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Zahra Fraser

Mer 23 Aoû 2023 - 18:56

Zahra Fraser

tell me more about you

prénom(s) : Zahra
nom : Fraser
date de naissance : 09/12/2009
âge : 14 ans

ville de naissance : Nanaimo, Vancouver
métier : Ecolière
groupe : The Hallows

avatar : Nico Parker


what i am
qualites
Résiliente
Souriante
Autonome
Optimiste
Sage

defaults
Susceptible
Boudeuse
Solitaire
Candide
Confiante
Equipement :
Hormis un calepin et un crayon attachés ensemble pour communiquer avec ceux qui ne connaissent pas le langage des signes, Zahra ne possède pas grand-chose.
     
Details physiques :
En dehors d'un sourire qui ne la quitte jamais, ou jamais très longtemps, Zay accuse quelques cernes liées à ses problèmes de sommeil.


évolution psychologique
Zahra est une jeune fille résolument optimiste et qui reste confiante en l'avenir, certaine qu'un jour, cette horrible maladie aura un remède et que la vie retrouvera une certaine normalité. En attendant ce jour, elle affronte bravement les jours qui passent en faisant de son mieux pour survivre, ou simplement pour faire ce qu'on attend d'elle. A savoir la plupart du temps, rester cachée, ce qui au fond d'elle n'est pas pour lui déplaire. Comme tout le monde, Zay a peur, et les horreurs qu'elle a été contrainte d'affronter restent ancrés en elle et l'ont profondément marquée. Ainsi malgré son âge, elle n'arrive toujours pas à combattre sa peur du noir et redoute les cauchemars qui l'assaillent sans relâche dès qu'elle ferme les yeux.
La jeune fille fait pourtant preuve d'une résilience hors du commun, et parvient généralement plutôt bien à cacher ce qu'elle ressent vraiment. Elle affiche un sourire et un calme permanents à autrui et ne se plaint jamais, consciente de ne pas être la seule à avoir peur ou à devoir gérer des traumatismes. Elle a appris à dissimuler son côté peureux dans un quotidien routinier et rassurant, mais peine davantage à le cacher dans une situation d'urgence ou de danger imminent, où le stress a vite tendance à la figer sur place. Plus douée pour se cacher que pour se battre, Zahra a également appris à pallier sa plus grande faiblesse, sa surdité. Dans un monde où le danger rôde partout sans qu'elle puisse l'entendre arriver, elle a elle-même travaillé sa capacité à se déplacer sans faire le moindre bruit, les yeux toujours en mouvements.
Adolescente plutôt autonome et débrouillarde dans les tâches les plus simples, Zahra reste cependant une fille timide et qui s'isole facilement. Habituée à être couvée ou méprisée par les membres de son ancien groupe, elle a toujours mis un point d'honneur, lorsqu'on lui confiait une mission et aussi minime soit-elle, à l'accomplir avec le plus grand sérieux. Malgré les rebuffades, Zahra ne perd jamais son sourire ni sa confiance presque aveugle envers les autres, et sa naïveté frôle une candeur jugée attendrissante ou agaçante selon qui y est confronté. Il est cependant difficile de grandir dans un monde si dangereux, et des restes de l'enfance restent accrochés à son caractère, ressortant parfois à un moment ou un autre. Zahra peut se montrer susceptible et bouder pour quelque futilité, même si son sourire reste toujours facile à faire réapparaître.
Son sourire n'est jamais loin et reste sa meilleure arme, en tout cas, son seul moyen dissuasif en cas de nouvelle rencontre ou pour calmer des tensions. Aussi discrète dans ses gestes que silencieuse dans ses mots, elle se fait facilement oublier. Parfois mésestimée à cause de sa condition, elle est couvée comme une enfant fragile ou ignorée par les adultes, qui ignorent généralement que si Zahra ne peut pas entendre ni parler, elle s'entraîne à lire sur les lèvres et peut tout de même capter ce qui se dit, au moins en partie. Elle a peur du noir et garde en permanence une lampe torche avec elle, pour se rassurer. Son estomac s'est peu à peu habitué à une privation de nourriture et Zay se sent souvent rassasiée après seulement deux ou trois bouchées.




Story of survival
Pre-apocalypse
2014, Nanaimo : L'enfance de Zahra a commencé sous des cieux tranquilles, comme celle de milliers d'enfants à travers le monde. Unique enfant du couple Fraser, elle connaît crèche et nounou avant son entrée à l'école pendant que ses parents travaillent, et les soirs et week-ends sont, autant que possible, consacrés à la vie de famille. Les sorties sont basiques et communes à toutes les familles ou presque, qu'il s'agisse de promenades au parc, de visites au zoo ou de soirées cinéma à trois. Famille issue de la classe moyenne, rien ne différencie les Fraser de leurs voisins ou de la plupart des gens.
Les débuts à l'école de Zay rassurent les parents. Elle semble s'y plaire, se faire des amis et s'intégrer comme n'importe quel gamin. Ni trop bavarde, ni trop introvertie, Zahra se montre curieuse et les repas du soir se retrouvent bien vite animés de discussions animées où les questions sont nombreuses. Plus elle apprend, plus Zahra veut en savoir et il arrive à l'occasion que ses parents bottent en touche face à des questions dont ils n'ont pas la réponse, ou si celle-ci n'est pas vraiment de l'âge de leur fille.
Une vie heureuse, tranquille et simple, qui connaît un premier cahot d'importance en janvier 2014, lorsque l'école appelle pour dire que Zahra est malade. S'ils pensent d'abord à une de ces maladies qui courent l'hiver et que les enfants s'échangent entre eux, la situation devient vite alarmante à mesure que sa fièvre augmente. Ils réagissent heureusement à temps pour l'amener aux urgences, ce qui, d'après les médecins, lui sauvera la vie. Même si le diagnostic est rapidement posé, une méningite, l'angoisse ne fait que monter devant la prudence du personnel hospitalier et l'état comateux de Zahra.
Lorsque la petite fille de 5 ans ouvre les yeux une semaine après, c'est pour apercevoir le visage épuisé de ses parents, dont les traits fatigués laissent aussitôt place à un soulagement évident, malgré leurs yeux injectés de sang à cause du manque de sommeil. Zay fronce les sourcils en voyant leurs lèvres remuer sans entendre le son de leurs voix, et essaie de s'asseoir, renversant malencontreusement un plateau-repas sur le sol. Elle voit sa mère sursauter et panique en constatant qu'elle n'a, de son côté, rien entendu. Une batterie d'examens faite dans la foulée détermine qu'elle a perdu en totalité l'usage de l'ouïe et de la parole, rendant la victoire sur la maladie plus amère que prévue.

2015, Nanaimo : Zahra ne s'est pas laissé abattre, et ses parents non plus. A cet âge, les enfants ont une capacité d'adaptation qui rend plus aisé son handicap et les changements notables qui désormais l'accompagne. Avec une certaine assiduité, ils ont appris à communiquer autrement, participant ensemble à des cours du soir spécialisés dans l'apprentissage de la langue des signes. Imbriqués l'un dans l'autre, la résilience de Zay et l'espoir de ses parents les portent les uns les autres, soudant davantage leurs liens et les aidant à s'adapter à ce nouveau mode de vie. Zahra change d'école et se fait de nouveaux amis qui communiquent de la même façon qu'elle. A aucun moment elle ne s'est sentie mise à l'écart ou différente malgré sa particularité, qu'elle partage finalement avec ses camarades et enseignants. C'est la même chose pour ses parents, qui trouvent soutien et nouvelles amitiés auprès des parents d'élèves, et la vie reprends rapidement son cours.
C'est en Février 2015 qu'elle connaît un nouveau bouleversement, bien plus dramatique pour Zahra. C'est en attendant que ses parents viennent la chercher à la sortie de l'école qu'elle apprend de son institutrice qu'ils n'arriveront pas, plus jamais. Un accident de voiture a réussi à briser le petit cocon de bonheur que la méningite n'avait pas réussi à détruire, et Zahra doit désormais s'adapter seule.
Sur le plan légal, elle est confiée à sa seule famille restante, sa tante paternelle, qui a tout ce qu'il faut sur le papier pour subvenir aux besoins de sa nièce. Dans les faits, Alison Fraser a travaillé dur pour en arriver là où elle est professionnellement parlant, et n'a jamais voulu d'une vie de famille. Elle aimait son frère bien sûr, appréciait sa belle-soeur et a toujours trouvé sa jeune nièce mignonne et sage. Mais tante et nièce justement, ne se sont vues que deux fois avant de se retrouver obligées de cohabiter ensemble, et ne se connaissent pas. Alison, persuadée que l'argent qu'elle gagne sera suffisant pour combler aux besoins de Zahra ne songe pas un instant à réduire son temps de travail. Elle pourvoit à ses besoins matériels sans songer un instant à la nécessité émotionnelle de sa nièce et Zay s'adapte seule aux changements. Elle prend le bus pour aller en cours et revenir de l'école, dîne le plus souvent seule pendant qu'Alison est en train de boucler un dossier au bureau ou en réunion après une journée de travail déjà chargée et en réalité, elles ne font que se croiser.
Venue vivre chez sa tante dans son grand appartement, Zahra dispose de tout le confort possible et imaginable, a une garde-robe digne d'une princesse et tout un tas de jeux, d'objets et de babioles pour s'occuper, mais sa vie sociale se résume désormais aux moments passés à l'école, et elle se renferme un peu sur elle-même. Alison n'apprend pas la langue des signes, par manque de temps dit-elle, et pour échanger quelques mots lorsqu'il arrive qu'elles se croisent, Zay prend l'habitude de se promener avec un carnet et un crayon, pour écrire ce qu'elle veut dire.  Pour sa tante, lire un Je m'ennuie barbouillé par sa nièce dans son calepin signifie l'achat de la console dernier cri avec une panoplie de jeux pour occuper l'enfant et assez vite, Zahra comprend qu'il est inutile de chercher à créer un lien. Une cohabitation étrange s'installe entre les deux, faite de courtoisie polie et d'indifférence générale.

Post-apocalypse
• 2015 / Nanaimo : Zahra est très occupée à poursuivre son apprentissage de la langue des signes et de l'écriture pour communiquer avec Alison, qui de son coté, passe ses journées à travailler comme si sa vie en dépendait. Ni l'une ni l'autre ne prêtent vraiment d'attention aux informations, qu'elles soient écrites ou télévisuelles. C'est l'institutrice de la petite fille qui la prévient qu'une réunion importante aura lieu dans une salle de la mairie, et qu'il est nécessaire que sa tante y soit. Tante qui n'est pas ravie par la nouvelle mais elle y retrouve la majorité de ses collègues, et qui fait partie des quelques dubitatifs qui, à la fin du discours des autorités locales, considère que l'affaire est largement exagérée. Elle ne peut que bougonner dans son coin en se pliant aux directives prises deux semaines plus tard, qui ordonne l'évacuation des habitants vers des lieux d'accueil d'urgence. Les gens s'entassent par dizaines dans un confort très relatif et Alison fait partie des protestataires, qui se plaignent en tapant du pied et en exigeant des réponses. Zay pendant ce temps, cherche à comprendre ce qui se passe, et ignorée par sa tante, retrouve avec plaisir un visage connu dans la foule. Celui d'une copine de classe et dont les parents décident sans hésiter de garder Zahra près d'eux.  La sourde retiendra surtout une maladie grave et des mesures de précautions préventives des explications qu'on lui donne enfin. A cinq ans, la gravité de ce qui se passe réellement lui échappe, et elle prend son mal en patience en jouant avec sa camarade.
Bientôt pourtant, l'ordre d'évacuer est donné et la foule est séparée en deux. Certains seront acheminés jusqu'à Victoria pour y prendre un bateau, d'autres iront jusqu'à Vancouver dans des avions militaires. Zay perd ainsi son amie de vue, elle et ses parents étant envoyés vers le bateau tandis qu'elle et Alison prennent l'avion. L'orpheline cache du mieux qu'elle peut sa déception d'être séparée d'un environnement rassurant, mais Alison est de son côté trop occupée à râler et s'inquiéter pour s'en rendre compte.


• 2015 / Vancouver : Eprouvant et inconfortable, le voyage en avion-cargo a usé les nerfs de la plupart des passagers, et personne n'est mécontent de quitter le ventre de l'appareil. A nouveau entassés dans un hangar sous surveillance militaire, des tensions se font rapidement sentir lorsque les civils comprennent que les militaires ne refusent pas de répondre à leurs questions, ils n'ont tout simplement aucune idée de ce qu'il convient de faire d'eux. Le seul ordre que les soldats recevront sera de se déployer ailleurs, et ils partent après avoir cadenassé les portes du hangar. Ainsi abandonnés et condamnés à brève échéance, la panique s'empare des prisonniers et tous se ruent vers les portes pour essayer de les ouvrir. Alison a un élan familial et protège Zahra pour lui éviter d'être piétinée par la foule, ou pour l'empêcher de voir ceux qui ,n'ont pas cette chance. Heureusement pour elle, elle n'entend aucun bruit et ne comprend pas réellement que certains ne se relèveront pas.
Après s'être acharnés et épuisés pour rien, accablés des conséquences de leur élan de panique, les gens se calment . Ce n'est que plusieurs heures plus tard qu'ils se décident à retenter de trouver un moyen de sortie, et prennent le temps d'explorer en détails le hangar jusqu'à remarquer des petites fenêtres, situées en hauteur. Tout le monde travaille de concert pour monter un échafaudage de fortune, composé de bric et de brocs trouvés sur place. Grâce à son jeune âge, Zahra est l'une des premières à se faufiler par la lucarne pour sortir, suivie de près par Alison qui lui fait signe d'attendre, ce qu'elle fait avec autant de patience que possible à cet âge. Bien vite, Zay trouve bien peu d'intérêt à observer les gens sortir au compte-goutte, et s'éloigne de quelques pas, attirée par les lumières lointaines faisant briller le centre-ville. Cette petite rêverie lui évitera de voir la panique de la vingtaine de personnes qui ont réussi à sortir du bâtiment à temps avant que les piétinés ne se relèvent pour s'en prendre à ceux toujours coincés à l'intérieur, dont les cris de panique et d'agonie hanteront durablement ceux capables d'entendre.
Attrapée un peu brutalement par sa tante, Zay n'a pas le temps de protester et est obligée de suivre le mouvement, ses petites jambes peinant à suivre les foulées pressées des adultes.


• 2016 / sur les routes aux alentours de Langley : Vancouver, grouillant de morts arpentant les rues, a bien vite été abandonnée comme idée d'un refuge. Fuir à pieds paraissant trop dangereux, c'est par bus scolaire que la vingtaine de compagnons d'infortune gagne Langley, où ils arrivent épuisés. Echoués dans un hôtel à proximité d'un centre commercial, les plus téméraires bravent leurs craintes pour trouver toute une liste de choses nécessaires. De la nourriture, de quoi se défendre face aux Rôdeurs, qui sont présents partout et peuvent surgir à n'importe quel moment, et au fond d'eux tous, l'espoir de trouver une solution, ou quelqu'un qui l'a. Personne ne sait vraiment quoi faire pour assurer sa survie alors de façon presque naturelle, ils essaient de faire front commun tout en combattant l'instinct de vouloir sauver sa propre vie quoi qu'il en coûte, quitte à sacrifier les autres en cas de danger.
Zahra n'a pas l'autorisation de sortir de la sécurité du motel et les adultes les plus bienveillants et soucieux de son bien-être lui épargnent ainsi la vision parfois cauchemardesque de croiser les morts qui hantent les rues. Si la plupart des adultes ignorent la présence de la petite muette, dont Alison, certains jugent sa présence dangereuse. Au mieux, elle n'est qu'une bouche inutile et au pire, un poids mort encombrant au cas où le groupe soit obligé de fuir rapidement ou de se battre. Sans qu'elle en ait vraiment conscience, Zay doit l'essentiel de sa survie à Helen, bienveillante femme d'une soixantaine d'années et à son fils Randy, âgé d'une vingtaine d'années. C'est auprès d'eux que Zahra trouve réconfort et chaleur, et elle est ravie de les voir apprendre la langue des signes pour tenter de communiquer avec elle. Sans la moindre hésitation, la petite fille se tourne naturellement vers la mère et son fils plutôt que vers sa tante, et reste volontiers dans leur giron. Elle voit parfois, selon la gestuelle et les expressions du visage, Helen et Alison se disputer mais à chaque fois qu'elle cherche à savoir ce qui se passe, Helen la rassure en lui signant que tout va bien et qu'elle n'a rien à craindre.
Sans certitudes sur la façon dont fonctionnent les morts, les survivants ont assez vite l'impression qu'il y a en a de plus en plus. Sont-ils encore doués de logique, de capacité de réflexion, au point d'avoir vu et compris l'endroit qui leur sert de refuge ? Si quelques semaines plus tôt, ils pouvaient sortir de l'hôtel et arpenter un petit pâté de maisons, les adultes sont forcés d'admettre que sortir de l'hôtel tout court devient plus dangereux et chaotique. Un groupe de morts, ou une meute, allez savoir comment ont les appelle, semble installé sur le parking, prêt à réagir au moindre mouvement. Les plus téméraires s'épuisent à les empêcher de se relever, pour un résultat qui semble bien trop médiocre devant le nombre croissant de morts en présence. C'est au début de l'année 2016 que le groupe de scinde en deux, et l'ambiance devient délétère. Certains s'entêtent à vouloir rester ici, jugent que repartir sur les routes sans savoir où aller ni ce qui les attends est trop risqué. Ils arguent également qu'en ville, la nourriture est facile à trouver et que les Rôdeurs sont finalement assez facile à maîtriser. D'autres trouvent qu'il est plus prudent de quitter les agglomérations et d'éviter les endroits où la population était la plus forte, puisque c'est là qu'on trouvera le plus de morts. Les campagnes leur paraissent bien plus sûre et ils cherchent à oeuvrer en ce sens. Les dissensions sont de plus en plus nombreuses et virulentes, surtout quand certains ramènent autre chose que du consommable direct. Aux yeux de certains, les livres de jardinage et autres outils et graines sont des charges inutiles ou stupides quand des boîtes de conserve ou de la nourriture toute prête attend à proximité et n'a plus qu'à être cuite ou réchauffée.


• 2016-2018 / près de Granite Falls : Les survivants de Nanaimo ont finalement pris des chemins différents, et c'est de façon naturelle et sans hésitations que Zahra a suivi Helen et Randy. Sans surprises qu'Alison n'a pas cherché à la retenir, et tout contact a été rompu. Pour Zay, sa famille aujourd'hui, c'est sa mère et son frère d'adoption. Le voyage n'a pas été de tout repos, entre les rôdeurs qui traînent partout, des véhicules abandonnés contraignant le camping-car, qui a été choisi pour la fuite, à faire souvent demi-tour. L'absence de trajectoire pré-établie est également un problème, mais il est finalement décidé que remonter vers le Nord et le froid était une erreur. Le choix a été plus cornélien sur le fait de quitter ou non le pays, mais le vague espoir que peut-être, la situation n'était pas aussi dramatique aux Etats-Unis, a encouragé l'étrange famille à tenter sa chance dans cette voie.
C'est pendant ce voyage que Zahra a réellement vu un rôdeur, et que ses cauchemars ont commencé. Même si elle restait dans le véhicule, bien à l'abri,  c'était difficile de l'empêcher de regarder par la fenêtre. C'est également pendant ce voyage que la faim s'est fait ressentir, et que certaines nuits sont devenues plus difficiles, les ventres vides faisant fuir le sommeil. Personne n'a été mécontent de croiser la route d'un autre groupe, inconnus amicaux et bienveillants, prêts à les intégrer à leur petit havre de paix.
Dorénavant installés du côté de Jordan Road-Canyon Creek, les canadiens peuvent profiter d'un groupe à peine plus grand que celui qu'ils ont quittés, mais bien mieux organisés. Comme eux, ils ont jugés préférable d'éviter les villes, autant que possible, optant pour des espaces plus naturels, protégés par des barrières. Barrières qui sont remplacées, petit à petit, par des palissades hautes, dans le but de protéger le campement et ceux qui s'y trouvent. Le confort est assez sommaire et les abris sont constituées de bâches ou de fines branches patiemment tressées pour protéger de la pluie.
La proximité d'un point d'eau fraîche et d'une faune sauvage permet d'oublier les désagréables sensations de faim et de soif. Une terre meuble offre, avec un travail régulier, des légumes et quelques fruits et même si Zay est toujours la seule enfant du groupe, elle ne s'ennuie pas, ravie de pouvoir profiter de l'air frais et de la nature tout en restant à l'abri. Helen agit comme une lionne et n'autorise personne ou presque à s'approcher de Zahra, permettant encore moins la moindre critique envers la jeune sourde-muette. Même Randy a le plus grand mal à convaincre sa mère de laisser la jeune fille l'accompagner, et il lui a fallu ruser pour obtenir gain de cause. En jouant sur la sensibilité de sa mère et sur la réalité de l'extérieur, il finit par lui faire admettre l'importance pour Zay de pouvoir se débrouiller seule en cas de problème. Elle accompagne donc son frère d'adoption qui lui apprend à reconnaître les champignons comestibles, ainsi que quelques fruits et baies bons à manger. Zahra découvre aussi les joies de la pêche auprès du jeune homme, qui agit en véritable grand frère en imposant tout un tas de règles de sécurités qui parfois, agacent la jeune fille. Elle fait alors sentir son mécontentement en croisant les bras et en tapant du pied sur le sol, sourcils froncés, dans une posture qui jamais n'impressionne Randy.
Auprès d'Helen, Zahra apprend à planter et entretenir un potager, à allumer un feu et faire de la cuisine. Dans le même temps, elle découvre les premiers soins et maîtrise bien rapidement les bases, à savoir désinfecter une plaie, faire une suture et un bandage ou pansement dignes de ce nom.
De son côté, Zay continue de leur apprendre la langue des signes, même si Helen insiste également pour qu'elle poursuive un entraînement à l'écriture. Bien qu'aujourd'hui, l'écriture de Zahra reste malhabile et très enfantine, elle est cependant assez lisible pour communiquer le cas échéant avec des gens qui ne maîtrisent pas les signes. La sourde-muette n'est jamais parvenue à écrire autrement qu'en majuscules, détachant chaque lettre les unes des autres, mais compense cet état de fait par son ingéniosité, en recyclant certaines de ses pages.


• 2019/ Seattle à Rimrock  : La présence d'autres groupes, de plus en plus nombreux, parfois bien plus puissants et vindicatifs qu'eux, finissent par avoir raison du campement de Jordan Road-Canyon Creek. Malgré le désespoir d'avoir perdu tant de gens, certains couples se sont formés et quelques bébés sont nés. Pied de nez à la mort ambiante, ces nouvelles vies sont la promesse d'un lendemain meilleur qu'il faut préserver à tout prix. Alors rester ainsi isolés, en si petit nombre face à tant d'âmes belliqueuses devient bientôt un vrai problème pour tous, et des échos de rumeurs commencent à se propager. Les villes ne seraient plus aussi dangereuses, de nombreux survivants y feraient front ensemble, chacun s'échangeant ce dont il a besoin. L'idée de ne plus avoir à s'échiner autant pour faire survivre le petit groupe, le besoin de se sentir plus nombreux face à l'adversité finit par emporter une adhésion presque unanime et le groupe réunit tout ce dont il a besoin avant d'abandonner le campement.
Pour la plupart d'entre eux, c'est un retour sans regarder en arrière. La vie n'a pas toujours été facile et l'envie de pouvoir obtenir un peu plus de confort en se fatiguant un peu moins à gérer sur tous les fronts est un soulagement évident. Pour Zay, c'est l'inverse. Elle a le sentiment de perdre sa maison et même si elle a peu de souvenirs du premier exode à cause de son jeune âge, ses cauchemars reviennent et s'exacerbent, et une certaine tension musculaire est preuve de son angoisse. Le jour du départ, elle est installée sur le siège arrière d'une voiture, tournée vers la lunette arrière pour regarder son foyer s'éloigner.
Le retour sur les routes marque aussi la présence de morts, que Zahra n'a eu l'occasion de revoir qu'une fois depuis leur installation dans le groupe. Même si les adultes ont appris comment s'en débarrasser vite et bien et ont moins peur, ce n'est là encore, pas le cas de la jeune fille. Surprotégée par Helen et Randy, elle n'a pas réellement eu l'occasion de les côtoyer et ce qu'elle a aperçu à travers les pare-brises l'a effrayé, marquant son esprit fragile. Pour la rassurer, Helen a toujours minimisé leur présence et ce qu'ils représentent. Zahra sait juste qu'ils sont effrayants, qu'il faut éviter de s'en approcher mais qu'elle n'a rien à craindre, puisqu'elle et son fils sont là pour veiller sur elle.
Arrivés à Seattle, le groupe reste soudé et s'installe non loin du No Man's Land. Après tout, c'est pour ça qu'ils sont venus ici, pour profiter de cet espoir de troc avec d'autres. Les conditions de vie en revanche ne sont pas meilleures qu'à Canyon Creek, et le groupe n'a pas vraiment gagné en confort. Pire selon certains qui déchantent rapidement, puisque la présence des rôdeurs est ici plus nombreuse. Il ne faut que quelques mois pour que l'esprit de groupe éclate au profit des individualités de chacun. Les jeunes couples avec enfant se tournent vers les promesses de New Eden, d'autres mettent leurs principes de côté pour se tourner vers les groupes qui leurs faisaient si peur. La loi du plus fort étant par définition toujours la meilleure, certains rejoignent un groupe de pillards, jugeant finalement que prendre ce que d'autres se sont fatigués à trouver ou produire est plus avantageux que s'épuiser durement pour le même résultat. La promiscuité et les conditions de vie déplorables finissent par rendre Zay malade, et les médicaments pour sa bronchite sont coûteux et épuisants à obtenir. Randy et Helen n'hésitent pourtant pas et dès qu'elle va mieux, ils décident de quitter Seattle. Ils négocient quelques vivres et objets de première nécessité et Randy trouve une voiture dont le réservoir n'est pas à sec. Cette fois, ils partent tous les trois, avec presque rien mais déterminés à rester ensemble, en famille. Sans destination précise en tête, ils font seulement leur maximum pour éviter les villes, les rôdeurs et les groupes de survivants, qui ne seront pas forcément synonymes d'accueils bienveillants. Hasard ou coïncidence, la voiture tombera en panne sèche non loin de Rimrock, petite bourgade quasiment désertée et noyée sous la végétation.


• 2020 à 2023 / Rimrock : Le trio a pris possession du Camp Ghormley, autrefois camp de vacances pour les enfants. Randy y installe sa mère et Zahra après avoir sécurisé une partie de l'endroit, et ce retour à la nature a un effet apaisant sur Zay même si les cauchemars s'accrochent et agitent son sommeil. Les arbres qui entourent le camp sont un rappel rassurant du paysage de Canyon Creek et les rôdeurs, bien que présents, sont bien moins nombreux qu'en ville. Malgré la vieillesse d'Helen et la jeunesse de Zahra, tout le monde met la main à la pâte pour s'offrir un endroit délimité sûr et au calme. La proximité d'un large point d'eau offre autant du poisson qu'un possible point de fuite en cas de danger. Sur tous les fronts, Randy veille à la sécurité de l'endroit et à la majorité du ravitaillement, n'autorisant pas Zahra ou sa mère à sortir seules parce qu'aucune des deux n'est armée. Il ramène un kayak d'une de ses explorations des alentours, avec pagaie eet gilet de sauvetage, et insiste pour que les deux femmes apprennent à s'en servir. Son plan est simple et clair, si les rôdeurs arrivent en nombre ou que des survivants arrivent, il faut courir jusqu'au fleuve et s'enfuir à bord du canoë. Zahra apprend donc à naviguer sans savoir nager, malgré une piètre tentative leçon du jeune homme qui laisse la jeune fille paniquée et peu enthousiaste à l'idée de recommencer. Etre sur l'eau, dans un bateau et avec un gilet qui l'empêche de couler, ça elle peut le faire, pas de soucis. Aller dans l'eau pour se déplacer de manière coordonnée est bien plus difficile. Randy, déjà épuisé par le rythme qu'il s'impose, manque de patience et Zay, braquée, le boude pendant des jours.
Un quotidien calme et rassurant s'installe et Zahra partage son temps entre les activités pêche, cueillette et kayak avec Randy et l'entretien du jardin, la préparation des repas et les soins avec Helen, et deux ans et demi passent presque sans encombre. Hormis des rôdeurs à endormir pour de bon de façon régulière, aucun survivant, qu'il soit isolé ou groupe belliqueux, ne vient troubler leur petit havre de paix. Si Helen essaie de garder un cap clair pour donner à Zay des repères temporels clairs, il leur est en réalité compliqué de déterminer avec certitude le moment de l'année. Le trio se débrouille avec les saisons, mais les jours se ressemblent tous désormais, et ils ont perdu le fil du temps qui passe. Survivre dans de telles conditions donne de toute façon l'impression que ce qu'on a connu avant est un peu irréel. Sans donc savoir vraiment quel jour de la semaine ou quel mois, ils voient débarquer des intrus en fin de journée. Tellement habitués à ne plus voir personne d'autre que des rôdeurs et eux-mêmes, la surprise et l'incertitude les laisse sans réaction, laissant approcher les inconnus bien trop près. Avec un temps de retard, Randy donne l'ordre de repli vers le fleuve et le canoë, et Zahra suit Helen qui se met à courir. La sourde-muette n'entend pas les échanges de coups de feu qui retentissent, mais voir Helen stopper net, le visage figé par la frayeur. Zay panique en voyant sa mère d'adoption en larmes. Leurs regards se croisent et Helen se reprend, donnant ses consignes à la jeune fille par signes. Obéissante, Zahra plonge dans les fourrés et se cache, observant la femme faire de même. Elle ignore ce qu'il faut attendre, mais comprend d'instinct que ce ne sera pas Randy. Angoissée de ne plus voir Helen, Zahra s'apprête à quitter sa cachette lorsque des paires de bottes surgissent, et elle se recroqueville par réflexe. Brutalement tirée par les cheveux, elle se retrouve face à une Helen tout aussi paniquée qu'elle, entourées de trois inconnus armés. S'ensuit un échange verbal que Zahra tente de suivre, tant bien que mal. Elle ne capte que quelques mots épars, qui sortent de la bouche de sa mère et ne l'aident pas à comprendre ce qui se dit, mais soudain, Helen la regarde intensément et lui signe un seul mot Cours. Aussitôt la vieille femme se jette sur le plus proche d'elle et le fait tomber en lui agrippant les jambes. Zay obéit à l'injonction reçue et ne s'arrête même pas quand elle ressent une brûlure sur son bras. Elle a l'impression de courir des heures et des heures, mais n'ose pas s'arrêter. Si elle n'a pas compris ce que veulent les étrangers, elle devine en revanche qu'ils ne sont pas de gentilles personnes. Lorsqu'enfin elle gagne le canoë, des larmes de soulagement lui brouillent la vue et elle se retourne, prête à fêter sa victoire avec Helen. Elle n'est pas là mais les hommes sortent de la forêt en pointant des armes vers elle et tout se bouscule. La peur et l'incertitude de ne voir ni Helen ni Randy, la douleur dans son bras même si un regard lui indique une égratignure moyennement profonde, et la compréhension qu'elle doit échapper aux étrangers. Habituée à l'exercice, il ne lui faut que quelques secondes pour enfiler le gilet de sauvetage et monter dans le kayak. Zay sursaute quand un morceau de la pagaie explose, mais poursuit son effort et arrive à s'éloigner, portée par le courant.
Elle ne sait plus combien de temps elle a pagayé, mais la nuit est tombée et Zahra comate. Epuisée d'avoir lutté dans l'eau avec une demie pagaie, ce n'est plus seulement son bras mais tout son corps qui lui est douloureux. Il tremble aussi, ses nerfs relâchant la pression, et dans la pénombre, elle comprend à ses pieds trempés que le kayak est troué et prend l'eau. Elle le quitte et regagne la berge avec beaucoup de difficultés, et s'évanouit en sentant la terre contre sa joue. A son réveil, la jeune fille tente de se repérer pour retourner auprès d'Helen  et Randy, mais constate rapidement qu'elle est complètement perdue. Après une brève errance, elle croise le chemin d'inconnus alors qu'elle cherche de quoi manger, et si son premier réflexe est de fuir, Zay n'a pas la force d'être assez rapide. Il lui reste assez de conscience pour se rendre compte que leur comportement est différent de celui des autres inconnus, et se retrouve très vite à l'infirmerie du camp, où son bras est soigné comme il se doit. Si la balle qui l'a blessée a sévèrement entamé les chairs, les muscles ne sont pas touchés et sa guérison, sous bonne surveillance, ne sera pas trop difficile. Et depuis maintenant une petite dizaine de jours, Zahra essaie de s'adapter à sa nouvelle vie. Si elle a compris que les autres avaient fait du mal à Helen et Randy, elle espère toujours les voir débarquer ici. Peut-être qu'ils pourraient tous les trois rester ici. Même s'il y a plus de monde qu'au camp de vacances, les journées y ont l'air assez semblables, ce qui rassure Zahra. Elle ne peut cependant pas s'empêcher de craindre, une fois son bras guéri, d'être ramenée où elle a été trouvée. Si tel était le cas, elle a peur de recroiser les étrangers, de ne pas retrouver sa famille et de se retrouver toute seule. Zay compte cependant sur la gentillesse apparente des habitants du camp, et espère pouvoir les convaincre de l'aider à chercher les siens.

Groupe de référence
Si votre personnage est Travelers, il collaborera nécessairement avec un campement pour assurer sa survie. Faites ici une description de sa journée type, et des moyens qu'il met en oeuvre pour survivre en solitaire. Sinon, vous pouvez effacer cette partie.

time to meet the devil
• Pseudo (sur internet) : LunaDream
• Âge IRL : 18 ans
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]

• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Oui [x] / Non [ ]
• Voulez-vous bénéficier de la méthode inclusive ? Oui [x] / Non [ ]

La méthode inclusive vous permet de commencer le jeu directement avec le Maitre du Jeu. En optant pour cette prise en charge, vous terminez votre fiche directement avec un animateur pour qu'il puisse vous intégrer à une intrigue en cours de jeu.

• Code du règlement Even in the grave all is not lost

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Re: Zahra Fraser

Mer 23 Aoû 2023 - 19:15

Bienvenue Zahra !
Bon courage pour ta fiche ! Zahra Fraser 1342238320

(Et je valide l'avatar :MisterGreen:)





Light this world

ANAPHORE
Neela J. Yeo-Jeong
Neela J. Yeo-Jeong
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Re: Zahra Fraser

Mer 23 Aoû 2023 - 20:16

Aha, merci pour l'avatar :smile16: Egalement pour l'accueil et les encouragements, je ne suis une grande habituée des forums rpg type survie, je m'auto-challenge, mais j'espère m'en sortir :smile2:
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Re: Zahra Fraser

Mer 23 Aoû 2023 - 21:17

Hello à toi et bienvenue !

C'est cool de voir des persos plus jeunes (surtout avec ce vava, j'adore). Courage pour le reste de ta fiche, hâte d'en savoir plus sur ta demoiselle !

Qui sait, on se croisera peut-être (si ton perso s'aventure côté New Eden x) ).
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Re: Zahra Fraser

Jeu 24 Aoû 2023 - 9:22

Coucou et merci pour l'accueil :smile42:

Ce vava a clairement la cote, je suis contente. J'avoue que j'ai pas hésité longtemps malgré le manque de ressources :smile17:

Je ne suis pas encore fixée sur le choix du groupe, j'épluche toutes les infos des différents clans mais le choix s'avère cornélien :smile41: En tous les cas, on trouvera sûrement un moyen de se croiser, à un moment ou un autre Wink
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Re: Zahra Fraser

Jeu 24 Aoû 2023 - 10:05

Bienvenue Zahra !
Super choix de fc, bon courage pour la suite de ta fiche :smile7:


stay safe on the Path


Spoiler:
Nihima Sihasappa
Nihima Sihasappa
The Hallows | Conseil
Modératrice
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Re: Zahra Fraser

Jeu 24 Aoû 2023 - 11:29

Bienvenue par ici, Zahra ! Zahra Fraser 1342238320
C'est un joli début de fiche qui donne vraiment envie d'en savoir plus !  Zahra Fraser 2736068674 Zay' est déjà super attachante ! (et comme les autres, je valide ce choix de bouille ! Nico est tellement mimi !)
Bon courage pour la fiche, et n'hésite pas si tu as des questions au sujet des différents groupes ! Ça fait beaucoup d'informations de prime abord, mais on est là pour aider au besoin Zahra Fraser 2451098191



bienvenue sur le forum !


Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux différents bottins du forum.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !


ready for the fight
and fate


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Valérian Zacharias
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Re: Zahra Fraser

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