The Walking Dead RPG

Je servais d'aide à William pour se déplacer parce que le pauvre en avait bien bavé, il était des nôtres et en plus il était la dernière personne à avoir vu Casey et l'une des rares personnes qui serait dans la possibilité de m'aider à la retrouver. Peu importe ce qu'il avait fait, je devais retrouver Casey et je sais que lui aussi veux la retrouver alors le reste j'y réfléchirais plus tard.

" Alors ça y est, on en est là? Apeuré et désordonnés? On chasse les anciens alliés? "

Hors de question que je reste dehors et puis je dois voir Maddie, lui dire pour Casey et personne ne m'empêchera de faire cela. Je tiens toujours William fermement, je regarde ces gens autrefois que je pensais des alliés nous toiser comme des bêtes sauvages. J'écoute Indiana et je me décide de rajouter:

" Et moi j'ai beau être infecté, j'ai sauver des gosses et j'ai lancé un putain de messages radio pour interdire l'accès à là-bas. On a tous fais pour protéger les gens comme on pouvait, je demande pas à être remercier parce qu'on est une équipe.. Indiana a raison"

J'essaie de voir si je vois Casey ou Maddie, je ne sais quel visage allié qui ne me donnera pas l'impression qu'on veux me faire la peau.

You will learn

It's not our precious virus that makes you, it's not who you kill or who you screw... It's the heartbreaks... The bigger... The better... and I know better than any of us.

La nuit avait été très longue pour tout le monde et elle avait certainement dû l’être encore plus pour la majeure partie des camarades de Clayton qui s’en étaient pris à leurs semblables. Face à leur épuisement, aussi bien moral que physique, le routier, qui avait miraculeusement survécu à l’explosion de l’armurerie, avait donc conservé et transporté l’intégralité des armes qu’il avait eu le temps de récupérer à l’intérieur de celle-ci. Et ce jusqu’à ce qu’ils n’arrivent à Belfair. A ce propos l’homme avait tout de suite imaginé qu’une fois sur place leurs camarades, ceux qui étaient sains et qui avaient réussi à s’enfuir à tant, leur demanderaient immédiatement de rebrousser chemin. Ce qui pouvait facilement se comprendre vu ce qui s’était passé cette nuit.

L’inconvénient c’est que ceux qui avaient complètement été « possédés » durant la nuit étaient heureusement redevenus les personnes qu’ils étaient auparavant. Et puis parmi eux il y avait des gens comme Clayton qui n’avaient absolument pas été agressifs avec leurs concitoyens. Du coup les empêcher d’entrer à l’intérieur de ce point de repli n’était absolument pas nécessaire. Mais c’est malheureusement ce qui se réalisa lorsque l’intégralité des contaminés arriva devant les portes de Belfair. Clay observa en tout cas avec attention Yuan et Lock leur ordonner de quitter les lieux avant de diriger son regard vers Levi ou encore Indiana qui tentaient d’apaiser la situation. - « Je comprends votre inquiétude … » Déclara alors le routier en direction de la barricade.

- « … mais je suis contaminé et pourtant j’ai attaqué personne … » Tout comme Cole qui avait de son côté passé un message radio pour prévenir l’intégralité du camp du danger. L’homme marqua alors une très courte pause avant de rajouter : - « … t’en a été témoin Lock … t’as bien vu que j’ai défendu Elizabeth » Il fixa alors l’homme qui les tenait en joug en poursuivant : - « … on devrait plutôt se serrer les coudes plutôt que de se diviser. Pour l’intérêt commun » Sinon The Remnants disparaitrait à jamais.

I swore to protect and defend the constitution against all

enemies foreign and domestic. I'm honored to be
one of this Great nations guardians.

Que faire maintenant ? La mort de June, déjà, avait provoqué bin’ d’changements dans not’ organisation. Moi, et ma p’tite mission non voulue cont’ les pirates aux côtés d’Yulia des Exilés, j’ne comptais plus parmi les responsables… Et puis ça ! P’tain… Maddie est… Crevée, et s’occupe d’gosses. Layla est l’intendante, j’pense qu’on peut compter sur elle, pour pouvoir gérer l’ressources, savoir où en trouver, rationner, tout ça quoi… Mais l’reste ? Friedrich, l’scientifique ? Arizona ? Stanley… P’tain l’bro… J’espère qu’il est pas cané…

J’vais quand même pas prendre l’commandement. D’jà, parce qu’je buterais l’premier fils d’pute qui m’briserais les couilles… Ensuite… Parce qu’je l’veux pas. J’ai une gamine à gérer, et une nana aussi et… Elles n’sont pas là. Et j’suis sûr qu’elles n’me rejoindront jamais…

J’fini à peine d’réparer m’fusil qu’un coup d’douze.cinq claque dans les airs. Locklan a prit la mitrailleuse, et hèle d’gens qu’se dirigent vers nous. J’crois qu’on repars pour la bagarre… AU moins, maint’nant, j’n’ai plus l’fusil enrayé p’tain d’merde.

Mais voilà : c’sont des contaminés qu’semblent s’contrôler. Doucement, j’baisse l’canon d’mon fusil, remet la sécurité, et écoute. Locklan à l’air d’prendre les choses en main. Zelda… Bah… Fait du Zelda. Faudra p’t’être songer à lui coller une balle dans l’crâne un d’ces quatre, maint’nant qu’June n’la protège plus. Bref. Ça discute… ça discute… L’gens en face semblent s’contrôler, ont aidé Friedrich à sortir de c’te merde, ont protégé d’gosses… Et puis y a Stan… Y a le bro quoi… Bon…

« Est-ce qu’vous entendez d’trucs qu’nous, on entendrait pas ? » Qu’je demande, assez fort. « Y a pas d’crâne qu’bourdonne ? V’entendez pas d’aut’ pensées qu’les vôtres ? » J’demande, parce qu’je crois que j’me souviendrais toute ma vie d’Stanley qu’me montre son crâne, et d’Nathan qu’dit qu’cent personnes s’dirigeaient vers nous, au dispensaire. « Si c’pas l’cas, alors, avancez. On a sécurisé l’coin, mais on a b’soin d’vous. Posez les armes d’côté d’Lock, il s’chargera d’les distribuer sur not’ périmètre. Foutez-vous d’ce côté d’not’ camp… » J’désigne un coin, à distance, mais pas trop non plus. « Y aura d’quoi faire d’feux d’camp c’te nuit, et d’quoi vous protéger avec les armes qu’vous avez ramené. L’premier qu’à l’crâne qu’bourdonne, l’premier qui s’sent partir : il l’dit, et il l’dit tout d’suite. On l’tueras pas : on l’neutraliseras en attendant qu’ça passe, c’promis. En attendant… Faut qu’on s’organise, et on a b’soin d’cerveaux d’tout l’monde. »

J’regarde tout l’monde : contaminés, sains, et tous ceux qu’me regardent avec d’gros yeux, peu habitués à c’que j’parles plus qu’dix mots d’affilés, dont six insultes. « C’pas une d’mande, c’est un ordre. Bougez vous l’cul. »

you kill or you die, or you die and you kill you walk outside, you risk your life. you take a drink of water, you risk your life. nowadays you breath and you risk your life. you don’t have a choice. the only thing you can choose is what you’re risking it for.

Si William n’avait rien de cassé et souffrait surtout du choc de l’explosion dont il n’avait pas vraiment pu se remettre, en plus de l’incessant bourdonnement qui l’empêchait de réellement de se reposer, c’était la fatigue qui le poussait à, parfois, s’en remettre à Cole pour avancer. Même s’il finit par se détacher, à l’approche de Belfair, alors que les personnes saines ne s’en approchaient et les tenaient à distance sous la menace de leurs tirs. Ils avaient raison, Will aurait agi de même, à leur place. Et s’ils posaient des questions évidentes, faisaient preuve d’une méfiance bienvenue, ça n’y changeait rien : ici, ils pouvaient les mettre en quarantaine, les cantonner à un endroit précis. S’ils étaient tenus d’errer dehors… Personne savait comment cette merde pouvait se répandre.

« Aucun de nous, ici, n’a reperdu ses esprits. » Il ne savait pas réellement ce qu’il s’était passé quelques heures plus tôt, mais cela, il pouvait l’affirmer. « On va s’isoler mais vous devez nous surveiller. Si l’un de nous perd le contrôle. Qu’on puisse s’en éloigner, qu’il y ait pas une réaction en chaîne… » Après tout, tant qu’il n’était qu’avec Casey, Zack et Bridget, tout allait bien. Ce n’était que quand les autres infectés s’étaient joints à eux que ça avait dégénéré. « C’est peut-être même pas sécuritaire de nous garder tous ensemble. » Mais quoi alors ? Les séparer, un par un ? Était-ce seulement possible ?

J'ai passé le trajet dans le plus grand des silences. J'ai toujours en tête les images de ce que j'ai fait dans le laboratoire. De la morsure infligée à Fried, du fait que j'ai tenté de m'en prendre à lui. De Bonnie, de son poignet plein de sang. Du sang que j'avais également fait couler. De cette folie qui m'avais envahi et que j'avais embrassé, les bras grands ouverts. De la souffrance de Sucre dans sa cage, de ce sentiment si intense de soulagement quand il était finalement mort pour de bon.

Je n'ai pas osé dire quoi que ce soit, à personne, me sentant bien trop coupable de ce qu'il s'était passé. Si Levi n'avait pas été là, qui sait de ce qu'il serait advenu du scientifique. Si Sucre avait été libéré de sa cage ? Aurai-je attaqué tous les autres également ? Ces femmes et ces enfants que j'avais juré de protéger au péril de ma vie. D'être devenu la menace que je tentais d'éviter pour eux.

Alors, je ne suis pas surprise quand on nous refuse dans un premier temps l'entrée. Je repère dans la foule des têtes connues, d'autres moins. Le bourdonnement dans ma tête a cessé, pour le moment. Il n'est plus qu'un fil lointain dans mes pensées. Quand on parle de Fried, j'ai un pincement au cœur. Faite qu'il soit là, faite que je puisse aller le voir, m'excuser de ce que j'ai fait. Tenter le tout pour le tout pour comprendre ce qu'ils nous arrivaient car je ne me pardonnerais pas de recommencer mon excès de folie. Revoir Bonnie aussi. Le regard de Levi à mon égard en dit long, et je décide donc de continuer de me murer dans mon silence. Je ne sais pas s'il serait judicieux de raconter maintenant ce qu'il s'est réellement passé là bas. Mon visage en sang, mes yeux cernés et rouges en disent assez long sur mon état, aussi bien physique que mentale.

Siła i Honor Tobie Ojczyzno!

Je ne suis en rien surprise du fait qu'un tir de sommation soit tiré, et dès lors je reste bien évidemment immobile. Si je comprends sans mal la peur que peut ressentir la majorité de ceux qui sont ici et que nous tentons de rejoindre, cela ne justifie pas tout débordement ou comportement inapproprié. Et en parlant de cela, il y en a une qui ne tarde pas à briller par son manque de réflexion.

Sans même lui adresser un regard, je prends la parole afin de remettre les choses au clair. D'ici, je peux t'abattre d'une balle entre les deux yeux avant même que quiconque ne puisse essayer de m'en empêcher, Zelda. Et d'ailleurs, je n'ai pas souvenir que quelqu'un t'ait demandé de prendre la parole. Les enfants se taisent lorsque les adultes parlent. Ma voix est froide, et je n'ai aucunement l'intention de l'épargner. Bien trop longtemps j'ai fait l'erreur de la ménager, aujourd'hui ce temps est révolu et il est temps qu'elle comprenne qu'elle ne peut pas tout se permettre.

Mon regard se pose sur Locklan puis sur Logan qui distribue les ordres. Et bien, a croire que l'australienne n'est pas la seule à se sentir pousser des ailes. La majorité des responsables se trouve ici avec moi, et bien que Fort Ward soit tombé nous sommes toujours vivants. Et notre autorité prévaut sur le reste. La priorité est de garder tous les contaminés sous surveillance, effectivement. Cependant ce n'est pas en nous menaçant de vos armes et en nous traitant comme des pestiférés que vous parviendrez à quoi que ce soit. Notre priorité est de soigner les blessés, prendre en charge les malades et faire notre maximum pour endiguer la propagation de ce virus. Nous n'avons pas une seconde à perdre.

by Wiise

Awards:

L’intendante soupirait. Quelle perte de temps.

- Si vous tuez des innocents, vous en subirez les conséquences. Lançait-elle d’une fois forte. Ce n’est pas une misérable éclosion qui aura raison de nous ! Nous sommes mieux préparés que quiconque, nous sommes ceux qui avons trouver un remède au virus, nous trouverons pour celui-ci également. Maintenant, nous sommes tous entrainés. Elle marquait une petite pause en lançant un regarde sévère autour d’elle. Nous connaissons les protocoles. Isolation pour les infectés. Nous avons des preuves que la crise passe. Comme la fièvre du soleil. Vous connaissez la situation, vous l’avez déjà vécue. Ça suffit ! Bloody hell ! Nous sommes les Remnants ! Pas les imbéciles du coin. Maintenant, tout le monde s’organise ! On réquisitionne un bâtiment pour les infectés, on le sécurise et on se réunit pour prendre les prochaines décisions. Aller ! Concluait sévèrement l’Anglaise agacée.

A wolf in sheep's clothing.

Sujet: Re: Endure and survive, once again