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Shelby ◘ Violence, enough is enough

Ven 9 Avr 2021 - 22:27


SHELBY ABOTTtell me more about you

prénom(s) : Shelby Lloyd mais il avait le surnom de « Grizz »
nom : Abott. Un nom de famille synonyme de problèmes au cœur des campagnes du Tennessee puis un nom synonyme de meurtrier au cœur de l’Oregon.
date de naissance : 17 Septembre 1960
âge : Soixante ans

ville de naissance : Nashville, Tennessee
métier : Officiellement mécanicien, officieusement membre d’un gang de motards hors-la-loi. Il baignait dans le trafique d’armes ainsi que les combats illégaux. Shelby a ensuite été condamné à la prison à perpétuité pour double homicide.
groupe : The travelers

avatar : Sean Bean

what i am

qualites
Vaillant
Généreux
Protecteur
Bricoleur
Déterminé
defaults
Impulsif
Bagarreur
Violent
Sarcastique
Silencieux
Equipement :

Armes :
○ Un beretta calibre 9mm avec un chargeur plein et trois balles supplémentaires en poche.
○ Un poignard de survie (30 cm)

Poches :

○ Un paquet de cigarette écrasé comprenant quelques cigarettes cassées
○ Un briquet sans essence
○ Une pierre a feu et une boussole cassée

Sac à dos :

○ 2 bouteilles en plastique abimées remplies d'eau
○ Deux T shirt propre
○ Un pantalon
○ Un paquet de gâteaux secs périmés
○ Une couverture de survie
○ Un bonnet et des lunettes de soleil
     
Details physiques :
Shelby possède plusieurs tatouages réellement symboliques de son ancienne vie sur l’ensemble de son corps. Invisibles aux premiers regards, les tatouages du motard se situent principalement sur son torse ainsi que dans son dos. Au niveau de son cœur se trouve une série de chiffres romains comprenant les dates de naissances de ses enfants. A l’opposée de celui-ci sur la poitrine se trouve l’emblème de son gang de motards. Un souvenir qu’il souhaiterais aujourd’hui effacer de son corps. Dans son dos trône fièrement une phrase ornée d’une tête de diable « In hell i’ll be in good company »

Son avant-bras droit est marquer d’une imposante cicatrice parcourant celui-ci du dessus de son poignet à l’extérieur du coude. Un souvenir d’une altercation intense lors d’un rassemblement de motards a Sturgis dans le début des années 2000. Ses frères d’armes et lui avaient beaucoup trop consommé ce jour-là pour se contenir lorsqu’ils ont croisé la route d’une bande rivale. Résultat : Une nuit aux urgences à la suite d’un coup de couteau.

Les doigts de la main gauche de Shelby sont déformés à la suite d’une fracture mal soignée peu de temps après le début de l’épidémie. Ses énormes mains rugueuses sont elles marquées par les stigmates de blessures survenues dans le cadre de son travail de mécanicien mais aussi de ses nombreux combats illégaux. Cicatrices et doigts tordus.

Psychologie

Il se pourrait selon certaines formes de pensées que le vécu d’une personne forge son caractère. Shelby Lloyd Abott. Il fait malheureusement parti de ces êtres vivants n’ayant connus que la violence depuis la naissance. Privé de l’amour d’une mère dès le plus jeune âge et sans l’aura protectrice d’un père. La banalisation de la violence depuis l’enfance à créer une véritable fracture au sein de son esprit. Shelby fait parti intégrante de ces hommes que l’on considère sans discernements comme véritablement violent. Les professionnels en psychologie et psychiatrie de « l’ancien monde » étaient formels à son sujet.
Shelby ne semble avoir aucune forme de regret vis-à-vis de ses agissements. Il se pourrait même qu’il se complait dans la complexité de cette violence qu’il embrasse à bras ouverts. Un véritable paradoxe puisqu’il serait néanmoins capable des pires actes humainement possible pour protéger les siens. Shelby éprouverait un amour si fort, si profond et si sincère pour ses proches qu’il serait incapable de faire la différence entre le bien et le mal. A ses yeux. Les actes qu’il pourrait commettre pour eux seraient complètement justifiés.  Son impulsivité tend à prendre le dessus sur sa raison malgré la loyauté qu’il porte aux siens. S’il serait incapable de planter un couteau dans le dos de ceux qu’il aime. Shelby serait pourtant capable de faire souffrir ceux-ci en agissant sans discernement, sans réfléchissements préalables à ses actes.
C’est principalement un sarcasme tranchant qui démontre chez lui une certaine forme d’agacement. Shelby fait parti de cette catégorie d’hommes qui ne s’expriment que relativement très peu. Il n’est pas le genre à s’épandre dans de grandes tirades pleines d’émotions… Véritablement brut de décoffrage, souvent trop rustre et rude dans ses paroles. Il va bien souvent à l’essentiel sans véritablement se soucier de froisser son auditeur.


L’épidémie qui a sévie sur l’humanité en plongeant le monde dans le chaos depuis déjà bien longtemps fut un véritable désastre pour une majeure partie de la population mondiale. Au contraire, Shelby, il a eu droit à une seconde chance après avoir été condamné à la prison à perpétuité. Les années passées à l’isolement dans une cellule de quatre mètres sur quatre à la suite de son double homicide. Les heures en solitaire à observer les nuages à travers une lucarne de plusieurs dizaines de centimètres. Elles lui ont laisser le temps de réfléchir au sens de sa vie. Shelby. Il cherche aujourd’hui sa rédemption dans ce nouveau monde qui semblerait véritablement parfait pour lui. La violence ayant bien souvent pris le dessus sur l’humanité. Shelby cherche cependant la paix intérieure dans ce monde ne lui laissant malheureusement que peu souvent la possibilité de ses choix parfaitement moraux. Obéissant bien souvent plus instinctivement à la violence ayant guidée ses pas depuis son enfance plutôt qu’a sa raison.  
Néanmoins au fond de lui Shelby sait qu’il ne rêve que d’une chose relativement simple. Il ne souhaite que de retrouver sa famille. Désespérément depuis si longtemps il recherche les traces de la femme qui lui avait offert à l’époque le plus magnifique des cadeaux : un fils et une fille. Une paternité qu’il n’a pas réussi à apprécier à sa juste valeur par le passé. Une chance qu’il n’a pas réussie à saisir fuyant bien souvent malgré lui les démons de son propre géniteur. Shelby il espère sincèrement pouvoir un jour avoir la chance de devenir un véritable père aux yeux de ses enfants, un exemple à suivre pour son délinquant de fils mais surtout reconquérir sa place dans le cœur de sa fille.






Story of survival

L’alcoolisme. Un putain de fléau capable de détruire une famille entière sur plusieurs générations.
Un résumé parfait de la vie de la famille Abott depuis bientôt trois générations. Les coups de fusils perdus entre les airs de guitare country. Un mobile home délabré au cœur d’un terrai en friche à l’orée d’une forêt. Un véritable cadre putain d’idyllique dans lequel Shelby Lloyd Abott à vécu ses premières années d’enfants. Une famille véritablement clichée de la famille de prolétaires américains originaires du sud des Etats-Unis prônant trop souvent une idéologie dépassée de suprématie blanche et fidèle au Klux-Klux-Klan. Alcoolique, violent et raciste. Son père était un homme véritablement charmant n’hésitant pas une seule seconde à abattre ses poings sur le visage de sa compagne et ses enfants à la moindre contrariété. Un rythme familial au rythme endiablé des coups avant que celui-ci ne s’écroule ivre mort sur la table de la cuisine. Une canette de bière éventée entre les mains et une cigarette au bec. Un véritable gentilhomme. Disparue tragiquement l’année de ses cinq ans dans un accident de voiture. Shelby n’aura jamais eu l’occasion de se souvenir de l’amour protecteur de sa mère dans cette mélodie au rythme de la violence.

L’adolescence est souvent une période compliquée dans la construction d’un jeune garçon. Shelby il était de ceux que l’on appelle sans détour « un rebelle ». Perturbé par l’absence de sa mère dans sa vie et le contexte familial compliqué des Abott. Il se fait malheureusement rapidement connaître du bureau du shérif local en commençant par commettre quelques menus larcins. Adolescent vivant sous le seuil de pauvreté au cœur d’une Amérique profonde souvent délaissée par les politiciens. Il ne cherche souvent qu’a réussi à se nourrir convenablement, abandonné par son géniteur au profit de son sacrosaint alcool de contrebande. Shelby à cette époque difficile n’est qu’un de ces putains de gosses de pauvre cherchant à se faire quelques billets afin de s’offrir un simple putain de hamburger.
La colère. La haine. La souffrance. Ces conneries d’émotions qui se bousculaient au plus profond de son âme. Elles allaient finir par s’exprimer un soir de novembre. Une nouvelle fois ce putain de démon de l’alcool avait pris possession de l’esprit de son paternel. Une nouvelle putain de fois les coups allaient pleuvoir sur son visage. Ce soir-là. Il avait refusé de subir cette existence. Il avait serré les poings. Il avait répliqué. Ses poings. Ils s’étaient abattus avec la même putain de violence que ceux de son géniteur sur celui-ci. Impossible pour lui de se souvenir du nombre de coups qu’il lui avait administrer en travers du visage. Il se souvenait simplement de ce sang. Ce putain de sang chaud sur ses mains et le même putain de sourire moqueur de cet enfoiré. Il se souvenait juste de cette putain de phrase qui allait finir par être la hantise de ses nuits « T’es pas si différent de moi, fils »

Ce soir-là. Il avait jeté ses affaires dans un simple sac à dos avant de disparaitre dans le froid et l’obscurité de l’hiver. Shelby il n’avait pas encore dix sept ans qu’il se retrouvait déjà à la rue de sa propre volonté. Il avait pris la route le visage recouvert du sang de son géniteur, sans un seul putain de regards derrière lui. Il avait accepté cette vie de vagabond sans véritables problèmes. Shelby il arrivait à se faire un peu d’argent en enchainant les petits jobs dans les stations-services, plonge dans les restaurants ou même encore à faire la manche. Il parcourait les Etats-Unis seul réussissant bien souvent à se trouver un endroit chaud et suffisamment sécurisé pour enchainer plusieurs heures de sommeils.
C’est cette putain de rencontre providentielle avec ce vétéran de l’armée américaine qui allait mettre un terme à la déchéance de son existence. Ce vieux briscard allait avoir un rapide impact sur le reste de sa vie lorsqu’il lui offrait ce travail inespéré au cœur d’un garage automobile. Il n’avait alors pas encore dix neuf ans qu’il obtenait pour la première fois un véritable emploi qui lui permettrais de remettre le train de sa vie sur les rails. Il ne lui avait pas seulement offert un travail, bien que son rôle fût au départ essentiellement de faire le ménage dans le garage. Il lui avait aussi offert un endroit au chaud pour dormir, définitivement… Un modeste studio au cœur du garage qui ressemblait étrangement au paradis à ses yeux lorsqu’il pouvait enfin dire « chez moi ». Shelby était rapidement devenu comme un fils aux yeux de cet homme qui années après années n’avait eu de cesse de lui offrir une vie de plus en plus merveilleuse. Il avait reçu une véritable formation en mécanique, la possibilité d’acheter sa première voiture après l’obtention de son permis mais surtout son rêve d’enfant. Ce vieil homme lui avait offert la plus belle des motos. Une bénédiction du ciel qu’il avait accepter à bras ouverts lorsqu’il lui avait aussi offert la possibilité de rejoindre les rangs de son club de motards.
Shelby. Il était alors devenu l’un de ces hommes dont les mères se méfient. Un véritable diable sur un deux roues. Un homme vêtu d’une veste en cuir ne se séparant jamais d’une arme de poing. Il était alors devenu l’un de ses « Devils ». La violence n’avait néanmoins jamais quitté son existence et avait alors même fait partie intégrante de sa vie. Elle était devenue la norme. Une banalité. Une nouvelle journée au bureau. Les années s’étaient alors écoulées. Elles se ressemblaient.

Une rencontre allait faire prendre un tournant complètement différent à sa vie. Une femme. Une magnifique femme qui allait rapidement devenir la mère de ses enfants. Une femme qu’il allait aimer sincèrement et si profondément malgré les apparences. Shelby allait alors faire en sorte d’avoir une vie parfaitement rangée à ses yeux afin de la préserver de ses propres démons. Elle n’avait pas à subir la violence héréditaire de la famille Abott. A ses yeux, il n’était qu’un mécanicien membre d’un groupe de motard un peu trop fan de l’Amérique et de grosses motos. A ses yeux doux yeux, Shelby n’était rien d’autre qu’un putain de passionné de rock à l’esprit trop libre pour être dans les cases de la société. Elle avait accepté cette vie, cette différence malgré ses retours tardifs la nuit voire ses absences répétées pendant plusieurs jours. Criminel de jour impliqué dans le commerce illégal d’armes à l’échelle nationale. Père de famille la nuit.
Cette putain de double vie. Elle allait rapidement finir par rattraper ses efforts pour éloigner sa famille d’une vie de truands. Ce soir fatidique au cœur d’un bar de la ville de Portland. Cette soirée qui allait s’annoncer sous les meilleurs hospices d’une fête jusqu’au bout de la nuit pour l’anniversaire d’un de ses frères d’armes. Cette fête qui avait rapidement fini en vrille dans cette rixe violente qui avait opposé son gang à leurs pires ennemis. L’ambiance festive avait rapidement viré au règlement de compte sous un déluge de coup de poings jusqu’au moment où l’alcool ainsi que son impulsivité avaient pris le dessus sur sa raison. Son putain de 9mm avait jaillit de sous son blouson en cuir. Son putain de bras s’était dresser droit devant lui et son doigt avait presser la détente à plusieurs reprises vidant la moitié de son chargeur sur deux rivaux.

« Double homicide dans le centre de Portland » « Nuit sanglante dans le monde des Easy Rider » « Deux morts, cinq blessés : L’enfer des nuits de Portland » étaient les titres des journaux locaux dès le lendemain. Cette putain de réalité qui avait fini par rattraper son existence paisible. Ces putains de Gi Joe qui avaient fait exploser sa porte d’entrée au petit matin. Ces putains de menottes qui se resserraient sur ses poignets sous les yeux de sa famille. Ces pleurs et ces cris déchirants au milieu du salon. Les longues semaines qui avaient suivi son arrestation furent suffisantes pour faire disparaitre l’intégralité de sa vie. Sa famille ne voulait plus entendre parler de lui et la médiatisation de l’affaire n’avait rien arranger à la situation. Un procès expéditif l’avait rapidement privé de sa liberté pour le restant de ses jours au cœur d’une prison de haute sécurité. Il n’était plus rien d’autre qu’un criminel quatre années avant que le monde ne sombre dans le chaos.


OCTOBRE 2015 – Oregon State Penitentiary
Les hommes sont comme des pommes, quand ils s’entassent, ils pourrissent. Au cœur du quartier de haute sécurité de la prison d’état de l’Oregon, rien n’est véritablement différent. Les pires criminels de l’état se retrouvent enfermés dans la même aile sur plusieurs étages au sein des dizaines de cellules de quatre mètres sur deux. Une cage de béton armés devenue pour certains un véritable lieu de vie en attendant avec patience le dernier souffle continuant cependant à croire en une seconde chance. Était-il inhabituel que les gardiens soient sur les dents au quotidien ? Absolument pas. Les agressions envers eux étant devenues monnaies courantes pour ne pas dire systématique.
Les yeux rivés à travers sa petite lucarne donnant sur le monde extérieur, sur cette liberté disparue, le cul rivé sur son matelas a peine plus épais qu’une couverture. Le dos enfoncé sans négligence contre le mur en béton armé et glacial de sa cellule. Shelby Lloyd Abott réfléchissait aux derniers évènements survenus dans la prison d’état. Que les gardiens soient constamment en binômes et armés jusqu’aux dents pour la surveillance des détenus n’était pas une chose habituelle. La politique de la prison semblait avoir pris un tournant complètement différent depuis plusieurs semaines. Elle s’était endurcie vis-à-vis des criminels les plus dangereux. Ils étaient aujourd’hui complètement privés de leurs sorties quotidiennes mais le véritable coup de massue pour nombreux détenus fut de se retrouver à l’isolement complet. Interdiction complète de recevoir des informations venant de l’extérieur de l’enceinte de la prison. Impossible de prendre contact avec leurs familles.
Cet endurcissement des conditions de détentions vis-à-vis des détenus les plus psychologiquement dangereux avait créer une véritable atmosphère électrique au sein du quartier de haute sécurité. Shelby, il restait pourtant le même homme impassible au temps qui passe sous ses yeux. Cette putain de routine quotidienne. Ce fracas métallique qui résonnait chaque jour à la même heure dans sa cellule. Cette même trappe qui s’ouvrait quotidiennement pour lui glisser un plateau rempli de ce que l’on pourrait presque considérer comme de la nourriture. Ce même sourcil légèrement arqué jours après jours en observant les portions diminués à vue d’œil.
« Abott. Profites-en. Demain pas de gamelle. »
Les yeux rivés dans ceux de son interlocuteur de l’autre côté de la porte blindée. Un sourire légèrement dessiner sous son épaisse barbe de plusieurs semaines. Shelby refermait les mains sur le plateau repas de la prison seulement quelques instants avant qu’une lointaine alarme ne résonne dans la prison. Son regard ne quittait pas celui de l’homme en uniforme face à lui tandis que la trappe se refermait dans un claquement sec. Cette alarme n’avait d’autres significations qu’une émeute en cours dans un autre quartier de la prison. Rien n’était vraiment surprenant aux alentours de l’heure du repas. C’est un détail qui attirerait son attention. Les coups de feu. Depuis quand la politique de la prison était-elle devenue si différente ? Depuis quand les gardiens étaient-ils autorisés à ouvrir le feu à balle réelle sur les émeutiers des blocks moins sensibles ? Un sourcil arqué sur le visage. Il observait le gardien s’éloigner de la porte de sa cellule dans un calme olympien. Shelby faisait volte-face glissant son plateau sur une table de fortune. Les yeux rivés sur l’extérieur par sa petite lucarne dans le mur. Pourquoi les détenus du block principal avaient-ils décider de se dresser contre les gardiens ? Pourquoi la répression s’effectuait-elle a balle réelle ? Pourquoi autant de carnage ? Ces questions restaient longuement en suspends durant de longues heures.



Racontez ici a quoi ressemble une journée de votre personnage aujourd'hui. S'il est dans un camp, comment participe-t-il a la vie commune ? Quelle est sa relation avec l'autorité ? S'il est traveler, quelles sont ses habitudes au jour le jour ? Etc...


time to met the devil

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fiche (c) langouste.
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

Ven 9 Avr 2021 - 22:59

Un mec bien sous tout rapport, rien qu'au premier coup d'oeil. :MisterGreen:
Bonne rédaction !


I am
alive
Derek Watson
Derek Watson
Expendables
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

Ven 9 Avr 2021 - 23:33

Bienvenue iciiii !



Us against them
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Tori H. Watanabe-Hayworth
Tori H. Watanabe-Hayworth
Inglorious Fuckers
Administratrice
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

Sam 10 Avr 2021 - 0:31

Tant de douceur ma parole !

Bienvenue en enfer !


You will learn
It's not our precious virus that makes you, it's not who you kill or who you screw... It's the heartbreaks... The bigger... The better... and I know better than any of us.
Cole Quinto
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

Sam 10 Avr 2021 - 1:00

Bienvenue a toi!!!
bon courage pour ta fiche!
Invité
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

Sam 10 Avr 2021 - 1:00

Bienvenue dans le coin. I love you
Invité
Anonymous
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

Sam 10 Avr 2021 - 1:04

Bienvenue Very Happy
Invité
Anonymous
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Re: Shelby ◘ Violence, enough is enough

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