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New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 17:20


JANEK GEFEN² ABRAMOVITCHtell me more about you

prénom(s) : Janek Gefen
nom : Abramovitch
date de naissance : 1er Mai 1981
âge : 38 ans

ville de naissance : Jérusalem
métier : Artiste-peintre
groupe : The Haven

avatar : Rami Malek

what i am

qualites
Imaginatif
Extraverti
Observateur
Passionné
Persévérant
defaults
Arrogant
Mesquin
Sensible
Rancunier
Irritant
Equipement :
       Il se trimballe toujours avec de quoi gratter ou dessiner. Quand il quitte le confort et la sécurité du camp, il a un petit cahier à dessin dans son sac avec une petite trousse rempli de divers crayons – bois, bic, gras, coloré, cré, fusain, feutre…. -. Il aime beaucoup mettre sur papier ce qu’il observe pendant les sorties. Visages, lieux, évènements... Il a également toujours sur lui un couteau militaire de combat qu’un soldat lui avait donné lors de son séjour dans un camp de survivants. C’est là-bas aussi qu’on lui a appris à tirer avec une arme. Il possède depuis un 9mm. Janek n’aime pas trop utiliser les armes à feu, mais il n’avait plus trop vraiment le choix, et « tout hommes et femmes capable de se battre devaient apprendre à s’en servir pour se défendre et protéger les autres ». Il a aussi un briquet pour ne jamais se retrouver dans le noir, une gourde, des pansements. Bref le minimum du survivant pour des petites excursions.
       
Details physiques :
       Janek est un homme d’1,75 m, la peau halée de par ses origines avec des cheveux bruns qui ont une tendance à boucler. Il a un visage plutôt atypique avec une mâchoire carré, un menton prononcé et une petite bouche qui lui donne un air tendu mais qui pourtant s’harmonise bien avec ses yeux bleus. Il a un regard intense qui ne laisse pas transparaître ses émotions lorsqu’il est calme et vous fixe comme il a l’habitude de le faire. Ce n’est pas qu’il cherche à vous déstabiliser ou à vous rendre nerveux, il le fait très naturellement. Son corps assez fin cache en réalité une musculature discrète mais utile quand il fallait se salir les mains.

       Janek a dû laisser place à ses costumes et ses beaux vêtements délicats, colorés et en soie pour des tenues plus rêches, plus épaisses mais qui avaient au moins l’avantage de le protéger mieux. Un jean à la Levis – les meilleurs ! - souvent tachés (généralement de peintures ou de coup de crayon) et parfois un peu déchirés ou avec des accros. Un simple T-shirt à courte ou longue tout aussi bien taché et de couleur varié. Et généralement une veste de sport ou un sweat pour ne pas avoir froid.

Psychologie

       Pour être un artiste, il faut sûrement être un esprit chien fou. Janek a ça en lui, sans doute, depuis toujours. Courant après les couleurs et les contours, avec tant de choses à dire et à transmettre sans avoir les mots pour le faire, il s’est toujours servi de son art pour communiquer. Aujourd’hui, ça lui cause du tort car il maîtrise assez mal ce qu’il dit lorsqu’il parle. Par manque d’assurance, parce que c’est aussi un grand sensible. Il arrive souvent qu’une émotion le déborde et qu’il ne sache pas la contrôler. C’est ce qui cultive son imagination d’un côté et sa manière d’observer le monde de l’autre.

       Il est un homme passionné et qu’on reconnaît facilement extraverti. Il aime toucher à tout, mordre la vie à pleine dent car il considère que chaque expérience, bonne ou mauvaise, nourrissait son art. La célébrité lui est également montée à la tête et les compliments qu’on a pu lui faire l’ont transformé en une personne assez arrogante. Fut une période où il gérait mal son ego, aujourd’hui, il a pris un peu de recul là-dessus, notamment pour s’intégrer. Il a cependant des rechutes par moments qui le rendent irritants. Pour atteindre ses objectifs, tenir tête au monde entier et devenir un artiste célèbre, tout quitter pour venir vivre aux États-Unis, dans une grande ville comme Seattle, Janek était devenu un homme très persévérant, surtout lorsqu’il avait une idée derrière la tête. A côté de ça, mieux vaut qu’il vous ait à la bonne ! Janek est une personne qui a la rancune tenace et qui n’hésite pas à user de mesquineries lorsqu’il n’aime pas quelqu’un.




Story of survival

Pre-apocalypse

         Janek est né à Jerusalem le 1er Mai 1982, dans une grande famille riche. Un père absent, prit par le travail, les expositions et les vernissages, une mère dévouée qui l’accompagne souvent pour l’image, une petite sœur qu’il fuit elle et son violon - elle est persuadée de savoir jouer – et une nounou qui avait toujours été là aussi loin qu’il se souvienne. Différent des autres enfants, il est souvent isolé ou victime de moqueries, bien qu’il n’en parla jamais à personne. Rien de bien méchant, mais assez pour apprendre à un jeune garçon à observer le monde de loin et à le modeler comme bon lui semble, déjà très imaginatif dés son très jeune âge. Ils n’avaient jamais compris cet aspect mesquin de l’esprit humain. Jalousie ? Sentiment d’infériorité ? Incompréhension ? Peu importait, le résultat était le même, juste de la méchanceté gratuite. Le problème, c’est qu’il fut forgé par cet entourage et se construisit des barrières qui ne le rendit finalement plus très différent d’eux. Très porté sur la religion dans sa famille, il est lui aussi croyant et appliqué. Néanmoins, il a aussi un penchant qui ne date pas d’hier pour les arts, héritage de son père. Grand passionné, c’est très tôt qu’il commence à étudier la peinture. Janek tient ce goût de part son père, lui-même peintre et poète. Enfant, il essaya de comprendre son paternel à travers le dessin et l’art qu’il aimait tant. A force, cette passion s’était ancrée à son tour dans ses veines. S’il ne manie pas les mots, il utilise les couleurs avec plus d’instinct et de passion que son mentor.

       S’il n’est pas un excellent élève à l’école, il se distingue de toute façon très vite par son talent et se fait connaître de cette manière. Il use des réseaux sociaux pour devenir célèbre, et par le biais de son père également. Lorsqu’il arrive à la fin de l’adolescence, obtenant ses diplômes de fin d’études, il fut assez vieux pour accompagner son paternel à ses vernissages. Si l’homme ressentit de la fierté d’avoir un fils aussi appliqué que lui, Janek y vit surtout le moyen de se faire connaître et de se constituer une liste de contact. Il savait que c’était là le seul moyen pour lui de percer, jouant sans hésiter du nom de son père pour arriver à ses fins. Grace à sa notoriété, il prit son envol et finit par s’installer en 2013 aux États-Unies, et d’une exposition à l’autre, s’installe dans les environs de Seattle dans une demeure éloignée de la ville pour profiter du calme et des paysages immenses et uniques qu’offrait l’Amérique. Il ne retournera que très rarement en Palestine, prit à son tour par son travail, son succès et les plaisirs de la célébrité, tout comme son père l’avait été.

       C’est là-bas, dans sa nouvelle vie à Seattle, qu’il tombe amoureux de la galeriste qui gère son exposition. Il est touché par la sensibilité dont elle fait preuve, autant dans la vie courante que face à ses tableaux. Elle est si douce, si belle, il aime la regarder et la dessiner secrètement tandis qu’elle parcourait de son regard azur les toiles qu’elle mettait en valeur. Il peine à lui avouer ses sentiments, et tous deux se tournent autour de longs mois. Cependant, quand les choses se concrétisent, il comprend que sa compagne n’est pas engagée sur le même type de relation que lui, déjà engagée avec un autre homme. Troublé néanmoins par ses sentiments et par la douleur qu’il ressent en apprenant qu’il s’est fait utiliser, Janek sombre dans l’usage de substance hallucinogène. Son art prend un tout autre tournant, tout comme sa personnalité. Les critiques apprécièrent fortement cette évolution artistique qu’ils considèrent bien plus sombres, profondes, bien plus poignantes que tout ce qu’il avait fait jusque là. Mais ses proches finirent par le quitter, lassés de s’inquiéter pour un homme qui ne voulait rien entendre et qui les décevait chaque jour. Parfois, il était mieux de juste couper les ponts avant d’être entraîné soi-même dans cette spirale infernale er destructrice qu’était la prise de drogue. Bien qu’il resta entouré de visages inconnus et souriants qui profitaient bien de sa nouvelle décadence, Janek se retrouva seul face à ses propres démons.

Post-apocalypse

       OCTOBRE 2015, SEATTLE : Juste avant que l’Apocalypse ne démarre, Janek est toujours à Seattle et quasiment en rupture avec sa famille, déçue de son comportement. Néanmoins ses peintures ont de plus en plus de succès. Lorsque le chaos inonde la ville, il est placé dès Octobre dans un camp de survivants où il passe les premiers temps. Sensible, il apprend à survivre, et doit se passer de la drogue qu’il consomme énormément ces derniers mois. Il lui est difficile de vivre dans ces conditions, surtout de ne plus pouvoir s’exprimer comme avant. Il doit également apprendre rapidement à se défendre.
       Les débuts à l’extérieur sont très difficiles pour lui, d’autant plus lorsqu’il est responsable de la mort d’un de ses accompagnateurs. C’était alors la première fois qu’on lui demandait de mettre en pratique les entraînements. On l’avait estimé apte à éliminer les rôdeurs, il était donc temps de passer en pratique. Mais lui ne se sentait pas prêt, et face à son premier rôdeur, il hésita. Il se figea, et le temps sembla s’arrêter, déconnecté de la réalité, regardant le monde derrière un écran. Et alors, du sang recouvrit la scène, un rouge aussi vif que celui des plus belles peintures dramatiques. Il avait l’impression d’être tel Dante en enfer. C’est alors que son cerveau reprit conscience au hurlement de son accompagnateur qui, prit de court, s’était interposé, et était en train de se faire dévorer devant lui. Il n’était pas ami, il n’avait même pas retenu son nom, mais il lui avait sauvé la vie au prix de la sienne. Les larmes brouillèrent sa vision tandis que sa respiration s’accélérait, en proie à la panique. Il voulu fuir, mes l’un des deux rôdeurs qui dévoraient l’homme se détourna bien vite de cette viande pour la sienne. Il voulait fuir, mais ses jambes refusèrent de bouger. Alors il leva son arme, et tira. Le corps tomba lourdement. Le bruit attira le deuxième. Paniqué, il dut tirer trois fois avant d’atteindre sa cible. Il tremblait, les bras tendus, l’arme en main toujours levé. Il venait de tuer deux personnes. Non. Des rôdeurs. Et c’était de la légitime défense. Il respirait difficilement sous le poids de cette prise de conscience, mais un nouveau grognement fit tressauter ses oreilles. Avant de voir le corps de son accompagnateur se relever doucement. Janek le pensait pourtant mort ! Et il l’était. Lorsque la chose se retourna pour lui faire face, il n’y avait plus rien d’humain dans ce regard livide tandis que le sien se remplissait d’effroi. Une fois avoir repéré Janek, le mort se précipita sur lui, et dans un réflexe, l’arme toujours levé, le peintre tira, et un trou apparu au milieu du visage de l’homme. Le corps tomba lentement en arrière. C’était fini. Ce jour là, son instinct de survie avait prit le dessus, au prix de la vie de son accompagnateur qui avait cru en lui. Il porte cette perte sur la conscience encore aujourd’hui, lui faisant prendre forme à travers le couteau dont il ne se sépare jamais et qui lui avait été donné par l’homme avant la tragédie, pour ne pas oublier ce qu'une seconde d'hésitation pouvait coûter aujourd'hui. .

       AUTOMNE 2016, SEATTLE ET ALENTOURS : Lorsque son camp tombe à l’automne 2016, il se retrouve sur les routes durant plusieurs mois avec certains compagnons. Ils sont alors plus ou moins une dizaine, le nombre dépendait des pertes et des périodes. Alors qu’il pensait que faire face à l’horreur de la situation et vivre dans un camp de survivants entourés de militaires autoritaires étaient le pire, cette phase fut bien plus difficile. Sans domicile fixe où se poser et se sécuriser, sans ressources régulières, face au danger en permanence, chaque jour fut une histoire de survie. Une vraie partie de poker où certains gagnaient et d’autres perdaient. Janek y a survécu, physiquement, mais il fut marqué mentalement. Il n’avait pas eu d’autres choix que de s’endurcir pour ne pas craquer, et c’est pourquoi il rechigne beaucoup moins aujourd’hui à faire les tâches qu’on lui demande d’exécuter.

      FIN 2017, SEATTLE : Était-ce la fin de cette longue période de galère et de risques mortels à chaque seconde ? Ils finissent par tomber sur le No Man’s Land. C’était comme un oasis, et Janek fut méfiant au début, ayant peur d’un mirage, d’une belle toile qui cachait derrière de la contre-façon. Ancien drogué, il savait à quel point le cerveau pouvait partir loin dans son délire et à quel point l’humain pouvait se servir de vous lorsque vous étiez faible, désespéré. On était jamais à l’abri de la folie lorsque l’on vivait en nomade dehors, même en groupe, à ne même plus chercher à s’attacher tellement la mort était courante.  Après plus d’une année à déambuler à droite et à gauche, il était dur de lâcher prise. Ils restèrent, et se refont une santé. Et cette « pause » eut le mérite de l’adoucir. Janek retrouva peu à peu celui qu’il avait été, ce qui ne plut pas vraiment à tout le monde.

      DEBUT 2018, SEATTLE : Dans la foulée, au début de l’année 2018, son petit groupe recueille une jeune femme du nom d’Emilie, avec qui il a du mal à se lier. Il la prend en grippe, parce qu’elle ressemble à la galeriste qu’il a aimé à en perdre la raison. Mais comme Emilie se rend utile, il est obligé de la laisser tranquille. Au final, une certaine entente cordiale c’était créé entre eux.

       NOVEMBRE 2019, FORT NISQUALLY  : Ils sont accueillis au Fort Nisqually après avoir croisé la route de Xander et Serena. Depuis ce jour, il fait partit de ce groupe et se rend utile autant qu’un artiste-peintre le pouvait. Il y a créé des liens, permanents cette fois. On peut même dire qu’il y retrouve une famille. L’un des membres, Isaac, lui rappelle même son père. Janek ne pourrait plus jamais retourner dans son pays, ni même savoir ce qui était arrivée à sa famille biologique. Le temps lui en avait donc apporté une nouvelle, même s’il ne s’entendait pas avec tout le monde.  

Survie

   Janek n’a pas réellement de talents utiles à ce nouveau monde. Quand il n’est pas occupé à dessiner dans un carnet ce qu’il observe ou lui passe par la tête, ou à peindre lors de ses nuits d’insomnies, se trouvant très imaginatif pour les colorants et les supports, il fait ce qu’il peut pour aider au camp, mettant difficilement son égo de côté pour survivre. En fait tout dépendait de qui lui donnait un ordre ou lui demandait un coup de main. Si on lui en donne l’occasion, il en profites pour rendre la vie dure à ceux qu’il ne supporte pas, de manière subtile pour ne pas se faire virer. Il avouait lui-même qu’il doutait fortement de sa survie si on le mettait dehors. Il partage un dortoir avec Skyler. Janek l’apprécie, il est sympa, plutôt discret et semble bien tolérer ses extravagances. Et il l’aide à rester en forme au rythme et aux humeurs du peintre. Ce qu’il préfère faire au camp, c’est enseigner aux enfants, à développer leur imagination dans l’espoir que ça les aide dans l’avenir à faire avec ce que ce monde leur apportait, à créer pour se sortir d’un pétrin ou améliorer leur quotidien. Il adore aussi s’occuper des bêtes quand on le lui autorisait. Avec eux, il n’avait pas besoin de parler pour communiquer. N’étant pas doué avec les mots et ne pouvant plus utiliser son art comme il le souhaite, ces instants de silence lui était agréable et reposant. C’était juste plus simple pour lui, il suffisait de s’occuper d’eux et ça leur suffisait. L’expérience étant la force de son art, Janek ne rechigne pas à apprendre de nouvelles choses au gré des journées et des tâches qu’on lui demandait de faire, devenant petit à petit un touche à tout. Finalement, son talent avait remplacé la photographie, peignant et dessinant pour ne pas oublier. On l’avait aussi chargé de remettre à jour les cartes des environs avec Teresa, ce qui le forçait à quitter la sécurité du camp de temps en temps pour le réhabituer.  

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : Vilain P’tit Canard
• Âge irl : 25 ans
• Présence : Régulière (mais dépendante de l’IRL)
• Personnage : Inventé [ ] / scénario/prédef [X]
• Comment avez-vous découvert le forum ? En cherchant sur internet
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Un coup de coeur <3
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X]
• Crédits (avatar et gifs) Servimg

• Code du règlement He who sat on it had the name Death

fiche (c) langouste.
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Re: New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 17:40

WELCOME et bienvenue chez nous !! Smile
Au plaisir de te croiser en rp
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Re: New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 17:54

Rebienvenuuuue Janek!
Bon courage pour ta fiche, trop cool que tu prennes ce perso <3



si le soleil se lève sur les autres
On a dévalé la pente en moins d'deux, on a fait comme si on savait pas. On a évité les regards ambigus, on a fait comme si on pouvait pas. On a dessiné la zone, évité les roses, repoussé la faune, compliqué les choses. Mais maudit ami, je veux plus : Danser ce slow avec toi
Johanna L. Gordon
Johanna L. Gordon
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Re: New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 18:35

(re)Bienvenue ! :MisterGreen:
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Re: New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 18:38

(re)Bienvenue par ici Very Happy
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Re: New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 19:00

Merci à tous! Very Happy
J'avoue j'ai eu un coup de cœur I love you
Au plaisir de rp avec vous!

p.s.: Si quelqu'un peut m'aider et que l'envie vous prend, j'aurais bien besoin d'un avatar? New World, new Art - Janek 2101447028
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Re: New World, new Art - Janek

Mer 1 Avr 2020 - 19:07

Oh ! Bon choix de scénario Janek a l'air trop cool ! New World, new Art - Janek 2736068674 Bienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Re: New World, new Art - Janek

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