The Walking Dead RPG

Thais s'engouffre à la suite des autres, plus déterminée que jamais à en finir avec ces maudits pirates. La militaire suit le groupe, un peu en retrait. Elle s'assure que personne ne puisse les surprendre par derrière. Lorsque tous s'arrêtent, la brune patiente. Il y a 6 pirates et pour le moment, ils ont l'avantage de la surprise. Elle a un temps d'arrêt lorsque Alex évoque les masques. Les Gentle Bastards n'en ont pas, elle peut lire la même confusion dans le regard de Riley.

Thaïs a tout juste le temps de se mettre à l'abri derrière une des portes ouvertes par les alliés. La grenade explose, tuant plusieurs pirates sur le coup. Tant mieux. Une confusion règne du côté des ennemis. La militaire sort alors légèrement sur le côté, elle lève son arme, vise et tire deux fois. Un des pirates tombe au sol, mort, une balle entre les deux yeux. Elle se remet vite à l'abri et souffle : « Il n'en reste plus qu'un, blessé. » Autant dire qu'ils ont toutes leurs chances pour réussir à avancer et à libérer les leurs. Le temps de recharger son arme, elle laisse le dernier pirate à celui qui voudra aussi se venger.

Spoiler:

Riley se calait à l'abri, invitant les autres à la suivre, alors que des détonations claquèrent brutalement. La footballeuse ne voyait pas grand chose, des éventuels blessés, des morts accumulées. Mais son attention fut saisie brutalement dès qu'un silence se creusa malgré eux, bref, trop éphémère pour se montrer rassurant. La voix dure et sèche d'un pirate trancha le calme momentané, et la blonde se tendit, droite comme un i, le cœur battant à tout rompre. Oh non.

Elle n'eut pas besoin de se concerter avec les autres. N'en avait ni l'occasion, ni même l'idée. A toute vitesse, elle se décala de sa cachette pour confronter le dernier assaillant en vie, et mal en point. La buteuse avisa rapidement son otage, qu'elle ne connaissait pas, avant de lever les mains en l'air. Oh bon sang, qu'était-elle en train de faire au juste ? « Hola, tout doux, on cesse le feu, regardez ! » Entama t-elle d'une voix un peu étranglée, approchant de quelques pas. Pour la bonne forme, elle en vint à déposer le revolver qu'elle avait emporté avec elle, le faisant glisser du bout du pied. Franchement, c'était un cadeau pour tout le monde, en l'instant, de s'en débarrasser.  « On n'est pas venu pour vous, on est ici pour récupérer nos amis. » Bon, on ne s'improvisait pas franchement négociatrice du jour au lendemain. Fébrile, Simmons s'efforçait de continuer, espérant que ses alliés sauraient tirer profit de la situation derrière elle, ou la seconder, au besoin : « Il n'est pas encore trop tard pour tout arrêter. Rendez-nous nos amis, rendez-nous... » Fuck, elle s'appelait comment elle ? Finalement, elle désigna la blonde retenue captive du menton : « rendez là nous, sans lui faire du mal, et on vous laissera tranquille. Je vous le promets. On veut juste ramener nos proches à la maison, vous comprenez ? Mais si vous la tuez... » Alors plus personne n'aura de pitié pour ce salopiaud, et elle espérait sincèrement qu'il s'en rendrait compte. « Je vous en prie, on peut encore faire les bons choix et repartir d'ici tous en vie, chacun de notre côté. »

Résumé:

Inventaire:

We're a broken people living under a loaded Gun

Oh, like memories in cold decay. Transmissions echoing away. Far from the world of you and I, where oceans bleed into the sky | The Catalyst

Résumé:

Equipement:

The beginning of a New Life

« Emilie ! » hoqueta le grec, saisi à la gorge par une brusque inquiétude, en voyant sa silhouette s’effondrer après qu’elle ait poussé un cri de douleur, manifestement touchée par une balle. L’adrénaline se propageait par saccades dans ses veines, à un rythme frénétique, et faisait battre à ses tympans les coups assourdissants de son palpitant. Horrifié de voir son amie en si mauvaise posture, le grec s’apprêtait à lui porter secours lorsque l’imposante silhouette d’Hayden s’élança tout à coup dans sa direction. Brûlant d’inquiétude, Valérian fut de nouveau happé par les tirs qui fusaient toujours et profita de la couverture qu’offrait l’encadrement de la porte pour brandir son arme en direction des pirates et presser deux fois la détente - sans succès. Alex eût à ce moment-là la présence d’esprit de lancer sa grenade. L’explosion produite fut assourdissante : un flash aveuglant dans l’obscurité omniprésente ! Et à en juger les cris de leurs ennemis, elle en faucha un bon nombre d’entre eux !

« Arrêtez de tirer ou je lui fais sauter le crâne ! » Le souffle du grec se suspendit tout à coup dans sa poitrine. La bouche sèche, il jeta un coup d’oeil depuis sa couverture et discerna péniblement dans l’obscurité la silhouette du pirate qui tenait en respect une femme - sur la tempe de laquelle il pressait le canon de son arme. De nombreux corps jonchaient le sol. Cet homme était selon toute apparence le dernier de leurs ennemis. Valérian braqua alors le faisceau de sa lampe dans sa direction et poussa une exclamation suffoquée. « Gin ! »

C’était bien elle : amaigrie, le teint blafard, mais bel et bien vivante. Les mains du grec se mirent à trembler imperceptiblement sur l’arme qu’il brandissait. La colère qui sourdait dangereusement dans ses entrailles afflua de nouveau dans les cavités de son crâne et l’aveugla, au point de rendre sa voix particulièrement rauque. « Salopard. » grogna-t-il entre ses dents. « Libère-la ! Ou je te jure que le sort de tes petits copains te paraîtra préférable à ce qu’on te réserve ! » Une envie de violence telle qu’il en avait rarement ressentie se propageait dans son corps avec la fulgurance d’un incendie. « Tue-la, et je m’occuperais personnellement de te faire bouffer tes entrailles ! »

résumé:

Équipement:

Every time that I look in the mirror, all these lines on my face getting clearer. The past is gone. Oh, it went by like dusk to dawn. Isn't that the way ? Everybody's got their dues in life to pay.

Awards:

J’sais pas quoi penser d’toute c’te merde. A dire vrai, j’m’en fou. Ces gens n’sont pas mes gens. C’gens n’sont point sous ma responsabilité ni quoi qu’ce soit d’autre, j’n’ai rien à leur d’voir, et eux non plus. Ils pourraient m’balancer à la flotte, ça m’ferait ni chaud ni froid. P’t’être pas à Yulia. Donc p’t’être pas à eux. J’n’en sais rien. Bref, j’m’en bat les couilles, à dire vrai.

Ça s’bastonne pas mal, et j’comprends quedal à tout c’qu’il s’passe. Apparemment, ces folles ont buté quasiment tous les pirates. Y’en reste qu’un seul, qu’tiens une nana en otage et ça à l’air d’quelqu’un d’important puisqu’tout l’monde semble toucher d’la voir dans c’te situation d’merde. Enfin, de c’que j’comprends bin sûr.

Bref, faut buter c’type qu’tiens l’autre folle dans ses bras. Faut l’buter lui, pas l’autre folle. Un tir d’précision, enfin… Non, un tir d’réflexion. L’précision est pas vraiment là, c’pas comme-ci qu’on était à 100 mètres d’lui non plus faut pas déconner. J’épaule l’fusil. J’suis pas là pour m’faire chier, ni là pour être ici. J’épaule, j’vise, j’souffle doucement, et quand m’poumons sont bien vides… J’tir.

L’balle explose l’crâne d’l’autre enfoiré d’fils d’putes, et la meuf est libérée. Mouais, au moins, j’aurais servi à qu’que chose.

Actions:

you kill or you die, or you die and you kill you walk outside, you risk your life. you take a drink of water, you risk your life. nowadays you breath and you risk your life. you don’t have a choice. the only thing you can choose is what you’re risking it for.