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Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 19:13


Gabriel LACROIXtell me more about you

prénom(s) : Gabriel
nom : LACROIX
date de naissance : 12 Mai 1968
âge : 55 ans

ville de naissance : Dinan – Bretagne - France
métier : chirurgien cardiaque
groupe : Remnants

avatar : Christopher Meloni

what i am

qualités
Intelligent
Méticuleux
Déterminé
Honnête
Charitable
défauts
Autoritaire
Exigeant
Orgueilleux
Rancunier
Rigide
Équipement :
Armes :
  • Pistolet SIG SAUER P320 : réglementaire dans l’US Army, il l’a obtenu lors de l’apocalypse sur demande de l’officier en charge de son groupe de survie.
  • Couteau à cran d’arrêt : une trouvaille lors de la survie. Il le garde, mais ne sait pas très bien s’en servir.

Détails physiques :
Gabriel aime porter la barbe, surtout depuis l’apocalypse. De seulement quelques centimètres, il essaie d’en prendre soin, tant que cela reste possible. Ses rides sont marquées, mais il l’âge de suffisant pour que celui-ci soit marqué sur son visage. Pour le reste, il a un physique banal : ni de gros muscles, ni une stature rachitique ; ni de grosses cicatrices, ni de flamboyants tatouages.

Évolution psychologique

L’avantage d’avoir été une élite intellectuel pendant des années et d’avoir été membre d’une équipe médicale officielle de l’ancien gouvernement Américain, c’est qu’il a pu être entouré par des militaires, durant des années. Son caractère n’a donc pratiquement pas changé jusqu’à-ce que la roue ne finisse par tourner. Il s’est donc découvert une capacité à accepter quiconque serait aux commandes, dès l’instant qu’il pourrait poursuivre son métier et rester tranquille. Certains la qualifieraient de lâche, Gabriel, lui, se voit comme un survivant endurant. Il reste toutefois une personne de bien, trouvant la cruauté inutile. Scientifique aguerrit, pour lui, les rôdeurs sont des gens décédés qu’il convient donc de neutraliser. Bien qu’il ne le ferait pas lui-même, sauf en cas d’extrême nécessité.



Story of survival


Gabriel est né le 12 Mai 1968 en Bretagne, une région de l’Ouest de la France, au sein d’une famille d’intellectuels. Son père, Guillaume LACROIX, est un brillant ingénieur spécialisé dans les industries de l’énergie, en pleine essor après la fin de la seconde guerre mondiale, vingt-trois années plus tôt. Sa mère, Aslög JOHANSSON, était une médecin Suédoise venue en France pour un projet de recherche sur les toutes premières techniques de greffes d’organes. Tous deux passionnés autant par les sciences que par les domaines plus généraux, ils élevèrent Gabriel, fils unique, dans un cocon de savoirs encyclopédiques, encourageant alors leur enfant à toujours apprendre, lire, être curieux, et apprendre encore et encore.

Grâce à toute cette aide, Gabriel pu fréquenter de bonnes écoles privées. Brillant élève, il mettait un point d’honneur à toujours arriver premier de la classe, chose qu’il fit assez aisément, de son école primaire jusqu’au lycée. Mais, même dans une école privée, toutes et tous ne sont pas forcément égaux dans la tolérance aux autres. Il est harcelé, durant son année de 3ème, au collège. Ce harcèlement lui fait beaucoup de mal psychologiquement. Il trouve son salut non pas dans la réaction d’un parent, mais en s’enfonçant encore plus dans ses études. Lorsqu’il termine cette année douloureuse, il subit une dernière journée de harcèlement, laquelle fut plus violente que les autres. Un violent coup de poing l’envoie au tapis : un passage aux urgences, un nez cassé, quelques points de sutures, voilà ce qu’il lui en coûta pour que ses parents apprennent finalement les terribles mésaventures qu’il vécut tout au long de l’année.

La décision de ses parents est prise : Gabriel est envoyé en Suède pour réaliser ses études de lycée, dans un internat hors de prix, du côté de Stockholm. Là-bas, il apprend l’Anglais, le Suédois et le Russe – en plus du Français évidemment. A nouveau épanoui – bien qu’en territoire étranger – il termine ses études avec succès avant de revenir en France pour poursuivre son rêve : devenir médecin, lui aussi.

Il ne fait qu’un court passage dans sa Bretagne natale, afin de revoir ses parents. Il a alors 18 ans, et il repart ensuite très rapidement pour la prestigieuse université de médecine de Montpellier. Il arrive, encore une fois, premier de sa promotion en première année de médecine, connue pour être l’année la plus cruelle du cursus médical en France, déjà à cette époque. Son attrait ne cessera jamais ensuite. Il n’eut aucun regret, disait-il à l’époque… Même si une part de lui aurait préféré être populaire, ou du moins, avec plus que juste des camarades de révisions qui se supportent durant les périodes de bachotage, pour ne pas trop se parler le restant de l’année. Il n’a ni petite amie, ni meilleur ami, ni association étudiante, ni soirée alcoolisée. S’il parvient à nouer quelques relations, perdre sa virginité… Au final, sociabiliser n’est pas ce qu’il préfère faire, ni là où il excelle, ni là où il veut exceller.

Au cours de ses études, il découvre toutefois qu’il est capable d’être aussi bon sur les bancs de la faculté et ceux de la bibliothèque à apprendre par cœur une quantité indescriptible de bouquins, que dans un bloc opératoire, debout durant des heures, à réaliser de longues et difficiles opérations chirurgicales. Mais faire un choix de spécialisation n’est jamais chose aisée, que vous soyez premier ou dernier de promotion. Son ambition était donc de lier à la fois l’aspect académique d’un travail théorique, et l’aspect technique de la chirurgie. Aussi se lança-t-il dans deux cursus médicaux : devenir chirurgien cardiaque, et anatomopathologiste. Le but ? Lier le mieux possible son travail somatique, en réalisant des greffes cardiaques, des pontages, des stents (etc…) à son travail de recherche, notamment en étant capable d’analyser des organes et des tissus retirés lors d’opérations chirurgicales, afin d’œuvrer contre le cancer, améliorer les greffes, documenter encore mieux les connaissances sur l’organisme humain.

Il termine sa thèse de chirurgien en 1998, à l’âge de 30 ans, puis celle d’anatomopathologiste en 2002, à l’âge de 34 ans. Bien que titulaire de deux thèses, il doit passer ses premières années à exercer en hôpital public, afin d’obtenir un poste de Praticien Hospitalier (PH). Il l’obtient au bout de trois années de pratique. Cela lui permet d’alterner entre le bloc opératoire, et les laboratoires universitaires, où il commence également à enseigner. Quatre années plus tard, en 2009, il obtient le titre de Praticien Universitaire et Praticien Hospitalier (PU.PH) et le professorat. Il peut donc intégrer une équipe d’études internationale faite de plusieurs professionnels médicaux et biomédicaux. Le but ? La lutte contre le cancer !

En 2012, après plusieurs années en France, l’équipe est transférée aux Etats-Unis pour poursuivre le projet de recherche sur un plus grand échantillon de population. Gabriel, bien intégré, est également muté. L’équipe rejoint la capitale fédérale, Washington D.C, où ils sont attendus au George Washington University Hospital.


• Octobre 2015, Seattle : l’apocalypse. Gabriel est dans un avion entre Washington D.C et Seattle, lorsqu’elle surprend le monde entier. Au départ parti pour rejoindre l’hôpital principal de Seattle afin de tenir un colloque sur la découverte d’un nouveau gène responsable d’une forme de cancer du pancréas, il est aux premières loges lorsque la tour de contrôle annonce à l’avion en approche qu’une attaque à lieu, et que l’aéroport est évacué. Contre toute attente, le pilote décide de forcer l’atterrissage… Et Gabriel se retrouve dans l’aéroport de Seattle, alors presque encerclé par une menace que personne ne connaissait. Il tombe sur un cordon militaire, lequel avait été averti de l’arrivée d’un médecin attendu de pied ferme par l’hôpital, et quelques autorités locales.

Il est alors exfiltré dans le Sud-Est de l’Etat, dans la ville de Kennewick où des éléments militaires et policiers semblent tenir la ville. Retranchés dans quelques quartiers au Nord de la cité, ils tiennent bon, et, malgré la rupture des communications radios et satellites, établissent un groupe qui survivra ainsi jusqu’en 2017.

Mais Octobre 2015, c’est aussi la période où Gabriel rencontre des rôdeurs pour la toute première fois. Lors de son exfiltration de Seattle, lors du chemin, fait en véhicule blindé, et ensuite une fois à Kennewick, lorsqu’il doit lui aussi mettre la main à la pâte pour pouvoir aider tout le groupe nouvellement formé… Le scientifique et professionnel de santé qu’il est, ne peut s’empêcher de chercher une explication rationnelle, logique et scientifique à tout ceci. Tout d’abord, il analyse le comportement des rôdeurs, et s’émerveille – autant qu’il s’horrifie – des capacités de ceux-ci à pouvoir encaisser les blessures, même les pires.

C’est durant cette période, à laquelle le groupe s’établit, qu’il réalise ses premières expériences. Lorsque les militaires du groupe repoussent une petite horde à grands renforts d’armes silencieuses, il voit un rôdeur être décapité… Et observe alors que, si le corps réagissait de manière attendue – à savoir le fait de devenir complètement inanimé – la tête, elle, continuait à « agir », suivant du regard quiconque se présenterait devant elle, mordant alors l’air comme si sa vie en dépendait. Là… Il fait un malaise… Mais il venait de trouver un nouveau sujet d’étude.

• De fin 2015 à Mai 2017, : le groupe de survivants parvient à survivre aux hivers et aux périodes difficiles. L’avantage d’être dirigé par des militaires, c’est qu’ils connaissent les dures lois du rationnement, de la hiérarchie, et les techniques qu’il est obligatoire de suivre pour survivre, quand bien même celles-ci soient désagréables.

Disposant d’un peu de matériel, il devient le médecin en chef des lieux, alternant à nouveau entre recherches sur la maladie – autant qu’il lui était possible, alors qu’il ne possédait ni machine sophistiquée ni un laboratoire digne de ce nom – et exercice de la médecine, bien que cette dernière soit très éloignée de la médecine de cardiologie.

Durant ces deux années avec ce groupe, il comprend que tout vient d’un virus. S’il émet l’hypothèse d’un vaccin, il ne possède ni les outils ni les ressources pour pouvoir réaliser telle recherche et produire un tel médicament. La mort – accidentelle ou naturelle – de certains membres du groupe, qui n’ont, ni été mordus ni en contact avec les fluides d’un rôdeur, et qui, pourtant, se transforment malgré tout, lui permettent de comprendre – ou de supposer – que tous les êtres humains vivants sont d’ores-et-déjà porteurs du virus. Et que ce dernier, par un stratagème inconnu, ne s’active qu’une fois la mort du porteur.

De par sa position dans la hiérarchie du groupe, il évite les corvées dangereuses. Et, s’il avait toujours fait preuve d’un certain courage dans sa vie – n’en fallait-il pas pour réussir ce qu’il avait réussi ? – la chose était nettement moins aisée face aux rôdeurs, aux vagabonds, et à celles et ceux qui, directement ou indirectement, tentaient de s’en prendre au groupe de survivants. Voir ainsi se réveiller et s’exprimer les plus bas instincts de l’être humain était terrifiant pour lui… Apprendre à se battre lui semblait impossible, tuer… Encore plus.

• Mai 2017, ville de Kennewick : le groupe implose. Pourquoi ? Gabriel n’en savait pas grand-chose. Le confort – spartiate mais tout de même présent – offert par le groupe de survivants lui avait permis de reprendre un semblant de vie normal, et, avec cela, ses défauts en termes de vie sociale. Il n’avait donc rien vu, ou rien compris, des querelles intestines qui sévissaient entre les militaires ; ni de l’animosité grandissante entre un chef et son subordonné ; ni des petits drames qui naissaient lorsque s’établissement les Hommes, et que naissent les sentiments.

Toujours est-il que les querelles provoquent tant de dissensions, qu’une large majorité du groupe décide de s’enfuir, emportant, dans un grand fracas, autant de ressources qu’ils l’estimèrent nécessaire pour pouvoir survivre. Désireux de ne pas laisser partir autant de nourriture, d’armes et de munitions, la moitié restant commença à menacer ceux qui voulurent fuir… La fusillade qui en découla fit beaucoup de morts inutiles, mais surtout, provoqua l’arrivée d’une horde impressionnante ! Dans la confusion, Gabriel parvient à s’attirer la sympathie de deux militaires, avant de fuir avec eux.

• Novembre 2017, ville de Dayton : les mois de survie dans la nature ne se passèrent pas aussi bien que prévu. Malgré tous ses diplômes, toutes ses compétences médicales et ses connaissances, Gabriel se montra très rapidement inutile, en termes de survie. Malhabile, peu discret, se mettant en danger sans même s’en rendre compte… Les occasions où il failli mourir bêtement ne se comptent plus ! Et celles où ses deux compagnons purent mourir également en tentant de l’aider, ne se comptent plus non plus…

Aussi décidèrent-ils de l’abandonner, à Dayton. Assommé dans un hangar abandonné, les deux militaires décidèrent de lui donner une chance de survivre par ses propres moyens : ils laissèrent une arme, un peu de munitions, de l’eau, deux conserves, et un couteau. Ils pensèrent également à fermer la porte du hangar de l’intérieur, brisant alors une vitre en hauteur pour pouvoir sortir des locaux sans risquer la mort de Gabriel, à cause d’un vulgaire rôdeur chanceux.

Que fit-il ? Il rationna les vivres, bien évidemment… Mais ne trouva ni le courage ni la force de sortir seul, dans cet enfer. Il ne savait pas tirer, ne savait pas se battre, construire un abri, faire face à un assaillant – vivant ou mort – et, s’il savait cuisiner, il ne savait ni chasser ni reconnaître quelle plante était comestible ou non...

Ce sont des éclaireurs de New Eden qui le découvrirent, plusieurs jours après. Déshydraté, dénutri, au bord d’un coma qui se serait soldé par la mort, Gabriel fait peur et peine à voir. Il est alors ramené par les soldats de New Eden, pour être soigné.

• De fin 2017 à 2023, Walla Walla : le groupe New Eden remet bien vite Gabriel sur pied. Une fois en état, il est interrogé – sans violence. S’il comprend très vite la portée religieuse et extrémiste du groupe, il décide de s’en accommoder. Sa seule volonté : reprendre son métier et trouver un vaccin ou un remède à cette épidémie apocalyptique.

Il reçoit effectivement la bénédiction de l’Adonaï pour reprendre son rôle de médecin. Grâce à ceux qui étaient déjà présents avant lui, et aux livres et autres encyclopédies de médecine à sa disposition, il améliore ses compétences en médecine générale, d’urgence et en orthopédie. Car réparer un cœur ne demande pas les mêmes connaissances que réparer un os briser, poser un plâtre, ou simplement exécuter une auscultation de médecine générale. Sa polyvalence est appréciée – et son expertise en cardiologie d’autant plus – mais son intérêt grandissant pour la recherche d’un remède, d’un vaccin ou d’un moyen de sauver un maximum de monde, lui fait risquer à plusieurs reprises la torture et la potence.

Quand il apprend que l’Adonaï serait le seul être immunisé, ou non touché par la maladie – d’aucun diraient donc bénis – il demande à réaliser un examen médical sur le dirigeant fanatique, afin d’analyser son sang. Cette demande lui vaut une mise à pied de plusieurs semaines, et une sorte de « classe d’apprentissage », où on lui apprend à être un bon petit fidèle. Désireux de ne pas faire de vague, il suit cette classe de redressement – ou peu importe le nom de cela – et reprend ensuite son rôle de médecin.

Durant les périodes agitées où les fidèles de New Eden faisaient la chasse à une résistance de plus en plus présente, armée et courageuse, Gabriel tente de faire sa part. S’il était lâche, une fois seul dans la nature, ce n’est pas nécessairement le cas dans la vie de tous les jours. Au début réticent, il accepte de soigner les rebelles blessés lorsque ceux-ci se heurtent aux forces de l’Adonaï, tout en continuant de soigner la population générale. Une activité qui lui permet d’oublier un petit peu sa condition de médecin menotté par un carcan religieux, et qui lui permet de se rendre utile et d’avoir un peu de fierté pour lui aussi.

• de Mars à Avril 2023, Walla Walla : certains le pressentaient, d’autres ne furent point réceptifs aux signes qui précèdent toujours l’importance d’un changement à venir, mais tous furent les témoins privilégiés d’une situation à la fois dramatique et unique : la révolte parvint à renverser l’Adonaï et à changer l’organisation du groupe.

Effrayante, cette révolte ne fut point de tout repos. Son engagement dans le soin de la population générale lui permit d’être vu comme quelqu’un d’utile, bien qu’il ne prenne officiellement parti ni pour l’un ni pour l’autre. L’ancien Général, Armand Phillips, apparaît bien vite comme la figure montante de ce mouvement révolutionnaire et entreprends de rendre un peu de justice à ceux qui ont tant souffert, et de changer le système politique de ce groupe à l’âme souillée.

Lorsque le choix est laissé aux membres de Walla Walla, de rester et participer à la justice et au renouveau du groupe, ou de s’en aller afin de trouver, peut-être, une herbe plus verte ailleurs, le choix de Gabriel est rapidement fait : bien qu’Armand semble être un type formidable, il n’en reste pas moins un des principaux officiers de l’ancien régime. Un régime théocratique, assurément fanatique, qui laissa une marque indélébile dans l’esprit du Français. Car il n’oubliait pas les sévices subis par les homosexuels, les femmes ayant un enfant hors mariage, l’interdiction de l’avortement… Et toutes les atroces blessures qu’il avait dû soigner chez ceux qui étaient entrés dans les geôles de New Eden, pour n’en ressortir que sur une civière… Ou dans un corbillard.

Il décide de s’en aller à son tour, sans demander son reste, à la toute fin du moi

• Fin Mai 2023, Olympia : bon grès, mal grès, avec l’aide de plusieurs anciens de New Eden désireux de quitter Walla Walla avant d’à nouveau choisir des chemins différents les uns des autres, Gabriel se retrouve à nouveau seul, après avoir traversé une bonne partie de l’état, d’abord en voiture, puis à pied.

Il se retrouve finalement au Sud de Tacoma, dans la ville d’Olympia. Il est sur le toit d’un camion, occupé à se cacher du passage d’une petite horde, lorsque des éléments des Remnants le trouvent… Endormi. A nouveau épuisé et déshydraté, il manque même de munitions… Après avoir tiré ses 11 balles restantes, sans même réussir à neutraliser le rôdeur qu’il visait, quelques heures auparavant.

Dans un piteux état, donc, il est ramené à Belfair, où l’ambiance est lourde et pesante. Il est mit en quarantaine, à la recherche de plaques rouges et de problèmes de comportements, et surveillé comme l’huile sur le feu par ceux qui, il le comprendra dans les premiers jours, faisaient parti du groupe qui avait déclaré la guerre à New Eden durant les dernières années.

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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 19:19

Rebienvenuuuuuuuuue !





Light this world

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Neela J. Yeo-Jeong
Neela J. Yeo-Jeong
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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 19:35

Rebienvenue !! Sushi
Dario Amendiares
Dario Amendiares
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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 19:49

Et coucou !
Ce perso !!
Invité
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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 21:00

Rebienvenue par ici !!!


Ce FC :smile2:
Invité
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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 21:24

Re bienvenue par ici cheers
Invité
Anonymous
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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

Jeu 1 Juin 2023 - 21:51

Re-bienvenuuuuuue ! :smile7:


stay safe on the Path


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Nihima Sihasappa
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Re: Gabriel Lacroix - You said you needed a doctor ?

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