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Carolyne Nygard - At your service to return your brain
Ven 16 Avr 2021 - 22:07
what i am
qualite un : Rusée qualite deux : Perfectionniste qualite trois : éloquente qualite quatre : Dynamique qualite cinq: Adaptable defaut un : Académique defaut deux : Manipulatrice defaut trois : Excessive defaut quatre: Opiniatre defaut cinq: Orgueilleuse | • Fouet • Petit revolver • Seringue • Trousse de secours • Dague Carolyne est une petite blonde d'un mètre soixante, mais ne vous fiez pas à sa petite taille elle vous fera pâlir. Carolyne a de grands yeux bleus/verts . Sur le dessus de l’un de ses pieds vous pourrez vous un léger tatouage qu’elle arbore avec fierté. |
Psychologie
Rusée : Brunehilde est une personne qui est prête à tout pour réussir ce qu'elle entreprend et elle est prête à dissimuler des choses ou tromper les gens pour y arriver
Perfectionniste : Elle ne supporte pas que quoi que ce soit traine ou qu'une petite chose ne soit pas réalisée comme il faut même au détail près... Ça frise la folie
Éloquente : La blonde a toujours su parler depuis son plus jeune age et elle sait plus que bien captiver son public et entraîner les gens avec elle
Dynamique : du à son ancien métier, Brunehilde est une personne qui ne sait pas s'arrêter, ayant eu pour habitude de gérer le personnel soignant et les patients eux même elle fait preuve de beaucoup d'énergie à n'importe quel moment
Versatile : Brunehilde est capable de s’adapter à beaucoup de situations et de s’en sorir d’une façon ou d’une autre
Académique : Quand les choses doivent être exécutées d'une certaine manière, on ne les fait pas autrement, les règles c'est les règles !
Manipulatrice : Brunehilde a pour habitude d'arranger les choses à sa manière, de déformer les propos des autres à l'occasion si c'est nécessaire et peut retourner le cerveau de quelqu'un
Excessive : Elle a du mal à contrôler ses émotions, elle ne connaît pas la demi mesure et réagit de façon trop importante quasiment à chaque fois
Opiniâtre : Quand elle a une idée en tête, il n'y a qu'elle qui a raison et vous peinerez à la faire changer d'avis, pour elle il n'y a que sa solution qui est la bonne
orgueilleuse : La blonde a une très forte et positive opinion d'elle même, elle ne se prend pas pour n'importe qui à l'évidence.
Story of survival
Pre-apocalypse
Phoenix
Carolyne a grandit en Amérique enfin plus précisément à Phoenix en Arizona. Sa mère est née ici tandis que son père lui est d’origine Norvégienne et est venu aux états-unis pour le travail. Sa scolarité a été normale et étrange à la fois : Je développe: Scolairement c’était normal, une enfant banale qui s’en sortait avec de résultats moyens, elle se fondait dans la masse mais socialement, Brunehilde n’avait pas vraiment d’amis, elle était plutôt distante et froide, elle n’était pas comme les autres enfants de son age. Elle n’avait pas besoin d’eux pour s’épanouir, au contraire sa devise c’était « vivons bien vivons cachés » Il faut avouer que l’ambiance a la maison familiale n’était pas des plus seine. Lorsqu’elle eut dix ans son père Bjorn fut mit en prison pour trafic d’armes et tentative d’homicide. Il allait en prendre pour quelques années celui la et vous n’imaginez pas à quel point Carolyne en a entendu parler pendant le collège par ses camarades. Un poids de plus qu’elle portait sur ses épaules en plus d’avoir pour seule parent une mère devenue complètement cinglée et qui s’était noyée dans l’alcool. L’adolescence a été son pire fardeau,c’est la qu’elle s’est vraiment rendu compte que sa vie était pitoyable et a en écouter sa mère, puisque ses résultats scolaires avaient baissé , elle ne ferait jamais rien de sa triste vie. Mais Brunehilde ne voulait pas écouter l’écouter, elle, qui ne l’avait pas aider une seule fois dans son existence mis à part lorsqu’elle n’était encore qu’un bambin afin de la nourrir et de lui changer ses couches. La vieille Helga n’était même plus capable de faire à manger ni le linge, elle n’était plus qu’une épave aux yeux de Carolyne. Elle effectuait donc toutes ces taches ménagères jour après jour sans rien dire à personne car cela lui faisait honte. Elle fut prisonnière de sa mère dont elle avait pitié, et oubliée de son père, qu’elle ne voyait plus , puisque sa mère ne se donnait pas la peine de l’y emmener : en même temps avec trois grammes dans chaque bras c’est difficile de prendre une voiture et de voir au loin devant soi….
À quatorze ans , elle fut retirée de sa famille par les services sociaux à cause du laissé aller de sa mère et de l’emprisonnement de son père. Sa tante holly qui habitait à New-York était la seule famille qu’il restait à la jeune fille et elle lui a donc été confié. Ses notes avaient plongé et elle n’avait plus vraiment foi à rester concentrer dans ces longues journées assise sur un siège.
NEW YORK
Chez sa tante, elle était plus qu’aimée, elle qui ne pouvait pas avoir d’enfants , c’était retrouvée à en avoir une à finir d’élever tout les jours. Elle était devenue comme sa fille avec les mois qui passaient et Carolyne avait enfin trouvé un modèle à contempler et à suivre. D’ailleurs, Holly était psychologue et elle avait décidé qu’elle donnerait tout son possible afin de suivre la même voix qu’elle, même si son début de parcours était chaotique, il n’y avait rien de perdu si elle redoublait d’effort. D’ailleurs, sa tante lui a payé des cours particuliers les soirs après l’école afin de compenser un maximum de lacunes de notre jeune femme. Même si elle était restée aigre et manipulatrice à cause de son passé, Carolyne avait trouvé une attache dans ce monde… Elle considérait sa tante comme sa mère. Elle était la seule qui avait daigné lui trouver de la valeur et la pousser à réussir dans ses objectifs. C’était presque du management pour aider la jeune fille mais elle donnait tout ce qu’elle avait pour réussir. Même si elle est passé très près du redoublement a la fin de son année de collège, grâce aux cours particuliers offerts par sa tante, elle a pu sauver les meubles et profiter de ses vacances d’été afin d’en apprendre un maximum sur l’année à venir et elle réitérait chaque vacances d’été pour chaque année scolaire. Même si elle travaillait avec acharnement, arrivée en dernière année de lycée, Carolyne faisait partie du top cinq de sa classe et obtenu son diplôme avec succès.
Carolyne s’était donc inscrite dans plusieurs universités de New-York en psychologie et commençait à chercher des petits boulots un peu partout afin de pouvoir payer ses études
Pour la récompenser de sa persévérance et savant depuis quelques temps que Carolyne voulait suivre le même parcours qu’elle, Holly lui proposa alors de payer ses frais de scolarité… Elle n’avait jamais eu d’enfants à élever et avait quasiment fini de payer sa maison donc elle avait quand même pu mettre de l’argent de côté avec le métier de psychologue qu’elle faisait depuis longtemps.
La jeune adulte vivait toujours chez Holly mais elles ne se voyaient plus trop elles deux. La jeune femme passait son nez dans les bouquins et c’était à ne plus en finir : dans sa chambre un amas de livres de dissertations et d’autres révisions jonchaient le sol. Elle ne vivait qu’a travers ca et le peu de monde qu’elle voyait c’était sa tante pendant les repas ou alors ses camarades de classe à l’université. Elle voulait être sure de réussir.
Quelques années après cet isolement social, Carolyne obtint alors son diplôme avec une mention, pour ses efforts. Elle ne manqua pas de le fêter avec sa tante, mais n’en parla ni à son père qui devait l’avoir oublié et à sa mère qui n’avait rien fait de plus pour elle que de la mettre dans la mouise.
Quelques semaines après l’obtention de son diplôme, Carolyne décida de partir à la découverte d’un autre état, il était temps pour elle de prendre son envol et de rencontrer un peu de monde. Avec l’aide de sa tante qui lui versait un peu d’argent chaque mois jusqu’à ce qu’elle trouve un emploi évidemment.
WASHINGTON
Pas si loin de TACOMA
Pas si loin de TACOMA
Carolyne avait trouvé un petit taudis, au moins pour manger et dormir, au rez de chaussée d’un immeuble de quartier situé a Tacoma. Elle allait pouvoir y poser ses valises temporairement et commencer à exercer un job plus sur pour son avenir, enfin il fallait déjà le trouver ce job. A trente ans, la jeune femme ne manquait pas d’imagination afin d’en arriver à ses fins. Elle avait fait de nombreuses recherches sur l’hôpital psychiatrique du coin : le WESTERN STATES HOSPITAL. C’était devenu obsessionnel. Elle savait le nombre d’employés, le nombre de patients qui y étaient les gérants et surtout, le plus important qui était le directeur de l’établissement. Je ne vous dirais pas comment elle a pu trouver tout cela, ça ne devait pas être très légal toute cette histoire. Elle avait par ailleurs appris qu’il y avait eu de nombreuses rumeurs sur ce directeur qui n’ont jamais été avérer, mais bon dans ces rumeurs, il devait sûrement y avoir du vrai puisque quelques mois plus tard, la jeune femme avait croisé ce fameux directeur dans un bar un soir, seul, et ils ont fini dans un hôtel lambda pour faire leur petite affaire. Il ne fallait pas qu’il soit reconnu vous comprenez?
Tout était gagné pour elle, elle avait des preuves de ses rumeurs, et sa femme et ses deux enfants n’aimeraient sûrement pas apprendre tout ça… ils se parlèrent pendant des jours puis, la blonde mis en quelque sorte le couteau sous la gorge à Dean, afin qu’il lui propose un poste de psychiatre au sein de cet hopital. Honnêtement, avait-elle vraiment besoin d’en arriver la pour obtenir ce job alors qu’elle avait tout ce qu’il fallait pour l’obtenir ? La réputation de Dean était a la clé et son image était beaucoup trop importante pour lui et quelques semaines plus tard, Carolyne n’était plus simplement Carolyne, elle était devenue le docteur Nygard.
Carolyne était donc psychiatre dans un établissement renommé à trente ans.. Pas mal non pour une jeunette ? Enfin, si seulement les autres savaient comment elle en est arrivée la, c’est tout de suite moins brillant. Néanmoins, les autres n’avaient pas besoin de savoir ce qui s’était réellement passé puisque, elle n’était déjà pas très appréciée par les autres et surtout par Mary la gérante de l’établissement qui la trouvait louche.
Dans cet hôpital, ça changeait plutôt vite, enfin en cinq ans plus précisément. A trente cinq ans, elle avait toujours Dean sous sa coupe, qui lui s’approchait de plus en plus de la retraite. Elle était libre de changer ce qu’elle voulait, que ce soit dans le traitement des patients ou des employés et quelques autres choses et rien ne sortait de l’hôpital, par peur de la tyrannie qu’exerçait Carolyne. Même son bureau était refait à sa manière: des objets étranges, dont un fouet, qu’elle avait sûrement utilisé enfin… seulement elle le sait et un peu de matériel médical qui traînait par si par la. Elle a entretenu une relation secrète avec un homme détenu dans l’hôpital.
C’est à quarante deux ans que la Norvégienne se fit promouvoir et cette fois ci, sans entourloupe de qui que ce soit. Elle avait beau être très dure et chercher à commander, l’ancienne gérante de l’hôpital Mary, prenait sa retraite et elle avait été désigné comme la plus consciencieuse pour prendre sa relève. Elle allait pouvoir changer tout ce qu’elle voulait dans l’hôpital enfin tout… Comme Dean était parti à la retraite, elle allait devoir rendre quelques comptes à ses supérieurs quand même.
Post-apocalypse
OCTOBRE 2015 : WESTERN STATES HOSPITAL [ PROCHE DE TACOMA] → Découverte du nouveau monde
Notre americano-norvégienne avait entendu des ragots au sujets de personne devenues violentes dans ces dernières semaines sans vraiment de raison , que certains cas victimes d’agression étaient auscultés par des médecins du comté et que tous succombaient à leurs blessures mais que certains de ceux ci se relevaient après leur mort… C’était ridicule aux yeux de Carolyne : Quand on est mort on est mort et honnêtement mis à part la magie pour ressusciter rien n’y faisait et comme la magie n’existe pas , notre Norvégienne s’en tenait au fait que les médias n’avaient que ça à faire de raconter des imbécilités de ce genre.. Qui pouvait gober de telles âneries… Ce virus ça devait être une espèce d’infection type de la rage ou un variant du style, rien de plus. Et puis comme tout le reste, on allait bien finir par trouver un vaccin à cette cochonnerie et les forces militaires allaient se charger des fauteurs de trouble. C’était l’anarchie par ici pour être honnête, les gens cassaient tout mais l’hôpital ou elle travaillait ne contenait pas de cas et les derniers patients qu'elles avaient entrés ici étaient la depuis au moins deux ou trois mois et asymptomatiques de tout nouveau virus. Carolyne n’avait pas été victime de destruction de vandalisme ou de quoi que ce soit d’autre et c’était très bien comme ça. Faisant partie du corps médical, Carolyne ne pouvait pas s’arrêter de travailler et rester chez elle pour ne courir aucun risque, elle avait des patients à sa charge qu’elle ne pouvait pas laisser voués à eux même et puis ça allait vite rentrer dans l’ordre cette histoire, beaucoup de monde quittait la ville mais Carolyne était bien ancrée la ou elle était.
Carolyne faisait son petit contrôle de routine sur les plannings lorsqu’elle entendit du raffut dans la cour de l’hôpital. Ce n’était pas parce que c’était leur heure de sortie, qu’ils étaient autorisés à foutre le bordel dehors non mais… Ils s’étaient pris pour qui ceux-la? La blonde allait attendre quelques minutes pour tenter d’être tolérante avec eux mais ça n’allait pas durer autant que les impôts tout ça, on était pas à la foire ici et elle se devait de montrer l’image d’un établissement droitement tenu par une personne autoritaire et respectée de tous. Une minute, deux minutes… C’était déjà de trop. La femme se jeta à la fenêtre comme une furie, ouvra la fenêtre et fit vibrer chaque mur de son bureau afin de calmer le brouhaha qui se tramait dehors
« OHHHHHHHH ! Je peux vous aider bandes de babouins ?! On est pas à la foire du village ici. Mlle Travers, Mme Neals, veuillez me faire le plaisir de faire votre boulot correctement on est pas à la récréation ici »
Carolyne avait raison de s’enflammer puisque, lorsqu’elle passa la tête par la fenêtre elle voyait les grillages de l’asile effondrés et une horde de silhouettes se retourner avec des visages plus qu’étranges qui essayaient de faire la peau au personnel soignant qui était dehors et aux patients dont celles des infirmières en charge de la cour aujourd’hui. Tout le monde courait et se ruait partout sans vraiment savoir ou ils allaient, quelques patients étaient à terre, en train de se faire arracher les tripes par ces choses qu’elle n’aurait su définir. Depuis le matin cinq heures, elle n’avait pas daigné bouger de son bureau auparavant, il était quand même quinze heure de l’après midi. Par chance pour elle , les seules personne qui étaient restées dans l’hôpital a ce moment la ,c’était les patients les plus turbulents, qui étaient accrochés aux barreaux de leurs lits. Ils étaient dans le même état que notre Americano-norvegienne mais , vous comprenez sa vie était trop importante et elle ne savait pas trop dans quoi elle se retrouvait. Elle était donc sortie de son bureau sans détacher aucun patient et ne pensant qu’a elle. Par chance, la cour se trouvait à l’arrière de l’hôpital ,et , sa Chevrolet Camaro était garée à l’avant … Pour une fois… Elle se jeta donc à l’extérieur de l’hôpital n’ayant gardé de cet endroit que son fouet et une seringue… Ça pouvait servir qui savait. Heureusement, elle gardait toujours les clé de sa voiture dans ses poches. A quelques mètres de sa voiture, elle voyait au loin une autre horde de ce qu’elle n’aurait su qualifier… Elle se jeta dans sa voiture, fit demi-tour et sorti de cet endroit illico-presto. Sur son chemin quelques rôdeurs passèrent par dessus le capot, ce qui salissait sa petite précieuse.
« Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ? Putain de merde j’ai atterri ou encore »
JUILLET 2016 : WESTON → Premier meurtre de Rodeur
Carolyne était maintenant une nomade, elle n’avait plus d’abris mis à part sa voiture chérie, le seul bien qui lui restait, elle n’avait même pas essayé de retourner chez elle, ça devait être un désastre et elle ne voulait pas retrouver le fruit de son dur labeur dévasté. Elle préférait garder le dernier souvenir de son petit nid douillet avant l’apocalypse. Enfin maintenant , la seule chose qui était telle qu’elle c’était sa voiture avait pu sauver de l’apocalypse. Elle était un peu sale mais bon, on allait pas non plus en faire tout un fromage, déjà elle était la et c’était déjà pas mal. Ça faisait quelques mois qu’elle n’avait pas bougé de la et son pistolet silencieux qui était dans son coffre non plus. Oui chaque jour avant l’apocalypse , la jeune femme avait son pistolet dans son coffre, comme un porte bonheur, sauf que cette fois ci elle l’avait sorti et l’avait mis sur le siège passager. On sait jamais , ça pouvait servir. Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres puisque quelques mordeurs avaient décidé de troubler la journée ensoleillée de notre blonde préférée . Elle avait pillé de nombreux restaurants étoilés avant et s’était empiffrée gratuitement mais la , ça allait être plus dur puisque avant d’atteindre son repas du jour, elle allait devoir tuer deux ou trois mordeurs qui traînaient dans le coin : d’habitude il n’y avait jamais eu personne par ici et aujourd’hui il s’étaient retrouvés la …. étrange. D’ailleurs il y avait une petite boutique d’objets d’occasion à côté qui avait l’air animée. La curiosité fit sortir Carolyne de sa voiture afin de voir ce qu’il se passait à l’intérieur, quelqu’un semblait s’y être réfugié. Elle se cacha derrière le capot de sa voiture et visa le rôdeur qui la dérangeait vraiment, devant la porte, elle lui mit une balle dans le ventre tout d’abord et voyant que ça ne faisait rien, elle continua de tirer sans trop de difficultés et au bout de quelques balles elle réussit à atteindre sa tête…Ça avait l’air d’être la seule chose qui fonctionnait avec eux. un véritable coup de chance pour elle puisqu’elle ne faisait pas de tir auparavant. C’était aussi ces derniers instants avec sa voiture, qu’elle dû abandonner à cause du manque d’essence… Dans le secteur ou elle était, plus aucune pompe n’était viable et elle ne pouvait donc plus rien faire avec son petit bijou. À contre cœur, elle la laissa la, les clé encore sur le volant… De toute façon, elle ne pourrait plus servir à personne.
FEVRIER 2018 PROCHE DE SEATTLE → Découverte d’une alliée
Carolyne avait encore bougé dans l’état de Washington, elle était lassée de Weston , c’était du vu et revu. Elle décida donc de continuer sa route dans le nord de l’état. Au moins il fallait y voir du positif, elle qui n’était pas très sociable appréciait plutôt le fait que les mordeurs n’étaient pas contrariants verbalement. Mis à part la dévorer, ils ne cherchaient pas à la contrarier et ils n’avaient pas de sentiments non plus donc par conséquent elle n’était ni détestée, ni aimée. Aujourd’hui , elle fouillait dans les cuisines d’un vieux restaurant scolaire miteux. Ce qu’elle recherchait , c’était des aliments secs et pour être honnête n’importe quel aliment. S’en était fini des restaurants de luxe, du caviar et de tout ce qui était du même style. Elle avait enfin compris que l’argent dans ce nouveau monde, n’avait plus aucune valeur et que tout ce qui comptait , c’était la survie. Elle avait réussi à trouver quelques boites de conserves de légumes, haricots, betteraves, chou tout cela était devenu un met de luxe parce que quand elle n’avait pas le choix , manger du furet ou de l’écureuil c’était bof... Puis elle entendit un bruit étrange, puisqu’elle n’avait l’habitude que des rodeurs, elle se mit de suite à sortir son arbalète et a sortir sa tête du pot de betteraves rouges qu’elle engloutissait. Elle vit alors au loin une vieille femme d’une soixantaine d’année, grisonnante qui semblait rodée par toute cette histoire. Carolyne était méfiante et plutôt une personne du genre rustre mais, elle finit par accepter d’avoir un peu de compagnie encore humaine dans ce monde de fou. Deliah était de bonne compagnie des fois, quand elle se taisait et qu’elle se tenait aux missions essentielles de survie. Elles passèrent de nombreux mois ensemble , à s’aider dans n’importe quelle situation . En même temps il fallait pas se leurrer, notre psychiatre avait accepté sa compagnie par intérêt au départ, avec une autre personne , elle avait plus de chance d’échapper à la mort.
AVRIL 2019 SEATTLE → La perte d’un être apprécié
Cela faisait plus d’un an que Carolyne cohabitait avec Deliah. Elles avaient appris à se supporter l’une l’autre, enfin c’était surtout notre nordique qui avait mit du temps à la supporter. Deliah n’était pas non plus un ange et c’est cela qui a fait que Mary a obtenu le respect de la blonde. Un jour, afin de trouver de nouveau de la nourriture et étant complètement à cour de vivre, Déliah était partie en éclaireur, pendant que Carolyne dormait encore. Épuisée et blessée d’une chute arrivée quelques jours auparavant, elle ne l’avait pas entendu sortir. Vers dix heures du matin, notre ancienne gérante d’hôpital psychiatrique se réveilla de son long sommeil puis , vit qu’a côté d’elle il n’y avait plus personne. Elle se demanda ou Deliah avait pu mettre les pieds encore. Les deux femmes ne savaient même pas ou elles avaient atterri encore et elle était partie seule comme si de rien était… Imbécile… Carolyne sortit d’une vieille camionnette qu’il était impossible de bouger puisque la trappe à essence était à sec, avec ses armes fit quelques pas et vit au loin , un mur ensanglanté de longues lignes imparfaites. Elle se mit à courir vers ce mur et enfonça la porte juste à coté. Elle retrouva un rôdeur à terre, ayant pris une balle en pleine tête puis passa une autre porte puisqu’elle entendait des cris étranges. En passant cette seconde porte, qui était ensanglantée elle vit Deliah , qui baignait dans son sang et qui avait été mordue au niveau des côtes. Malheureusement pour elle, il n’y avait plus rien à faire mis à part lui souhaiter le meilleur dans sa nouvelle vie la haut et l’achever :
« J’espère que l’on se reverra Deliah »
Après ces quelques mots que l’on avait réussi à faire décrocher a Carolyne jeune femme lui enfonça son propre couteau dans la cervelle. Carolyne ne prit le temps d’enterrer le corps de Deliah et la laissa ici pour retourner à sa survie en solo. Elle avait un petit pincement au cœur tout de même d’avoir perdu une personne avec qui elle vivait depuis plus d’un an chaque jour.
NOVEMBRE 2020-> Bainbridge island
Ca faisait plus d'une année que Carolyne s’était retrouvée complètement seule et après s’être un peu ramollie avec la présence de Déliah qui la faisait se reposer sur ses lauriers la situation était parfois plus compliquée que prévu. Elle tombait des fois sur trois ou quatre rôdeurs en même temps et c’était pas forcément évident de survivre à chaque fois mais particulièrement en ce mois de janvier 2020 ou les températures étaient très rudes et ou elle n’allait pas tomber sur trois ou quatre rôdeurs affamés. Notre ancienne psychiatre était épuisée puisqu’elle avait passé ces derniers mois à cavaler sur les routes à pieds. La blonde avait trouvé pour refuge une espèce de tour avec un petit balcon ou elle pouvait guetter ce qu’il se passait au loin. Ici il y avait déjà un cadavre ou deux de rôdeurs mais comme ils étaient déjà liquidés, il n’y avait plus rien à craindre d’eux . Dans son sac elle disposait de quelques boites de conserves qui lui permettraient de récupérer pendant deux ou trois jours avant de reprendre la route. Le premier jour se passa à merveille et sans encombre. La seconde journée par contre ce ne fut pas du tout la même ambiance, Carolyne n’aurait pas dû rester à fainéanter ici puisque quand elle dormait, elle n’avait pas pu anticiper l’approche imminente des mordeurs qui n’étaient plus qu’a quelques pas de la porte d’entrée de la tour. Un truc sur elle était protégée parce que les rôdeurs ne devaient pas être assez coordonnés pour monter des marches d’escalier mais elle allait pas pouvoir rester ici indéfiniment sans mourir de faim et de soif. Ce qui était le plus impressionnant c’est que plus ça avançait plus il y en avait. Comme si quelqu’un les avait attiré par ici alors que la veille c’était le calme plat. Les minutes défilèrent et Caro vit de nombreuses silhouettes au loin et elle ne savait pas trop si elle devait être contente ou plutôt craindre ce qui allait se passer pour elle. Au final ça a été un petit peu houleux pendant quelques heures mais Carolyne avait l’air de pouvoir servir au camp de se fameux groupe qui choisirent d’un commun accord de l’y intégrer.
→ l'une de ces dates devra obligatoirement se trouver en octobre 2015 au début de l’épidémie ; une autre devrait se trouver dans les 6 derniers mois avant le "présent".
Survie
time to met the devil
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Re: Carolyne Nygard - At your service to return your brain
Ven 16 Avr 2021 - 22:09
Rebienvenuuuue!
Dis-leur que l'avenir
ne se fera pas sans moi
ne se fera pas sans moi
- Lukas S. Yoon
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Re: Carolyne Nygard - At your service to return your brain
Sam 17 Avr 2021 - 9:21
Merciiiiii tellement haaate
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Re: Carolyne Nygard - At your service to return your brain
Sam 17 Avr 2021 - 9:34
Rebienvenuuuue!
don't torture yourself, that's my job.
I'm just like any modern woman trying to have it all. Love, family. It's just, I wish I had more time to seek out the dark forces and join their hellish crusade."
- Madalena Auditore
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Re: Carolyne Nygard - At your service to return your brain
Sam 17 Avr 2021 - 10:30
Merci bien c'est gentil
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Re: Carolyne Nygard - At your service to return your brain
Sam 17 Avr 2021 - 10:34
Rebienvenue par ici
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