Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 7:46
MILLER
Prénom(s) : Dakota
Âge : 29 ans
Date de naissance : 10 décembre 1990
Lieu de naissance : Hampton, Caroline du Sud
Nationalité : Américaine
Groupe : The Remnants
Ancien métier : Tireuse d'élite (US Marine Corps)
Célébrité : Madeline Brewer
BORNÉE
INSENSIBLE
SOLITAIRE
RENFERMÉE
PATIENTE
COMBATIVE
PRAGMATIQUE
MÉTHODIQUE
Quand Dakota a quelque chose à dire, elle le dit. Et sans se soucier de la forme ou des convenances lorsqu'elle le fait. Elle est franche mais surtout abrupte. Elle n'a jamais été douée pour ménager les susceptibilités ou épargner les sensibilités. Cela lui a valut de nombreuses inimitiés mais qu'ils l'apprécient ou non, les gens savent au moins à quoi s'en tenir avec elle.
L'américaine est aussi particulièrement bornée. Si elle est assez maline pour ajouter un peu de flexibilité à ses réflexions, elle reste très dure à dissuader lorsqu'elle s'est mise une idée en tête. On pourrait sans doute y voir un point positif si seulement elle n'était pas une tête de mule qui préfère accentuer ses erreurs plutôt que de reconnaître ses torts. Et il faut bien dire qu'elle ne fait pas non plus dans le sentiment. Elle est presque imperméable à l'empathie et ferme aisément les yeux sur les soucis ou la souffrance des autres. Si son insensibilité est souvent une précieuse alliée face à ses adversaires, elle n'en reste pas moins un handicap lorsqu'il est question de ses camarades ou de nouer des liens avec les autres.
La militaire est d'ailleurs particulièrement solitaire et ce, depuis sa plus tendre enfance. Elle se complaît dans la solitude. Cette dernière est même nécessaire à son équilibre. Elle n'en souffre guère dans la mesure où elle n'a jamais vraiment eu besoin des autres ou que, du moins, elle s'est habituée à leur absence. Mieux vaut être seule que mal accompagnée. Dakota a érigé de dicton en véritable principe de vie. Et comme elle estime que la majorité de ses congénères sont de mauvaise compagnie... À noter qu'elle est également renfermée et que si les problèmes des autres ne parviennent pas à éveiller son intérêt, elle juge également normal de ne pas leur imposer les siens en retour. Les confidences et autres échanges intimes, ce n'est pas du tout son truc. Ses blessures, ses faiblesses, elle n'a jamais été douée pour les exprimer.
Ce n'est toutefois pas un hasard si elle a été acceptée dans l'armée malgré ces divers handicaps. La jeune femme est particulièrement vigilante. Elle est constamment attentive à son environnement et ce, que ce soit sur le terrain ou entre les murs de Fort Ward. Elle ne s'estime jamais en terrain conquis et garde toujours sa garde haute. Le danger peut surgir de partout et souvent où on l'attend le moins. En parallèle la militaire est dotée d'une réelle patience. Si cette dernière ne s'exprime guère envers ses congénères, elle se manifeste constamment lorsqu'il s'agit d'affronter la course du temps. Elle est ainsi capable d'attendre des heures sans ressentir un quelconque sentiment de frustration.
Le principal atout de Dakota se résume peut-être à cette combativité farouche qui l'anime. Elle ne s'avoue jamais vaincue et se fiche pas mal des statistiques défavorables. Elle estime que la victoire revient au camp qui la désire le plus. Ni plus ni moins. L'Histoire est d'ailleurs remplie d'exemples qui la confortent dans cette opinion. Sans être téméraire, elle ne s'abandonne ainsi pas aisément à la peur ou au pessimisme.
La future trentenaire se caractérise également par son pragmatisme froid. Puisque le sort des autres lui importe peu, elle ne s'embarrasse pas de tous ces obstacles moraux qui peuvent altérer le bon sens d'une décision. Il y a tout simplement des choses qui doivent être faites. Et d'autres qui doivent être sacrifiées sur l'autel de la survie. Elle laisse les beaux idéaux et les dilemmes empreints d'humanisme aux autres et, pour sa part, se contente simplement d'être efficace.
Pour finir la militaire est particulièrement méthodique. L'armée lui a appris la nécessité de suivre des procédures qu'elle juge maintenant élémentaires. Elle prend son temps pour analyser les tenants et les aboutissants d'une décision. Lorsqu'elle bouge une pièce sur l'échiquier, c'est en ayant auparavant mesuré les risques et c'est toujours avec la conviction de faire le meilleur mouvement.
Dakota mesure un peu plus d'un mètre soixante et la dernière fois qu'elle est montée sur une balance, pesait dans les cinquante-huit kilos. Sa crinière blonde met en valeur un visage harmonieux à la peau clair, servant d'écrin à des iris mêlant nuances bleutées et ondées grisâtre. Un nez traditionnel, une bouche conventionnelle... C'est incontestable : la militaire est bien une humaine.
Diverses cicatrices héritées d'une enfance mouvementée, de ses entraînements ou du plus basique apprentissage de la gravité et de ses dangers parcourent son corps. Elles n'ont rien de remarquables, se contentent d'être anodines. Dakota est également tatouée sur une bonne partie du corps. Notamment sur ses bras, la majorité de son dos et de ses épaules. Les motifs sont divers et variés, n'ont pas la moindre symbolique et ont pour seul avantage de plaire à leur propriétaire.
Côté vestimentaire la jeune femme se contente du fonctionnel et donc, le plus souvent, de tenues militaires. Elle préfère le pratique à l'esthétique et cherche avant tout à se fondre dans la masse ou le décor. Elle ne porte aucun bijou ou ornement ostentatoire et se contente d'une simple montre digitale. Elle n'est pas le genre de femme qui aime se faire belle et qui cherche à attirer les regards. Elle laisse ce genre de futilités à celles et ceux qui ont besoin de plaire pour se sentir bien dans leurs peaux.
Même si le règlement de Fort Ward ne le lui imposait pas, elle porterait constamment sur elle ce couteau de combat qui ne la quitte plus depuis le début de l'épidémie. Pour le reste elle s'adapte et fait avec les disponibilités de l'armurerie. Elle opte évidemment pour les fusils de précision lorsqu'elle se rend à l'extérieur mais peut aussi bien se contenter d'un fusil d'assaut ou d'une simple arme de poing si les circonstances l'exigent. L'important ce n'est pas l'arme, mais ce qu'on en fait.
John Miller voulait un fils. Le hasard lui donna une fille. Et il ne l'accepta jamais vraiment. Davantage encore quand le couple qu'il formait avec Mary prirent connaissance d'une autre évidence, délivrée par la bouche d'un gynécologue peu concerné : ils n'auraient pas d'autres enfants.
Dakota n'était encore qu'une enfant quand elle comprit qu'elle ne ferait jamais vraiment la fierté de son père. Et que celui-ci ne ferait pas davantage le bonheur de sa mère. Leur trio s'inscrivait dans la plus parfaite tradition familiale du sud des États-Unis. John, en tant que vétéran blessé lors de la première guerre du Golfe, touchait une pension tout juste suffisante pour subsister aux besoins des siens. Il la complétait avec de petites boulots. Ou du moins, essayait. La majeure partie du salaire était dilapidée au bar ou dans des paris malavisés. Mary, stoïque mais effacée, se retrouvait cantonnée au rôle d'épouse soumise. Un modèle conventionnel, presque plébiscité dans la petite ville d'Hampton, en Caroline du Sud.
Est-ce que la gamine a souffert ? Non ! Elle s'est accommodée de la discipline militaire instaurée par son père. Ce fut d'ailleurs le modèle incarné par John qui prima. Dakota aurait pu se contenter d'être une déception. Les choses auraient sans doute été plus faciles. Mais elle décida de prouver qu'elle valait tout autant qu'un garçon. Peut-être même plus. Elle s'acharna dès lors à se comporter comme tel, à essayer d'être celui que son père aurait voulu et non celle qu'elle était. Elle eut toujours l'impression d'avoir quelque chose à prouver. Alors elle a naturellement essayé de le faire.
Elle entre en 2006 à l'elementary school de la ville, se démarque par son comportement plutôt que ses notes. Et pas dans le bon sens. Les punitions sont nombreuses mais n'infléchissent pas le caractère opiniâtre de l'enfant. Peut-être qu'elle avait peur de céder, de prouver à son père que son caractère n'arriverait jamais à égaler celui d'un hypothétique fils. Avec le temps elle apprend à flirter avec les limites plutôt qu'à les outrepasser. Elle passe les différentes années sans gloire, se contente d'être dans le ventre mou du classement. Elle n'a pas encore d'ambitions professionnelles et se moque bien d'une éventuelle carrière. Elle se contente de grandir, insouciante, comme tant d'autres enfants.
Sauf qu'elle ne se fait pas véritablement d'amis. Elle préfère la solitude de sa chambre ou le calme de la forêt aux activités avec les jeunes de son âge. Elle n'en souffre pas. Sans être intégrée, elle n'est pas non plus rejetée. Elle évolue en marge des différents cercles de ses classes. en 2001 c'est l'entrée à la Junior High School. Elle passe les différents grades sans briller ou échouer. Le fait notable, cette année-là, ce sont ces avions qui s'abîment dans les tours du World Trade Center. C'est la faute des arabes selon son père. Les actualités semblent lui donner raison. Le pays a besoin d'être protégé. Toute l'Amérique adhère à ce point de vue. Dakota ne fait pas exception à la règle mais est trop jeune pour être utile. Elle honore son pays en posant sa main sur son coeur et en chantant l'hymne nationale tous les matins, en classe. Et puis elle fait semblant d'être attristée par la mort des glorieux combattants de l'Amérique, ceux qui sont allés en Irak pour apporter la démocratie et la liberté à un peuple opprimé et qui deviennent la cible des bombes.
En 2005, à quatorze ans, elle passe à la High School. Son caractère s'est affirmé. Elle n'entend plus passer sa vie à Hampton et envisage un autre futur. Elle se rend encore à l'église tous les dimanches mais ne croit déjà plus en ce dieu que beaucoup prient. Elle donne le change. Elle n'a de toute façon pas vraiment le choix. Elle n'entend pas se dresser contre Dieu. Il est aussi intouchable que la bannière étoilée. Mais elle attend l'âge où elle pourra vraiment faire ses choix et ses preuves.
Il lui faut attendre le début de l'année 2008 pour enfin voir une étincelle de fierté dans le regard de son père. Celui de sa mère est baigné d'inquiétude lorsqu'elle leur annonce qu'avec leur accord, elle pourrait rejoindre l'armée. Ils savent tout trois qu'elle ne fera probablement jamais de hautes études. John essaie de la dissuader. Probablement pour la forme. Mary essaie vraiment d'infléchir la décision de sa fille. Mais la décision de Dakota est prise. Elle ne se contentera plus d'honorer le drapeau. Elle se battra désormais en son nom. Les avantages ne manquent pas : l'armée lui paiera la faculté dans quelques années. C'est un deal honnête. Et le seul moyen de s'octroyer un véritable avenir dont la mesure où elle n'a pas su décrocher une bourse.
Elle rejoint cette année-là Parris Island et le camp d'entraînement des marines. Elle s'est engagée pour quatre ans et comprend alors qu'elle devra faire ses preuves en tant que soldat mais aussi en tant que femme. Certains instructeurs estiment que sa place n'est pas ici, des camarades - qui n'en portent que le nom - abondent dans leur sens. Remarques sexistes et déplacées se succèdent. Elles ne réussissent qu'à amplifier son désir de leur donner tort. Car si Dakota n'a jamais été une élève brillante, elle se révèle très vite une militaire capable. Elle se fait remarquer au stand de tir. On l'oriente vers le fusil de précision et les tireurs d'élite. en 2012 elle rempile pour quatre années supplémentaires. L'armée lui plaît et les études ne la séduisent plus.
Mais si elle n'a jamais vraiment songé à se rebeller contre son père, les choses sont différentes avec l'autorité des officiers. Il lui arrive d'interpréter les ordres, de flirter avec l'insubordination. Elle entretient des relations tout justes cordiales avec son binôme et si elle se révèle efficace sur le terrain, elle peut aussi se montrer arbitraire. Elle abat un homme un Kaboul en 2013, lors de son deuxième déploiement, alors qu'elle est affectée à la protection de l'ambassade américaine. Elle dit avoir vu une arme. Elle voulait surtout venger les deux compatriotes qui sont tombés la veille et qui seront renvoyés au pays dans des cercueils. Ce n'est pas une question de vengeance ou de solidarité. C'est une histoire de principe. On parle de bavure mais l'enquête conclue qu'elle est innocente. Pour certains membres de la justice militaire, la vie d'un afghan n'est pas aussi importante que celle d'un américain.
Mais le régiment doit marquer le coup et on l'a démobilise du théâtre d'opération début 2014. Personne ne s'offusque de son départ. Elle non plus. Elle ne s'est attachée à personne. Elle était un rouage, pas une amie ou une camarade. L'Afghanistan ne lui manquera pas. Elle atterrit en février à Rammstein, en Allemagne. Elle est désormais affectée au 3ème régiment d'infanterie dans les environs de Würzburg. Elle attend un conflit qui ne viendra jamais avec la Russie de Poutine. Les entraînement s'enchaînent mais les journées sont paisibles. Ici, il n'y a personne qui songe à exploser des convois militaires. L'a-t-elle regretté ? De temps à autre, oui. Elle ne s'est pas engagée pour faire de la figuration.
Plus d'une année s'écoule. Le mois d'octobre 2015 est semblable aux précédents. On évoque la possibilité d'un nouveau redéploiement, peut-être dans l'une des bases du pacifique. Cela restera de l'ordre de la rumeur. Lorsque septembre pointe le bout de son nez, Dakota se demande simplement si elle finira l'année en Allemagne. La réponse vient sous la forme d'un ordre de rapatriement : il y a des émeutes dans le pays et la loi martiale a été déclarée. Ce n'est pas ainsi qu'elle imaginait son retour au pays...
Début octobre 2015 - Seattle
La mission ? Protéger une zone sécurisée. Pas contre un ennemie extérieur ni même une menace vivante. Ces infectés sont de plus en plus nombreux. Le chaos règne en dehors des abris supervisée par l'armée. Dakota l'observe du haut de l'un des immeubles qui surplombent le camp auquel est affecté. Hors de portée des morsures. Un petit jeu s'est installé entre les membres de son unité : qui en abattra le plus ? Elle ne participe pas à ce genre de paris. On ne le lui a d'ailleurs pas demandé. Et dans le fond elle sait bien qu'ils masquent le marasme ambiant. Personne ne sait vraiment ce qu'il se passe, tout le monde y va de sa petite théorie. Ce serait les chinois. Ou peut-être la Corée du Nord ou la Russie. Voir même Dieu ou le réchauffement climatique.
Dakota se raccroche au rationnel et vit dans l'instant présent. L'ennemi est là, partout. Il est lent, vorace et insensible à la douleur. Mais pas aux balles. Il faut viser le crâne. Elle a été entraînée pour ça. Rien de neuf sous le soleil. Sauf qu'elle ne pensait pas devoir un jour tuer des morts... Elle ajuste la lunette de son fusil puis fait glisser le réticule sur cet homme et l'infecté qui le poursuit. Elle indique qu'une cible a été identifiée pour suivre le protocole mais les ordres sont clairs : tirer à vue. Elle bloque sa respiration et appuie sur la détente. Le silencieux étouffe le bruit. Le cadavre s'effondre pour de bon. Un de plus. Non. Seulement un de moins.Hiver 2015 - Seattle
Elle comptait parmi ceux qui voulaient abandonner les civils. Il semble maintenant clair que la chaîne de commandement est brisée et avec elle, la logistique sensée leur garantir vivres et munitions. Certains ont évoqué le serment qu'ils ont tous prononcé : protéger le pays et son peuple. Contre quoi ? Les morts ?
D'autres ont simplement opté pour le pragmatisme. Les rations manquent et les civils sont des bouches inutiles à nourrir. Le travail qu'ils fournissent n'est pas suffisant pour inverser la tendance. À ce rythme, ils mourront tous de fin ou de soif. Le dernier générateur vient de lâcher dans l'après-midi, les privant d'une énergie bien trop précieuse. Et les véhicules ne pourront pas emporter tout le monde. Il y aura des pertes quoi qu'il arrive. Il leur appartient de choisir lesquelles. Parce que ce sont eux qui tiennent les fusils...
Son avis, Dakota n'a pas besoin de l'exposer. Elle sait que la plupart de ses camarades pensent comme elle : il faut sauver ce qui peut l'être. Et des gens utiles, formés au combat. Pas des civils apeurés ou indisciplinés. La lutte doit se poursuivre ailleurs. Là où la densité des infectés leur laissera une chance. Le débat est houleux mais le verdict est évident : ils partiront à l'aube. Ceux qui veulent rester le peuvent. Au final les seuls qu'ils laisseront dans leur sillage, ce seront les gens sur lesquels ils avaient ordre de veiller.Été 2016 - Seattle
RACONTEZ ICI A QUOI RESSEMBLE UNE JOURNÉE DE VOTRE PERSONNAGE AUJOURD'HUI. S'IL EST DANS UN CAMP, COMMENT PARTICIPE-T-IL A LA VIE COMMUNE ? QUELLE EST SA RELATION AVEC L'AUTORITÉ ? S'IL EST TRAVELER, QUELLES SONT SES HABITUDES AU JOUR LE JOUR ? ETC...
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Re: Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 8:25
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Re: Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 9:02
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Re: Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 9:41
[EDIT]
Du coup j'enlève mon message de bienvenue espèce d'escroc
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Re: Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 10:20
- Spoiler:
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Re: Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 10:35
Bienvenue ici!
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Re: Dakota Miller ~ Step into my parlor,' said the spider to the fly.
Mer 16 Sep 2020 - 11:50
Moi ça me fait bizarre de pas la voir avec des tresses et un tatouage sur la gorge, chacun ses références
Bonne rédaction de fiche dans tous les cas
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