The Walking Dead RPG

Arrête de faire celui qui ne comprend pas de quoi je parle ! Grogne Max, furieuse. A croire qu'elle ne lui a pas annoncé il y a bientôt deux mois en arrière qu'elle était enceinte par sa faute. Non mais c'est un monde ! Il l'épuise, sincèrement. Yuan doit faire exprès de se montrer le plus irritant possible pour la faire passer pour folle. Voilà comment elle finira avec une camisole de force dans une pièce capitonnée, à coup sûr. En plus, avec cette grossesse, elle a déjà l'impression de perdre la raison, alors s'il enfonce le clou, elle n'a bien plus qu'à se taper la tête contre les murs finalement.

Elle détourne les yeux alors qu'il essaie de temporiser la situation. Ouais, acceptable, ce n'est pas le pire endroit où elle soit allée mais le monde la rend franchement paranoïaque. En fait, désormais, le moindre écart de Junk Town l'épuise psychologiquement, elle ne s'y sent pas chez elle. C'est pour ça aussi qu'elle a hâte que ces semaines passent, surtout pour s'assurer qu'elle n'aura pas d'emmerdes avec les autres. Tant qu'elle reste ici, qu'elle se tient à carreau, alors à priori il n'y aura pas de soucis. Tu vas payer à ma place ? Comment ? Demande-t-elle soudainement.

Elle n'aime pas l'idée d'avoir des dettes mais... Elle a l'impression qu'elle ne va pas avoir le choix. Elle ne peut pas se permettre de payer un médecin avec ses moyens à disposition. D'autant plus que ça impliquerait de ne pas pouvoir manger et... Par les temps qui courent, même elle en est rendue à préférer se remplir l'estomac que fumer. Quand elle ne rend pas tout directement. Oui bien sûr, j'ai hâte de poser des questions à ta femme sur la grossesse que j'ai en cours à cause de son mari, rétorque-t-elle quand il précise qu'il peut faire venir sa compagne. Vraiment une conversation que je rêve d'avoir, si tu savais... Bon sang, il est tombé sur la tête avant de venir, elle ne voit que ça.

Un soupir lui échappe, elle croise les bras sur sa poitrine avant de relever un regard perdu vers lui : Quoi ? Comment ça arrêter ? Mais qu'est-ce qu'il raconte : Je ne me suis pas fait avorter, idiot ! C'est pour ça qu'elle est aussi exécrable, ne l'a-t-il pas compris ? Pourquoi tu demandes ça ? Fait-elle, méfiante. Son coeur semble faire une dégringolade dans son ventre. Tu veux qu'on arrête maintenant que tu m'as mise enceinte, c'est ça ? C'est ce que je crois ? Tu veux préparer le terrain pour savoir si tu as déjà le champ libre pour te casser au plus vite ?! Elle n'en revient pas... Mais évidemment ! Mais... Tu es vraiment... Mais vraiment...! S'exclame-t-elle en se détournant très vite. Tout plutôt que lui coller son pied dans les glaouis. Ici, c'est un coup à se faire expulser sans mise en demeure.

What a lovely day.

« Je ne fais pas celui qui ne comprend pas Maxine, je ne comprends pas ce que j’aurais pu faire d’autre à part te rejoindre dès que tu m’as fait signe. » En quelle langue il doit lui expliquer ça bon sang ? Encore une fois, il a le sentiment d’être totalement à côté de la plaque. Elle voulait qu’il fasse quoi exactement ? Qu’il se mette tout son camp à dos juste pour ses envies personnelles ? Qu’il fasse le mur ? Ou mieux encore, qu’il pique une voiture ? Rien que d’y penser, il secoue la tête, les yeux écarquillés. Avant de prendre une profonde inspiration pour se calmer.

Acceptable. « Bon, je suppose que je devrais m’en contenter. Tu loges où exactement ? » Il n’y a pas 36 options, mais il aimerait autant s’assurer qu’elle et Sasha sont bien installées. A défaut de pouvoir faire mieux et de les emmener chez lui. A sa question, il agite la main, comme si le sujet n’était pas important. « Aucune idée. Je peux négocier de faire plus de gardes ici, comme ça je pourrais rester plus longtemps aussi… si tu as envie. Je peux aussi m’engager à récupérer des ressources spécifiques quand je pourrais ressortir. J’ai plein d’options, ne t’en fais pas pour ça, je sais me débrouiller quand il faut. » Surtout que là, c’est important et qu’il ne veut pas qu’elle pense qu’il la laisse tomber.

Le reste lui arrache un soupir. Il a parfois tendance à oublier que la relation un peu particulière qu’il a toujours avec Zi peut ne pas plaire. « Elle est surtout médecin mais… qu’importe, je demanderais à quelqu’un d’autre de venir. » Mais le reste le dépasse et pas qu’un peu. Ce n’est qu’à voir sa réaction qu’il réalise réellement la portée de ce qu’il vient de dire et quand elle se détourne, il l’attrape par le bras pour éviter qu’elle ne s’éloigne trop. « Attends ! Ce n’est pas… » Une inspiration. « Ce n’est pas ce que je voulais dire Maxine. » Il essaie de trouver, sans grand succès, les bons mots, avant de finir par souffler, sans arriver à ordonner les choses comme il le voudrait, comme il en l’habitude. « Je voulais savoir si tu voulais arrêter cette grossesse qui te pourrit visiblement bien la vie. Je pensais que c’était pour ça que tu voulais voir un médecin. Parce que tu n’as pas réussi à te faire avorter jusqu’ici. » C’était l’impression qu’elle donnait en tout cas. Et sans réfléchir, il continue. « Je n’ai pas la moindre envie de me casser où que ce soit sans toi. Tu m’as manqué chaque foutue journée, chaque foutue minute de ces dernières semaines. Quand je t’ai vue, j’ai eu l’impression de me sentir enfin bien pour la première fois depuis longtemps. » Avant que les choses ne dérapent, bien évidemment. « Mais de ne pas savoir si tu veux garder cet enfant ou pas me rend complètement dingue. » Et si elle ne veut vraiment pas, autant qu’ils règlent la question tout de suite au lieu de jouer aux montagnes russes émotionnelles.

"The past can't hurt you anymore, not unless you let it."

Avec tous les autres, pour profiter de leurs ronflements, souffle-t-elle d'un air déjà lassé et fatigué. Sa présence ici n'est honnêtement pas de tout repos et Maxine ne fait pas l'effort de collaborer. Elle n'est pas un chat d'intérieur, et devoir s'éterniser l'oblige à s'adapter. Elle se frustre trop facilement, le contact avec les autres l'agacent, se maudit d'avoir accepté de venir ici d'autant plus dans sa condition. Mais bon, puisque Yuan n'est pas disposé à la rejoindre de toute façon autrement, elle n'a pas le choix. Je regrette le froid de Junk Town, juste pour ça, même si les braseros ont au moins eu le mérite de les aider.

Elle ne s'attarde pas là-dessus, un soupir lui échappe alors qu'elle relève les yeux vers l'homme. Le fait est qu'il compte en effet payer pour elle, et que Maxine se sent comme une assistée et une profiteuse. Qu'elle aura une dette envers lui, devra se montrer redevable. Je ne suis pas à l'aise avec ça, admet-elle simplement. C'est sans parler de la précision qu'il apporte au sujet de sa femme. Médecin ou pas, elle n'a aucunement l'intention de se faire ausculter par sa compagne de toute façon. Et puis quoi encore ? Faut-il que toute la famille Shèng mette la tête entre ses cuisses aussi ? Il ne manquerait plus que ça !

Elle n'a cependant pas le temps de s'éclipser quand l'homme la rattrape et plaide sa cause. Il ne prévoyait pas de la larguer, mais a besoin de savoir ce qu'elle compte faire au sujet de cette grossesse. Un soupir agacé échappe à Maxine qui n'a pas la patience pour rassurer les autres désormais. En fait en bon égoïste, il est bien possible qu'elle considère que sa situation est trop laborieuse pour en avoir quelque chose à faire des tracas de ses complices. Je ne vais pas me faire avorter ! Rétorque-t-elle froidement, comme si elle relevait juste l'évidence.

Oui, elle a pris la décision de son côté, mais son ventre rond caché sous ses vêtements atteste qu'elle ne reviendra pas en arrière. Même si, elle est persuadée que c'est une bonne idée de merde. Je le garde pour toi ! Précise-t-elle alors d'un ton accusateur : Je vais aller jusqu'au bout pour toi, fait-elle en se calmant à peine. Mais tu t'en occuperas, ça sera notre enfant mais c'est toi qui sais gérer alors, c'est toi qui en prendras soin parce que je n'arriverais pas à le faire, c'est clair ? Ajoute-t-elle simplement en secouant la tête : Et ne t'avise pas de me lâcher, parce que sinon, elle le retrouvera et lui cassera la figure.

What a lovely day.

Il arque un sourcil en retour, guère enthousiaste à l’idée de devoir subir aussi le concert de ronflements. « J’en suis presque à me dire que la voiture sera plus agréable pour les jours à venir. » Même s’il a comme un doute sur le fait qu’elle aura envie de partager l’habitacle avec lui. « Il y a quand même quelques avantages à être ici. » Et, sans réfléchir, il souffle, sans vraiment la regarder. « Comme te voir. » Entre autres choses. Mais dans l’immédiat, ce n’est pas l’argument qu’il pourrait brandir pour lui donner envie de passer plus de temps ici.

Et s’il se retient tout juste de rouler des yeux quand elle parle de la dette qu’elle aurait envers lui, il souffle, d’un ton plus neutre. « J’entends bien. Si tu préfères, dis-toi que c’est une avance sur salaire quand je te demanderais un coup de main une fois que je pourrais revenir à Olympia. Ca t’irait ? » Il peut comprendre en réalité, cette envie de ne pas être redevable de quoi que ce soit, à qui que ce soit. Il n’aurait pas envie d’avoir la moindre dette, même envers elle. Alors le compromis lui parait presque acceptable.

Sauf que, bien évidemment, il faut que les choses dérapent. Et la situation lui échappe, si tant est qu’elle ait réellement été à sa portée. Peu importe, il l’empêche de partir pour lui dire le fond de sa pensée et, quand elle lui répond, il la relâche, la fixant avec les yeux ronds, incapable de dire ou de faire quoi que ce soit l’espace d’une seconde. Il finit par déglutir et par souffler, d’une voix incrédule. « Tu… tu le gardes… pour moi. » Et il voit bien qu’elle est toujours aussi énervée, alors que lui se contente de répéter les mots qu’elle a utilisés, dans un murmure. « Notre enfant. » Difficile avec ça de garder un semblant de distance, de sang-froid ou quoi que ce soit du genre. Il a l’impression que ses émotions partent dans tous les sens et il ne sait même pas comment les contrôler, si tant est que ce soit possible. Tendant les deux mains vers elle, il les pose sur ses joues et son regard accroche le sien. Peut-être qu’elle arrivera à lire dans ses yeux ce qu’il est incapable de formuler en cet instant précis, même si ça semble être pour elle beaucoup trop à gérer. « Je ne te lâcherais pas Maxine. Jamais. » Et pas seulement parce qu’elle va être la mère de son enfant. Sans réfléchir, il l’embrasse avant de la relâcher. Et de poser la question qui serait inévitablement arrivée sur le tapis. « Pourquoi ? Rien ne t’oblige à le garder. Même pour moi. » Pour autant, cette pensée le rend plus heureux qu’il n’a pu l’être depuis longtemps. Très longtemps même.

"The past can't hurt you anymore, not unless you let it."

Mouais... Elle n'est pas franchement convaincue mais admettons. Un soupir lui échappe tandis qu'elle avise un temps l'homme en face d'elle avant de pincer les lèvres. Elle n'aime pas l'idée de lui être redevable, même plus tard. Mais elle n'a pas forcément le choix sur le coup, d'autant plus avec cette grossesse qui s'annonce déjà bien laborieuse dans le genre. Se mordillant l'intérieur de la joue, elle tâche simplement de faire passer sa gêne, ou son malaise, dépend comment on prend la chose, avant de relever un regard surpris vers lui qui se contente de répéter tout ce qu'elle dit.

Ca y est, il a les neurones qui ont fondu. Formidable. Elle est à deux doigts de se retourner pour le laisser planter sur place quand il attrape son visage à deux mains : Quoi ? Grogne-t-elle sans pouvoir se dégager, et sans chercher non plus à vrai dire. Elle écarquille les yeux de surprise, il l'embrasse, elle n'a pas vraiment le temps de le lui rendre. Un seul constat : il est complètement timbré. En comprenant qu'il va redevenir père, pour la troisième fois de sa vie, Yuan a fondu un boulon, un énorme, suffisamment important pour l'inquiéter véritablement. Il faudrait qu'elle appelle sa femme, pour qu'elle vienne le récupérer.

Mais elle n'a pas vraiment l'occasion d'évoquer l'idée qu'il se laisse aller à une question. Et surtout, impossible de manquer le bonheur qui émane de ses traits. Son regard est illuminé, il sourit, et Maxine se sent misérable de ne pas être... Comme lui. Aussi enthousiaste, aussi heureuse, aussi... Ouais, comme lui. Sur le coup, tout lui parait juste complètement dingue, et terrifiant. Les promesses de ne pas la laisser lui font un drôle d'effet, elle ne sait pas si elle peut, ou si elle doit y croire. Je n'en sais rien, admet-elle en réponse néanmoins avant de soupirer.

Je n'ai pas réfléchi d'avantage, je me suis juste laissé convaincre par tes bêtises au sujet du bonheur, de la grossesse, du moment extraordinaire que ça a été pour toi et ta femme apparemment, avant de réaliser que c'était une bonne idée de merde ! Explique-t-elle sans cacher sa frustration : Mais c'est trop tard maintenant, je suis trop bornée pour abandonner avant la fin, donc, voilà ! Elle écarte les bras, l'air de dire qu'elle ne peut plus revenir en arrière de toute façon : Et arrête d'en faire une scène ! Franchement, il l'agace, là : Oui ça va arriver, tu vas être papa à nouveau, pas la peine d'en faire des caisses...

What a lovely day.

Bon. Il n’a jamais été très doué pour dire ce qu’il pense ou ce qu’il ressent et, dans l’immédiat, Maxine n’a de toute façon pas l’air bien réceptive. Pour autant, il a du mal à détacher son regard d’elle. Et s’il peut comprendre son agacement, sa colère même, il est juste heureux de la voir. Même si c’est tout sauf réciproque, peu importe. Elle s’est fait une place dans sa vie et il n’a pas la moindre envie de la voir partir. Ca ne fait pour autant pas disparaitre tout ce qui peut l’angoisser.

Et il ose poser une des nombreuses questions qui le travaillent. La réponse ne se fait pas attendre et son cœur a un raté à l’idée de bientôt être de nouveau père. Oh, il est bien conscient que ça n’a rien de rationnel ou de logique, surtout vu le monde dans lequel ils vivent. Que c’est dangereux pour elle, que les prochains mois seront difficiles et qu’après, il faudra élever un enfant au milieu des morts, des monstres et autres dangers qui ne sont pas encore arrivés. Dieu seul sait quel genre d’enfant il pourra devenir. Sauf que ça lui donne l’impression que tout ça, que toutes ces années à tenir debout sans savoir pourquoi, que ça prend du sens. Pour la rencontrer elle, pour tout ce qu’ils vivent depuis quelques mois. Et pour ce qui va arriver.

Il voit bien que sa nouvelle question la déstabilise et il a un bref froncement de sourcils quand elle lui dit qu’elle n’en sait rien, qu’elle n’a pas réfléchi. « Mes bêtises hein… » Il ne sait pas s’il doit sourire ou s’en offusquer. Dans le doute, il garde le silence, la fixant quelques instants avant de reprendre, à mi-voix. « Je sais que tu es passablement bornée. » Ca fait partie de son charme. Et ça le rend totalement dingue. Encore plus que cet attachement qui le submerge à chaque fois que son regard croise celui de Maxine.

Finalement, il lève les deux mains dans sa direction au reste de ses propos en signe de reddition. « D’accord, d’accord. Je… laisse moi juste encore quelques secondes pour assimiler l’information. D’accord ? » Une grande inspiration, alors qu’il se recompose une mine un peu plus neutre. « Je sais que ça te parait dingue mais… tu me rends heureux Maxine. » Finalement, il tend la main pour effleurer sa joue, laissant de côté toutes les autres appréhensions qui ne manqueront pas de pointer le bout de leur nez dès qu’il aura un instant de répit. « Cette fois, je peux te prendre dans mes bras sans risquer l’explosion ? » Et ils aviseront ensuite de ce qu’ils vont faire. Mais ça, il a en terriblement besoin.

"The past can't hurt you anymore, not unless you let it."

La reddition vient rapidement, Yuan a conscience des combats qu'il vaut mieux mener et essayer de remporter, surtout avec Maxine dans l'équation. Il faut dire qu'elle n'est pas du tout du genre à abandonner, même pour les batailles qui relèvent plus de l'obstination que du bon sens. Quitte à s'épuiser d'ailleurs, la désormais brune n'a pas en tête de ne pas lâcher le dernier mot. Un soupir lui échappe tandis que Yuan a quelques propos à son encontre qui lui font froncer les sourcils. Le rendre heureux ?

Elle ? Tu es vraiment super bizarre, répond-t-elle en fronçant les sourcils, l'air de lui dire qu'il est probablement un cas psychiatrique très sérieux et qu'il faudrait probablement songer à consulter pour faire soigner ça. Mais sa main sur sa joue lui fait rendre les armes un instant. Elle pince les lèvres. Oui, c'est bon ! Elle veut bien qu'il la prenne dans ses bras, mais seulement parce qu'il en a besoin visiblement. Mais pas elle, évidemment ! Evidemment...

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Plus aucun de mes pantalons ne me va, je dois me débrouiller pour fermer la ceinture comme je peux et éviter de me retrouver avec mes fringues en bas des chevilles... Râle-t-elle. Ils ont trouvé refuge dans la ferme, à l'abri du froid extérieur. Elle vient s'entourer d'un plaid, en pestant sur ce poids qui pèse sur son ventre constamment, sur le bas de son dos aussi. Paradoxalement, Max a l'impression d'avoir perdu du poids, et ça se sent au fait qu'elle a constamment froid. Et il parait que ça va être pire que ça...

Elle se tourne vers lui, le scrute. Les bras croisés contre sa poitrine alors qu'il la fixe, elle peine à se réchauffer actuellement. Cette scène a tout d'irréel pour elle. Ils sont tous les deux, autour d'un feu, l'un en face de l'autre. Ils ont l'air d'un couple ordinaire. Ils attendent un enfant et semblent s'aimer. C'est presque effrayant. Elle n'est pas sûre de se reconnaitre dans ce portrait. Est-ce que... Elle se mordille la lèvre, soupire un instant : Est-ce que tu crois que je peux quand même voir un médecin pour vérifier que... Tout est en place là-dedans ? Demande-t-elle en détournant les yeux.

What a lovely day.