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Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Ven 2 Aoû 2019 - 16:22


JAREN WALSHtell me more about you

prénom(s) : Jaren
nom : Walsh
date de naissance : 20 avril 1986
âge : 35 ans

ville de naissance : Seattle
métier : Garde forestier
groupe : The Exiles

avatar : Chris Evans

what i am

qualites
Sympathique
Cultivé
Rusé
Intelligent
Protecteur
defaults
Froid
Solitaire
Violent
Pessimiste
Silencieux
Equipement :
Je passe difficilement inaperçu, avec mon cheval. Happy. Un Quarter Horse, qui m'accompagne tout le temps. Avant en forêt, maintenant un peu partout. Un peu pareil pour mon chat. Lily. C’est un chat que j’ai adopté quand elle avait quelques jours. En 2011. Elle a l’air d’adorer la forêt. Des fois elle disparaît plusieurs jours, puis revient chez moi. Elle me quitte jamais vraiment, enfin elle m’abandonne pas.
Ça me va. C'est un beau chat de Bengale. Elle traîne entre la selle du cheval et mes épaules maintenant.

Niveau compagnie, c'est à peu près tout. J'ai mon sac, qui me quitte jamais vraiment.
J'ai une gourde attachée sur le côté, une hachette de bûcheron de l'autre côté. Une casserole attachée au dos. Une carabine à lunette Tikka T3x Varmint 7-08 Rem. à l'épaule. Ça aide pour la chasse maintenant.

Sinon dans le sac, un peu de tout. Une corde, un briquet, quelques vêtements, un rasoir manuel, de la nourriture en paquet, un réchaud de camping, un couteau de chasse, une boîte de munition, des bandages, un flacon d'alcool que j'ai jamais osé boire.
Mon cheval porte une tente près de la selle. Mais je l'utilise pas trop. Il tient aussi un matelas, et c'est pratique.      
Details physiques :
J'suis plutôt grand. Enfin ça va. 1m85 quoi. Je donne sûrement l'impression de l'être plus. Mes épaules et mes bras aident bien. Le sport ça aide. Ça fait longtemps que j'en fais, alors je suis assez content de moi.
J'ai une barbe aussi. Brune. Bien taillée quand je peux, sinon un peu hirsute par mauvais temps. Cheveux courts avec ça, sinon plaqués en arrière tant bien que mal. J'ai une longue cicatrice sur le torse. Pas très profonde, mais juste un grand trait blanc. Mauvaise rencontre de la forêt de nuit.
Sinon, j'ai pas un physique particulièrement original. Un grand brun musclé, ça peut suffire.

Psychologie

- Pourquoi tu l'as poursuivi aussi longtemps ?
- Il braconnait. Je voulais l'arrêter, mais il a fuit. Alors je l'ai poursuivi pour l'arrêter.
- Tu te rends compte qu'il a cru que tu voulais le tuer ? Et tu lui as tiré dans la jambe ?
- Pourquoi j'aurai voulu le tuer ? Non, il est tombé sur son fusil. Je l'ai soigné immédiatement, et amené à l'hôpital.
- Il va porter plainte.
- Non. Il a eu un accident. Point
- Tu commences à me fatiguer Jaren.

J'avais jamais aimé les gens. Encore moins les chasseurs. Les humains trop cons pour réaliser que prendre une arme et aller tuer un animal vivant qui a rien demandé, j'en ai ma claque.
Alors je lutte contre ça depuis longtemps. Dans ma tête d'abord.
J'ai finalement toujours voulu faire ce métier. Et ça m'a plutôt plu.

Pas étonnant que je sois devenu froid et solitaire à force. À vivre seul sur le bord d'un lac, on en a vite marre des imbéciles qui détruisent tout au lieu de construire. Le monde va mal, et j'essaye au moins de garder un coin de verdure calme ici. Mais j'ai plus aucune foi en l'humanité. Je suis pas un optimiste. C'est certain.

Avant j'étais pas comme ça. Enfin je suis pas toujours comme ça. Même si j'ai un côté un peu bourru et silencieux, je fais des efforts, et je suis sympathique. Avec les gens que je connais du moins. Eux, j'y tient. Je les protège. Le reste, je laisse le temps avancer. Ça ne me dérangera jamais d'aller envoyer bouler quelqu'un, parce qu'il joue au petit malin. Sans retenue.

Sinon, je pense que je suis assez équilibré. Mentalement et physiquement. Je pense que je suis assez cultivé. J'en sais trop rien, mais dans la cabane, je lis des trucs, je m'informe, j'apprends.
Je parle des langues. Ça me sert a rien, mais ça tue le temps.
J'aime bien faire le malin, mais j'pense que je le suis un peu. Enfin un minimum intelligent, qui fonce pas dans le tas.

Y'a pas grand chose qui me fais peur, à part peut-être les ours. Mais faudrait être con pour pas avoir peur. Les loups ça peut-être dangereux, mais c'est très peureux. Alors ça va.
Pour moi, y'a pas grand chose qui fonctionne si on tape dedans de face. Ça s'essaye, mais couper un arbre d'un côté, ça marche pas. Alors la ruse, c'est pratique.




Story of survival

Pre-apocalypse

J'suis né en 1986, un an après ma soeur, July. Mes parents aiment bien les prénoms en J. Mon père était professeur des écoles, mais on ne s'est jamais croisés en classe.
J'étais un bon élève. Pas bruyant, pas turbulent. Juste le gamin du fond de la classe, qui écoute un peu, les yeux dehors.

J'ai toujours été content de rentrer chez moi. Ma famille était drôle, décontractée. Et je m'entendais très bien avec ma soeur. On jouait souvent ensemble, et même plus tard, on passait beaucoup de temps ensemble.

Après mon lycée, je suis parti étudier la littérature à San Francisco, mais j'ai pas aimé. J'aime bien lire, écrire et tout ce qui va avec, mais je me sentais pas bien là où j'étais. Alors j'ai arrêter d'aller en cours, pour travailler et payer un peu mes études ratées.
J'avais 21 ans.

Je suis rentré sur Seattle, pour éviter de payer un loyer inutile. Je bossais au guichet d'un cinéma, à vendre des places, et je faisais de la musculation pour m'occuper. Et c'était toujours impressionnant.

Un jour, y'a un type âgé qui est venu au ciné, Frankie. On a pas mal discuté après le film, en fumant.
Il était garde forestier, et il m'a dit qu'il cherchait un assistant, pour sa retraite. Il payait mieux que mon ciné, alors je me suis proposé. Et j'ai adoré. J'ai passé des nuits à apprendre des trucs sur la nature, les animaux... Frankie expliquait bien.
J’avais pas de formation particulière, mais il avait réussi à s’arranger avec l’état. Ça avait l’air de pas poser de problème. C’était pratique le piston parfois.
Je mettais du temps, à comprendre la forêt. Je la considérait un peu comme une entité. Enfin c’est comme ça que Frankie la voyait, et ça y ressemblait. Je commençais à la comprendre, et à ne plus m’y perdre, à écouter les animaux, les arbres. En une année, j’avais déjà compris beaucoup de choses. Comment suivre un animal contre le vent, reconnaître des traces, couper un arbre, tirer au fusil, utiliser une radio. C’était long, mais je pense que j’avais trouvé ma voie. Au moins c’était pas un boulot de merde. On se sentait vraiment utile là-dedans. Enfin on avait un rôle. Pas juste vendre des places à des couples qui vont au ciné. J’étais content.

Et puis il est parti à la retraite, quand j'avais 27 ans. Alors j'ai récupéré son chalet au bord d'un petit plan d'eau, en plein dans la forêt. Au sud-est de Seattle. Dans la verdure. Vers Fairfax. Mais c’était déjà loin.
Ma soeur est venue me voir plusieurs fois, avec son copain, qui était policier, chargé de la zone forestière. Je bossais souvent avec lui, et c'était un type bien.
Et puis quelques années plus tard, ils se sont mariés, et partis en voyage de noces.
Pile le moment où tout est parti en couille.

Post-apocalypse

Les débuts: Octobre 2015

J’ai mis du temps à comprendre. J’étais loin, seul. Je parlais de temps en temps par radio avec les autres gardes, des autre districts. Mais pareil, ils étaient loins de tout eux aussi. Et puis doucement, les bruits sont venus. Que les gens devenaient fous en ville. Comme si c’était pas déjà le cas… Enfin…
Mes parents m’ont appelé un soir. Ils disaient qu’ils allaient prendre quelques jours de vacances, loin de Seattle. L’agitation les inquiétaient. C’était sûrement rien, mais valait mieux pas traîner là. Au moins, July était loin aussi, à se la couler douce, sur les plages tropicales.
Inutile de préciser que je n’ai plus jamais eu de nouvelles.

On discutait de plus en plus avec les autres gardes. Ça nous inquiétait vraiment. Genre vraiment. Un maboul avait essayé de m’attaquer dans la forêt. J’avais jamais vu ça. Il marchait bizarrement en criant. J’ai pas dormi pendant quelques jours. Son cri…. à vous glacer le sang. Même avec un coup de crosse au visage il tenait toujours debout. Du coup j’ai fui. Il m’a suivit un moment, mais il courrait pas. Vraiment bizarre. J’suis resté cloîtré quelques temps.

Et les autres gars me racontaient la même chose. Ils avaient vus des mecs complètement marteau. Même que Phillip s’était fait mordre. Et puis il est tombé malade. Et il a arrêté de répondre. On savait pas trop ce que ça voulait dire, alors on est partis du principe qu’il était mort. Aller se chercher mutuellement, c’était dangereux. Et surtout long. On captait plus de réseau sur nos téléphones, la police répondait plus. Y’avait de plus en plus de tarés. Et au final, vu que personne ne répondait, on a commencé à leur tirer dessus. Ils faisaient peur. Et même si on tirait dans les jambes, ils bronchaient pas, et rampaient. Y’avait que la tête qui était efficace. Alors j’ai creusé une sorte de tranchée autour de chez moi. J’étais bien décidé à rester ici. J’avais tout ce qu’il fallait.

Premier contact: Octobre 2016

Ça commençait à faire quelques temps que les autres gars répondaient plus. Ils étaient partis en vadrouille, ou malades. En gros, j'étais seul.
Et comme il fallait bien que je m'occupe, je me baladais avec ma radio sur les fréquences courantes, et amateurs.
Y'avait toujours le même foutu message du gouvernement qui beuglait toujours la même chose. Pas sûr qu'il serve encore à quelque chose.

Et un jour, entre trois crachouillis, j'ai entendu une voix humaine. Hésitante.

"shhhh... Qu'un m'entend ? Shhhh Ici un citoyen de Seattle shhhh Est-ce que quelqu'un est encore en vie ? Shhh"

Le crachat de la ligne ne cessait pas, mais plus de voix. Il attendait peut-être une réponse. Et cette fois, il allait l'avoir.
"Bien reçu, ici Jaren Walsh, dans la forêt de Mt Rainer National Park. Comment allez-vous ? Terminé"

Il y eut un moment de latence, sans rien. Et puis il répondit à son tour. J'avais pu régler sa fréquence. S'il etait fixe, finit le grésillements.

"Wah, quelqu'un ! Ça fait du bien. Moi c'est Ted. Ça va oui. Enfin. Je suis en vie quoi. Je suis dans un immeuble, et je viens de tomber sur une radio. J'ai mis deux jours à la faire fonctionner. Je pense que je suis en sécurité. Vous avez l'air de savoir utiliser une radio ? Vous êtes de l'armée ? Des secours !"

Il avait monté la voix, pleine d'espoir. Il avait l'air d'en avoir bavé en ville. Sa voix semblait à bout de force. Et j'allais devoir lui annoncer la triste nouvelle.
"J'ai bien peur que non. Je suis garde forestier. Et seul. J'ai croisé personne jusqu'à maintenant. C'est comment en ville ? Vous êtes avec du monde ?"

"Ah... Bon déjà je vous capte. C'est déjà pas mal..."
C'était un gros coup au moral pour lui, ça s'entendait.
"Et oui je suis seul. J'étais avec ma femme, mais... Enfin... Ici c'est l'enfer. Y'a des rôdeurs partout, des pillards, des gens desespérés... Je vais pas tenir très longtemps, je meurs déjà de faim moi. Je suis pas un sportif, je vendais des costumes aux riches... Mais tout est fini."

La ville ne donnait pas envie. Ce n'était pas surprenant. Quand il s'agit de survivre, l'humain ne pense qu'à lui. Alors qu'il aurait bien plus de chance de survivre à plusieurs, en s'organisant.
Mais un Ted seul, c'est déjà un miracle qu'il ait survécu cette durée aussi longue.

"Courage Ted, ça va aller. C'est possible de se déplacer en ville ? Peut-être que l'armée a réussi à sécuriser des zones. Le stade, des hôpitaux, des écoles... Enfin c'est souvent la procédure je crois."

"Ouais... C'était le cas au début. Mais ils se sont fait déborder par les morts. C'était un buffet à volonté là-dedans."

"Les morts ? Comment ça ?"
Il devenait fou ? Les mecs mabouls qui venaient de temps en temps le titiller c'était des morts revenus à la vie ? C'était quoi ce monde de merde ? On peut même plus mourir tranquille.

"Ouais les morts. Les monstres qui rôdent et qui essayent de vous mordre. Bah c'est ça. Si ils réussissent à vous mordre, vous tomber malade, vous mourrez et vous revenez, comme eux. C'est ce qui est arrivé à ma femme. Enfin..."

Il coupa sa phrase, aspirant une grande bouffée d'air, soufflant sur son micro. C'était pas agréable pour les oreilles en tous cas. Je retirais mon casque un instant pour réfléchir. Ça faisait beaucoup de nouveaux éléments. Les morts n'étaient pas être très dangereux isolés, mais en groupe... On pouvait se faire mordre si on était lent.
Ted reprit sa phrase.

"C'est la tête qui est efficace. Si vous touchez le cerveau, y'a plus personne. C'est bon à prendre pour vous, vous semblez en sécurité chez vous."

"Merci. Oui, je croise pas grand monde dans la cambrousse c'est pratique."

On a discuté plusieurs jours, et puis il est pas revenu d'une excursion pour manger. Je le connaissais pas, mais ça faisait quelque chose. Au moins, je savais que des gens étaient vivants en ville. Mais pour le moment, j'étais bien. Chez moi, dans ma forêt.

Le départ: Mars 2018

Mais au fur et à mesure des années, le temps passait lentement. J’avais commencé à sortir à cheval pour voir si il y avait des gens, si je pouvais trouver des choses intéressantes dans les maisons voisines. C’était le cas. Je trouvais des cadavres un peu partout, des gens bizarres, qui ressemblaient plus à des monstres maintenant, et du matériel intéressant.
Et puis un jour, j’en ai eu marre de rester dans ma forêt. La solitude c’était bien, seulement si tu savais que quelqu’un t’attendais quelque part. Mais là… Silence radio partout, pas de réseau… Ça commençait à me taper sur les nerfs.

Alors j’ai pris mon plus grand sac de marche, des vivres, des trucs essentiels, une tente, mon fusil, j’ai tout mis sur mon cheval, ou sur mon dos, Lily a sauté sur mon dos, et on est partis pour la ville, comme les trois cavaliers de l’apocalypse.
Ce n’était pas exclu que je revienne. C’était une distance raisonnable. J’aurais besoin de temps, mais passer l’hiver chez moi, ce serait une sécurité non négligeable.

La ville était plus silencieuse que je ne l’imaginais. Pas un rat à l’horizon. Même les monstres étaient partis. J’avais croisé personne. J’avais un maigre espoir de trouver un camp de réfugiés, ou de gens en sécurité. Mais j’entendais que les sabots de Happy, et les ronronnements de Lily. C’était déjà pas mal, mais bon…

Je restais jamais très longtemps à Seattle même. Je croisais personne, mais un doute planait. Je ne sais pas pourquoi, mais j’aimais pas ça. C’était un silence lourd et gênant. Comme si la mort attendait à chaque tournants de rues.
Je venais quelques semaines, pour piller un peu des magasins pas trop en ruine, et je rentrais dans ma cambrousse.

Niveau contact humain, c’était pas fou non plus.

Humain en vue: Novembre 2018

Il commençait à faire froid. Moins que d’habitude, mais quand même. J’allais me retirer bientôt. C’était sûrement ma dernière escapade. J’avais de quoi tenir l’hiver sans sortir loin.

Mais avant de partir pour ma forêt, un dernier truc me retiens. Je sens un truc. Je sais pas quoi. Mais je rentre dans une maison, et j’attends. Je sais pas quoi. Mais j’attends. Je suis pas pressé.

Et puis je sais pourquoi j’attends. J’entends un bruit lointain, très faible. Mais j’entends quelqu’un chanter. C’est une femme. Très loin. Mais dans le silence de Seattle, tout s’entend.
Je sors de ma maison, et je distingue une silhouette au loin, au bout de l’avenue. Je regarde à travers ma lunette. Comme moi, elle marche, sans trop regarder où elle va.

Je fais des signes, mais elle n’a pas l’air de me voir. Alors je tire en l’air, et j’agite la main au loin. Je ne suis pas hostile. Mais je vois sa silhouette se figer, et partir en courant sur un côté. Disparue. Ai-je rêvé ? Je monte sur mon cheval, mais c’est trop tard. Elle est loin.
Si tant est qu’elle est. Demi-tour. Je reviendrais sûrement après l’hiver, longtemps. Je chercherais des gens. Il y a au moins une personne. C’est qu’il y en a d’autres.


Survie

Tous les jours se ressemblent sans se ressembler. Toujours la même routine. En fonction de là où je suis. Que je sois à la distillerie avec les autres, ou sur une piste d’une prime. Je m’occupe. Je prends mon temps. Je survis.
Quand je suis avec le groupe, je fais de mon mieux pour aider, et j’essaye de sociabiliser. Doucement mais sûrement.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : JimmyP
• Âge irl : 21
• Présence : Souvent
• Personnage : Inventé [X] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? Meh.
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Mehx2
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X]
• Crédits (avatar et gifs) Langouste et moi-même.

• Code du règlement Selene porte des slips roses.

fiche (c) langouste.
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Ven 2 Aoû 2019 - 16:31

J'adore quand sur les fiches de présentation, le mot "langouste" apparaît inopinément

Jaren Walsh - I am at home, among the trees 2039066306




Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
Yulia Iojov
Yulia Iojov
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Ven 2 Aoû 2019 - 16:41

Jaren Walsh - I am at home, among the trees Giphy

Yo !
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Ven 2 Aoû 2019 - 17:22

J'te dis prout.
Invité
Anonymous
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Ven 2 Aoû 2019 - 23:53

Rebienvenue compte n°3.

:111:
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Sam 3 Aoû 2019 - 0:08

Oh choix intéressant o/
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

Sam 3 Aoû 2019 - 1:38

Personnage très intéressant, j'ai déjà hâte de le voir évoluer.

Amuse toi bien!



bienvenue, survivant solitaire

Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à survivre par tes propres moyens !

Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.



Afin que ton intégration se passe bien :

• Pense à passer par ici pour demander les caractéristiques de ton personnage.
• Poste ta fiche de liens pour trouver des copains
• Mais aussi tes annexes
• Découvre la partie vie de groupe
• Et pour te lancer dans l'aventure viens faire une demande de RP !
• N'oublie pas non plus de recenser ton/tes PNJ.


N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons contents de t'y accueillir !

Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD
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Re: Jaren Walsh - I am at home, among the trees

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