The Walking Dead RPG

Eyes of the wolf
Presque trois jours sont passés, depuis votre départ de Gig Harbor. Le trajet à cheval avec la calèche s'est déroulé dans une ambiance presque agréable, accompagnés de vos neufs orphelins que Jennifael a accepté volontiers de récupérer dans son Coven, afin de les protéger de la violence extérieure. Et si la Manbo s'autorise un sourire doux auprès des plus jeunes, sa froideur habituelle revient sitôt qu'elle se trouve en votre compagnie à tous les quatre. Le silence s'est fait depuis que vous avez mis les pieds dans la forêt qui lui appartient, et le soleil semble avoir subitement disparu des bois, sitôt que vous avez fait quelques mètres. Pour éviter que les enfants ne soient quelque peu effrayés par les membres humains qui pendent de certaines branches d'arbres, ces derniers ont désormais les yeux bandés sous couvert d'un jeu de cache-cache auquel ils jouent volontiers, vous laissant la possibilité d'échanger quelques mots.

Sebastian, tu es actuellement en tête du convoi aux côtés de Jennifael, forcés par Quinn à échanger un peu pour apaiser les tensions. Derrière toi, Olivia te suit de près, Quinn et Tucker ferment la marche.

• Sebastian, tu peux lancer trois dés sur ton pragmatisme. En fonction du résultat, je te donnerai les indications que Jennifael a pu te communiquer au cours du trajet.

• Quinn, Olivia, Tucker, vous pouvez quant à vous lancer un dé sur votre intuition

• Pensez à bien noter votre équipement en spoiler.

3 jours que je suis là a devoir garder encore plus mes distances et cachés mon inquiétude pour ma compagne enceinte. Je ne suis pas des plus ouvert, pour moi, cette expédition est une folie. Pour être honnête, outre le fait qu’une telle marche alors qu’Olivia est a peine remise de ses blessures n’est déjà pas pour me plaire, que cela soit en compagnie de la fameuse « Manbo » n’arrange rien. A mes yeux cette femme joue de superstitions pour monter sa secte, lui confier des enfants est la pire choses a faire. Pour autant, pour Olivia je fais un effort pour être agréable et puise dans mes talents de commerciale pour lui tenir le crachoir aimablement. Elle semble aussi ravie que moi, des talents pour sourire malgré tout en moins.

A vrai dire, nous avons peu de choses a nous dire hormis le sujets des oblivions. Pendant que nous sommes en tête elle en profite pour me parler de la situation dans le sud ou il y a de plus en des hommes du GM dans le sud. Cela ne m’étonne pas au regard de ce que m’a dit Ana Lucia, néanmoins, qu’ils soient de mieux en mieux armée est un problème.

« A force de perdre des hommes, attends-toi a ce qu’ils envoient de plus gros poissons pour ratiboiser les environs. »

Son histoire de maladie peut être tout et n’importe quoi. Avec le peu de médicament que nous avons, cela serait une catastrophe s’il y avait vraiment une épidémie a redouter :

« Et qu’en penses-tu, toi ? Cela te semble plausible de part ce que cet enfant raconte ?»

Elle se targue d’être guérisseuse, elle a surement une opinion plus éclairée que moi sur la question. En attendant, nous progressons et je garde l’œil ouvert, je ne suis pas de ceux qui néglige son rôle, surtout en ouverture de convoi. Je suis presque surpris que nous n’ayons pas été encore attaqué et de voir Olivia braquée, enlevée ou en danger. Resigné, je me dis que cela viendra fatalement avant notre retour. La Manbo me dit qu’elle a trouvé un gradé Oblivions et je dois comprendre que le conjoint d’Ana Lucia a hérité de mon ancien travail, mais ce n’est pas ca qui pique ma curiosité autant que mon intérêt.

« Un gradé dis tu ? Tu as son nom, du moins, son surnom ? Est il encore en vie ? »

Spoiler:

Tu n'as pas froid ? Romy contre moi, elle tient la selle et se penche pour essayer de caresser doucement le crin du cheval. Depuis le départ, je la trouve étrangement... Tenable. Sage. Il faut dire qu'elle glane toute mon attention et ça semble la réjouir. Surtout au milieu de tous ces enfants qu'elle nargue du fait d'avoir encore une maman qui s'occupe d'elle. La veille au soir, elle a accepté de me "prêter généreusement" à la petite Lola, comme pour en faire son amie. C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que pour elle, je suis au même rang que son doudou du moment. Non, c'est bon !

Je hoche la tête. Sans rien pouvoir suivre de la discussion entre Jennifael et Sebastian, je suis trop concentrée à empêcher Romy de tomber de la monture alors qu'elle fait - comme souvent - beaucoup de choses et notamment n'importe quoi. A vouloir passer dans la calèche, grimper avec moi, ou plutôt avec Sebastian, et pourquoi pas Jennifael, commenter les cheveux de Quinn qui sont les mêmes qu'elle, je ne sais plus où donner de la tête. Tu sais où on arrive ? Que je lui souffle. Romy me fait de gros yeux : La forêt des gros monstres !

Doigt sur ma bouche, je lui fais signe de ne pas le dire trop fort. Nous ne sommes pas là pour effrayer les autres enfants. Je vais te cacher dans ma cape, et toi, tu mets toute ta tête sous ta capuche, comme ça ils ne pourront pas t'attraper, que je lui chuchote : Ils viendront pas m'embêter cette nuit, hein ? S'inquiète-t-elle avec une moue fâchée alors que je l'enveloppe doucement : J'irai m'en occuper dès que tu auras ton lit de toute façon, tu sais bien ! Avec ton épée ? Grand sourire. J'ai du laisser mon bouclier dans la calèche mais elle a l'idée oui. Moi aussi j'aurais une épée comme toi quand ça sera mon anniversaire ? Une encore meilleure que la mienne, que j'ajoute. Avec une nouvelle poupée !

Au moins, la conversation semble la mettre en joie. Je suis contente simplement d'arriver, nous ne sommes plus très loin et mon dos souffre du temps que nous avons passé à cheval. Même si nous n'avons piqué aucun galop durant le trajet, la calèche n'est pas plus confortable que la selle, et les nuits à même le sol dur ne sont pas du tout pour soulager des lombaires meurtries. On n'en a plus pour très longtemps, souffle l'afro-américaine en se tournant vers nous : J'ai eu le temps d'observer cette jeune demoiselle : elle semble être curieuse comme sa maman, je ris doucement. Alors ça, on se demande de qui elle tient.

Je crois qu'elle avait beaucoup de choses à dire sur les chevaux, je prendrais sans doute conseil auprès d'elle pour notre écurie, confie Jennifael alors que Romy essaie de sortir la tête de ma cape : Il faut un gros cheval et il faut l'appeler Jolly Jumper, et il doit être tout blanc ! Romy ! A mon tour de lui faire les gros yeux : Oups... elle se recache. Je ne crois pas qu'elle ait vu grand-chose du décor ambiant. Mon bras la saisit, la blottit contre moi, et ma main se plaque contre son oreille. Elle n'entend que les battements de mon coeur : Mais moi j'adore Jolly Jumper... grogne-t-elle d'un ton boudeur.

Spoiler:

We're all stories in the end, just make it a good one

ANAPHORE

Une grimace légère lui échappe, venant brièvement passer une main contre son ventre entouré de bandes pour en cacher l'arrondi qui commençait à poindre. La fatigue commençait doucement à se faire ressentir, après ces quelques jours à cheval, et si les enfants s'avéraient être adorables, la route n'en avait pas moins été longue, et parfois lourdes de tensions silencieuses, dans les regards de la Manbo. Mais au moins pour l'heure, ni elle ni Sebastian n'avaient essayé de s'entretuer. Un bon point dans l'ensemble, finalement...

Ca à l'air de plutôt bien se passer... murmure t-elle à Tucker dans un souffle, alors qu'elle avise Liv, Jennifael et Sebastian amorcer la discussion, offrant un clin d'oeil à Romy qui se charge de se cacher au même titre que les autres enfants. Capuche rabattue sur son visage pour se protéger du froid, pinçant brièvement les lèvres en avisant le convoi, son regard se relevant brièvement vers les branches ou se balançaient les membres humains de ses victimes. Si fût un temps, elle avait détesté ses premiers trajets dans cette forêt jusqu'à ne plus y faire attention... Elle avait l'impression de les redécouvrir pour la toute première fois. Un frisson désagréable lui parcourant l'échine, alors qu'elle avise que tous les enfants sont à l'abri des horreurs qui se profilent sous leurs yeux, pinçant brièvement les lèvres. Peut-être était-ce la fatigue, oui. Qui lui donnait cette sensation de malaise constante, ou d'une présence hostile dans les bois. Le Coven ne laissait jamais de survivants après tout, sitôt qu'ils n'étaient pas considérés comme alliés. Personne ne pourrait survivre ici, et le cadavre à la tête renversée attaché au tronc d'arbre le plus proche n'en était qu'un parfait exemple. Et pourtant, l'air semblait chargé d'une hostilité lourde, qu'elle ne ressentait pas le reste du temps. Et sentir le regard du brun sur elle l'incite à croiser son regard, se comprenant sans avoir besoin de poser des mots.

Toi aussi ? souffle la rouquine, soucieuse d'avoir son ressenti sur la question. Mais en l'état ? Ca n'avait rien d'étonnant, avec le coeur de la forêt...

Spoiler:

Let your chaos explodes

Perché sur le dos de l'animal, dans le dos de Quinn, Tucker n'était pas du tout rassuré. Que ce soit par sa présence ici, de manière générale, que par l'atmosphère qui se dégageait de la forêt. Des membres qui pendouillent. Comment quelqu'un pouvoir vouloir encore traverser l'endroit étant donner cette mauvaise augure. Tucker ne savait trop quoi penser de la bande de gosse qu'ils amenaient avec eux.

Il faisait confiance à Quinn, savait bien que s'il y avait la moindre chance que les enfants ne soient en danger, elle n'aurait pas presser pour les emmener là-bas. Jetant un oeil à la tête du petit groupe. Romy semblait bien heureuse de se voyage, bien présente pour embêter sa mère comme elle avait l'habitude de le faire.

- Je maintiens que les avoir mis très près l'un de l'autre n'était peut-être pas la meilleure des idées..

Qu'il murmure en retour. Mais encore une fois, venir jusqu'ici n'était pas non plus dans les idées qu'il avait approuvé. Tout dans cette forêt lui donnant l'envie de prendre ses jambes à son cou. Tucker n'était pas à son aise, du tout. Il se sentait observé. Comme si chaque membre pendu à l'arbre était doté de deux yeux qui le jugeait sans cesse, prêt à bondir en cas de geste brusque de sa part. Comment Quinn ou Liv pouvait avoir franchi cette forêt sans la moindre difficulté ? Même Tucker ne voulait pas y entrer dans ses plus profonds cauchemars.

- Moi aussi ? Quinn, je serais capable de faire une descente d'organe si l'un de ses membres ne bougent au vent.

Qu'il marmonne dans sa barbe. Rien de ce qui se trouvait ici n'inspirait confiance. Et Tucker se disait que ça ne changerait rien une fois arrivée à destination. Il ne savait trop à quoi s'attendre. Si la forêt était aussi violente, le camp ne devait pas être mieux.

- Franchement, je sais pas comment tu as fais pour ne pas avoir flippé sur trente ans en arrivant pour la première fois, ici....

Spoiler:

One step after another

J'en ai conscience, oui... Et je compte bien défendre mes filles, leur sécurité passe avant tout. J'ai déjà mis en place de petites safe zones à rejoindre en cas d'attaques imminentes. Elles ont appris leur localisation par cœur pour s'y rendre en cas de besoin. Au moins, Jennifael n'a aucun grief à te répondre clairement, à chacune de tes remarques Sebastian. Quoi que cette rumeur de maladie la laisse songeuse une seconde. ça n'a rien d'étonnant. Avec les absences de vaccins, et le monde qui avance plus vite que nous, il y a forcément des maladies passées qui reviennent, ou de nouvelles qui se développe. Rappelle-toi la leptospirose du No man's land. A l'époque, j'avais récupéré de l'eau contaminé pour raser un camp de pillards. Et le souvenir lui arrache un sourire presque mélancolique. Mais je compte bien en savoir plus sur cette maladie. En revanche, je ne suis pas sûre de savoir comment y pallier. Et de conclure, à ce haut gradé Oblivion : Avant tout ça, il s'appelait Henry Dunlap. Un ancien routier, mais le Grand Maître l'a renommé Le cafard. Il a été assez... crédible, concernant ses avantages à Portland. Quant à sa survie ? Elle t'offre une moue désolée. Il s'est accidentellement étouffé avec ses parties que je lui ai arraché avec les mains. Un bref sourire contrit, comme si elle t'annonçait préférer son café noir, et sans sucre. Le nom t'évoque quelque chose ? Grand, brun. Des yeux noirs, corpulence assez musclée. Il disait être conducteur de poids lourd. Tu peux lancer un dé spécial, en cas de succès, il était là à l'époque de ton passage à Portland, tu peux avoir deux ou trois infos sur lui.

Malgré tout, si deux membres de votre équipe ont un mauvais pressentiment, vous arrivez finalement à destination. L'ancienne demeure laisse deviner une lueur douce sous les volets de bois, alors que Jennifael émet un bref sifflement sinistre, qui amène la porte d'entrée à s'ouvrir. Deux femmes vous accueillent alors, une blonde et une brune qui restent un instant surprises, devant votre cortège. Mais qu'est-ce que... Filipa, si tu veux bien accueillir nos jeunes recrues. Demande la Manbo d'une voix bien plus douce que celle que vous lui connaissez, venant posant une main protectrice sur l'épaule de Jeremy qu'elle invite à avancer en premier, sitôt sorti de la calèche. Nos jeunes invités ont besoin de se restaurer. Je vais me charger d'annoncer aux filles que la famille s'agrandit. Circee, je te laisse t'occuper de nos invités ? Un bref hochement de tête de la blonde, alors que Filipa vient brièvement serrer Quinn dans ses bras, et que vous êtes finalement conduits à l'entrée que vous connaissez pour la majorité, alors que Circee se tourne finalement vers vous avec un sourire. Si vous voulez bien me suivre, je vais vous présenter vos chambres, vous devez être épuisées après le trajet. Mais je vais vous demander de nous donner vos armes, s'il vous plaît, demande la blonde avec douceur, vous offrant un sourire rassurant.

• Vous avez le choix. Les donnez, ou non. Circee ne vous fouillera en aucun cas, persuadée de votre bonne foi. Sachez seulement que peu importe votre décision, celle-ci aura des conséquences. Réfléchissez bien, avant de choisir ce qui vous estime le plus juste, au vu des circonstances.

• Il y a actuellement 3 PNJ dans la pièce : Jennifael, Circee et Filipa. Vous pouvez en sélectionner un, sur lequel vous souhaitez obtenir des informations. A ce moment là, il vous faudra réussir un dé intuition ou perception. En cas de réussite, je vous donnerai une indication le concernant !

Nous parvenons finalement devant la demeure de Jennifael et Romy s'agite contre moi. Je la libère, alors qu'elle regarde la maison au fond de cette forêt avec de grands yeux. Quelques mots échangés, nous parvenons à descendre de notre cheval et Romy ne se fait pas prier pour vadrouiller un peu. Quelques pas dans cette boue gelée, la voilà qui tombe dedans et parvient à se salir à peine pose-t-elle le pied à terre. Un petit soupir m'échappe, elle revient vers moi de son sourire parfait, sans s'excuser de sa petite bêtise.

Dedans, je garde le silence. L'ambiance est un peu plus chaleureuse que dehors, notamment parce que dans la cheminée ronronne un feu qui me semble terriblement agréable. Une petite blonde s'approche, il ne me semble pas la reconnaitre. Je garde ma petite dague, que je lui annonce, avant de lui signifier que le reste - à part mon épée et mon arbalète - est dans la calèche. Je sais que ça n'est pas au goût de notre hôte mais je n'ai pas l'intention de me démonter là-dessus, ne serait-ce que pour la sécurité de ma fille. Si des rôdeurs parviennent jusqu'ici, je veux pouvoir me défendre.

On a une chambre ? Y'a des jouets dedans ? Je souffle un rire en scrutant Romy qui a déjà envie de toucher à tout. Je dois m'approcher pour l'en empêcher. Les tiens ne te suffisent pas ? Circee a côté esquisse un sourire et promet à la petite rouquine qu'elle lui trouvera une poupée. De quoi combler ma fille. Il parait que la dernière fois, vous dormiez dans la même chambre, c'est ça ? Demande-t-elle à Sebastian et moi. Je n'ai pas le temps de lui répondre : C'est moi qui dors avec Seby ! Pas maman ! Tranche Romy en attrapant la main de Sebastian fermement.

Ce n'est visiblement pas négociable mais ça n'est pas suffisant pour destabiliser la petite blonde : Elle est vraiment adorable... Me souffle-t-elle alors avec un grand sourire attendri. Elle semble avoir des facilités avec les enfants, tout mon contraire. Oui... Mais est-elle sûre de vouloir dormir avec Seby... Ou avec Tuctuc comme elle l'a affirmé toute la journée de cheval ? Je glisse un regard curieux à Romy : Avec les deux ! Je retiens un rire. De mieux en mieux, que je souffle en gloussant doucement : On verra après, d'accord ? Non ! Je veux dormir avec Tuctuc et Seby !

Et c'est parti pour les exigences de la demoiselle, je fais signe de ne pas trop l'écouter, pendant que Circee lui propose de la suivre pour voir où elle va pouvoir dormir pour sa part. Je soupire, me tournant vers Sebastian un instant. L'occasion pour moi de serrer un peu plus ma veste sur mon ventre arrondi, une sorte de rappel à l'ordre. Et de capter les regards de la blonde sur mon compagnon, vers qui je me penche : Tu ne trouves pas qu'elle te fait de l'oeil ? Que je lui murmure tout bas. Je crois qu'elle te matte, même, c'est évident, avec les petites risettes de circonstances, les oeillades brillantes, les joues rougies. Nous parvenons dans le long couloir de la demeure qui donne sur les chambres de l'étage, où nous allons séjourner. Un peu à l'étroit, sans doute.

Romy est déjà la première à grimper sur le lit double, s'enfonçant dans un matelas trop mou et trop usé. En fait, je voulais vous dire... Circee s'est tournée vers Sebastian, évite ses yeux mais lui parle directement. Je m'éloigne d'un pas. Elle me fait dos, l'occasion pour moi de capter le regard de l'ingénieur : Je te parie ce que tu veux que c'est pour te draguer ! Bon, l'oeillade est silencieuse, mais je suis sûre qu'il comprend ! ... Vous me faites beaucoup penser à mon père, je vous aime bien, ajoute-t-elle soudainement, plantant un drôle de silence de mon côté. A son... Père ? Vraiment ? Oh bon sang. J'inspire profondément et fais tout pour éviter les yeux de Sebastian. Sinon c'est sûr, je vais partir en fou-rire.

We're all stories in the end, just make it a good one

ANAPHORE