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Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 1:17


KASIA (NOLA) WALDROF
19 ANS • AMERICAINE ET CANADIENNE • ETUDIANTE EN ART ET SERVEUSE EN FASTFOOD • FACTION

i've got a war in my mind

Les apparences sont mystérieusement bien trop souvent trompeuses. Dans un monde où seuls les plus forts et les plus malins ont leur chance de survivre, il faut donc oublier tous les clichés que notre cerveau a alimenté pendant tant d'années. A présent, les enfants ne sont plus des âmes insouciantes et incapables de se défendre ; les enfants aussi apprennent à se défendre et certains portent une arme accrochée à leur ceinture. Les âmes d'artistes ne sont pas trop sensibles ; et bien que certains aient la sensibilité à fleur de peau, comme Kasia, cela ne signifie pas que l'horreur ne leur montre pas une autre facette d'eux même. Cette jeune femme qui prônait avant la paix dans le monde, emmagasine dans ses propres bagages, assez d'armes et de munitions pour fournir un groupe de plusieurs hommes. De plus, le plus maigrichon des hommes s'il est assez malin pour savoir comment se protéger pourrait survivre lors de l'approche de rôdeurs. Ne vous fiez pas au visage de poupon de Kasia. Méfiante, agressive, elle serait capable de vous abattre de sang-froid, si elle ne sent pas en sécurité à vos côtés. Elle a perdu fois en l'humanité le jour ou des paillards ont assassiné sa grand-mère et ses voisins sous ses yeux alors qu'elle était cachée derrière les portes en bois du placard de sa chambre. Pour elle, les êtres humains sont maintenant tous aussi cruels que ces monstres qui rôdent tout autour d'eux à la recherche de nourriture, de viande fraîche. Elle a rapidement appris à être indépendante. Avant tout ça, elle cherchait à l'être financièrement parlant. Puis, lorsque tout cela est arrivé, Kasia a appris à être entièrement indépendante, elle ne cherche la protection de personne, elle ne cherche l'aide de personne. Elle se contente de marcher et de chercher de quoi vivre sans risquer de se faire attaquer tant qu'elle ne serait pas à même de pouvoir se défendre convenablement face à une horde de rôdeurs. Elle sait qu'elle doit se débrouiller seule et elle compte bien y arriver, même si elle sait que ce ne sera pas tous les jours facile. Plus rien n'est simple à présent, il faut se battre à chaque seconde. Elle ne met pas de côté l'idée de rejoindre un groupe de survivants, mais avant elle se doit d'abord de venger les siens : sa grand-mère, ses voisins... Elle veut tuer de ses propres mains ceux qui leur ont arraché à la vie et ceux qui l'ont forcé à devenir une tueuse. Elle dut assassiner son voisin, celui qui l'avait protégé, celui qui les avaient aidé à survivre pour l'empêcher de mourir lentement, baignant dans son propre sang. Cela avait réveillé une partie d'elle qui était à lors presque insoupçonnée. Elle est revancharde. Revancharde et déterminée. Autant dire que les hommes dont les noms et les visages tournaient en boucle dans sa tête avaient du mal à se faire. Même si elle devait retrouver ces abrutis en rôdeurs, elle se ferait un plaisir de les abattre. Elle est patiente. Oh oui, Elle est patiente et elle sait qu'un jour, elle y arrivera même si pour ça, elle doit attendre plusieurs mois. Elle ne se laisserait pas faire. Combative, il est hors de question pour elle de baisser les bras et d'abandonner. Ses deux années de karaté l'aide lors des combats au corps-à-corps, ça l'aide à se rassurer lorsqu'elle sait qu'elle va devoir "affronter" un autre être humaine. Kasia avait toujours été quelqu'un de très mature ; a dix-neuf ans, cela fait bien longtemps qu'elle a arrêté de se comporter comme une enfant. Et dans ce monde, cela lui permet parfois de trouver un juste-milieu dans les situations qu'elle pensait jusqu'à lors encore improbable. Elle se force à être courageuse, car elle, n'a pas l'impression de l'être, elle lutte contre ses profondes angoisse en les envoyer voler contre les murs dans un roulement d'épaule. Elle se sent honteuse d'être à ce point angoissé, alors elle fait tout pour ne plus l'être. On aurait beau lui dire cent fois qu'avoir peur est naturel dans leur monde, elle est trop bornée pour laisser les gens avoir raison et décider à sa place. Kasia ne parle jamais d'elle ou de ce qu'elle a vécu durant les ces premiers mois. Elle garde tout pour elle. Elle a pris l'habitude de vivre dans un silence lourd, mais ce n'est pas qu'elle ne souhaite pas parler, elle refuse de parler d'elle. Et lorsqu'elle est seule ; elle n'ouvre simplement pas la bouche. A quoi ca sert d'ameuter tous les trucs qui rôdent ?


and blood on my hands

Le corps d'une femme qui quitte à peine l'adolescence. A peine plus grande que la moyenne, un mètre soixante-huit, pour cinquante-neuf kilos. Une silhouette uniforme, des hanches peu marquées et une poitrine à peine développée. Elle est constamment habillée de la même manière ; un jean, un t-shirt et un sweat a capuche qu'elle ne retire que lorsque la chaleur l’étouffe. Alors, elle l'accroche fermement autour de son bassin. Kasia ne prône que des vêtements qui lui permettent un minimum d'être à l'aise dans ses mouvements. Elle sait qu'elle devrait laisser tomber les jeans ; lorsqu'il commence à pleuvoir, le tissu foncé colle contre sa peau claire et rend le vêtement inconfortable, mais elle ne se résout pas à abandonner cette manière qu'elle a toujours eu l'habitude de porter. Elle agrémente ses vêtements d'une paire de rangers bon marché trouvé à tâtons dans les affaires éparpillée d'une chambre d'étudiante insouciante en manque cruel d'organisation. Les lacets bien trop fins de ses chaussures, embrassent ses chevilles manquant à tout instant de la lâcher. Une démarche légèrement tremblante d’inquiétude, ses pas sont toutefois assurés lorsqu'elle fait de son mieux pour refréner la peur qui lui tiraille le ventre. Kasia possède des joues rondes et un visage de poupon structuré de petites imperfections, sali et ravagé par la transformation cruelle de ce monde. On la rajeunit beaucoup trop facilement, on lui donne une quinzaine d'années à bout de nez alors qu'en réalité, elle entre bientôt dans la vingtaine. Une masse blonde encadre son visage, une crinière désordonnée qui lui arrive un peu en dessous des épaules. Elle a coupé ses cheveux elle-même pour ne pas être encombrée par des cheveux beaucoup trop longs. Un regard se rapprochant de la couleur brillante de l’émeraude, un regard autrefois illuminé par les rayons tendre du soleil qui les surplombait, à présent vidé. Des mains abîmé, rêches, qu'elle frotte continuellement lorsqu'elle ne possède rien pour se défendre ou lorsque son arme est accrochée à sa hanche droite. Des jambes musclées, marquées par des chutes non contrôlées lors de courses effrénées.
Les seules armes dont elle dispose se résument à un couteau de cuisine récupéré dans l'appartement de sa grand-mère, en plus de plusieurs armes qu'elle tente d’emmagasiner, ainsi qu'un luger 9mm qu'avait hérité celle qui l'hébergeait de son défunt mari. Il ne reste que deux balles dans le chargeur, deux balles qu'elle garde précieusement pour abattre les visages qu'elle aperçue, cachée dans l’armoire. Son couteau de cuisine ne lui sert pas énormément pour se défendre, elle arrive à se défendre au corps à corps grâce à ses deux années de Karaté, alors il lui arrive de s'armer de ce qu'elle trouve autour d'elle ; une barre de fer abandonnée sur le sol, un bout de bois solide ou simplement quelque chose d'assez costaud pour assommer quelqu'un. Son couteau est surtout quelque chose qui lui est indispensable pour tout ce qui ne concerne pas les combats. Mais cela ne veut pas dire que la lame de son couteau ne peut être recouverte de sang. Tout le reste de ses affaires est entassé dans un sac à dos sombre qui lui servait autre fois à porter ses cours.

a storm is coming

Avant que tout ça ne commence, avant que l'apocalypse ne décide de pointer le bout de son nez crochu sur la terre, Kasia était une personne presque beaucoup trop banale. Sa vie ressemblait en partie à celle de beaucoup d'autres. Jeune étudiante en Art, sa vie était très répétitive et la seule folie qu'elle s'autorisait se résumait à une poignée d'heures par semaine ; ses cours de judo. Elle les avait débuté un an et demi auparavant avec l'appuie d'une amie qui ne voulait pas s'inscrire seule à un cours de sport. Kasia avait trouvé l'idée bonne et puis, pourquoi ne pas tenter ? Le reste de ses journées, elle oscillait entre son université, son travail dans un fast-food du centre-ville d'Aberdeen et la chambre qu'elle possédait chez sa grand-mère depuis qu'elle était toute petite. Née à Seattle, elle n'y est pourtant pas restée bien longtemps. Ses parents n'étaient pas près pour avoir un enfant et ils ne le seraient sans doute jamais. Ils avaient donc décidé d'envoyer leur fille, d'un commun accord chez sa grand-mère maternelle, veuve depuis quatre ans. Ils étaient déjà incapables de s'occuper d'une plante verte et leur travail leur prenait tout leur temps. Comment auraient-ils pu garder un enfant ? Elle a donc grandi chez sa grand-mère et ne voyait que peu de temps ses parents. Elle les voyaient souvent durant l'été, durant une semaine ou deux lorsqu'ils avaient enfin des vacances, mais les seuls moments où elle communiquait avec eux, se résumaient à quelques conversations téléphoniques qu'ils entretenaient le plus souvent avec sa grand-mère après quelques secondes d'échange avec Kasia ou quelques messages sur les réseaux sociaux lorsque la blonde daignait leur répondre.
"L'argent ne fait pas le bonheur." C'était courant, beaucoup le répétaient à qui voulait l'entendre. Kasia le savait très bien. Ses parents étaient riches, ils possédaient de l'argent et souvent, ils souhaitaient en envoyer à leur fille, mais Kasia refusait toujours cet argent. Elle préférait se débrouiller seule, gagner son propre argent pour aider sa grand-mère avec le loyer, les factures et le prix de son université. Bien sûr, elle ne gagnait pas beaucoup, mais avec la retraite de la vieille femme qui l'avait élevée, elles réussissaient toutes les deux à trouver un équilibre. C'était le petit train de vie, rien de bien exceptionnelle. Même si parfois, elle aimerait avoir un peu plus d'argent dans les poches, il était hors de question pour elle d'accepter l'argent que ses parents souhaitaient lui donner. Elle ne voulait aucun contact avec ceux qui n'avait jamais fait aucun effort pour leur fille. Elle les détestait pour ça.

Si dans le secondaire Kasia faisait partie des élèves de "masse", ceux qui n'avaient rien d’extraordinaire, cela n'a pas changé lors de son entrée à l'université lors de sa première année dans les études supérieures. Elle n'était ni la tête de trucs de ses camarades, ni la jolie fille ultra populaire. Elle était juste Kasia, celle qui passait inaperçu. Rien de plus, rien de moins. Fidèle à elle-même, les heures de trou qu'elle possédait dans son emploi du temps, lui permettait d'aller voir ses amis et de se laisser aller à ses passions : le dessin et la photographie. Elle s'amusait des deux, les faisait coïncider. Ses photos devenaient souvent de beau dessin et elle s'évertuait à trouver des paysages dignes de ceux qu'elle pouvait griffonner sur une feuille de papier. A l'université rien n'avait changé, hors-mi le travailles qu'elle avait trouvé qu'elle dû faire rentrer dans son emploi du temps. Elle n'aimait pas vraiment se travaille, mais elle ne pouvait pas dire qu'elle le détestait non plus. Autant dire qu'elle le supportait en silence. Elle pourrait même dire que maintenant ce travail lui manque.

on the highway to hell

« On devrait avoir de quoi pourvoir rester ici pendant trois semaines, un mois. » Gabriella. La voisine. Kasia et sa grand-mère avaient décidé de s'allier à leurs deux voisins pour pouvoir rester cloîtrés dans un appartement le plus longtemps possible à partir des premiers jours. Kasia avait confié au couple d'amis qu'elle n'était pas rassurée, seule avec sa grand-mère dans l'appartement alors le couple leur avait proposé de les rejoindre le temps que l'affaire se tasse. Gabriella et John étaient très gentils et écoutaient inlassablement la radio pour suivre les avancé de cette affaire. Ils étaient optimistes pour eux tout finirait par s'arranger. Kasia, restait dans son coin pour dessiner et sortait parfois son appareil photo pour prendre quelques clichés de leur "cachette". Ils avaient décidé de lui donner la chambre qui se trouvait le plus près de la cuisine/salle à manger. Elle se souvient encore de la voix grésillante de la radio qui résonnait jours après jour dans l'appartement. Lorsque les choses commencèrent à se gâter, Kasia avait compris qu'ils ne pourraient pas rester ici. Que les choses ne s'arrangeraient pas. Mais Gabriella et Jonh y croyait fort et sa grand-mère avait foi en l'armée américaine. Ils entendaient à la radio que les violences devenaient de plus en plus courantes dans les rues et que de plus en plus d'infecter traînaient à Aberdeen.

Jusque mi-novembre, ils réussissent à s'organiser tous les quatre et réussissent à survivre comme ils le pouvaient. Pourtant, alors que Kasia commençait à se dire qu'ils pourraient encore continuer comme ça pendant plusieurs mois avant d'avoir à partir, une après-midi tout à basculé. Une bande de pillards à décider de forcer l'entrée dans l'appartement. Kasia était avec sa grand-mère dans sa chambre et lorsqu'elle entendit le bruit, elle lui demanda d'aller se cacher dans l'armoire de la chambre. Ce qu'elle fit. Elle se cacha dans l'armoire qui lui servait de penderie. L'espace entre les deux portes était trop mince pour qu'on puisse la voir, mais assez grand pour qu'elle puisse regarder ce qu'il se passait à l'extérieur de sa chambre. Ils tuèrent le couple et sa grand-mère sans même une once de pitié ou de remords. Kasia dus rester cacher de longues minutes à retenir ses larmes et la rage qu'elle ressentait. Elle voulait hurler, sortir de l'armoire et pleurer sur le corps de sa grand-mère qui venait de lui sauver la vie. Durant toute leur fouille, elle avait la pulpe de ses doigts enfoncés dans le bois verni de l'armoire pour s'empêcher de faire quoi que ce soit ces hommes méritaient de mourir. Deux d'entre eux pénétrèrent dans la chambre. Elle pu voir distinctement leur visage. Ils étaient gravé à tout jamais dans sa mémoire. Elle parvint aussi à entendre quelques noms. Deux. Ainsi qu'un surnom. "Le dégénéré". Elle ne put sortir qu'une demie-heure plus tard, elle était tendue, en colère, triste et elle avait envie de vomir. Elle se pencha au dessus du corps de sa grand-mère pour la pleurer et laissa les larmes coulée. Puis, elle attrapa l’étui de guitare de John qui se trouvait dans la chambre. C'était la seule chose assez solide qui pouvait lui servir. Elle eut l'impression d'être soulagée en arrivant dans la cuisine et en voyant le corps de John debout. Elle s’apprêtait à courir vers lui lorsqu'il se retourna et qu'elle vu ses yeux ; ils étaient presque limpides. Ils n'étaient plus lui. Mais comment pouvait-il être infecté alors qu'il n'avait pas été mordu ? C'est alors qu'elle comprit que ce n'était pas seulement les mordus qui se transformaient. Mais tous ceux qui mourraient. Il se jeta sur elle et elle envoya sa guitare sur son corps. Cela n'eut aucun effet. Elle se précipita vers la cuisine pour attraper un couteau. Elle ne voulait pas le tuer, mais la manière dont il avançait vers lui la poussait à se défendre. Elle enfonça le couteau dans son cœur pensant que cela le tuerait assez vite, mais ce n'eut aucun effet. Elle dut se débattre longuement avec lui, le poignardant à plusieurs endroits sans que cela n'ait d'effet. Elle réussit à le faire basculer en arrière. La lame de son couteau s'enfonça dans son crâne et ce ne fut qu'à cet instant que John arrêta de bouger. Elle fondit en larmes sur son corps. Elle venait de tuer John.

Lorsqu'elle eut retrouvé ses esprits, Kasia était décidée à se venger. Elle se promit qu'elle les retrouverait et qu'elle les tuerait comme ils avaient tué sa grand-mère et Gabriella ainsi que ceux qui l'avaient poussé à tuer John. A partir de son départ, elle commença par chercher le plus d'armes possible. Elle garda le couteau et fut ravie de découvrir le pistolet que possédait son grand-père avait de mourir. Il restait deux balles dans le chargeur, mais elle se rassura en se disant qu'elle en trouverait d'autre. Avant de partir retrouver ses parents à Seattle, elle veut retrouver ses pillards et les tuer de ses propres mains.

Jusque janvier, elle fit cavalier seul. Elle trouvait de la nourriture, des vivres, certains médicaments, mais ce qui l'intéressait surtout, c'était des armes et des munitions pour anéantir ces pillards. Kreg, Brandon. Elle n'oublierait jamais ces prénoms. Alors qu'elle avait trouvé une armurerie pour se ravitailler en arme, elle tombe sur celui qu'elle surnommera "Happy". Elle a tenté de l’assommer et a finit par lui braquer son arme entre les deux yeux. Mais après ce qu'elle avait vécu dans l'appartement, pour elle, tous les êtres humains ont un mauvais fond.

time to meet the devil

• pseudo › sur internet, Anaysum.
• âge › 18 ans, 19 cette année.

• comment as-tu découvert le forum ? › On cherchait un forum et Sarah a trouvé le votre. **
• Ton ancien personnage ?  › /
• et tu le trouves comment ? › Génial ! (Déjà, il faut dire qu'il est absolument magnifique) Et puis j'aime énormément le contexte ! Vous avez fait un travail incroyable sur le forum avec toutes les annexes et toutes les informations que vous mettez à disposition. Wow !
• présence › Je peux être présente tous les jours principalement le matin et en fin d'après-midi ainsi que le soir.

• code du règlement › Ok - Jay
• crédit › Tumblr et Teen.com
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 1:44

Ah ! Bonjour et bienvenue.

J'en connais un qui va être content ! Mais pourquoi l'avoir vieilli du coup ?
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 1:53

Merci beaucoup !

Hum, à la base j'avais une esquisse de personnage avec Chloë mais avec un personnage un peu plus vieux et on en a discuté et on a fait un petit mélange des deux. :smile3:
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 1:57

Bienvenue misstinguette ! :MisterGreen:
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 2:01

Merci beaucoup ! Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back 2736068674
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 2:18

Owiiiiiiiiiiiii !! °°
* Bondit partout de bonheur ! *
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

Lun 14 Mar 2016 - 2:27

Ahahahah super que vous ayez pu vous arrangé, tu ne vas pas être déçue !

Amuse toi bien parmi nous !
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Re: Kasia "Sonic" Waldrof + We can't go back

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