Sujet: Re: We could be heroes Mar 7 Fév 2023 - 11:35
Il est bien conscient que cette bataille n’est que la première d’une longue série. Et qu’il va falloir qu’ils trouvent une espèce d’équilibre, même s’il a de sérieux doutes à ce sujet. Elle est passablement têtue et bornée, en dépit de tout bon sens. Et si lui-même ne lâche pas le morceau en temps normal, il sait quand reconnaitre qu’il faut reculer. C’est même pour ça qu’il se fend d’un rire à sa question, à son froncement de sourcils. « Je ne sais pas si je suis bizarre. Probablement à côté de mes pompes ou quelque chose du genre. Mais j’ai besoin de toi dans ma vie. » Ce n’est même plus de l’envie à ce niveau-là, c’est bien plus viscéral et rien ne peut vraiment l’expliquer. Oh, il est certain que Zi aurait un paquet d’explications rationnelles à donner. Mais en cet instant, il s’en moque, il la ramène juste contre lui avec une profonde inspiration, soufflant un je t’aime dans sa langue natale.
***
Et la suite a quelque chose d’improbable. D’apaisant – pour lui en tout cas. Il réprime un sourire à sa réplique, alors qu’il a son regard rivé sur elle. Sans ses nombreux pulls, impossible de ne pas voir l’arrondi de son ventre. « On peut sortir et explorer un peu les maisons alentours pour essayer de te trouver des vêtements si tu veux. Il y a les maisons autour de Panther Lake. Ou on trace jusqu’à Belfair. » Il est à peu près certains qu’ils pourraient trouver ce dont elle a besoin. « Et si on trouve des trucs utiles pour le groupe, on pourra même emprunter une voiture sans souci. Ca te va ? » Elle aura peut-être ainsi le sentiment de ne pas être juste un poids en cet instant précis, ce qu’il détesterait tout autant qu’elle de toute façon.
Au reste, il a un bref hochement de tête. « On a une gynécologue au QG. Je vais lui faire passer le message, elle devrait pouvoir être là dans un jour ou deux. » Et peut-être même avec le matériel nécessaire s’il est portable. A dire vrai, il n’en a pas la moindre idée, ne s’étant pas vraiment penché sur le sujet jusqu’à présent. Quand il la voit détourner les yeux, il a un bref froncement de sourcils, hésitant un instant avant de souffler, à mi-voix. « C’est moi ou il y a quelque chose qui te dérange ? » En plus du bébé s’entend. Ce qui n’est pas rien mais qui, dans l’immédiat, semble plus ou moins… sous contrôle. Ou quelque chose du genre.
"The past can't hurt you anymore, not unless you let it."
Sujet: Re: We could be heroes Mar 7 Fév 2023 - 13:42
Ok, ça peut être bien oui... souffle-t-elle en réponse vis-à-vis de la gynécologue, sans pour autant répondre sur le reste de sa proposition. S'aventurer jusqu'à Belfair, ou Dieu sait où pour récupérer peut-être des vêtements, ou peut-être pas ? Et puis quoi encore. Son ventre rond pèse déjà, elle a l'endurance d'une asthmatique sans Ventoline, et il veut qu'elle aille vadrouiller où au juste ? Elle préfère ne pas réagir sans doute parce que sinon, ses hormones parleront pour elle et c'est suffisamment compliqué comme ça à gérer.
C'est sur le ton de la discussion qu'elle poursuit : Sasha est venue avec moi aussi, si tu veux la voir, jusqu'à ce que la question de Yuan ne vienne l'interpeller. Elle fronce les sourcils et le fixe. Il y a des fois où elle a vraiment l'impression qu'il y a un fossé entre leurs réalités respectives. Depuis toujours, l'homme s'est toujours répandu dans le luxe et l'argent, quand il lui a fallu, pour elle, lutter pour survivre à des fins de mois laborieuses. Il n'a probablement jamais connu les pates sans sauce pour ne rien dépenser, ou cette survie intransigeante qu'elle subit.
Je ne vais pas encore dépenser les ressources de ton groupe alors qu'on me demandera de les rembourser, souffle-t-elle d'un ton sec en le fixant. Je dois repartir dans quelques semaines avec de quoi manger et vivre, je n'ai pas le luxe de balancer par la fenêtre des biens qui ne m'appartiennent déjà pas, qu'elle ajoute alors en haussant les épaules. Elle aimerait vraiment qu'il comprenne que l'arrogance dont il fait preuve est douloureuse de sa position.
Mais ça, Yuan s'en fiche. Ça doit être doux de vivre à ta place sans plus aucune conscience de la réalité, mais je vais rester dans mon monde formidable où on mange une fois par jour quand on a de la chance, précise-t-elle rapidement, avant de secouer la tête. Si c'est pour être totalement à côté de ses pompes, comme lui actuellement, et devoir perdre ce qui l'a fait survivre jusqu'ici, autant éviter. Au moins, c'est du concret, précise-t-elle. Mais un autre point s'impose... Est-ce que leur enfant sera vraiment en sécurité avec lui ?
Sujet: Re: We could be heroes Mer 8 Fév 2023 - 9:14
Il a un bref hochement de tête quand elle valide l’idée de la gynéco. Il sait qu’il y a des trajets prévus, ce ne sera pas que pour son confort personnel. « J’irais m’en occuper tout à l’heure. » Et son visage s’illumine à la mention de Sasha. « Je serais content de la voir oui. Tu sais où elle est passée ? » Passer encore un peu de temps avec sa fille, voilà un luxe dont il ne compte pas se priver non plus. Il ne l’a pas vue depuis des semaines et ça lui manque, quand bien même ils n’ont pas encore suffisamment appris à se connaitre à son goût.
Par contre, le reste lui arrache un froncement de sourcils. Il réprime un soupir silencieux alors qu’elle repart pour un tour et il finit par se pincer l’arête du nez, faisant mine de jeter un coup d’œil à sa montre. « Oh, on a réussi à passer plus de 15 minutes sans se prendre la tête. C’est un nouveau record non ? » Définitivement, il n’y a vraiment que dans un seul domaine où il arrive à être pleinement sur la même longueur d’ondes. Il ne sait pas à quel point il doit en être affligé ou non. Enfin, qu’importe, ça ne change rien à ce qu’il éprouve en sa présence de toute façon. Puis, avec une grande inspiration, il reprend, s’efforçant de garder son calme autant que possible. « A quel moment je t’ai parlé de dépenser les ressources de mon groupe ? Panther Lake n’est pas loin, on pourrait y aller à pied. Belfair, ce serait l’occasion de faire une sortie pour mon groupe justement. Et d’en profiter si on trouve d’autre trucs en cours de route. » Mais visiblement, l’idée lui déplait fortement. S’il entend parfaitement qu’elle ne veuille pas devoir quoi que ce soit à son groupe, il n’arrive pour autant pas à comprendre qu’elle semble refuser toutes les options qui lui viennent à l’esprit.
Du reste, il se fend d’un rire sans joie. « Dans quel monde tu crois que je vis au juste ? Tu crois que je fais trois repas par jour et que je vis dans le grand luxe ou quoi ? Et tu penses vraiment que je n’ai aucune conscience de la réalité ? Je peux savoir ce qui te fait dire ça au juste ? » Il secoue la tête, sans arriver à cacher son agacement cette fois. « Parce que là tout de suite, ce n’est pas concret pour toi ? Heureux de le savoir. » S’il a en général du mal à la suivre, en cet instant, c’est encore pire que d’habitude.
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Sujet: Re: We could be heroes Mer 8 Fév 2023 - 10:32
Mais tu t'écoutes quand tu parles ou tu te contentes de mettre les mots les uns à la suite des autres dans l'espoir que ça prenne du sens ? S'offusque-t-elle en le fixant : C'est toi qui m'as parlé de prendre la voiture, tu penses que je vais accoucher d'un bidon d'essence ?! Mais il fait exprès d'être stupide, c'est naturel chez lui ou il s'entraine tous les jours ? Honnêtement, elle est éberluée pour voir à quel point il est à côté de ses pompes. Mais c'est une constante avec lui : Yuan se targue d'être dans la réalité de ce monde, sans l'avoir jamais vraiment effleuré, ou tout du moins, en l'ayant parfaitement oublié depuis le temps.
A croire que le confort surréaliste de son campement lui a fait zappé ce que c'est que la dureté du monde, oui. Elle n'en revient pas. Elle secoue la tête, le fixant avec de gros yeux, tandis que monsieur se vexe et s'outre de ses propos. Eh bien qu'il s'accroche bien à son siège, parce qu'elle n'en a pas fini avec lui ! Non désolée, Yuan, tu ne sais pas survivre dehors. En fait, tu t'es vautré dans ton confort et dans la supériorité de tes moyens, comme depuis toujours sans aucun doute, et tu viens m'étaler ça sous le nez en espérant sans doute que ça m'en mettra plein les yeux, ils doivent avoir un enfant ensemble, ne sont pas capables de s'entendre mais surtout... Maxine réalise qu'il ne saura rien lui apprendre du tout.
Rien qui lui sera utile. Rien qui ne lui sauvera la vie dehors, ou face à des gens. Tu sais ce que je vois ? Lui demande-t-elle alors en plantant un regard dur dans le sien. Non, il n'est clairement pas au bout de ses peines. Ils n'ont même pas le même sens des priorités. Lui balance ses ressources par la fenêtre sans regarder à la dépense - mais ne l'a-t-il pas toujours fait dans sa vie ? - elle doit veiller à ne pas se passer d'une seule goûte d'essence si elle veut pouvoir revenir chez elle en vie, ou alors penser à prévoir une traversée d'une aire polaire en toutes circonstances.
Un adulte pourri gâté depuis toujours qui ne saurait pas se passer de ce qu'il a, et qui ne survivrait pas dehors sans tous ces gadgets ridicules plus de trois minutes, grogne-t-elle en croisant les bras sur sa poitrine. Elle est dure ? Peut-être. Mais aussi foutrement réaliste. Et c'est lui le père de son bébé ? Je suis persuadée qu'élever un enfant ici sera super confortable, assurément, en fait, ça n'est même pas ce qu'elle cherche. Mais quand il devra survivre concrètement ? Bon sang, j'espère qu'on n'aura pas à compter sur toi, poursuit-elle en secouant la tête, avant de soupirer : C'est une mauvaise idée, de le lui confier. En fait, il va réussir à la faire accoucher bien trop en avance, de nerfs.
Sujet: Re: We could be heroes Mer 8 Fév 2023 - 11:07
Il a un profond soupir à sa remarque. « Tu ne m’écoutes pas non plus on dirait. Prendre la voiture était une des possibilités. Pas la seule. » Bon sang, elle va vraiment le rendre dingue si elle continue comme ça. Mais le reste, il ne l’a pas vu venir. Et il se fige totalement à ses paroles, avant de souffler, incrédule. « Tu… tu crois que je fais ça ? Que je me crois supérieur et que je t’étale tout ça sous le nez ? » Autant, venant de quelqu’un d’autre, il aurait probablement juste laissé filer un rire sans se soucier de ce qu’elle pense.
Mais venant d’elle, avec tout ce qu’il a pu lui raconter. Et bien autant dire que ça le blesse. « Vas-y, dis-moi ce que tu vois tant qu’à faire. » Au point où ils en sont. Il la voit grogner et, en retour, il laisse filer un rire sans joie. « Vrai que je n’ai pas survécu pendant 5 ans dehors, avant de me retrouver entouré de ces gadgets ridicules. Ou que je suis incapable de vivre loin de Fort Ward. Tu as raison. En fait, je suis mort depuis sept ans. Mais je suis ravi de voir à quel point tu as une piètre image de moi en tout cas. » Et ses mâchoires se crispent quand elle enchaine et parle de leur enfant à venir. Et du fait qu’elle espère ne pas avoir à compter sur lui pour sa survie. Elle peut voir son visage se vider de toute couleur alors qu’il détourne les yeux, prenant une grande inspiration alors que son poing se ferme.
Et il finit par se relever, fixant le feu, toujours sans la regarder. « Tu as raison. Après tout, mon fils est bien mort parce que je n’ai pas pu l’aider à survivre dehors. » Soufflé d’un ton qui se veut – sans succès – neutre. « Alors probablement que je tuerais celui-là aussi. Tu devrais dire à Sasha de ne pas m’approcher non plus. Sait-on jamais, que je sois trop con sans mes gadgets pour lui éviter de mourir en ma présence. Vu qu’on ne peut pas compter sur moi. » Il finit par fouiller dans ses affaires, sans même réaliser qu’il est fébrile. « Il faut que je prenne l’air. » Paquet de cigarettes trouvé, c’est avec un coup de pied dans la porte qu’il ouvre, sans même un regard derrière lui. C’est la pluie qui l’accueille dehors mais, dans l’immédiat, il s’en fout complètement.
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Sujet: Re: We could be heroes Mer 8 Fév 2023 - 11:59
La levée de bouclier ne fait que l'agacer d'avantage. Elle n'est pas tendre, et probablement injuste envers lui, mais elle n'en est pas à ce genre de considération. En fait, même face à ses contradictions, Max est de celle qui préfère quand même parler franchement qu'ignorer ce qui la contrarie : Oh pitié, si tu ne t'en rends pas compte, c'est encore pire, ajoute-t-elle en détournant les yeux, sans contenir le soupir qui lui échappe. Yuan continue de s'en offusquer, il fait sans doute bien de défendre son bout de gras, même si sur le coup, Max ne se montre pas moins intransigeante à son égard.
Et depuis combien de temps tu te laisses ramollir dans ton groupe ? Demande-t-elle alors en l'interrogeant du regard. Elle ne réalise pas qu'elle a frappé fort, là où ça fait mal. Elle ne réalise pas qu'elle a dépassé les bornes avec lui aussi. Elle se dit juste qu'elle ne peut pas se permettre un père ramolli par ses conditions de vie pour son enfant, elle ne peut pas lui faire subir ce qu'elle a subi aussi de son côté. Ceux qui, en prenant le beau rôle, finissent par les abandonner de plus belle.
Oui bien sûr ça tombe bien, c'est exactement ce que j'ai dit : en plus d'écouter que ce qui t'arrange, tu réécris l'histoire comme tu l'entends, c'est bien ça ? soupire-t-elle alors en roulant des yeux. Elle ne remarque même pas que le ton de sa voix à changer, qu'il est fébrile. Je ne lui dirais pas mais j'espère que Sasha ne te suivra pas, lâche-t-elle de but en blanc, en pinçant les lèvres. Ils se sont retrouvés tous les deux, c'est génial. Mais bon sang, elle prie pour qu'elle ne prenne pas cette décision idiote qui la fera forcément condamner à un moment. Si c'est pour qu'elle perde ses bons réflexes et finissent par se planter en se reposant sur ses lauriers, ça serait du gâchis monstrueux...
De la même manière, elle ne dira pas à quel point elle s'est attachée à l'adolescente. Oui, il y a une version de l'histoire où elle préfère pour elle la misère de Junk Town et la garder en sécurité à ses côtés. Par égoïsme mais pas seulement. Elle le laisse s'éclipser, ne cherche pas à le retenir et encore moins à le ramener. Il a besoin d'aide ? Alors, qu'il inspire par ses trous de nez, et qu'il prenne la mesure de ce qu'elle lui dit. Elle parle par appréhension, par peur. Sans demi-teinte, elle s'inquiète. Mais ça n'est pas son rôle de mère de le faire ?
Sujet: Re: We could be heroes Mer 8 Fév 2023 - 12:36
J’espère que Sasha ne te suivra pas.
C’est ce qui résonne dans son esprit en plus du reste, alors qu’il prend le temps de fumer une, puis deux cigarettes dehors. Il n’y a personne pour le voir, pour l’entendre et c’est tant mieux. Se laissant couler contre le mur, il se persuade que c’est juste la pluie qui roule sur ses joues et rien d’autre.
Voilà exactement pourquoi il gardait ses distances avec tout le monde. Et il aurait dû faire de même avec elle. Mais ça n’a pas marché, il en a été incapable. Et en cet instant précis, il s’en mord les doigts comme jamais. Il ne saurait même pas dire combien de temps il reste comme ça, à fixer le vide, alors qu’il finit complètement trempé. Finalement, il prend une grande inspiration et se relève avant de revenir dans la pièce, son regard rougi vide de toute émotion.
Sans même jeter un regard à Maxine, il va chercher de quoi se sécher sans succès et s’accroupit devant le feu. Et il garde le silence de longues minutes avant de reprendre, réussissant cette fois à garder cette voix froide qu’elle ne lui connait pas vraiment. « Je ferais ce qu’il faut pour que Sasha n’ait pas envie de me suivre. Pour éviter … comment tu as dit ? Ah oui un gâchis monstrueux. » Il n’a aucune idée de comment il pourra faire ça, mais après tout, Maxine a raison. Il est incapable de veiller à la survie de ses enfants.
A cette pensée, il déglutit alors qu’il se sent de nouveau sur le point de craquer. « Je… » Rester concentré, froid, pragmatique. « Je demanderais à la gynéco d’apporter ce qu’il faut pour un avortement. Tu ne veux pas de cet enfant. Tu considères que je ne saurais pas faire ce qu’il faut pour sa survie. Et le passé t’a prouvé que tu avais raison. Même pas besoin de me ramollir pour que je sois responsable de la mort de mon fils. Alors imagine ce que ça donnerait maintenant hein… » Il finit par tourner la tête en direction de la brune et souffle, les sourcils froncés en signe d’incrédulité. « Je… quand j’ai parlé de toi à Zi, je lui ai dit que j’avais peur que tu n’aimes pas l’homme que j’étais, vu que c’était la première fois depuis des années que j’étais vraiment moi-même avec quelqu’un. J’étais persuadé que tu finirais par… ça… » Le mépriser, ou quelque chose du genre. « Mais quand tout à l’heure, tu m’as dit que tu gardais le bébé pour moi, j’ai vraiment cru que ça n’arriverait pas, l’espace d’une seconde. » Quel con. Et il esquisse un sourire sans joie, avant de reporter de nouveau son attention sur le feu.
Une inspiration avant qu’il ne finisse par faire glisser son sac à dos en direction de la brune. « Il y a des cahiers dedans. Pour Sasha. Des piles aussi. Et… les lettres que je t’ai écrites ces dernières semaines. Ca fera un bon départ de feu. Il y a aussi une boite avec… peu importe. Je ne suis pas sûr que tu en tireras quelque chose, mais tu peux toujours tenter de le revendre aussi. » Il aurait envie de lui dire bien d’autres choses, même si la plupart restent bloquées dans sa gorge. Et il ajoute, à mi-voix. « Ce n’est pas parce qu’on ne survit pas de la façon que toi tu estimes acceptable que ça fait de moi quelqu’un qui ne sait pas s’en sortir dans d’autres circonstances. Je suis capable de m’adapter, contrairement à ce que tu penses. Et j’ai cru que toi, tu l’avais vu. »
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