The Walking Dead RPG

Ces fils d’putes s’rendent, sont désarmés, fouillés… Et s’soumettent. J’dois dire qu’ça m’fait une belle jambe… J’sais pas c’que j’ressens là, tout d’suite, mais c’pas seulement une envie guerrière… C’est… J’sais pas… J’ai comme l’impression qu’si j’me met dans l’pire des états, si j’bute pas tous ces fils d’putes, ils pourront r’venir et s’en prendre à Yulia, et à notre p’tiote. Et ça… Bah ça m’arrache l’cœur, et ça m’vide les tripes. M’voyez ? Genre ça m’donne l’impression qu’tout m’est arraché sans p’tain d’anesthésie et la vache, ça fou mal.

Mais comme ils sont attachés et tout l’bordel, j’temporise et j’descends avec les deux folles. Elles trouvent… une tête. Et par leur p’tain d’réaction, j’comprends qu’ce type était quelqu’un d’important pour elles deux… Ouais, très important même. J’n’ai jamais vu Yulia comme ça… Elle a l’air… Désemparée.

Moi, j’regarde ailleurs. J’vois des armes et des munitions. Pas mal d’ailleurs… D’quoi s’réarmer pour l’prochains affrontements. J’suis d’jà pas mal bardé, j’dois l’avouer… Mais j’ai des grenades en plus, et d’autres calibres. J’ferais l’choix plus tard. « Y’a pas mal d’armes et d’équipements ici. Prenez l’max, on doit encore s’battre. » J’suis pas là pour niaiser.

J’trouve aussi d’quoi faire du soin ! P’tain, ça, c’cool. Hop, d’quoi m’panser l’bras qu’me fait bien mal. J’me désape complètement, bat les couilles d’être à poil d’vant des meufs, et j’change mes vêtements pour d’trucs secs. J’dois avouer qu’ça fait du bien, parce qu’l’eau d’mer gelée… Bah… C’est froid quoi. Bah oui. Calbut sec, chaussettes sèches, uniforme propre et sec… Ouaip, ça fait du bien. J’me sens mieux aussi avec c’putain d’pansement bien serré et propre. C’parti.

Emilie vient m’parler, et m’dit que j’dois les buter. J’pense aussi qu’c’est c’qu’il faut faire. Ces deux enfoirés n’sont qu’des pions, et des lâches. J’suis sûr qu’sont plus à même d’violer d’meufs sans défense, qu’de s’battre réellement. Bande d’enculés.

Ni une, ni deux, j’remonte. Les types sont agenouillés et attendent. J’me place derrière l’premier. D’ma main gauche, j’relève son visage en tirant sur sa mâchoire, et d’ma main droite, j’plaque la lame d’mon couteau d’combat… Et j’donne un coup fort, appuyé, et sec. Ma lame s’enfonce dans sa gorge, presque jusqu’aux vertèbres. L’mec a les yeux exorbités, et gargouille dans son p’tain d’sang. L’autre s’met à paniquer. J’m’en bat les couilles, il subit l’même sort. Directement.

« Aller, équipez-vous. On fait échouer c’navire, on sabote la quille, et on retourne se battre. »

Résumé:

Autre:

you kill or you die, or you die and you kill you walk outside, you risk your life. you take a drink of water, you risk your life. nowadays you breath and you risk your life. you don’t have a choice. the only thing you can choose is what you’re risking it for.