Sujet: Re: The enemy of my enemy Lun 20 Fév - 19:50
Spoiler:
La douleur de la lame entrant dans sa chair fut intense, et il s'empêcha difficilement d'émettre un quelconque son suspect pour ne pas attirer les autres et réduire ses chances de l'emporter à néant. Après l'avoir planté, Dwayne l'éjecta pour se mettre à son tour au dessus de Jon, qui avait entre temps perdu son poignard. Tous les deux avaient le visage en sang, et après plusieurs minutes de combat acharné, les forces commençaient à manquer des deux côtés. Le gros lard tapait Jon de toutes ses forces pour essayer de le sonner, puis reprit son couteau pour tenter de lui enfoncer encore, là où il pourrait. C'est alors que dans un dernier élan de survie, Jon attrapa la lame de son adversaire avec les mains, se blessant encore dans l'unique but de sauver sa peau...
Sujet: Re: The enemy of my enemy Lun 20 Fév - 22:19
Seb et Jon:
De ma cachette je reste à observer et attendre mais la source de bruit ne semble pas vouloir avancer plus vers moi. rapidement, j’entends des son de combat et maudit Lex qui a l’air de gérer son talkie comme le ferait Connor d'après ma belle sœur. Je bouge pour voir que Jonathan est au prise avec un des suppositoires de Jefferson. pas de traces des autres. En morse je pianote.
“Lex. Ils sont là. J’en ai un en visuel. Surement 2 ou 3 autres dans les parages.”
Mon instinct d’oblivions me suggère de laisser les choses se faire et de n’intervenir qu'à la fin, soit pour saluer la victoire de Jonathan soit pour finir le nazillon. Sauf que le vétéran d’Afghanistan ne semble pas avoir le déçu, en fait, j’assiste de plus en plus à une exécution dans les règles de l’art pauvre des nazis (un courant artistique peu connu, apparu vers Seattle en 2023, dont je vais me garder de vous parler)
Que cela soit parce que je me sens responsable de sa situation, que j’ai encore besoin de lui ou parce que le surplus d’humanité d’Olivia a un peu trop déteint sur moi, je sors de ma cachette furtivement et, d’un geste vif et précis je lui tranche la gorge, accompagnant le corps dans sa chute pour éviter du bruit. A peine est il au sol que je le trepane rapidement avant d’aider Jonathan sa se redresser pour le guider, je l'espère, à couvert. Je prendrai le temps de regarder ses blessures quand nous serons moins exposés. J’ai beau regarder autour de nous, aucune trace de Jeff et des autres suppositoires d'extrême droite. Ce faisant, je lui chuchote:
Sujet: Re: The enemy of my enemy Lun 20 Fév - 23:31
Spoiler:
Merde
A croire que le karma avait décidé de les emmerder comme il fallait. Etouffant un juron alors que Cam manque le coche, là ou Maes la rejoint bien rapidement derrière un autre véhicule, quand la brune se fait alpaguer rapidement. Serrant les mâchoires à la remarque sur son physique, inspirant avec lenteur pour ne pas se faire entendre alors qu'elle vient croiser le regard de Maes. Venant récupérer le premier molotov à sa portée, alors que son briquet se refuse à s'allumer. Prenant sur elle pour ne pas lancer une floppée de jurons supplémentaires, avant que ... La bouteille ne tombe au sol.
Putain.
Définitivement pas sa journée. Moins encore, quand on vient la braquer avec une arme, et que son regard noir ne fixe son agresseur, coopérant néanmoins. C'était le moment de se rappeler les rares mots d'italiens qu'elle avait pu apprendre avec Cez, histoire de ne pas lâcher un seul mot.
Comment on disait déjà, Je ne parle pas anglais ?
Restait à espérer que Maes s'en sorte mieux...
It does not matter what kind of vibe you get of a person. Cause nine times out of ten, the face they’re showing you is not the real one
Sujet: Re: The enemy of my enemy Mar 21 Fév - 20:13
Spoiler:
J’entends des pas dans la poudreuse, mais surtout une voix qui confirme que j’ai été repéré. Le contraire aurait été surprenant, mais ce qui m’emmerde par-dessus tout, c’est que cette voix m’est complètement inconnue… Je suis dans de beaux draps… C’est loin d’être rassurant qu’il se permette son petit commentaire sur moi d’ailleurs. Je relève le menton et montre les mains, alors que j’ai des canons braqués sur moi. Je n’aurais même pas eu le temps d’attraper ma carabine pour leur faire sauter la cervelle…
J’essaie de me relever de peine et de misère dans ce bordel de clôture, de grillage et de bois entremêlés et qui s’accroche un peu à mes vêtements. Les mains toujours en l’air, je bouge lentement sur ma gauche pour faire mine de vouloir avoir les deux pieds sur terre et pas dans la ferraille. C’est aussi mon but, mais le premier objectif de cette manœuvre c’est surtout de leur faire tourner le dos au bateau.
- Je bouge juste un peu. Que j’essaie d’expliquer en faisant quelques pas à peine. Je me dis que s’ils ont un cerveau, ils vont comprendre que même pour eux ce sera plus facile de m’attraper comme ça.
Il y a cependant du mouvement hormis ma propre tentative et je vois arriver cette fameuse troisième silhouette qui tient en joug Axelle.
J’ai un flot de jurons qui me passe en tête et je serre les mâchoires bien malgré moi.
You have to break yourself down to rebuild yourself stronger
Sujet: Re: The enemy of my enemy Mer 22 Fév - 12:32
Maes:
Il fallait admettre que la chance ne faisait pas parti du vocabulaire du groupe. Plus poissards qu'eux, ça existait pas trop et pourtant, Maes avait conscience qu'il était pas forcément le pire du lot mais là... D'abord Camila puis Lex. Les deux s'étaient faites choper par les connards qui traînaient dans le coin. Et maintenant ? Et maintenant il fallait les aider à sortir de là mais comment ? Serrant les dents et bougeant la tête un peu dans tous les sens, Maes eut une idée. Pas la meilleure, pas la plus élaborée mais un truc qui avait maintes et maintes fois fait ses preuves durant ces temps de fin du monde. C'était le moment, oui. Se décalant lentement, l'homme attapa un morceau de feraille, prenant soin de ne pas se blesser et vint le lancer à l'opposé de sa position.
Pas de bol. L'architecte avait tellement mal tenu son projectile qu'il tomba pas si loin, touchant à peine la taule rouillée d'une voiture, le plus gros du bruit s'étouffant dans une masse épaisse d'herbes sauvages. "Merde !" qu'il chuchotait pour lui avant d'entendre un cliquetis distinct d'armes dans son dos. Ok, ça, c'était pas vraiment mieux que sa tentative ratée de diversion. Levant les mains, se tournant petit à petit, l'homme eut en plus la désagréable surprise de savoir qu'il avait deux adversaires et non un, comme ses camarades. "C'est pas ici qu'on prend le thé, j'imagine." fit-il sur un ton ironique qu'on lui connaissait bien. Bah putain, ça, pour être dans la merde, ils l'étaient.
Sujet: Re: The enemy of my enemy Mer 22 Fév - 12:47
the enemy of my enemy /!\ N'ouvrez que le spoiler qui vous concerne
Pour Jonathan & Sebastian:
Sebastian, tu parviens à sauver la vie de Jonathan, en laissant le corps de Dwayne retomber lourdement sur le sol. Les derniers soubresauts de vie lui échappe et en te tournant vers l'homme, tu avises que son talkie lui a échappé. Le problème ? Il émet, une voix que tu reconnais : Dwayne, vous en êtes où ? Un temps passe. Dwayne, allume ton putain de talkie ! On a une belle prise ici... Heinrich disait pas des conneries quand il parlait de trucs à piller...
Inutile de dire qu'il commencera à se montrer méfiant si Dwayne ne répond pas du tout...
Pour Maes, Camila et Axelle:
Un rire amusé échappe à Jefferson alors que vous lui tombez presque littéralement dans les bras. Vos échecs ont des conséquences, tandis que vous vous retrouvez sous le joug de leurs canons. Allez, tout le monde en rang et on pert pas une minute, indique-t-il en vous faisant signe de bouger : Vos armes au sol. Je vous dirais bien de pas en garder sur vous - surtout toi, fait-il en regardant Maes quand un sourire perce sur ses lèvres : Mais j'admets que vous deux, j'adorerais vous fouiller pour vérifier, je prendrais bien mon temps pour ça, ajoute-t-il.
Pendant que son complice vous garde en respect, lui saisit son talkie : Dwayne, vous en êtes où ? Un temps passe. Dwayne, allume ton putain de talkie ! On a une belle prise ici... Heinrich disait pas des conneries quand il parlait de trucs à piller...
Vous pouvez tenter de garder une arme cachée sur vous. Dans ce cas lancez un dé 10 sur votre dextérité. Cependant en cas d'échec, la fouille fera qu'on la trouvera, et ça aura des conséquences.
Avisez-moi ensuite de ce que vous voulez faire : obéir, discuter, autre ?
Sujet: Re: The enemy of my enemy Mer 22 Fév - 14:10
Seb et Jon:
Le talkie grésille et, je ne sais pas comment ils font, eux, mais la qualité du son est bien meilleure que la nôtre. Comme quoi, la Deutsche Qualität n’est peut être pas un mythe de marketing. Je le récupère et baisse le son. ll faudra que je récupèrer ceux des autres quand nous en aurons fini ici. Même si le message est inquiétant, je sais entendre entre les mots: pour le moment, ils ont fait des prisonniers. Certes, c’est surment dans l’optique de “jouer” avec et j’ai déjà eu “le plaisir” très relatif de voir comment ils jouaient, cela ne fait pas rêver. Je suis d’un calme olympien même si je ne peux m'empêcher de penser à Olivia d’une part, mais aussi a Camilla sur qui je me suis promis de veiller.
“Ca va aller Jon? Il va falloir agir vite. Tu sais me dire combien ils étaient avec Jeff?”
On a pas des masses de temps pour intervenir avant qu’ils ne se doutent de quelque chose. ceci dit en passant, s’ils sortent voir, cela pourrait nous arranger aussi. J’avise que le bateau avec lequel je suis venu il y a des semaines est en train de s'éloigner. J'espère y voir de la prudence et pas un drame à venir.
“Tu sais gérer une éventuelle prise d’otage?”
Pour le moment je me concentre sur ceux que nous sommes venus tuer, surtout avec Jon qui m’indique la piste prise par nos cibles. Je lui fais signe que nous allons avancer vers la rue transversale qu’il m'inquiète en ouvrant l’oeil, l’arme a la main.