The Walking Dead RPG

Le petit groupe se sépare. Riley la suit, puis rapidement, c'est Hayden, Emilie et Dana qui lui emboitent le pas. La tension est à son maximum et soudain, plusieurs d'entre eux entendent des bruits, le grincement d'une porte, puis, un homme qui s'avance, semblant soutenir un autre individu. La militaire tend l'oreille pour essayer de comprendre ce qu'ils se disent.

A la question d'Emilie, la brune a un haussement d'épaules. « Probablement des pirates, les otages ne se déplacent pas librement... » souffle Thaïs. Elle garde son arme à feu pointée devant elle, prête à faire feu. Le danger vient d'ailleurs malheureusement. Sans que personne ne le voit venir, un piège est déclenché. Une épaisse fumée vient envahir le couloir.

Presque aussitôt, tous se mettent à tousser et à pleurer des yeux. La militaire porte son t-shirt devant sa bouche. « Un fumigène ! » Bordel de cul ! Elle entend que l'homme qui bavardait un peu plus loin s'est brusquement arrêté. Forcément, vu la toux qui les prend tous, difficile de faire moins discret ! Elle l'entend s'exclamer : Fuck ! Faut qu'on bouge ! L'homme accélère le pas. « Avancez ! » ordonne alors la brune. « Et faites attention, il y a peut-être d'autres pièges ! » De son côté, elle s'avance tout en regardant attentivement où elle met ses pieds.

Spoiler:

Après avoir adressé un signe de tête à Dana, Emilie et Hayden qui s’enfonçaient dans la galerie de droite, Valérian carra les épaules, son arme bien en main, et emboîta le pas d’Echo dans celle de gauche. Ils progressèrent en silence de longues minutes, tous les sens en alerte, prêts à bondir à la moindre anomalie. À ses oreilles, le sang du grec pulsait au rythme effréné des battements de son coeur. Son esprit était tourné vers la nécessité absolue de retrouver Reese, Gin et Kaitlyn. Elles étaient là, quelque part au coeur de cette masse de métal dans laquelle ils s’enfonçaient tous comme dans les entrailles d’un monstre gigantesque.

À l’avertissement de Richard, Valérian s’immobilisa soudain et tendit l’oreille. Il aurait personnellement été incapable de déterminer dans quelle direction allaient les bruits de pas qui retentissaient dans un vacarme diffus ; pourtant, il se fia sans hésiter à l’instinct de son vieil ami. Rangeant prudemment son arme dans son holster, le grec attrapa le talkie accroché à sa ceinture et le porta à ses lèvres. « Elena ? » dit-il d’une voix aussi basse que possible. « Il y a du mouvement dans votre direction. Tenez-vous prêts. Ils sont nombreux. »

Le grec s’immobilisa alors, rivant le faisceau de sa lampe vers la porte devant laquelle ils venaient de passer. « Il y a du monde à l’intérieur. » chuchota-t-il rapidement. « J’ai entendu des murmures, des… gémissements, on dirait que quelqu’un se cache là-dedans. » Quelqu’un qui semblait être mort de peur, à en juger ces murmures apeurés, presque plaintifs. Il consulta Alex du regard. « Nous devrions aller voir. Il s’agit peut-être de prisonniers. » Peut-être même d'otages, pensa-t-il tout à coup - et son coeur se serra brusquement.

résumé:

Équipement:

Every time that I look in the mirror, all these lines on my face getting clearer. The past is gone. Oh, it went by like dusk to dawn. Isn't that the way ? Everybody's got their dues in life to pay.

Awards:

 

Rassurée par la présence de Logan, j'ouvre la porte pour découvrir un spectacle auquel on a beau s'attendre, on est jamais vraiment prêt:

« Oh mon Dieu… »

J’ai un haut le cœur accompagné d’un frisson en découvrant ce qui se cache sous la porte mais je me reprends rapidement. Je ne vois pas les visages de Reese ni des autres manquant a l’appel.

« Valerian, préviens les autres que nous avons trouvé une partie des otages s’il te plait…  mais qu’il manque les notre. »

Je m’avance avec précaution, levant mes mains pour montrer que je ne suis pas hostile et tente de rassurer tout le monde car on a peut de temps pour gérer une évacuation. Si c’est dans la panique, c’est fini. C'est avec ma voix la plus douce possible que je m'adresse a ces femmes malmenée, comme j'aurais surement eux besoin qu'on le fasse avec moi quand je sortais de la cave du fou et ses amis:

« Ne craignez rien, on est venu ici vous délivrer. Je m’appelle Alex et on va vous conduire a un bateau pour vous emmener loin d’ici. Toutes celles qui sont en état de marcher seule, levez-vous s’il vous plait, les autres nous allons vous aider. »

Je me tourne vers les autres en espérant que Valerian saura garder son sang froid et le sens des priorités dans cette mission. Je sais qu’a sa place, je ne le pourrais pas :

« Valerian, Logan, vous pensez pouvoir ouvrir la marche vers le bateau ? Echo et Richard, vous restez avec moi fermer la marche pour aider celles qui en ont besoin ?»

Equipement/mode:

action:

J’colle Alex et quand elle ouvre la porte, j’écarquille les yeux, incapable de dire ou de faire quoi que ce soit. Je regarde les filles regroupées dans la pièce, totalement figé, comme un lapin devant les phares d’une voiture. J’sens un goût d’bile me monter dans la gorge et surtout, j’ai beaucoup de mal à pas superposer le visage d’Aleesha ou de ma sœur sur elles. J’ai l’impression que les seconde s’égrènent, interminables, alors que tout le bordel autour de moi est comme étouffé. J’ai juste envie de retrouver ce fils de pute de Jack et de lui faire payer. Et la haine que je ressens en cet instant est du même niveau que lorsque j’ai vu ce qu’il avait fait à ma femme. C’est à peine si j’entends Alex quand elle commence à parler, mais le ton de sa voir me fait sortir de cette espèce de torpeur.

Et j’me rends compte que j’peux pas rester comme ça ou juste fermer la marche. Je lève les deux mains en l’air, pour bien leur montrer que j’suis pas là pour les attaquer, m’agenouillant à quelques mètres d’elles et soufflant, d’un ton aussi doux que possible. « On est là pour en finir avec eux. Pour vous aider. Ce foutu cauchemar est terminé. » Ou il continuera de plus belle si on s’foire, mais je préfère éviter de leur donner ce genre de détails. J’ai l’impression de réussir à calmer certaines d’entre elles, mais c’est pas non plus super convaincant. En tout cas, j’ai capté leur attention et personne m’a rien jeté à la gueule. On va partir du principe que c’est plutôt positif. « Mais on va avoir besoin de vous. Pour trouver les autres. S’il vous plait. »

Et déjà, je tends une main pour attraper une des otages qui a pas l’air d’être en état de marcher. « Viens, je te promets, je te ferais aucun mal. » Mon regard reste rivé dans celui de la fille, en espérant qu’elles nous feront confiance.

Spoiler:

Le scénario du film d'horreur se confirmait. Au déclenchement du fumigène, Riley fut prise d'une forte toux. Sa gorge la grattait affreusement, et elle avait l'impression que ses yeux pleuraient du sang, tellement ça les picotait. Ces fumiers avaient piégé le couloir de droite ? Non seulement ça ne laissait présager rien de bon pour la suite, mais cela faisait surtout redouter le pire pour ceux du couloir de gauche. Espérant que leurs alliés s'en sortaient mieux qu'eux, la buteuse s'obligeait à tenir la cadence, se frottant nerveusement ses paupières et se couvrant la bouche du mieux qu'elle le pouvait.

Lorsqu'une voix se fit entendre et que Thaïs leur ordonna d'avancer, la blonde céda à ses vieux réflexes de sportive aguerrie. Inconsciente du danger alentour alors que d'autres pièges pouvaient être cachés, Riley enclencha la première, lâchant un « j'y vais ! » pour toutes explications. Hors de question de laisser qui que ce soit s'en tirer aussi facilement après tout, les pirates n'allaient pas leur réchapper tant que les otages ne seraient pas tous retrouvés et évacués.

Alors elle se mit à courir à toute vitesse en direction de la voix, jusqu'à discerner clairement deux silhouettes, un homme soutenant une femme blessée. Portée par sa lancée, toutefois, Simmons ne mesura pas les pour et les contre, et plia les genoux presque par automatisme. Se laissant glisser à même le sol, ses deux talons cognèrent alors sans douceur les chevilles de l'inconnu à carrure masculine, qu'elle tacla abruptement. Et toc, c'était comme ça qu'on faisait, sur le terrain.

Résumé:

Inventaire:

We're a broken people living under a loaded Gun

Oh, like memories in cold decay. Transmissions echoing away. Far from the world of you and I, where oceans bleed into the sky | The Catalyst