous les bagages nécessaires pour être autonome dans quelques années, lorsque je devrais quitter le cocon familial. Peut être aussi parce qu'elle n'allait plus pouvoir s'occuper de moi aussi souvent qu'elle avait pu le faire par le passé, puisqu'elle attendait un nouvel enfant. Je ne me rappelle plus trop de la façon dont j'ai prit la chose, à quatorze ans de différence avec mon futur petit frère ou ma future petite sœur, j'appréhendais un petit peu. J'étais mitigée entre de l'excitation et de la jalousie. Au final, à la naissance de mon petit frère, j'ai du prendre mes responsabilités assez vite. Né avec une forme d'autisme assez grave, il allait devoir nécessiter de soin tout au long de sa vie. J'ai donc beaucoup aider mes parents, en m'occupant de lui pour les soulager et les aider dans leur quotidien assez chargé.

Pendant quelques années, cinq plus exactement, ma vie est devenue une routine assez pesante : les études, m'occuper de mon petit frère, de rares sorties avec des amis, recommencer ma journée. Du moins, ça a été comme ça jusqu'à cet événement qui a été un tournant majeur. Le décès de mon frère et de sa nounou dans un accident de voiture, quelques jours avant le Noël de cette année là. Un ivrogne en contresens sur l'autoroute, provoquant un immense carambolage. Mes parents ne s'en sont jamais remis, et moi non plus. Sauf que moi, j'avais réussi à compenser ma tristesse en me plongeant totalement dans mes études et dans mon futur projet. A cet époque là, je venais de commencer à me passionner pour la photographie, et dès l'instant où j'avais eut un appareil dans les mains, je savait que je voulais m'orienter dans cette voie. A partir de là, je me suis complètement renfermée, éloignée du monde extérieur, à l'exception de mes parents, n'ayant plus que pour seul but, d'accomplir ce qui pour moi était devenu un rêve : être reconnue pour mes photographies.

Au départ, j'avais eut l'envie d'avoir ma propre galerie. Mais au final, je me suis tourné vers le journalisme. C'est quelque chose qui me correspondait le plus. Après avoir enchaîné des petits boulots ici et là, et à force de persévérance, j'ai finit par décrocher mon véritable premier job... pas n'importe lequel, je venais d'être embauchée par le New York Times. Au plus bas de l'échelle dans un premier temps, puis j'ai commencé à gravir les échelons au fur et à mesure que le temps passait, pour y travailler comme photographe et rédactrice. C'était un bon début... il ne me manquait plus que le scoop qui pourrait faire décoller ma carrière. Mais je ne m'étais pas attendue à ce que la concurrence dans le domaine soit aussi sérieuse. Du moins, pas jusqu'au point d'en arriver à chercher à faire tomber des gens pour prendre leur place. C'est ce qu'il m'est arrivé, et ça, ça m'est tombé dessus du jour au lendemain. Suivi donc d'une longue descente aux enfers où j'ai tout perdu.

Heureusement qu'à cette époque, j'avais encore mon ex fiancé, qui a été d'une aide précieuse pour m'aider à remonter la pente. Un ancien collègue de travail, qui a ouvert sa propre agence de presse à Seattle et qui a donc quitté le Times à mon grand désarroi. Lorsqu'il a apprit la nouvelle, il m'a bien sûr proposé de le rejoindre, ce qui nous avait permis de nous revoir après quelques mois de passés loin de l'autre. C'était une nouvelle aventure qui commençait, mais elle n'a pas été des plus simples à démarrer. Le plus difficile pour moi, ça a été de quitter mes parents, que je laissais seuls. Au final, c'est eux qui m'ont convaincu de partir, privilégiant mon avenir avant tout. Pour eux, je ne devais pas gâcher ma vie à m'occuper d'eux, car ils finiraient bien par se remettre du drame. Ma situation s'était stabilisée peu après. Je n'avais plus le boulot prestigieux que j'ai toujours rêvé d'avoir, mais au moins j'avais de quoi vivre, et je pouvais partager ça avec quelqu'un. J'avais su rebondir sur mon malheur, pour me créer quelque chose de solide, au moins le temps pour me mettre de l'argent de côté et repartir sur un projet un peu plus concret. La petite routine s'était installée, et je commençais même à m'y habituer. Je ne pouvais pas forcément me plaindre, puisque je pouvais pratiquer ma passion en tant que métier.

on the highway to hell

Reportage photo : Violente agression au cœur de Seattle
Comme on peut le voir sur ces clichés, l'agression a été d'une violence extrême. Les traces de morsures semblent suggérer qu'il s'agit d'une attaque animale, mais des passants, témoins de la scène, affirment que la victime a été assassiner par un homme, d'une quarantaine d'années, peut être un sans-abri. Celui-ci est toujours en cavale, la police est sur le coup.

A ce moment là, je n'avais pas encore imaginé avoir été témoin du début d'un cataclysme sans précédent. Le jour d'après,la presse révèle qu'il y a eut un peu partout des cas similaires à cette agression. Pour moi il ne s'agissait que d'une simple coïncidence, mais j'avais tout de même décidé de mener ma petite enquête, en usant de mes accréditations presse. A commencer par interroger les forces de police, qui peut être, aurait pu m'éclaircir sur les derniers événements. Je n'avais eut absolument aucune réponse, en dehors du fait que l'enquête suivait son cours. A côté de ça, il y avait ces rumeurs comme quoi les morts étaient en train de se relever. Sans doute un canular, mais ça valait le coup de pousser les recherche, peut être que j'avais enfin trouver le sujet qui allait me donner un bon coup de boost dans ma carrière.

Très vite, les autorités avaient conseillé à la population de ne pas sortir de chez elle, le temps que la situation soit sous contrôle. C'était aussi au tour de l'armée d'intervenir, ce qui clairement signifiait que le problème était plus grave que ce qu'on voulait nous faire croire. Contre l'avis de mon fiancé, j'avais préféré continuer dans mon reportage, toujours armée de mon appareil photo, arpentant l'extérieur pour chercher à comprendre ce qu'il se passait réellement. Le choc avait été immédiat, lorsque je m'étais retrouvée face à une fusillade, les forces armées tirant sur des civils. La panique commençait à s'installer peu à peu chez tout le monde.

Quand je m'étais rendu compte de l'ampleur et de la gravité de la situation, j'avais immédiatement rejoins mon appartement où devais m'attendre mon fiancé. Sauf qu'en plein centre-ville, rien n'a été épargné par les émeutiers. Il n'était plus là, pas un mot, rien, il avait disparu. Et je n'avais à ce moment là aucun moyen de le joindre, ni lui, ni ma famille, les réseaux étant saturés. Je n'avais plus trop le choix, il fallait que je rejoigne l'un des camp sécurisés de l'armée. Ainsi, j'allais pouvoir continuer à prendre le maximum de photos possibles, toujours au plus proche de l'action.

C'est donc comme ça que j'ai - non sans mal - rejoins le stade de Century Link Field. 

time to meet the devil

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fiche (c) elephant song.
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Re: Amber K. Sullivan

Mer 4 Nov 2015 - 22:04

Toujours aussi joliiiiie Ambyy Amber K. Sullivan 4160752524 Bon courage pour la dernière partie, et à très vite à Century **
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Re: Amber K. Sullivan

Jeu 5 Nov 2015 - 9:51

Rebienvenue toi aussi Very Happy
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Re: Amber K. Sullivan

Jeu 5 Nov 2015 - 22:54

Grouuuh, finis vite ta fiche ! Amber K. Sullivan 1342238320 :134: :Jaden:
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Re: Amber K. Sullivan

Jeu 5 Nov 2015 - 23:10

Bon retouur Amber K. Sullivan 3100098401
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Re: Amber K. Sullivan

Lun 9 Nov 2015 - 11:00

Le géant Salut timidement la jeune femme et essaie de caché sa laideur.

Euh... Bienvenu... et fais attention à toi ok?
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Re: Amber K. Sullivan

Lun 9 Nov 2015 - 20:18



bienvenue à CenturyLink Field

Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à survivre dans le stade.

Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.



Pour en apprendre un peu plus sur ton groupe, tu peux :

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N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons content de t'y accueillir !

Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD ♥
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Re: Amber K. Sullivan

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