« La seule journée facile, c'était hier » - Alan

Sam 31 Oct 2015 - 22:20


Alan Sigfrid Karlson
48 ans • Américano-suédois • Professeur de mythologie scandinave • CenturyLink Field

i've got a war in my mind

« Alan a toujours été quelqu'un de droit et volontaire, en tous cas dans le cadre du boulot. Il n'a jamais rechigné devant quoi que ce soit et a souvent fait son maximum pour aider les élèves qui en avaient vraiment envie. C'est un mec bien, malgré son côté de mec borné. Quand il a quelque chose en tête c'est vraiment compliqué de le faire changer d'avis, même s'il sait reconnaître ses erreurs. » Dan, collègue.

« Mon père c'est... pas un mauvais père à vrai dire. On a forcément eu des accrochages, comme tout le monde, des petites broutilles à cause de son côté un peu trop suspicieux et méfiant envers les inconnus, mais du temps a passé et notre relation est désormais bien plus qu'un simple lien père-fils. C'est un homme vraiment attentionné, rien qu'à voir à quel point il fait attention à ma mère, ça ne trompe personne. J'ai de la chance qu'il soit aussi compréhensif, d'autres m'auraient certainement fait adopter depuis longtemps. » Sven, fils.

« Alan est un homme très attentionné, il a su me soutenir lors des discordes avec James ou son père et à toujours été celui qui savait me calmer. Lorsqu'il s'agit de sa famille ou de ses amis, rien ne peut stopper sa générosité. Mais comme tout le monde, il a des petits défauts, comme par exemple son fatalisme qui a parfois tendance à m'agacer, et ses petits côtés maniaque. Il parvient cependant à rester calme en toutes circonstances. » Christina, femme.



and blood on my hands

Alan est un homme relativement grand, environnant les 1m85. Il a des yeux bruns et ses cheveux tirent vers le gris. Il n'a pas de style vestimentaire particulier, si ce n'est celui d'un professeur banal arborant pulls et jeans. Ayant vécu une bonne partie de sa vie en Suède, l'homme a un accent non dissimulé lorsqu'il parle anglais.

Lorsque la panique prend le monde, il se dit que cette situation n'est que provisoire et n'emporte que quelques affaires de base : Une photo de sa famille, une des filleules du couple, sa vieille hache suédoise de collection, une carabine qu'il utilise pour la chasse, et quelques gâteaux.

a storm is coming



I.
Né à Huskvarna en Suède, le 13 Février 1967, Alan était l'unique enfant d'un couple de commerçants, Pia et Björn. Ils tiennent une boutique de chaussures ; son père s'occupe de l'administration et des commandes, tandis que sa mère s'occupe des clients. Cependant, à l'arrivée de l'enfant, ils prennent une jeune étudiante à mi-temps afin que Pia puisse s'occuper au maximum de son enfant. Alan reçoit tout l'amour possible et imaginable de la part d'une mère, qui a néanmoins un mal fou à le laisser entrer en école pré-primaire ; elle ne le fera d'ailleurs entrer qu'à l'âge de 5 ans, ce premier cursus n'étant pas obligatoire, l'étudiante embauchée à la boutique lui donnera de temps en temps la leçon.
Les premières années du jeune garçon se déroulent sans grand soucis apparents, du moins aux yeux du petit.


II.
Malgré la sérénité qui semble englober l'enfant, le couple qui a tant bien que mal caché ses désaccords se sépare alors qu'Alan a 7 ans et entre dans le cursus scolaire obligatoire. L'enfant restera avec sa mère une année, se raccrochant tant bien que mal à l'espoir que ses parents se remettent ensemble, mais en vain. Sa mère ne se remet pas de cette rupture, suivie de la vente du magasin ; elle se retrouve seule, cherchant à faire des petits boulots pour subvenir aux besoin de son fils mais la dépression l'empêche de vivre une vie décente et d'élever convenablement Alan. C'est peu après ses 9 ans que la garde est exclusivement confiée à son père ; il quittera la maison dans laquelle il a grandi pour rejoindre la banlieue de Huskvarna où réside Björn. Cette garde retirée va définitivement mettre un terme aux efforts de Pia qui va, pendant un long moment, se laisser aller.


III.
La réadaptation est difficile, Alan a dû tirer un trait sur ses amis, sur sa mère qu'il ne voit qu'une fois par mois, et sur l'amour paternel qu'il attendait ; Björn ne se montre pas aussi enjoué que ça à l'idée de s'occuper de l'enfant et de ses études, et c'est la voisine de l'homme qui tente au mieux de l'aider.Le jeune suédois ne se laisse cependant pas démonter et se focalise au maximum sur ses études, se disant que quand il aura un bon travail, il pourra aider sa mère. Alan est un jeune homme plein de vie, malgré les maux qui le tourmentent dû à sa situation familiale. Mais les années passent, son père se fait de plus en plus distant et le jeune homme apprend peu à peu à vivre par lui même ; il prépare ses propres repas, bien que basique, s'occupe de la maison, tout en étant tout de même surveillé par la voisine de la famille. Cette dernière a un chien, Flink, auquel Alan s'attache rapidement ; il le promène souvent et passe beaucoup de temps avec ce dernier. Alors que le garçon a 15 ans, on détecte un cancer déjà bien avancé chez Pia ; elle décédera un an plus tard. A 16 ans Alan entre au lycée, il suit le cursus général. Suite a la perte qu'il a subit, accompagnée d'une certaine indifférence inexpliquée de son père, le jeune homme peine à se reconstruire, il a tendance à s'isoler, mettant même des distances avec ses camarades de classe. Il se retrouve sans but, se demandant à quoi bon continuer à se battre pour avoir une vie meilleure, et se fixe alors comme objectif d'étudier du mieux possible afin de pouvoir quitter le domicile de son père une fois le lycée terminé. Ce qu'il fit.


IV.
A 19 ans, le jeune homme quitte donc la région afin de poursuivre des études supérieures à l'université principale de Stockholm. Fatigué d'être le seul à faire des efforts, il n'aura plus que de rapides contacts avec son père sur des banalités. Il débute ses études en culture nordique, ayant toujours été passionné par ses racines. Ses années d'université se passent sans accro, le jeune homme vivant dans un petit appartement miteux de la capitale tout en travaillant à la bibliothèque de l'établissement afin de pouvoir payer son loyer. Ces cinq années sont intenses, mais l'homme ne baisse pas les bras et apprécie énormément l'univers dans lequel il évolue. Il décroche son diplôme haut la main à l'âge de 24 ans, et se voit rapidement proposer un poste d'enseignant dans l'université où il a étudié.
Fini les études, bonjour le monde du travail. Il a un emploi du temps assez chargé, alternant cours d'Histoire scandinave et cours de mythologie choisie en option par certains étudiants. L'homme quitte son logement une année après afin d'acquérir son propre bien et de se sentir un peu plus chez lui. Il se consacre entièrement à son travail, espérant au fond que sa mère, qu'importe où elle se trouve désormais, soit fière de lui.


V.
C'est au début de l'année 1994, alors qu'il a 27 ans, que sa vie va prendre un tournant inattendu. Le suédois se rend souvent dans un café non loin de l'université ; il aime y passer du temps, une ambiance presque familiale y flotte, et il a pris l'habitude d'y venir chaque matin avant d'aller enseigner. Il connaît la plupart des personnes qui s'y terrent, au moins de vue, et se sent presque comme faisant parti des meubles. Mais un matin, alors que rien n'annonçait un quelconque changement, il aperçu une femme, plantée là devant le panneaux du ''menu'' ; c'était un vieux café, très typique, et la carte n'était encore imprimée qu'en suédois.

« Je peux vous aider ? »

C'était là les premiers mots qu'il avait adressé à cette femme. Cette femme qui deviendrait l'une des raisons principales de sa vie, il le sut dès qu'il croisa son regard un peu dérouté. Alan n'était pas du genre à accoster les femmes qu'il ne connaissait pas, à dire vrai, il n'était pas du genre à accoster les femmes tout court ; c'était un homme pris et passionné par son travail et il n'avait que très peu de relations. Il avait essayé quelques fois d'en tenir une, mais rien ne s'était passé comme prévu et toutes ses histoires s'étaient terminées en échecs lamentables. Mais cette femme, il n'avait subitement aucune envie de la laisser s'en aller. Ce premier jour ils avaient bu un verre ensemble, discutant de choses et d'autres ; Alan parlait relativement bien anglais, malgré un petit accent nordique non dissimulé. Il apprit qu'elle était hôtesse de l'air, qu'elle était ici en escale pour 24 heures et qu'elle ne connaissait absolument rien de la ville. L'homme proposa de la chercher le soir même à son hôtel afin de lui faire visiter un peu l'endroit ; il n'avait aucune pensée derrière la tête, souhaitant juste faire découvrir à cette américaine la belle capitale que représentait son pays. A ce moment là, il était encore loin de se douter de la tournure que prendraient les événements.


VI.
Les mois passaient et Alan n'attendait qu'une chose, le retour de Christina, cette américaine  qu'il avait rencontré par hasard. Elle revenait la plupart du temps une fois par mois, à chaque fois qu'ils se voyaient l'homme se sentait revivre, il n'avait jamais été serein depuis la mort de sa mère. A chaque fois qu'il voyait la belle brune, il ne pouvait s'empêcher d'en vouloir toujours plus, à tel point que ses sentiments grandissants commençaient à lui faire peur. Ils avaient rapidement eut une relation plus sérieuse, mais le suédois se retint de lui dire à quel point il l'appréciait.

La femme revint à la période des fêtes de fin d'année, et Alan avait souhaité l'emmener dans un coin plus reculé du pays, là où Noël s'apparentait à une fête féerique digne des plus beaux contes pour enfants ; il avait loué pour l'occasion un petit chalet et lui avait, ce soir là, ouvert son cœur. C'est à ce même moment qu'elle avait fondu en larmes et lui avait expliqué la situation délicate dans laquelle elle se trouvait. Il s'était d'abord senti perdu, ne sachant plus quelle décision était la plus adéquate mais, ne pouvant ignorer les sentiments qu'il avait pour elle, il l'avait intimé de quitter son mari et de venir le rejoindre avec son fils, James, alors âgé de 5 ans.

Un mois plus tard, après avoir annoncé son départ de l'université de Stockholm et mis en vente son appartement, il prit la décision de quitter son pays, ses souvenirs, et l'amour qu'il éprouvait pour ses racines, afin de rejoindre la femme qui faisait battre son cœur. Accompagnés de James, ils emménagèrent à Seattle et se marièrent peu de temps après, en Mars 1995, ce qui permis à Alan d'obtenir le visa américain. Grâce à leurs économies respectives ils achètent un petit pavillon de type victorien et un deuxième petit garçon, Sven, vit le jour quelques mois plus tard. Alan trouva rapidement un poste à l'université principale de Seattle.


VII.
Les semaines passent, puis les mois. Malgré les relations tendues entre Christina et son ex conjoint, Alan n'interfère pas dans leurs décisions concernant James et ils mènent une vie de couple malgré tout assez sereine. Vraiment enthousiaste à l'idée d'être père, l'homme prend grand soin de sa femme et tente tant bien que mal de se faire accepter par James, tout en lui laissant le temps de s'adapter à cette nouvelle vie. A la naissance de Sven, Alan profite pleinement de ces petits bonheurs que lui offre ce quotidien qu'il n'aurait jamais pensé vivre aussi rapidement. Suite à son congé parental, Christina demande à ne faire plus que des vols dans le territoire et rentre au domicile chaque soir afin de passer le plus de temps possible avec sa famille. Bien que son pays natal lui manque, Alan se complaît parfaitement entouré des personnes qui lui sont chères et de son emploi où il se sent vraiment bien et qui compte plus que jamais pour lui.

Finalement se sont les années qui passent. Malgré la bonne entente qui règne au sein de la petite famille, James vit une adolescence assez mouvementée, reprochant toutes sortes de choses à sa mère que ce soit concernant son père ou d'autres choses. Alan est bien conscient que même s'il a en partie élever le jeune homme, il ne sera pas celui qui arrivera à le raisonner, malgré les longues discussions qu'il a pu avoir avec lui et son intention de le rassurer ; il se contente en partie de soutenir sa femme dans cette relation compliquée. Sven a pour sa part quelques soucis d'intégration à l'école, étant un garçon assez timide et naïf, il a tendance à se laisser trop faire par ses camarades et l'idée d'avoir à affronter cela chaque jour l'angoisse de plus en plus.

Le temps passe et les relations avec James se font plus matures, parfois il aide Sven pour ses devoirs, prenant le temps de lui expliquer certaines choses, mais le cadet n'est pas aussi assidu en cours qu'Alan l'aurait souhaité, ce qui le chiffonne légèrement et en fait qu'il soit parfois trop sur son dos. C'est alors avec ce dernier que des tensions se créent, l'homme ayant du mal à accepter le m'enfoutisme de son fils.

Lorsque James est en âge d'aller à la fac, il quitte le domicile familiale afin d'aller à l'université de San Francisco ; Alan a alors 42 ans et Christina 43. Les débuts sont un peu difficiles, la maison semblant soudain plus vide, pour Sven également qui se retrouve seul avec ses parents. Ces deux derniers profitent tout de même de ce calme et de l'autonomie naissante de Sven pour s'accorder plus de temps et se retrouver.


VIII.
C'est cette année là, en 2009, qu'Alan fera une nouvelle rencontre décisive dans sa vie. Il a pris l'habitude d'aller dans une librairie non loin de l'université afin d'y commander toutes sortes de livres pour ses enseignements ou pour ses lectures personnelles et se met rapidement à discuter avec la jeune vendeuse qui y travaille, Reese. Prenant de ses nouvelles et discutant de banalités à chaque fois qu'il y va, il se rend rapidement compte qu'un ''inconnu'' a également comme QG cette librairie depuis plusieurs jours. Curieux, il souhaite en savoir plus et discute légèrement avec l'homme du nom de William, mais le professeur n'est pas dupe et se rend bien compte que le jeune militaire en pince pour Reese. Après s'être assuré que ce William n'avait aucune pensées mauvaises, il pousse de manière pas vraiment discrète la petite vendeuse dans ses bras. Ça sera le début d'une belle histoire d'amour à laquelle Alan sera témoin, il liera d'ailleurs une forte amitié avec William qu'il considère rapidement comme son meilleur ami. Les deux couples se voient fréquemment, et Alan et Christina deviendront respectivement le parrain et marraine de Jane et Catherine.

Quelques années passent et c'est au tour de Sven, qui a tout de même validé ses épreuves scolaires, d'aller à la fac où il aura un logement universitaire. Ses relations avec sa mère se présentent parfaitement bien et, même si avec Alan elles avaient tendance à être quelques fois houleuses, le jeune homme évolue et écoute d'une oreille attentive les conseils de son père ; il va d'ailleurs étudier dans la même université où ce dernier travaille.

on the highway to hell

Que serait la vie sans quelques imprévus ? Sans embûches ? La vie se déroule merveilleusement bien pour eux, sans accroc, mais tout serait évidemment trop simple et ils ne vont peut-être pas couler des jours heureux comme ils l'avaient planifié.

Un lundi matin, alors qu'Alan va au travail comme tous les jours au volant de son Land Rover, accompagné de Sven qu'il déposera pour la semaine au campus, tout semble normal, rien ne va se passer comme prévu. Les étudiants sont agités et l'homme peine à avoir le silence ; fatigué de ce brouhaha constant, il décide de laisser partir ses élèves plus tôt. En rentrant, il voit des groupement de policiers, furetant dans les rues ; l'agitation commence, sans pour autant savoir quel était le réel danger. L'homme continue d'aller à l'université chaque jour, malgré le nombre diminuant d'étudiants. C'est quelques jours plus tard, alors qu'il quitte son bureau, qu'il reçoit un appel bien curieux de Will ; il lui intime de rentrer chez lui, de s'y cloîtrer avec Christina et Sven, et de n'en sortir qu'en cas d'extrême nécessité. Le scandinave ne comprend pas, son ami ne répond pas directement à ses questions et Alan comprend bien qu'il n'y est pas autorisé ; ayant confiance en lui, il va récupérer Sven et rentrer, attendant patiemment que Christina rentre également de l'aéroport. Il lui expliquera la situation le soir même et décideront de suivre le conseil de William.

Trois jours passent, la famille entend des cris à l'extérieur et, d'après les journaux télévisés, ils seraient confrontés à des « personnes malades ». Alan enseigne certes la mythologie et a tendance à y croire dur comme fer, mais ça ? C'est complètement insensé. Christina appelle régulièrement James qui lui assure que tout va bien pour lui et qu'elle n'a pas à s'inquiéter. Leurs réservent se limitent et Sven commence à tourner comme un lion en cage ; le père de famille décide donc d'accompagner sa femme et son fils à la supérette du coin. Il n'en revient pas de voir à quel point l'extérieur a changé, tout a l'air dévasté, des vitrines sont brisées, des voitures sont laissées à l'abandon ici et là, et les rayons de l'épicerie sont pratiquement vides. Ne souhaitant pas se rendre à l'évidence de la gravité de la situation, ils entrent tous les trois plus profondément dans le bâtiment jusqu'à tomber nez à nez avec un de ces « malades ». Alan se place instinctivement devant sa femme et son fils, jaugeant la femme qui leur faisait face.

« Qu'est ce que c'est que ce bordel ? » ne peut-il s'empêcher de dire, n'en croyant toujours pas ses yeux. Mais lorsque la chose s'approche de lui, les fixant de ses yeux laiteux, un rictus horrible figeant son visage, il est comme prit de court. Tout va très vite, il la pousse, elle revient à la charge, tente d'agripper Sven en claquant des dents, il regarde à gauche, à droite, prend une boîte de conserve qui traînait là et frappe maladroitement la femme à la tête afin de l’assommer. Ni une ni deux, il profite de cette ''diversion'' pour emmener sa famille loin de là et retourner à la maison, là où ils seront en sécurité. Tous trois ont du mal à digérer et accepter ce qu'ils viennent de voir. « Tu crois que je l'ai tuée ? » demande-t-il à Christina, ses pensées de mélangeant dans son esprit. Alan dormira mal cette nuit-là, étant aux aguets du moindre bruit, craignant pour la vie des siens.

Nouvel appel de William. Il leur conseille de se rendre au camp de réfugiés le plus proche ; en l’occurrence le stade. Le militaire leur affirme que la situation ne va pas durer, qu'ils pourront bientôt rentrer chez eux, mais qu'ils seront plus en sécurité là bas. La petite famille prépare le minimum de leurs affaires, tentant de joindre James avant de s'en aller ; pas de réponse.

Le trajet jusqu'au stade se fait dans le plus grand calme, personne n'ose imaginer ce qu'ils risquent de croiser sur la route ou là-bas. Et à leur arrivée, c'est le cœur lourd qu'ils voient des dizaines de famille cloîtrées là ; l'atmosphère est pleine d'angoisse et de peine, des affiches de recherche traînent un peu partout. Avançant à l'unisson, Alan serre d'une main ferme l'épaule de son fils, et de l'autre la main de sa femme. Il avancent tous trois vers leur nouvelle vie.

time to meet the devil

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Re: « La seule journée facile, c'était hier » - Alan

Sam 31 Oct 2015 - 23:45

C'est toujours aussi cool de te voir ici ^^
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Re: « La seule journée facile, c'était hier » - Alan

Dim 1 Nov 2015 - 0:46

Heeeeeeeeeeeeeeeeeey o/ !
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Re: « La seule journée facile, c'était hier » - Alan

Dim 1 Nov 2015 - 1:47



bienvenue à CenturyLink Field

Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à survivre dans le stade.

Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.



Pour en apprendre un peu plus sur ton groupe, tu peux :

Découvrir la description de CenturyLink Field

Afin que ton intégration se passe bien :

• Poste ta fiche de lien pour trouver des copains ♥️
• Mais aussi tes annexes
• Et pour te lancer dans l'aventure viens faire une demande de RP !


N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons content de t'y accueillir !

Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD ♥️


Le premiiiiiier !

Juste deux petites précisions qui ne justifient pas une demande de modifications mais qu'il faudra tout de même prendre en compte :
- Tout d'abord, au niveau de CenturyLink, tu peux taper dans les centaines de familles plutôt que les dizaines pour les familles présentes dans le camp.
- Ensuite, je ne sais pas c'est si le style d'écriture ou moi, mais le post-apo m'a donné une sensation de calme et de tranquillité, presque comme si les rues étaient vides. CenturyLink se trouve au cœur de Seattle et l'épidémie étant encore très récente, c'est encore le gros bordel en ville et il faudra veiller à bien le prendre en compte pour tes futurs rps.

Sinon... C'était tout très bien ! J'ai beaucoup aimé !

Rebienvenue parmi nous :MisterGreen:
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Re: « La seule journée facile, c'était hier » - Alan

Dim 1 Nov 2015 - 7:56

Merci les coupains ! C'est cool de vous revoir encore là aussi « La seule journée facile, c'était hier » - Alan 3691083715

Je vais bien prendre en compte ce que tu as dit Jaden, merci **
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Re: « La seule journée facile, c'était hier » - Alan

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