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Julian Simonetti
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Alicia Moors - Un flic en déroute
Jeu 5 Sep 2024 - 19:02
Résiliante Combattante Observatrice Indépendante Déterminée Méfiante Impulsive Freak Control Nostalgique Insociable | Pistolet semi-automatique Couteau de survie Sac à dos de survie Gourde Trousse de premiers secours Lampe Couverture de survie Cordes Cartes et boussole Boîte d'allumettes. |
Les années de survie ont renforcé sa résilience, mais aussi sa dureté émotionnelle. Elle est passée d'une femme de loi compatissante à une survivante pragmatique, souvent froide et distante. Elle a dû faire face à des choix moraux difficiles, notamment des situations où la survie des siens a nécessité des actions impitoyables. Cette transformation a affiné son instinct de survie, mais a aussi laissé des cicatrices psychologiques.
Le sentiment de perte et de nostalgie pour son ancienne vie est devenu une source de douleur persistante, l'incitant à se remémorer sans cesse un monde révolu. Aujourd'hui, bien que sa capacité à naviguer dans ce nouveau monde soit inégalée, elle lutte constamment contre un sentiment d'aliénation et de cynisme. Elle est devenue une figure de force stoïque, mais la solitude et la méfiance qu'elle a cultivées au fil des ans sont les témoins d'une psychologie profondément marquée par la lutte pour la survie dans un monde désenchanté..
Très jeune, j’ai appris à me battre, pas seulement contre les autres enfants, mais contre cette impression d'injustice permanente qui planait sur nous. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi nous étions coincés dans ce trou perdu, avec des rêves aussi lointains que les étoiles que je regardais parfois dans la nuit. À dix ans, j'avais déjà décidé que je sortirais de là, coûte que coûte. La première fois que j’ai vu un officier de police dans son uniforme impeccable, j’ai su que c’était ma voie. La loi, l'ordre, protéger ceux qui ne pouvaient pas se défendre eux-mêmes… Je pensais que cela avait un sens.
Je me suis engagée dès que j’ai pu. J'ai gravi les échelons au sein de la police locale, affrontant les cartels, la drogue, et tout ce que la vie pouvait me lancer à la figure. J'étais dure, directe, et peut-être un peu trop violente parfois, mais je me fichais de ce que les autres pensaient. Le boulot était tout ce qui comptait. De toute façon, j'avais appris depuis longtemps que l'on ne pouvait compter que sur soi-même. Monter dans les rangs n'était pas facile. En tant que femme dans un milieu majoritairement masculin, il fallait être deux fois plus implacable. Ça ne me dérangeait pas. Je savais frapper fort, et plus d’un de mes collègues a dû ravaler son ego après s’être pris une raclée lors de l’entraînement. Mais au-delà de l’uniforme, je ne cherchais pas à me faire des amis. Être une flic, c’était ma manière à moi de garder la tête hors de l'eau, d'éviter de sombrer dans ce chaos qui semblait engloutir tout le monde autour de moi.
Ma carrière a pris un tournant quand j'ai été transférée à Seattle. Le Texas m’avait forgée, mais Seattle m’a transformée. Là-bas, les gangs étaient différents, plus organisés, plus vicieux, et chaque rue cachait son lot de désespoir. Je suis devenue plus froide, plus méthodique. Mes émotions, je les laissais dans le vestiaire avec mes vêtements civils. Je ne pouvais pas me permettre d’être faible. Si tu montrais une faille, tu étais finie. Et puis, il y avait ce besoin constant de prouver que je pouvais tout affronter, que rien ne pouvait m’abattre. Je ne savais pas encore que l’apocalypse frapperait bientôt à nos portes.
L'automne 2015… Je me souviens du chaos qui a commencé à s'installer, lentement d'abord, comme une rumeur dans les couloirs du poste de police. Des incidents isolés, qu’on nous disait. Juste des gens devenus fous, drogués ou malades. Mais à mesure que les jours passaient, tout a dégénéré. Des morts qui se relevaient. Ça semblait absurde, impossible, mais je l'ai vu de mes propres yeux. J'ai vu mes collègues tomber, puis revenir, affamés, avec cette rage sans nom dans les yeux. On n'était pas prêts, personne ne l'était. Ce qui était censé être une épidémie s’est transformé en cauchemar mondial. L’ordre s’est effondré en quelques semaines à peine.
Les autorités ont fait tout ce qu'elles pouvaient pour contenir la panique, mais la vérité, c’est qu’on n’était plus flics, plus militaires, plus rien du tout. Juste des survivants essayant de tenir un jour de plus. Lorsque Seattle est tombée aux mains des rôdeurs, j’ai compris que ma vie ne serait plus jamais la même. Les règles, les lois… tout ce pour quoi j'avais travaillé s'était évanoui dans un nuage de cendres et de poussière.
J'ai survécu, non pas grâce à mon badge, mais parce que je savais me battre. Le monde était devenu un champ de bataille permanent, et dans ce chaos, j'étais plus à l’aise que je ne l’aurais jamais imaginé.
• 13 octobre 2015 / Seattle :
Ce jour-là, le monde a basculé. Tout avait commencé comme une autre journée de chaos, des rapports confus, des rumeurs folles. On parlait de civils enragés, mordant leurs voisins, se battant dans les rues. Je me souviens du bruit sourd que j'ai entendu en entrant dans cet hôpital mis en quarantaine. Je croyais que c’était des malades violents, mais en réalité, ils étaient déjà morts. C'est ce que j'ai compris quand l’un d’eux m’a sauté dessus. J’ai vidé mon chargeur avant de réaliser que la seule chose qui les arrêtait, c’était une balle en pleine tête. Ce jour-là, j’ai perdu beaucoup de mes collègues. Mais pour moi, c'était la première fois que je regardais la mort dans les yeux sans la reconnaître.
• Février 2016 / Dans les ruines de Tacoma :
Les rôdeurs étaient partout, mais je commençais à m’habituer à leur présence. Le pire, c’étaient les survivants. Je me rappelle de ce groupe qui m’a piégée dans un bâtiment abandonné. Ils voulaient mes provisions, mon arme, ma vie. J’ai réussi à en abattre un avant de me barricader dans une pièce. Pendant des heures, je suis restée là, l’oreille collée à la porte, guettant le moindre bruit. Le froid me mordait les os. Je n’avais qu’une seule pensée en tête : "Je ne mourrai pas comme ça." Au petit matin, je me suis faufilée à l’extérieur. Le monde m’avait transformée en prédateur, et eux n’étaient que des proies.
• Octobre 2017 / Environs de Seattle, première rencontre avec un camp :
Après deux ans d'errance en solitaire, j'ai croisé pour la première fois un vrai camp de survivants. Un groupe organisé, avec des vivres, des armes, et des murs. J'avais presque oublié ce qu'était la vie en communauté. Ils m’ont accueillie avec méfiance, mais j’avais un avantage : je savais me battre. Pendant un temps, j’ai cru que je pouvais refaire partie d’un groupe, d’une sorte de famille. Mais la méfiance mutuelle était trop forte. Un jour, on a capturé un rôdeur dans les bois. Ils l'ont attaché pour en faire une sorte de spectacle macabre. Ce soir-là, j'ai compris que la mort avait déformé plus que des cadavres, elle avait aussi brisé nos esprits. Je suis partie sans me retourner.
Hiver 2019 / Cascade Mountains :
L’hiver était glacial. J’avais trouvé refuge dans une cabane isolée, loin de tout. Les morts ne s’aventuraient pas souvent dans ces montagnes, mais ce n’était pas eux qui représentaient la plus grande menace. Une nuit, un groupe de pillards a tenté de forcer l’entrée. J’étais prête. J’avais tendu des pièges, des fils reliés à des clochettes pour m’avertir de leur présence. J’ai abattu le premier avant qu’il ne traverse la porte, le second a succombé à mes pièges. Les autres ont fui. Ce fut ma plus longue nuit, non pas parce que j'avais peur, mais parce que j'avais réalisé que je devenais aussi impitoyable que les rôdeurs que je fuyais.
Hiver 2021 / Bainbridge Island : Le premier meurtre "nécessaire"
Les hivers avaient toujours été durs, mais celui de 2021 avait été brutal. Le froid mordant rendait les rôdeurs plus lents, mais il affaiblissait aussi les vivants. Avec le groupe des mercenaires, on s’était retranché dans un petit complexe abandonné sur Bainbridge Island. Un refuge temporaire, le temps que la tempête de neige passe. L’un des nôtres, Tony, avait pris une sale blessure en récupérant des provisions quelques jours plus tôt. Au début, on pensait qu'il s’en sortirait, mais la blessure s'infecta.
Une nuit, je faisais le tour du périmètre quand j’ai entendu des bruits étranges venant de sa chambre. Je suis entrée juste à temps pour voir Tony se relever, les yeux vitreux, la peau grise et la bouche entrouverte. Il était devenu un rôdeur. Sans hésiter, j’ai dégainé mon couteau et je l’ai enfoncé dans son crâne. C’était la première fois que je tuais quelqu’un que je connaissais personnellement, même si, à ce stade, il n’était déjà plus vraiment humain. Les autres m’ont regardée en silence, sachant que ce moment allait forcément arriver. Mais je n'oublierai jamais l'expression de son visage avant que tout cela ne se produise.
Avril 2022 / Environs de Seattle : Rencontre avec une nouvelle communauté
À mesure que les mois passaient, les communautés de survivants devenaient plus nombreuses, et certaines étaient bien organisées. En avril 2022, j’étais en route vers Seattle pour y retrouver d’anciens contacts lorsque je suis tombée sur une zone fortifiée. Des barricades en métal, des gardes armés et une vigilance accrue. Leur leader, un homme nommé Jacobs, avait mis en place un camp assez impressionnant. Il y avait des serres pour cultiver de la nourriture, des systèmes de récupération d’eau de pluie, et surtout, un sens de la communauté que je n’avais pas vu depuis longtemps.
Ils m’ont laissé entrer, méfiants au début, mais curieux de ce que je pouvais leur offrir. En échange de mon expérience en sécurité et en combat, ils m’ont proposé de rester. J’y ai passé plusieurs mois, aidant à former leurs gardes et à fortifier leur périmètre. C’était la première fois depuis des années que je me suis sentie proche d'une forme de "normalité". Mais cette illusion n’a pas duré. Des tensions ont commencé à apparaître au sein du groupe, certains voulant étendre leur territoire, d’autres refusant de s’impliquer dans les conflits extérieurs. J’ai vu ces dissensions comme un signe qu’il était temps pour moi de partir.
Septembre 2022 / Montagnes de la Cascade : Une embuscade fatale
Après avoir quitté la communauté de Jacobs, je m’étais retrouvée seule à nouveau, traversant les montagnes de la Cascade. J'étais sur mes gardes, sachant que les vivants pouvaient être bien plus dangereux que les morts. Ce jour-là, j’ai été prise dans une embuscade. Trois hommes, des bandits, m’attendaient dans une gorge étroite. Ils pensaient avoir l’avantage, et à vrai dire, ils l’avaient au départ.
Le premier coup est venu de nulle part, un coup de crosse qui m’a envoyé au sol. J’ai senti le goût du sang dans ma bouche. Ils voulaient mes armes, mes provisions, et probablement bien plus. Mais ils avaient sous-estimé ma détermination. Dans une frénésie de rage et d’instinct de survie, j’ai réussi à arracher le couteau à l’un d’eux et à le retourner contre lui. Le deuxième s’est retrouvé face à ma machette avant de comprendre ce qui lui arrivait. Le dernier a pris la fuite, mais je ne l’ai pas poursuivi. Cette embuscade m’a laissé des cicatrices, mais elle m’a aussi rappelé une chose essentielle : dans ce monde, il n'y a pas de pitié pour les faibles.
Juin 2023 / Seattle, la tempête :
Il pleuvait des cordes. J'étais revenue à Seattle pour la première fois depuis des années, traînée là par un instinct que je ne comprenais pas. Les égouts débordaient, les rues étaient inondées et, pire encore, les rôdeurs grouillaient, attirés par le bruit des orages. J'ai vu des survivants se noyer sous la pression de l'eau et de la foule de morts-vivants. Moi, je me suis accrochée à une gouttière, tirant à vue sur tout ce qui bougeait. J'ai croisé le regard d'un autre survivant pris au piège, mais j’étais trop loin pour l’aider. Ce moment, où j’ai dû le laisser, m’a hanté pendant des semaines. Mais c'était ça, la survie. On ne pouvait pas sauver tout le monde.
Août 2023 / Frontière de l’Oregon :
Je m'étais rapprochée d'un groupe de mercenaires. L’un d’eux, un type du nom de Victor, un ancien militaire taciturne et pragmatique, m’avait repérée après une fusillade contre des pillards. J'avais été impressionnée par la précision de son tir, mais ce qui m'avait convaincue de rester avec eux, c'était leur organisation. Pas de chaos, pas de hiérarchie ridicule. Juste un groupe de survivants qui savait comment faire pour rester en vie. C'était exactement ce dont j'avais besoin après avoir erré seule pendant des mois. On avait formé une alliance tacite : je les aidais à sécuriser les zones dangereuses, et ils me fournissaient des vivres et des munitions.
Un soir, alors qu’on installait le camp près de la rivière, un cri strident avait résonné. Un rôdeur s'était faufilé jusqu'à notre campement, probablement attiré par l'odeur de notre nourriture. Avant même que je puisse réagir, Victor l’avait abattu d’une balle dans le crâne. Mais ce n’était que le début. En l’espace de minutes, des dizaines d’autres silhouettes se dessinèrent dans l’obscurité. Cette nuit-là, j'ai vu comment des mercenaires bien entraînés géraient les morts-vivants avec une précision chirurgicale. Mais j'ai aussi vu la peur dans leurs yeux, même s'ils ne l’avoueraient jamais.
Août 2023 / Forêts de l’Oregon : L'ultime trahison
C’est au cours de l’été 2023 que tout a changé. Toujours avec les mercenaires, on avait été engagés pour récupérer des ressources précieuses dans une base militaire abandonnée au sud de l’Oregon. L’opération semblait simple au début. Mais une fois sur place, il est devenu clair que ce n’était pas les rôdeurs qui posaient le plus grand danger. Victor, celui en qui j’avais le plus confiance, avait d’autres projets. Il avait prévu de me sacrifier en échange d’une alliance avec un autre groupe, plus puissant, qui contrôlait les environs.
Je ne l'ai découvert que trop tard, quand il m'a pointé son arme dessus. "C’est rien de personnel Alicia,. Juste des affaires", m’a-t-il dit avant de tirer. La balle a frôlé mon épaule, brûlant ma chair, mais je suis restée debout. J’ai riposté, une rafale rapide, et Victor est tombé. Les autres mercenaires ont hésité, mais personne ne s’est interposé. Après ça, je suis partie seule. Trahie, blessée, mais toujours debout.
Ces anecdotes ne sont qu’une fraction de ce que j'ai vécu. Chaque instant dans ce nouveau monde est une lutte. Mais si j'ai appris quelque chose, c’est que dans cette apocalypse, la survie ne dépend pas seulement de la force physique. Elle repose sur la méfiance, la détermination, et cette capacité à continuer, même lorsque tout semble perdu.
Aube - 5h30 : Patrolle et Sécurisation
Alicia commence ses journées avant le lever du soleil. Elle rejoint l’équipe de sécurité pour effectuer des rondes autour du périmètre de Tortuga. Sa longue expérience à repérer les mouvements des rôdeurs et les signes d’attaque humaine la rend précieuse pour cette tâche. Avec son couteau à la ceinture et sa machette à portée de main, elle s’assure que les barricades tiennent bon et que les points d'entrée restent surveillés.
Matinée - 8h : Transport des Marchandises
Une fois les rondes terminées, elle se rend à l’un des entrepôts du camp où des convois de marchandises doivent être protégés et transportés vers les différents postes du camp. Ses compétences en combat rapproché sont utiles pour dissuader les pillards ou éliminer les rôdeurs sur le chemin. Les groupes de transport sont souvent composés de trois à cinq personnes, et Alicia y occupe le poste de garde, prête à intervenir en cas de danger.
Milieu de journée - 12h : Pause et Repas
À midi, elle prend un moment pour se reposer dans les zones communes, partageant un repas frugal avec d’autres survivants. L’ambiance à Tortuga est toujours tendue, même si l’organisation est efficace. Alicia reste sur ses gardes, observant les allées et venues, cherchant à repérer d’éventuels conflits naissants.
Après-midi - 14h : Entretien et Fortification
L'après-midi est souvent consacrée à des tâches de maintenance. Le camp est en constante évolution et nécessite des réparations régulières, surtout au niveau des fortifications et des points de contrôle. Alicia est habile dans l’utilisation des outils rudimentaires, aidant à renforcer les barricades ou à construire de nouvelles zones de défense. Elle ne rechigne pas à la tâche, consciente que chaque mètre fortifié est un pas de plus vers la sécurité.
Fin de journée - 18h : Entraînement et Préparation
En fin de journée, elle consacre du temps à l'entraînement. Que ce soit pour affûter ses lames, entretenir ses armes ou s'entraîner avec d'autres Travelers, elle sait que la survie dans ce monde dépend de la préparation. Elle passe souvent des heures à affiner ses compétences de combat, en duel ou à s'exercer seule avec des mannequins improvisés.
Nuit - 21h : Repos léger, toujours sur le qui-vive
La nuit, elle s’accorde quelques heures de sommeil dans une tente à la périphérie du camp. Elle préfère éviter de s'installer trop près des autres, gardant toujours une certaine distance pour pouvoir partir rapidement si les choses tournent mal. Son sac est toujours prêt, et une arme repose à portée de main.
La méthode inclusive vous permet de commencer le jeu directement avec le |
- Invité
- Invité
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Re: Alicia Moors - Un flic en déroute
Jeu 5 Sep 2024 - 19:41
Hello!
Bienvenue parmi nous! Nous n'acceptons pas les doublons de nom et prénom. Alicia étant déjà pris, peux-tu m'indiquer un autre prénom pour que je change ton pseudo ?
bienvenue sur le forum !
Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux différents bottins du forum.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers , il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Bienvenue parmi nous! Nous n'acceptons pas les doublons de nom et prénom. Alicia étant déjà pris, peux-tu m'indiquer un autre prénom pour que je change ton pseudo ?
Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
Bonne rédaction !
- Abel Loomis
Expendables
Modératrice
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Re: Alicia Moors - Un flic en déroute
Jeu 5 Sep 2024 - 20:43
Bienvenuuuuuue !
Ta fiche est déjà faite donc bonne merde pour la validation !
Ta fiche est déjà faite donc bonne merde pour la validation !
Oh, my eyes are seein' red. Double vision from the blood we've shed. The only way I'm leavin' is dead : That's the state of my head
- Melvin J. Black
- Administratrice
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Re: Alicia Moors - Un flic en déroute
Ven 6 Sep 2024 - 10:52
Michelle Rodriguez, je ne peux qu'approuver ce fc
Bienvenue parmi nous !
Bienvenue parmi nous !
- Riley Tejera
The Rogues | Leader
Modératrice | Crème fouettée
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Re: Alicia Moors - Un flic en déroute
Ven 6 Sep 2024 - 22:25
Bienvenue parmi nous avec ce personnage badass comme on les aime !
- Awards:
- Julian Simonetti
Lord Menottes Roses
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Re: Alicia Moors - Un flic en déroute
Ven 6 Sep 2024 - 22:38
Ce choix de FC ohlala
Bienvenue par iciiii !
Bienvenue par iciiii !
I survived, 'cause the fire inside me burned brighter
- Phoebe L. Ross
The Sentinels | Left Hand
Modératrice
- Casier judiciaire
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Re: Alicia Moors - Un flic en déroute
Dim 8 Sep 2024 - 22:49
Bienvenue par ici !
Super choix de fc, bon courage pour la fin de fiche et la validation !!
Super choix de fc, bon courage pour la fin de fiche et la validation !!
Survivor ...
L'homme est capable du meilleur, mais il excelle dans le pire
× by lizzou.- Ryung Han
- Survivor
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