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Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 18:56


Chogan Roberttell me more about you

prénom(s) : Chogan
nom : Robert
date de naissance : 11 janvier 1967
âge : 56 ans

ville de naissance : Nespelem (Réserve Amérindienne de Colville)
métier : Garde forestier au Parc national du Mont Rainier
groupe : The Hallows

avatar : Zahn Mcclarnon

what i am

qualites
Calme
Discret
Loyal
Débrouillard
Bienveillant
defaults
Méfiant
Renfermé
Naïf
Docile
Sensible
Equipement :
- Sac à dos
- Couteau suisse
- Bottes de randonné
- Vêtements imperméables

   
Details physiques :
Sa peau mate et sa longue chevelure noire ne laisse aucun doute sur ses origines Amérindiennes. Pas très grand, il est tout de même en excellente condition physique et prend visiblement soin de sa personne. Bien qu'il soit discret et peu loquace, son regard semble trahir une certaine tristesse. Il porte souvent ses habits de garde forestier (veste ou chemise kaki, chapeau assorti, pantalon robuste, et bottes de randonnés.)

évolution psychologique

L'apocalypse. Serait-ce la riposte de la nature contre les agissements de l'Homme ? Les gestes irrespectueux de l'humanité envers la nature étaient si nombreux que Chogan c'est sérieusement posé la question. Lui, qui a choisi de protéger l'environnement, n'était pas forcément surpris que la société finisse par s'effondrer. Toutefois la nature des évènements étant profondément troublante, il a évidemment eu du mal à s'adapter, comme la majorité des gens. Déjà méfiant, ce trait fût exacerbé lorsqu'il fut témoin de l'égoïsme de la population en panique. Pourtant, sa bienveillance le poussait parfois à se montrer naïf, on parvint donc à profiter de sa bonté à ses dépens et il s'en mordit les doigts à chaque fois.

Une certaine tristesse s’installa d’abord chez lui, profondément déçu par le comportement humain qui se dégradait de plus en plus. Sans sa famille, il eut l’impression de perdre ses repères et il finit par s’isoler. Heureusement on lui trouva rapidement du ‘’travail’’ dans la communauté et il tâcha de se montrer le plus utile possible.

Lorsqu’il retrouva enfin ses parents et qu’il rejoint leur groupe, une lueur d’espoir renait enfin en lui! Le groupe, malgré les difficultés, semble bien soudé et porteur de bonnes valeurs. Il y trouve sa place ainsi qu’un nouveau but. Peu à peu il s’ouvre aux autres et se fait même des amis. La fin du monde ne semble plus aussi pénible qu’à ses débuts. Peut-être que l’humanité avait besoin d’un renouveau, après tout ? Les épreuves sont nombreuses, mais à chaque fois il conserve son positivisme et s’efforce de tout faire pour être utile à sa communauté. Il y a des moments de doutes, mais il ne se laisse pas envahir par le découragement. Du moins, pas tant que sa mère est en vie.

La perte de son père était déjà un coup dur, mais lorsque sa mère décède il a du mal à s’en remettre. La tristesse et la colère s’empare de lui; le deuil est difficile à surmonter et il sombre à nouveau dans le découragement. Chogan s’isole à nouveau et se concentrant uniquement sur ses tâches. Parviendra-t-il à faire son deuil et à retrouver sa joie de vivre ?




Story of survival

Pre-apocalypse



1. « Débrouille toi tout seul ! » Les paroles de ma mère biologique raisonnent encore dans mon esprit, malgré les années qui ont défilées. Petit dernier d'une fratrie de 7, je suis né à Nespelem, sur la Réserve Amérindienne de Colville. Mes parents biologiques, qui avaient connu les pensionnats autochtones, ne pût que nous transmettre cette souffrance et ce mal-être qu'ils avaient eux-mêmes connu. Si mon géniteur était le plus dysfonctionnel, ma mère semblait volontairement fermer les yeux devant la violence et les abus qu'il commettait. J'ose encore croire qu'elle ignorait jusqu’où ses actes allait, particulièrement la nuit lorsque nous étions seuls dans nos chambres.

2 - « Chut…plus personne ne te fera de mal. » J’entends encore ce murmure chaleureux et sincère provenant de ma famille d’accueil. En effet, lorsque j'eu atteint l'âge de 7 ans, ma soeur aînée dénonça la situation auprès d'une enseignante, ce qui nous délivra enfin de ce milieu hostile. Le plus difficile fût la séparation de notre fratrie, mais j'eus la chance d'être rapidement placé chez un couple qui habitait la ville de Tacoma et qui allait devenir mes parents adoptifs. Les Roberts m’accueilli comme si j'étais leur propre fils. J'enfouis bien loin dans mon être les sévices de mon enfance, mais ma mère n'était pas dupe, elle avait tout compris sans que je n’aie un mot à dire. Douce, calme, et compréhensive, notre relation devint forte, presque fusionnelle et cela d’une façon tout à fait saine et naturelle. Ma véritable mère, c’était elle.

3 - « Parole de Scout ! » Les mots les plus sincères que j’eus à prononcer depuis des années. Je pu enfin connaitre une enfance digne de ce nom. Les Roberts étant très religieux, je me perdis un peu dans ces enseignements qui ne ressemblaient en rien à ce que j'avais connu. J'eus parfois l'impression de perdre mes racines, mais le garçon docile et timide que j'étais n'osa jamais rien dire. Au début j’eus du mal à trouver ma place dans ce monde que je ne comprenais pas. Jusqu’à ce qu’on m’inscrive chez les jeunes scouts. Si, jusque-là, je m’étais montré particulièrement solitaire à l’école, je trouvai enfin ma voix. J’eus l’impression de renouer avec mes racines et me pris de passion pour la nature et la survie. J’aimais aussi beaucoup apprendre et j’étais assez doué à l’école. C’est donc naturellement que je décidai de faire une formation en foresterie et me trouvai rapidement un travail en plantation d’arbres. Nous passions des semaines à travailler dans la forêt et le travail était difficile, bien qu’il me plût particulièrement.  À l’âge de 22 ans, j’eus envie d’en apprendre davantage et de me spécialiser dans le domaine des sciences naturelle. Je débutai donc des études à temps partiel dans le domaine de l’écologie et l’environnement.

4 - « Chogan, mon frère, tu me manques. » Je lisais cette simple phrase couchée sur papier et mes yeux se mouillèrent de larme. J’avais reçu une lettre qui allait tout changer. Les démarches avaient été longue et ardue, mais ma sœur aînée nous avait tous retrouvés ! Elle nous annonçait que nos parents biologiques étaient décédés dans un accident et qu’elle avait donc trouvé le courage de retourner aux sources, sur la réserve Amérindienne. Je profitai donc de mes vacances pour aller la rejoindre et toute ma fratrie en fit de même. Les retrouvailles étaient émouvantes et pleines de bonheur. Nous n’avions pas tous eu la chance d’être placé dans une bonne famille, mais se retrouver ici, dans ces lieux, nous redonna énormément de force et de courage. J’y rencontrai d’ailleurs mon premier amour, Tasha, une résidente de la réserve qui partageait mon amour de la nature. Je décidai donc, contre toute attente, de m’installer avec elle dès que mes études furent terminées.

5 - « Tu n’es plus celui que j’ai rencontré. » Le ton de Tasha était sec et remplis de reproches. Elle avait toutefois raison, ici je m’étais perdu avec le temps. On m’avait rapidement proposé de reprendre un travail dans la replantation des arbres, mais ma vision des choses avait quelque peu changer et je trouvai difficile de voir toutes ces forêts rasées par l’appât du gain. Notre métier consistait à reboiser le terrain, mais était-ce suffisant ? Je commençai à douter de mon travail. De plus, la relation avec Tasha allait se montrer particulièrement difficile. Les rapprochements me replongèrent dans les souffrances de mon enfance et j’eus du mal à me laisser aller et à vivre une intimité saine et agréable. Nous vivions pourtant des moments fort agréables, partageant le même amour de la nature. Elle me montra à chasser et à pêcher tout en respectant l’animal ainsi que son environnement. De mon côté, je partageai avec elle mes connaissances de la faune et la flore. Nos sentiments étaient sincères, mais ils n’allaient malheureusement pas être suffisant. Je m’enfonçais dans la tourmente, n’en pouvait plus de vivre dans cette réserve où j’avais connu mes premières années de vie. Tout me ramenait à ce passé que je tentais d’oublier. Plutôt que d’en parler avec ma conjointe, je me renfermai sur moi-même et notre couple s’effrita peu à peu; jusqu’à s’effondrer. Quelques années plus tard, je pris la lourde décision de quitter Tasha, ainsi que la réserve.

6 - « Je n’ai pas besoin de thérapie, ma thérapie c’est la nature. » Ma famille aurait aimé me voir consulter pour régler les souffrances que j’avais enfouis au fond de mon être, mais je n’en sentais pas l’intérêt. Au milieu de la forêt, j’étais moi-même et je me sentais pleinement heureux. Après ma séparation, je décidais de retourner m’installer dans la ville de Tocama et je trouvai enfin un travail qui me plaisait au Parc national du Mont Rainier. D’abord à l’accueil, on me muta rapidement entant que guide auprès des jeunes. Mon expérience de scout étant très pertinente, je n’eus pas de mal à m’y sentir à ma place. J’y enseignait quelques notions de survie et au fil du temps je me spécialisai dans la connaissance des plantes comestibles et médicinales. Pour terminer, on me proposa un poste de garde forestier que j’acceptai avec plaisir. J’avais toujours été fait pour protéger la nature, après tout. Je restai évidemment en contact avec mes frères et sœurs biologique que je voyais à l’occasion lors de rencontres familiales. Quant à ma famille adoptive, je les voyais quotidiennement et puisqu’ils étaient vieillissant, j’en profitais pour prendre soin d’eux du mieux que je le pouvais. Malheureusement, lorsque la fin du monde se pointa le bout du nez, j’étais bien loin, au creux de la forêt. Je ne réalisai donc pas immédiatement l’ampleur de la situation.

Post-apocalypse


12/10/15, Parc national du Mont Rainier – « Des morts qui se relèvent, et puis quoi encore ? » Le ton de mon père en disait long sur ce qu’il pensait, ne croyant visiblement pas à toutes ces rumeurs qui circulaient sur les derniers incidents. Si la situation était inquiétante, mes parents refusaient de quitter le foyer familial. Ils étaient persuadés qu’ils étaient en sécurité à la maison. Pour ma part je commençais à avoir des doutes et je préférais nettement rester à l’écart, sur mon lieu de travail. J’avais bien insisté pour qu’ils viennent me rejoindre en prenant aussi un terrain de camping, mais ils avaient refusé. J’espérais que les autorités avaient la situation bien en main.

26/10/15, Parc national du Mont Rainier - « Chogan ! On a besoin de toi ici ! » La voix de mon collègue était prise de panique et je craignais le pire. Depuis quelques jours le nombres de visiteurs augmentaient drastiquement et nous devions redoubler d’efforts afin d’éviter la propagation de l’épidémie. Je montai dans mon véhicule tout terrain pour me rendre à l’accueil où la situation avait visiblement dérapée. Une jeune femme infectée s’en était prise à un des employés et ils avaient dû l’abattre d’une balle dans la tête. Un homme, probablement son père, était complètement hors de lui. Les gens présents sur place tentaient de le maitriser sans succès. Je viens donc à leur aide afin d’immobiliser l’homme en détresse. Ce n’était qu’une question de temps avant que cela nous rattrape. À la suite de cet incident, quelques autres cas furent signalés un peu partout dans le parc. N’ayant plus de nouvelles de mes parents, je commençais à m’inquiéter et pris la dangereuse décision de me rendre en ville pour essayer de les retrouver. J’étais loin de me douter de ce qui m’attendais.

27/10/15, Tacoma – Le chaos. Jamais je n’aurais cru être face à une telle situation. La présence militaire dans les rues, les radios qui diffusent des messages en boucles, des gens qui n’ont plus rien d’humains et les autres en panique totale. Évidemment mes parents avaient fini par quitter le domicile et avaient probablement été conduit dans un camp de réfugier. Je me mis en quête de trouver lequel, mais la tâche n’allait pas être aisé. Muni d’une photo d’eux, je demandais à tous ceux que je croisais s’ils les avaient vu. Évidemment, la plupart passait leur chemin sans même daigner me répondre, jusqu’à ce qu’un homme affirme savoir où ils se trouvaient. Je le suivi sans hésitation, mais plutôt que de me conduire à ma famille, il m’isola dans une ruelle avant de me tabasser et de s’emparer du sac de survis que je trainais avec moi. Heureusement un groupe de militaire tomba sur moi peu de temps après et me conduire à un des camps de réfugier.

Hiver 2016 – Le climat avait été rude et le campement avait fini par tomber aux mains des rodeurs. Malheureusement j’étais absent lorsque cela c’était produit et lorsque je suis revenu, il n’y avait plus personne, que des mordeurs errants. Avec quelques vivres dans mon sac à dos et un manteau chaud, j’avais dû me trouver un abri et y rester le temps que l’hiver se termine. La situation était de plus en plus difficile, je me retrouvais seul et désespéré.

Juin 2017 – Une fumée attira mon attention. Apparemment il y avait le feu quelque part à Tacoma. Des gens étaient-ils en danger ? Je me dirigeai vers l’endroit pour aller y jeter un coup d’œil. L’incendie avait attiré beaucoup de rôdeurs et je ne pouvais pas m’approcher, toutefois je remarquai une poigné de gens qui fuyaient apparemment les lieux. Je me présentai pour proposer mon aide et à ma plus grande surprise mon nom ne leur était pas inconnu ! Apparemment mes parents faisaient partie de leur groupe ! Enfin un espoir de les revoir après tout ce temps. Nous sommes donc parties à la recherche de mes parents, mais également des autres membres de leur groupe. Heureusement nous les trouvâmes assez rapidement et, avec eux, nous errâmes quelques jours avant de croiser un autre groupe ( Sanctuary Hills ). Ils nous accueillirent et nous nous installâmes de façon permanente avec eux.

Janvier 2018 – Une vilaine bronchite se propagea dans tous le campement. Mon père, ayant malheureusement une santé fragile, sera touché par la maladie qui l’emportera malgré les soins prodigués. Quelques jours après, nous apprenons qu’une femme atteinte, ainsi qu’un enfant avaient été assassinés ! Le meurtrier voulait ainsi mettre fin à la propagation de la maladie, mais son geste ne restera pas impuni. Il sera condamné à l’exil pour avoir agi ainsi.

Été et automne 2018 – Le ranch avait été découvert par un groupe d’individus de mauvaise foi. Nous avons tenté de résister, mais l’attaque d’une horde de morts-vivants nous affaiblira et nous obligera à nous soumettre à leur autorité. Ils imposèrent leur protection en échange de nos ressources. Heureusement notre groupe n’avait pas l’intention de se laisser faire et organisa lentement une riposte afin de se libérer du joug de notre ennemi. L’attaque laissa un profond traumatisme chez ma mère, dont la santé allait peu à peu être affecté.

Hivers 2022 – La santé de ma mère se détériora de plus en plus, je la voyais dépérir sans pouvoir faire quoi que ce soit. Les médecins parvinrent à diagnostiquer un cancer en phase terminale, qui malheureusement emportera ma mère quelques mois plus tard. Sa perte fût un choc pour moi, puisque nous étions très proche l’un de l’autre. Je me concentrai donc dans mes tâches pour tenter d’oublier la douleur, mais elle n’allait pas disparaitre de sitôt.

Été 2023 – Je n’aurais pas cru que la perte de ma mère allait m’affecter à ce point. Je peinais à reprendre du mieux et m’isolais davantage depuis. M’ouvrir aux autres avait toujours été difficile pour moi, mais voilà que la situation était pire que jamais. Je me concentrai donc la récolte de plantes médicinales, sans trop me soucier du reste. J’avais besoin de me tenir occuper, puisque dès que j’arrêtais, je revoyais les images heureuses de mon passé auprès de ma famille adoptive. Cela engendrait une nostalgie que je peinais à supporter.

time to meet the devil

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fiche (c) langouste.
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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 19:03

Bienvenue Chogan !
Hate d'en savoir plus sur ton personnage !





Light this world

ANAPHORE
Neela J. Yeo-Jeong
Neela J. Yeo-Jeong
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She-Hulk
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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 19:25

Bienvenue Chogan !! Bon courage pour ta fiche :smile2:


Feed one of

ANAPHORE
the two wolves
Waban Tohotonime
Waban Tohotonime
Modératrice
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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 19:28

Bienvenue Chogan !

Je survalide ton choix de FC :smile34:

Hâte d'en savoir plus sur ce perso, et au plaisir de te croiser en rp Chogan Robert | Nature is my religion 1342238320


stay safe on the Path


Spoiler:
Nihima Sihasappa
Nihima Sihasappa
The Hallows | Conseil
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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 19:35

Welcome Chogan, le FC de ton perso attise déjà ma curiosité quant à la découverte de ton mystérieux personnage :smile2:
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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 19:49

J’aime beaucoup ce FC bounce
Bienvenue ici et courage pour ta fiche Smile
Invité
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Invité
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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

Jeu 25 Mai 2023 - 20:07

Bienvenue parmi nous Chogan et bon courage pour ta fiche Very Happy


and now we are alive...

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Re: Chogan Robert | Nature is my religion

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