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Olivia Armstrong - walk with me

Mer 15 Fév 2017 - 23:17


Olivia Armstrong
24 ans Américaine Libraire Evergreen Ridge
i've got a war in my mind

caractère d'Olivia.

   Olivia est une jeune femme réfléchie et intelligente. Même si elle ne mesure pas systématiquement la portée de ses actes elle sait effectuer la plupart de ses taches avec justesse. Toutefois il arrive souvent que la curiosité prenne le pas sur ce côté intellectuel. Et même si la curiosité - tout le monde le répète - est un vilain défaut, elle reste incroyablement satisfaisante. Le démon d'Olivia est donc cette curiosité qui reste toujours perchée sur son épaule telle une gargouille quelque peu malfaisante. Olivia recouvre sa maturité d'une épaisse couche d'humour. En effet, la jeune femme reste attentive à ses proches et sait changer de masque le moment venu pour revêtir tout le sérieux du monde ; pourtant elle ne peut s’empêcher de se donner cet air léger. Il parait alors que peu lui importe et que ce qui compte vraiment, c'est rire. D'ailleurs, à propos de rire, Olivia se délecte de celui des autres. Elle apprécie, en ces temps mornes, apercevoir un sourire, une lueur d’amusement ou un franc éclat de rire. Enjouée, elle ne se lasse pas de provoquer tous ces sentiments positifs qui semblent s'évaporer au fil du temps. Énergique et têtue, la jeune femme ne se laisse pas abattre. Elle est mue par une force qui lui permet de ne jamais baisser les bras. Alors que parfois tout semble tragique, Olivia ne se laisse jamais démonter. Toutes ses qualités font d'elle une personne attachante. On apprécie cette bouffée d'air qu'elle apporte en dehors de l’atmosphère ,parfois lourde, qui peut régner dans le chalet.
Si Olivia est curieuse, elle est aussi envahissante. Il y a une certaine limite qu'il est préférable de ne pas franchir pour éviter tout conflit. Dans tous les cas; il semble qu'Olivia ait du mal à discerner cette même marge. Paradoxalement, la libraire aura tendance à se vexer rapidement si vous lui faites la moindre remarque là-dessus. Susceptible, elle prend souvent les choses trop à cœur et déteste imaginer qu'elle importune. Rancunière, il est fortement déconseillé de l'embêter, amatrice de vengeance, elle se fera un plaisir de vous démonter de manière créative. Car elle n'est pas le genre à chercher la confrontation directe et à jouer des poings. De plus la violence n'est pas amusante au contraire de la vengeance malicieuse. Olivia reste tout de même anxieuse. Elle a souvent peur, panique pour pas grand chose. Elle peut aller jusqu'à avoir des crises de panique dans les moments les plus stressants. Cette anxiété est entre autre due à sa sensibilité. Olivia est réceptive aux mouvements de l’extérieur. Elle ne les accueille pas forcément correctement et il arrive qu'elle leurs donne une mauvaise interprétation. Toutefois cette sensibilité à également le don de stimuler sa créativité. Elle en est même le principal instigateur puisqu'à l'origine de cette acuité sensorielle.  

   
   

caractéristiques physiques.

La jeune femme à un visage fin aux pommettes saillantes. Ses yeux clairs, verts d'eau, sont l'une des premières choses que l'on remarque chez elle puisqu'ils sont accompagnés d'un regard perçant. Elle a de longs cheveux bruns foncés et fins. Sa peau pâle contraste avec ses cheveux. La jeune femme est pourvue d'une silhouette élancée, caractéristique notamment due à sa grande taille. Ses doigts fins donnent l'impression que ses gestes sont précis et gracieux.
Habitée par une énergie folle, Olivia a besoin de se sentir utile et ne peux rester là à ne rien faire. Elle est entourée par une aura d'assurance, ce genre de confiance qui rend une femme belle.  

Équipement:

* Un marteau de bricolage (qu'elle utilise plus pour enfoncer les clous qu'autre chose)
* Des couteaux de cuisine qu'Olivia ne porte toutefois jamais sur elle. Norma, sa grand-mère, porte revanche l'un de ces couteaux (dédié initialement à la découpe du poisson) sur elle.  
* Une lampe de poche et une lampe frontale  
* Des bougies  
* Des allumettes
* Quelques livres
* Quelques conserves mises en commun pour le bien de la communauté




 
the last of us

histoire de mon personnage avant l'épidémie.

   Des souvenirs de la séparation avec sa mère, elle n’en avait que préconçus. C’était comme un voile léger, voir quelqu’un partir, au loin, sans pouvoir rien faire, sans pouvoir distinguer un visage. Olivia avait bâtit de toute pièce, l’image d’une mère radieuse et aimante. Grande et féminine, un parfum rassurant et des mains douces ; il suffisait de dresser un portait idéaliste et de s’y complaire. Cette déchirure précoce n’avait laissé qu’une vague peur enterrée, celle de l’abandon. Cette idée que l’on n’est pas suffisant pour garder ceux que l’on apprécie près de soi. Une espèce d’angoisse sourde et traîtresse qui diffusait de temps à autres ses notes amères parmi les incertitudes passagères.  

Quand à son père, il devait être un vicieux qui avait profité de la situation. De toutes manières, les hommes étaient tous un peu lâches. Olivia dressait ainsi ses avis, les uns après les autres, bien alignés. Cela lui permettait de continuer à marcher, la tête haute sans s’inquiéter de quoi que ce soit. Nul besoin d’angoisser ou bien de désespérer. Il vrai que le manque de présence masculine se faisait ressentir au sein de la famille : un grand-père décédé depuis quelques années et un père absent.  

Sa grand-mère, Norma, était un être doux et attentionné qui en plus d’être un cordon bleu, réconfortait à la manière d’une magicienne et faisait disparaître les larmes. Elle avait cette qualité en laquelle elle surpassait tous les autres membre de la famille : la présence.

Malgré sa grande affection pour sa grand-mère, Olivia lui fit vivre un enfer pendant son adolescence. Tout cela à coup de "tu n'es pas ma mère", reproche facile et mordante. Il est vrai que l'absence de parents ne facilitait la tâche ni à l'une ni à l'autre. Olivia était différente de ses camarades et ce n'était pas un choix de sa part. Elle se voyait exclue lorsqu'en maternelle ou primaire, tous les autres enfants confectionnaient un cadeau pour la fête des mères où la fête des pères. Transgresser les règles devenait presque futile lorsqu'il s'agissait d'attirer l'attention des absents. Pourtant Norma était exigeante. Elle interdisait l'alcool tout comme la cigarette – choses que la jeune fille s'était empressée de consommer. Elle demandait à être prévenue bien en amont avant une quelconque sortie. Et Olivia s'était alors mise à sortir de manière intempestive –jusqu'à ce que Norma appelle la police face à une escapade nocturne. Olivia était somme toute une adolescente normale, elle s'appliquait à faire ses propres expériences, découvrir sa définition de liberté et explorer tous les champs de possibilités qu'on lui offrait. Il est en revanche une chose dont Norma fut toujours fière, ce furent les résultats que sa petite fille obtint pendant sa scolarité. Olivia était une bonne élève, appliquée et douée dans les matières littéraires. Là où certains parents auraient préféré un enfant scientifique, Norma au contraire engageait ce côté littéraire. Elle discourait sur les nouveaux auteurs découverts et les deux femmes passaient des soirées ainsi à confronter leurs avis. Il faut dire que l'année de terminale fut un accomplissement certain pour la grand-mère qui attendait la floraison des débats philosophiques entre elle et sa petite fille. Olivia suivit la continuité logique de ses inclinations et en vint à choisir une université littéraire. Elle se mit toutefois en tête l'idée, qu'elle développerait son atelier d'expériences artistiques –le laboratoire n'était autre que sa chambre. Elle passerait là des heures à dessiner, peindre, construire des maquettes...  

Alors qu'Olivia atteignait son seizième anniversaire, elle découvrit l'identité réelle de sa génitrice. Il est de ces moments où l'on aurait sans aucun doute préféré s'abîmer dans nos fantasmes. La femme en question lui était apparue, ses cheveux bruns en bataille, un regard fou aux pupilles dilatées et une odeur de tabac froid lui collant à la peau. Sa dentition avait souffert des mauvais traitements infligés. Il semblait flotter une aura d'autodestruction autour cette mère échevelée. Les ongles rongés, les mains abîmées, la peau bien pâle, elle ne semblait pas aimer la vie plus qu'elle n'avait d'intérêt pour elle-même. Cette vision d'horreur terrifia instantanément la jeune fille. Elle eut tout d'abord une peur déraisonnée : Et si je finissais comme ça? Zola dans sa théorie de la génétique, prétend que tout être hérite des caractéristiques notables de ses prédécesseur. Alors que la petite brune se voyait déjà sombrer des les néants de la drogue sans pouvoir rien y faire, elle se rappela que cette même théorie avait été démentie. Elle calma ses palpitations soudaines et fit face à la désillusion brutale qui venait de la frapper. La petite femme rondouillette qui lui faisait face était bien loin de cette image éblouissante qu'elle s'était construite. "Loin" en venait même à être un euphémisme, elle était plutôt aux antipodes de la chimère matrimoniale. Et comme l'on se doit de ne pas juger sur la première impression, Olivia tenta une approche maladroite. Bien évidement elle se confronta à un esprit tout aussi abîmé que l'était son enveloppe corporelle. La femme semblait vivre dans une autre réalité. Cette double déception fut assez violente. Elle se manifesta en plusieurs étapes qui s'allongèrent sur les mois. Tout d'abord un déni  -car c'est toujours l'étape originelle- puis le rejet de la figure maternelle accompagné d'une colère dévorante, enfin une lassitude certaine, un abandon des plaisirs pour mieux faire son deuil de cette mère qui n'en était pas vraiment une. C'est peut être à ce moment qu'Olivia adopta un certain respect pour la femme qui l'avait élevée et aimée.    


Il est important de noter qu'Olivia n'eut jamais aucun problème d'intégration. Dès son plus jeune âge, deux côtés saillants d'elle même lui apparurent. Premièrement elle appréciait la solitude, et en cela les livres étaient ses compagnons idéals. Deuxièmement il lui était impossible de vivre sans une quelconque compagnie. Elle avait cruellement besoin des autres. Ces deux faits paradoxaux se manifestaient à leurs guises, seulement ils étaient bien réels et impossibles à nier. Olivia refusait d'expliciter ce besoin de l'autre de manière trop évidente, toutefois il lui il était impossible de l'effacer. Elle s'attacha ainsi très jeune à un groupe d'ami qu'elle prit soin de ne jamais perdre de vue.  

Olivia, grande curieuse, avait toujours observé son entourage. La jeune femme avait rapidement remarqué que Norma paraissait entretenir un lien spécial avec la littérature. Dès qu’il fallait effectuer le moindre chemin, dès qu’elle avait le moindre moment libre, elle se plongeait dans la lecture. Les reliures de livres avaient toujours tapissés leurs murs et cette odeur de papier flottait dans leur habitation. C'est ainsi, tout d'abord dans un comportement mimétique puis par passion, qu'Olivia s'était amourachée de la lecture. Ces mondes qui se créaient de toutes pièces et révélaient leurs secrets sous ses yeux admiratifs étaient aussi son refuge. Ils avaient le don d'être réconfortant, tout comme ils étaient capables de vous faire rire aux éclats mais aussi de vous arracher quelques larmes. La brune aimait les livres d'un amour intense et profond. Elle s'avouait parfois que la présence d'un livre pouvait être bien plus réconfortante que celle d'un humain. Ce qui nous amène sans aucun doute à son travail de libraire. Sa tanière réconfortante qui lui avait d'abord servit de gagne-pain jusqu'à ce qu'elle s'y tourne avec la plus grande dévotion. Olivia appréciait les après-midi passés dans cette ambiance confortable. Elle y rencontrait des personnes qui partageaient son amour et avec qui elle pouvait discuter des heures durant. Armée de son humour et de cette certaine attraction qu'elle dégageait, la jeune femme arrivait à retenir des bibliophiles bien plus longtemps qu'ils n'avaient prévu de rester.  

Quelques mois après avoir été embauchée, Olivia entama sa première relation. Auparavant il n'avait été que question de baisers volés et de flirt. Mais cette fois cela s'étala sur une année. Jim, le garçon en question était d'une maladresse folle, il eut toujours les mots pour la faire rire - lorsque les gestes ne se joignaient pas à la parole. Elle sortit déçue de cette relation. Les dernières semaines furent longues: ces moments où l'on préfère éviter tout geste qui pourrait blesser l'un et l'autre alors qu'il ne reste que cela à faire. Elle avait observé tout le long de l'année ce sentiment assez fort qui l'animait au début de cette relation s'étioler, pour peu à peu s'effacer. Il parut à Olivia qu'une relation est inutile si destinée être détruite.  

Très reconnaissante à l'égard de son amie qui l'avait guidée vers son travail de libraire, Olivia  en plus d'être une employée modèle, attirait et charmait la clientèle. Elle se vit confier l'intégralité de la librairie, pour son plus grand plaisir. Norma vint lui prêter main forte les mois qui suivirent. C'est à ce moment que les deux femmes devinrent inséparables. Elles projetaient de faire durer cette situation encore longtemps; mais la vie n'étant pas un long fleuve tranquille, il fallut que quelque chose vienne détruire cet équilibre acquis au travers d'efforts et d'espoir.  


histoire de mon personnage depuis l'épidémie.

Olivia entendit parler des rumeurs de morts-vivants sans y prêter une grande attention. Il faut dire que certaines personnes racontent tout et n'importe quoi et que les médias avaient tendance à dramatiser les faits. Mais ces mots étaient sur toutes les lèvres et il fut bientôt impossible de les ignorer. Chacun arrangeait l'histoire à sa manière, l'état tentait maladroitement de régler ce problème qui paraissait prendre une ampleur démesurée.  

Les deux femmes n'eurent d'autre choix que de fermer la librairie. Elle se cantonnèrent dans leur appartement avec des vivres et des armes de fortune – un marteau de bricolage et des couteaux de cuisine. Elles attendirent l'intervention de l'armée qui prenait soin d'escorter les civils jusqu'au camp des réfugiés. C'est ainsi qu'elle rencontra pour la première fois Garrett. Il était le premier humain qu'Olivia voyait depuis quelques jours en dehors de sa grand-mère; sa sollicitude et sa gentillesse lui plurent.

Le stade était un endroit morose. Tout le monde ici paraissait avoir perdu espoir. Olivia détestait cette ambiance pesante qui planait. Elle espérait que cette situation jugée temporaire, s'améliorerait d'ici peu et qu'elle et sa grand-mère pourraient rentrer chez elles. Olivia s'appliquait à faire rire Norma et de temps à autres Garrett lorsqu'il venait illuminer ses journées. Elle faisait du troc de livres avec certains mordus de lecture, des habitués de la librairie qu'elle avait retrouvé au Century Link Field. Elle faisait particulièrement attention à ne jamais se laisser happer par l'émotion générale.

Un soir de noël, Garrett lui offrit un présent. Elle fut prise de court alors qu'elle n'avait imaginé qu'il lui portait un quelconque intérêt. Elle adorait cette pointe d'humour avec laquelle il avait accompagné le cadeau. Le cadeau en question, un cristal pâle qui semblait s'être logé à la manière d'une goutte au bout d'une chaîne argentée, lui plaisait beaucoup. Elle appréciait le bijoux pour sa discrétion et son élégance. Elle refusa catégoriquement d'y apercevoir une histoire au-delà de l'amitié et le serra dans ses bras sans autre intention que de le remercier chaleureusement. Il ne fait aucun doute que la jeune femme ne souhaitait pas revivre une relation n'ayant aucun sens, de plus la situation ne se prêtait pas aux sentiments. Elle avait encore le maigre espoir que cette apocalypse se calme.  

Début Janvier, alors que la situation s'éternisait, le camp s'effondra sous l'assaut de nombreux rôdeurs. Comprenant que la situation risquait de ne pas pouvoir être maîtrisée, les deux femmes rassemblèrent leurs affaires et se mirent à vagabonder dans le stade en quête d'une sortie. Alors qu'elles s'étaient perdues dans la cohue générale, un être à l'apparence peu humaine s'approcha. Olivia ne l'avait pas remarqué de suite, jusqu'à ce que Norma se cogne à elle, tentant d'échapper au monstre. Empoignant fermement le manche de son marteau; Olivia lui asséna un coup violent qui vint heurter la mâchoire du rôdeur -cette dernière virevolta avant d'atterrir sur le sol. Elle se rendit réellement compte de la nature de son geste les quelques secondes qui suivirent. Il faut dire qu'elle n'avait jamais été poussée à faire un tel acte. Et alors qu'il revenait à la charge, Olivia sentit l'adrénaline affluer dans son sang : elle devait protéger sa grand-mère, quoiqu'il arrive. Elle frappa donc de manière répétée la tête de ce semi-humain. Des larmes lui échappèrent, brouillant de temps à autre sa vue. Elle ne se serait jamais crue capable de ce genre d'explosion de violence. Alors que son adversaire s'effondrait, elle lâcha son arme pour appuyer ses mains contre ses cuisses, le dos légèrement penché. Elle fut agitée de soubresauts et un en ultime hoquet, régurgita un liquide transparent. Essoufflée, elle resta ainsi quelques temps alors que Norma lui avait retenu les cheveux en arrière et caressait doucement sa tête. Olivia leva les yeux vers Norma, un air de dégoût inscrit sur son visage. Plus jamais, plus jamais voulut-elle chuchoter. La femme aux cheveux argentés la serra dans ses bras.  

"Je surveille qu'aucun d'entre eux ne nous atteigne, reprends doucement ton souffle ma chérie." Puis après un silence. "Merci, je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi"

Olivia se détacha de sa grand-mère qui lui répliqua instantanément  

"Nous sommes des cibles trop évidentes à rester ici immobiles"  


Mais, ce dont elle ne se doutait pas c'est que cette même immobilité permit à Garrett de les trouver. Il les serra toutes les deux dans ses bras. Olivia se remettait lentement de son expérience éprouvante, elle ramassa le marteau de bricolage qu'elle serra fort entre ses mains. Garrett prit les devants, les guidant là où la majorité des personnes n'allaient pas. Olivia et Norma lui accordaient une confiance totale. Bientôt elles se retrouvèrent installées dans une camionnette, Garrett au volant et une poignée de survivants à l'arrière. Il sembla sortir les clefs de nulle part, presque par magie. Mais Olivia n'en était plus aux considérations rationnelles. La jeune femme eu un dernier regard pour tous les sacrifiés qu'ils abandonnaient là avant que leur véhicule ne sorte du stade.  

Ils trouvèrent refuge dans un immense chalet. Beaucoup de missions étaient organisées à l'extérieur mais Olivia se répugnait à rencontrer d'autres rôdeurs. Elle n'avait pas envie de refaire face à l'une de ces horreurs. De plus elle préférait rester auprès de sa grand-mère. C'est pourquoi elle s'investit particulièrement dans l'aménagement intérieur de leur nouvelle demeure. Elle avait besoin de se sentir utile et ses projets la maintenait bien portante. Ils lui donnait envie d'entreprendre et de réaliser ses idées qu'elle avait intériorisé les années précédentes. Elle s'assura de toujours garder un lien étroit avec Garrett, il semblait être son ancre au milieu de cette terre inconnue.
   
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

Mer 15 Fév 2017 - 23:22

Rebienvenuuuuue Very Happy




Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
Yulia Iojov
Yulia Iojov
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

Mer 15 Fév 2017 - 23:28

Rebienvenue Smile
Sa pourrait être bien drôle si tu rencontre Dwight vu que c'était l'avatar de sa sœur xD
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

Mer 15 Fév 2017 - 23:33

Re la choupette Smile
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

Mer 15 Fév 2017 - 23:54

Re-bienvenue parmi nous.
Bon courage pour ta fiche.
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

Jeu 16 Fév 2017 - 0:12

Hooo rebienvenue ! Olivia Armstrong - walk with me 2736068674
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

Jeu 16 Fév 2017 - 0:16

:Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden: :Jaden:
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Re: Olivia Armstrong - walk with me

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