Version 1 •

Tous les membres ayant été inoculés avec la V1 ont maintenant reçu la V2.

Version 2 •

Ashley
Casey
Chris
Clayton
Cole
Dante
Filipa
Friedrich
Gabriel
Hoani
Indiana
Jesse
Kassandra
Leokadia
Levi
Lexie
Lily
Logan
Madisson
May
Moira
Regina
Riley
Duncan
Louve
Nihima
Ruben
Nathan
Zi

Version 1 •
S'il n'existe pas encore de vaccin, un sérum a néanmoins été mis au point et doit être pris maximum toutes les six semaines pour contenir les symptômes. Le sérum a pour effet d'empêcher la progression de la maladie, mais n'en retire pas les effets.

Ashley
Clayton
Cole
Evan
Gabriel
Hoani
Indiana
Jesse
Leokadia
Levi
Madisson
May
Moira
Nathan
Zi

Version 1 •
/

Version 2 •
Arizona
Brook
Diana
Jackson
Samson

Version 1 •
Personne, il n'existe aucun vaccin contre la peste rouge. Un sérum a néanmoins été mis au point et doit être pris maximum toutes les six semaines pour contenir les symptômes. Le sérum a pour effet d'empêcher la progression de la maladie, mais n'en retire pas les effets.

• Novembre 2015
L'équipe scientifique confirme que seul un dommage important au cerveau neutralise définitivement les rôdeurs. Ils sont également en mesure de dire que les créatures ont une très mauvaise vue mais se repèrent au son et à l'odorat. Ils sont également attirés par les sources de forte chaleur.

• Décembre 2015
Il est prouvé que les morts n'ayant plus de température interne, leurs fluides et leurs tissus gèlent quand la température passe sous zéro. Le froid tend donc à les ralentir, voire à les immobiliser.

• Février/Mars 2016
Les expériences menées sur les rôdeurs prouvent que leur faim est insatiable. Leur décomposition semble par ailleurs considérablement ralentie par rapport à un cadavre ordinaire. Des analyses sanguines sont réalisées pour en savoir plus. Les spécialistes apprennent également que couper un membre infecté assez tôt peut enrayer l'infection.

• Avril 2016
Les tests sur l’appétit des mordeurs montrent également qu'ils ne semblent pas assimiler la nourriture. Pourtant, ils en ont besoin car les sujets laissés en diète s'affaiblissent ou en tout cas passent en "veille" par manque de stimulation. Ceux-ci restent inertes jusqu'à ce qu'une source de nourriture passe à proximité.

• Août 2016
Cinq des pilleurs qui ont attaqué le camp sont capturés et secrètement emmenés au laboratoire. Les expériences menées permettent de confirmer que :
- Après une morsure, la fièvre apparaît en 2 à 3 heures. Le sujet meurt ensuite généralement en moins de 24 heures, aucun n'a survécu plus de 48 heures.
- Le temps de réanimation du cadavre varie de 30 minutes à 3 heures.

• Octobre 2016
Après le tragique épisode du suicidé, l'équipe scientifique réalise que tout le monde est infecté par le virus de réanimation. Celui-ci est désormais appelé virus H1R1. Des prises de sang sur un échantillon varié de la population du camp vont permettre d'en savoir plus.

• Janvier 2017
La souche virale est isolée. Les scientifiques sont en mesure d'expliquer son fonctionnement. Afin de faire des vérifications supplémentaires, ils exhument des cadavres antérieurs à la déclaration de l'épidémie pour savoir s'ils étaient porteurs du virus H1R1 : négatif.

• Mars 2017
Des personnes malencontreusement mordues acceptent de se faire examiner par l'équipe scientifique, avant leur décès. Ces données précisent donc tout le cycle de fonctionnement du virus H1R1 et peut désormais confirmer que ce dernier agit comme un amplificateur de l'agent infectieux contenu dans les morsures de rôdeurs. Autrement dit : les morsures ne sont pas mortelles pour les personnes non infectées par le virus H1R1.

• Avril à juin 2017
Début d'analyse sur des petits animaux (chiens, chats, lapins, ...). Ceux-ci meurent des morsures de rôdeurs mais ne se réaniment pas. Il semble qu'ils abritent des souches aliénées du virus H1R1 qui ne sont pas en mesure de survivre après le décès de l'hôte.

• Août à septembre 2017
Nouvelles expériences sur des gros animaux (chevaux, sangliers, ours, ...). L'équipe scientifique constate que les morsures de rôdeurs ne sont pas systématiquement mortelles. Leurs organismes semblent plus résistants et certains ne portent aucune trace du virus H1R1. Les sujets qui ont le plus fort taux de survie sont les sangliers.

• Janvier 2018
Retardés par le séisme, il a fallu 4 mois à l'équipe scientifique pour mettre au point un premier prototype de vaccin, basé sur les anticorps des sangliers sains ayant survécu à la morsure.

• Janvier-avril 2018
Des tests sont menés sur des prisonniers ou des mordus par accident. Ceux-ci prouvent un échec (les sujets sont tous décédés) néanmoins, on a constaté que la fièvre n'apparaissait en moyenne qu'au bout de 3 à 4 jours. La mort pouvait ne survenir qu'au sixième jour après la morsure. Il s'agit d'un pas indéniable vers la réussite !

• Septembre 2018
Après quasiment trois ans depuis le début de cette épidémie, une nouvelle considérable vient bousculer les pensées générales : il est possible d'être immunisé au H1R1. C'est le cas de Clayton qui, pourtant mordu au début du mois, a survécu. L'équipe scientifique s'active désormais pour parvenir à isoler la protéine.

• Novembre 2018
Grâce aux nombreuses recherches et expériences effectuées au laboratoire, l'équipe scientifique a réussi à créer un sérum permettant de prolonger l'espérance de survie suite à une morsure de six jours à sept semaines. Ce sérum est appelé Z9.

Détails sur le sérum:

• Juillet 2019
Après une année de recherche, de tests et d'expérimentations parfois discutables, la lumière est enfin au bout du tunnel. L'annonce est faite en milieu de mois : l'équipe scientifique parvient enfin à synthétiser un vaccin. Les ressources pharmaceutiques manquent, alors seul un tiers de la population - tirée au sort - pourra en bénéficier. Toutefois, le Z9 devient dès lors obsolète et les tests secrets en souterrain peuvent cesser.

• Septembre 2019
Plusieurs personnes se mettent à tomber étrangement malades. Leurs symptômes ? Extrême photosensibilité, trouble du comportement (ils ont des accès d’agressivité), anémie (un apport important de protéine animale les soulage temporairement), migraines. A ce jour, tous les malades font partie des vaccinés mais aucune analyse médicale ne prouve une corrélation entre le traitement de juillet et la contamination.

• début novembre 2019
Cela fait déjà plusieurs semaines que les scientifiques ont confirmé que toutes les victimes de l’étrange maladie surnommée la grippe du soleil sont parmi les vaccinés de juillet. 95% d’entre eux ont été touchés et à ce stade, les études démontrent que le vaccin lui-même n’est pas en cause. En effet, c’est le virus H1R1 qui a muté brusquement en réaction à la défense immunitaire des concernés. L’émergence d’une seconde souche de cet agent meurtrier a de quoi jeter des sueurs froides dans le dos de l’équipe scientifique, dont une grosse partie du travail est désormais d’étudier ce H1R2 et ses propriétés…

• Janvier 2020
Les études faites sur le H1R2 continuent. Les résultats sont plus suivants :

Spoiler:

• Février 2020 - mars 2020
Les symptômes se manifestent de nouveau chez les malades de la grippe de soleil. En manque de moyen et à défaut de pouvoir synthétiser un autre vaccin, capable d'éliminer le H1R1, le H1R2 et toutes les mutations futures, l'équipe scientifique se concentre sur la mise au point d'un paliatif. Autrement dit, un sérum qui pourra compenser les effets déficitaires causés par le vaccin et donc, permettre aux concernés d'avoir une vie normale. C'est le retour des expérimentations réalisées parfois sur des humains, dans le plus grand secret...

• Avril 2020
Une première version du sérum est finalisée et testée prématurément sur trois individus : Sacha, Vaughn et Lawrence lui-même. Cela aboutira à une catastrophe interne mais, heureusement, le reste de l'équipe saura développer une nouvelle version plus stable.

• Juin 2020
C'est désormais sûr : le sérum palliatif fonctionne. Seul inconvénient : les vaccinés doivent prendre une injection toutes les trois à six semaines, pour pouvoir vivre sans endurer les symptômes de leur maladie.

• Novembre 2020
Une équipe d'expédition ramène du Canada des disques durs qui ont été trouvé dans un laboratoire. Là-bas, le personnel avait déserté, il n'y avait plus personne, sauf un étrange spécimen de rôdeurs mieux conservé que ceux que l'ont voit d'habitude du même âge. Après avoir extrait les données, les scientifiques comptent bien se pencher sur les études de leurs confrères, en espérant que les fichiers ne soient pas endommagés...

• Décembre 2020 / Janvier 2021
L'espoir, enfin ! L'équipe de Friedrich est sur la bonne voie pour finaliser un second vaccin, théoriquement efficace contre toutes les mutations du virus. Après les phases d'étude clinique, il faudra passer aux tests humains.

Ce que les civils ne savent pas :
Dans le sous-sol du laboratoire se font les plus grosses recherches scientifiques. Plusieurs rôdeurs y sont enfermés et c'est également ici que passent plusieurs cobayes. Ces éléments sont gardés bien secrets et seul un petit groupe trié sur le volet en a la connaissance et l'accès.