Si ses tenues sont d'un noir uni depuis Cliffdell, il n'empêche. C'est le sourire aux lèvres qu'elle franchit la porte de l'infirmerie, en tendant à Nolan un gobelet fumant. C'est pas du café, mais Ohankô à promis que c'était bon. Un mélange subtil de plantes infusées, qui avait au moins le mérite de les réchauffer par l'hiver glacial qu'ils subissaient depuis leur arrivée. Et coucou vous deux. qu'elle vient souffler à Wakiza et Andrew dans leur parc, offrant un léger sourire au pédiatre. Aucun natif pour les garder aujourd'hui ? Ce ne la dérangeait pas, à dire vrai. La présence des deux bébé était toujours un plaisir, et les entendre gazouiller entre eux après le massacre de Novembre avait quelque chose d'incroyablement apaisant. Même si ... Leur présence laissait entendre qu'aujourd'hui, ils seraient assurément seuls. Comme depuis quelques jours.
Tu sais si Lisandro va mieux ? ...
La perte de Soo avait été un coup dur, après tout. Et si elle comprenait l'absence de l'hispanique, c'était tout de même très étrange de se retrouver dans ce simili d'infirmerie à deux, au fil des jours. Et sans doute que Noël quelques jours plus tôt, sans la présence d'une de ses filles, n'avait dû être en rien un moment agréable à passer. Ne pouvant s'empêcher de compatir en silence à l'idée, avant de lever un regard vers la petite bougie constamment allumée, idée de Nolan pour honorer leurs pertes. Encore trop fraîches, pour qu'elle parvienne à en parler sans être submergée par l'émotion, avant de revenir ancrer son regard dans celui de Nolan, haussant les épaules.
Je n'aurai jamais cru que ses blagues de beauf me manquerait. Qu'elle lâche à son meilleur ami non sans une esquisse de sourire, lui présentant enfin son paquet, ainsi qu'un second pour Andrew. On en profite pour s'offrir nos cadeaux tant que c'est calme ? Il y en à bien un troisième, à dire vrai. Mais celui là, elle le garde pour plus tard. Parce qu'il est bien plus important.
J’ai un bref froncement de sourcils alors que j’essaie tant bien que mal de remettre en place une des étagères de la pièce où on aura nos bureaux. Autant dire que le résultat est pas glorieux, mais je fais de mon mieux. Et puis, ça a l’air de tenir. Reste à savoir si ce sera toujours le cas avec la demie-tonne de bouquins que je vais mettre dessus – sans la moindre exagération bien évidemment. Un soupir, alors que je me recule d’un pas pour voir si elle est droite. « Ouais, on va dire que c’est pas mal. » Mieux que prévu en tout cas. Je tourne la tête quand j’entends qu’on ouvre la porte et je rends un sourire à Quinn dès que je reconnais sa silhouette. Si elle est toujours habillée de noir depuis Cliffdell, pour ma part, je me suis contenté d’un brassard noir que j’ai noué sur mon bras droit. Plus pour la symbolique qu’autre chose, mais ça me semblait le minimum. « Tu lis dans mes pensées on dirait. »
J’attrape le gobelet et je bois direct quelques gorgées. « Franchement, c’est meilleur que les derniers trucs de café qu’on avait pu trouver avant de partir. » Faudra que je pense à remercier Ohankô. Un haussement d’épaules à sa question, alors que son attention est focalisée pendant un instant sur les deux petits qui discutent entre eux dans le parc. « Nan. Cass est occupée avec les champs à préparer et a recruté pas mal de monde. Y a quelques équipes parties pour pister les poches de rôdeurs un peu trop près. » Et Tomeo en fait partie. « Je me suis dit que, vu qu’on va faire du montage de meuble et du ménage, on aurait pas besoin de nounou. » Comme pour confirmer mes propos, Andrew éclate de rire et commence à souffler des trucs totalement incompréhensibles à l’attention de son ainé.
Et à l’évocation de Lisandro, j’ai un soupir en secouant la tête. « Aucune idée. Je t’avoue que je sais pas si je dois le laisser tranquille ou pas. Y a déjà assez de monde pour aller lui parler et, si je compatis, je suis pas le mieux placer pour comprendre ce que ça fait de perdre un enfant. » Et, très égoïstement, j’ai pas la moindre envie de le savoir. « Je me dis que, quand il sera prêt, il passera la porte… et là on lui filera tout le boulot qu’il veut. Tu crois que c’est une bonne idée ? » J’ai quand même un sourire un peu triste quand elle continue. « Il me manque aussi. »
Quand elle reprend, je lève un sourcil et je vais chercher un paquet mal emballé que j’avais posé dans un coin. « Carrément ouais. Joyeux Noël et bon anniversaire. » J’attrape ceux qu’elle m’a tendus, laissant Andrew déchirer le sien – ou tenter de le faire – joyeusement. Heureusement qu’il a un coup de main et il se retrouve rapidement à mâchouiller sa nouvelle combinaison pendant que je laisse échapper un sifflement. « Oooooh, trop cool ! Tu sais que vous allez me perdre avec ce puzzle ! » Quant au bocal, il va vite trôner sur mon bureau, dès qu’on aura fini de se les attribuer.
"Our wounds are often the openings into the best and most beautiful part of us."
C'est de l'asi. Ils font ça avec des plantes qui contiennent de la caféine. Qu'elle annonce avec un air particulièrement intéressé, esquissant un sourire ravi quand Nolan assure que c'est bien meilleur que ce qu'ils ont pu boire jusque lors. Ne m'en parles pas. Je crois que si je devais prendre une nouvelle infusion de plante, j'aurai tué quelqu'un. Bill, au hasard. Evidemment. Surtout depuis que le blond s'amusait un peu trop à la traiter de sorcière. Entre autres choses. Et à l'explication de Nolan, elle ne peut s'empêcher de sourire d'un air attendri, alors que Andrew commence déjà à babiller avec Wakiza.
Et tu as bien raison. Ca nous fera le plus grand bien de les avoir ici. Et puis tu as vu leurs bras ? Ils seront plus efficace que nous pour passer le balais ! Hein Wakiza ? S'enquit la rouquine avec que le petit brun lui fait son plus beau sourire, la faisant fondre intérieurement. Venant effleurer les cheveux d'Andrew alors que les deux petits réclament d'office les bras, tournant la tête vers Nolan à l'évocation de Lisandro, pinçant les lèvres.
Laissons le tranquille. Ton idée est certainement la meilleure. Bien plus que d'aller compatir d'une perte qu'ils ne peuvent pas maîtriser, ou lui offrir un regard lourd de compassion qui n'aiderait en rien à éponger sa peine. Emettant un bref soupir à l'idée, souriant à son meilleur ami quoi que le coeur ne s'y prête pas vraiment en songeant aux pertes subies. Mais la vue des cadeaux les aide au moins à retrouver un semblant de joie, alors qu'elle ouvre grand les yeux devant les paquets.
Tu y as pensé ? Ca la touche, comme toujours. Son anniversaire ne tombait pas vraiment au meilleur moment, et si le nouvel an n'avait plus tellement d'intérêt... Le fait qu'on puisse y penser alors qu'elle n'en parlait pas lui faisait toujours incroyablement plaisir.
Joyeux Noël Nolan. Souffle la rouquine, venant ouvrir ses propres paquets sans contenir un exclamation de joie en découvrant le contenu. Stylos de couleurs, carnets, post-it. Tu me connais BEAUCOUP trop bien ! s'extasie t-elle en se retenant pour ne pas serrer Nolan dans ses bras, quoi que son regard en dise long sur la sincérité de son sourire. Mais j'espère bien que ça va te perdre. Et en plus, il irait super bien au dessus de ton bureau, nan ? Annonce t-elle en désignant le mur nu, avant de venir glisser une petite enveloppe dans les mains du pédiatre.
En fait ... Il y à ça, aussi. Annonce t-elle finalement, pinçant les lèvres. Appréhendant sa réaction en lui tendant l'enveloppe faite main, dans laquelle subsistait une petite carte de voeux classique de Noël, sans doute parfaitement cliché. Mais avec une question qui lui tenait à coeur à l'intérieur.
Je louche de nouveau sur ma tasse, hochant la tête. « Je crois que Cass’ m’en a parlé direct pour me vanter les mérites des plantes. Et pour éviter que je râle parce qu’on était en rade de chicorée. » Mais ouais, ça fait clairement le job. Au reste, j’ai un éclat de rire. « Tu sais quoi ? Le pire c’est que je me suis habitué à mon infusion tous les soirs. Mais évite de lui dire. Sinon elle va doubler la dose parce que c’est bon pour ma santé. » Je roule quand même des yeux à l’évocation de Bill sans faire plus de commentaire, avant de fixer mon fils et Wakiza, un sourire attendri sur les lèvres. « Connaissant mon fils, suffit de lui accrocher une serpillière sur les genoux et il va tout décaper à force de ramper partout. » On a encore beaucoup de boulot pour rendre l’endroit acceptable, surtout qu’on peut pas réclamer non plus l’attention de tous les autres membres de notre groupe. Chacun a beaucoup de boulot et on a pas le temps de souffler. Mais j’aime bien cet endroit et je me dis qu’on peut arriver à en faire quelque chose d’intéressant.
Au reste, je finis par hocher la tête, non sans un soupir silencieux. « Je sais pas si c’est la meilleure, mais il sait qu’on est là pour lui. En tout cas, il sait où nous trouver si besoin. Et j’ai hâte qu’il passe cette porte, ça voudra dire que ça va un peu mieux. » Pour le moment, je l’ai surtout vu près de la tente médicale qu’on continue d’utiliser en attendant que l’endroit soit viable, auprès du pauvre Malik. Soigner tout le monde, surtout après avoir géré les rôdeurs, ça a été… compliqué. Mais là encore, on y est arrivés. Même si la perte de tous ces gens est encore vive et risque pas de disparaitre de sitôt.
J’ai quand même un sourire alors que je hoche la tête à sa question. « Bah, ouais. Normal non ? » Même si on fête plus vraiment la nouvelle année, en vrai, j’aime passer ce moment avec Cass’ et Tom depuis qu’on s’est retrouvés. Juste pour marquer le coup et symboliser le fait qu’on ait encore survécu une année ensemble. Alors ouais, me rappeler de l’anniversaire de Quinn est, de fait, pas compliqué du tout. Sans compter mon petit côté… toqué. Ou un truc du genre. J’oublie pas ce genre d’informations quoi. Et je lui rends un clin d’œil en voyant sa réaction à mes cadeaux. « J’avoue qu’il rendra su-per bien. Et ça devrait m’occuper quelques heures, vous aurez la paix comme ça. » Soufflé d’un ton malicieux, alors qu’on sait tous les deux qu’il suffit de me mettre un bouquin entre les mains pour plus m’entendre. « Faudra qu’on se décide comment on partage les bureaux d’ailleurs. T’as une préférence ? » Perso, je choisirais après les autres, pas comme si c’était vraiment important. « Sinon, on fera un tirage au sort. » Et puis, ça serait cool qu’on mette un peu de couleur ici. De la vie. Qu’on commence à se sentir chez nous.
J’attrape la petite enveloppe, un sourcil levé d’un air interrogatif. « Ca se fait encore des cartes de vœux ? Je pensais pas tiens. » Et je l’ouvre, curieux, lisant le petit mot deux fois avant de relever la tête vers Quinn. « Oh wow. Sérieux ? » J’ai un temps avant de reprendre, avec un large sourire. « Félicitations ! Et… ouais, je serais ravi d’être ton témoin. » Même avant tout ça, le mariage avait pas grand-sens à mes yeux. Ptet un peu de jalousie parce que j’avais jamais pu faire ma demande à Cass’, je saurais pas dire. Et, depuis, ça s’est pas arrangé. Mais je peux comprendre pourquoi des gens ont envie de sauter le pas. « Ca me fait plaisir. Pour vous deux. » Vraiment en plus.
"Our wounds are often the openings into the best and most beautiful part of us."
Je ne suis pas surprise. Et t'as vu, ça ressemble même un peu au goût du café ! l'idée lui plaît forcément, pour avoir été une addict renommée de la caféine, ne pouvant s'empêcher de rire à l'imaginer avec son infusion. Tant que ce n'est pas l'espèce d'infusion insipide qu'on prenait pendant le trajet en imaginant que c'était une infusion... Ca ne pourra jamais être pire, je crois. Et à l'évocation de son fils, elle hausse un sourcil.
Attends, pourquoi on l'a pas embauché plus tôt pour le ménage s'il est si doué dans le domaine ? Wakiza aussi avait son lot d'énergie à dépenser, en prime. Et vu le sourire que lui offrait le natif en babillant, c'était à croire qu'il lisait dans ses pensées. Toi aussi tu veux faire le ménage ? En ce moment il arrête pas d'essayer de tenir debout, peut-être que si on lui met une serpillère dans les mains... Combiné à Andrew, quoi. Ca pouvait éventuellement faire un miracle ? Quand à Lisandro ... Ca viendra. Et quand il passera la porte, on l'accueillera avec des blagues nulles. Elle ferait l'effort, même. Avisant les bureaux en venant poser son doigt sur le plus petit, avisant le pédiatre. Allez, celui la. Et tu prends celui d'à côté, pour que je puisse venir te demander trois milles choses à la minute? Pour son plus grand plaisir.
Et enfin, l'attente. Lui laissant le temps de réaliser pour venir montrer sa bague de fiançaille, son sourire s'agrandissant quand il accepte la proposition, reprenant. C'est vrai, tu veux bien ? Rien n'aurait pu lui faire plus plaisir, à dire vrai.
Ce sera pas un mariage au sens propre du terme, avec de la nourriture partout et de la musique, hein. Pas avec l'état des stocks, il en était tout bonnement hors de question. Et même si Nolan devait s'en douter aisément, elle tient à préciser. C'est plutôt... Un rite natif, en fait. C'est Sahale qui va s'en charger. Elle savait à quel point ça tenait au coeur de son fiancé, après tout. Et de le définir comme tel fait battre son coeur un peu plus vite à l'idée. Donc tu vas aussi devoir me supporter à répéter les quelques mots que j'ai appris avec Frances, pour être sûre qu'ils soient bien prononcés. Qu'elle s'excuse par avance.
Et Cass et Andrew sont invités, bien sûr. précise t-elle pour la forme, penchant la tête sur le côté. On va faire ça en tout petit comité, en vrai. Et ... Quand je reverrai Liv, on refera quelque chose pour qu'elle puisse y assister aussi. Tucker avait accepté, après tout. Mais elle doutait fort que son frère soit de la partie, en revanche.
Je renifle une nouvelle fois ma tasse, curieux, avant d’avoir un hochement de tête approbateur. « Okay, ça, ça me plait. » Je lui rends un large sourire quand on parle de ma tisane quotidienne, avant de reprendre. « Nan, quand même pas. Elle a réussi à trouver des plantes plutôt cool, juste pour le plaisir de me dire qu’elle a raison. » Et si le sujet Bill la tend, je préfère la voir sourire en regardant les petits. « Parce que je l’exploite à la maison pour le moment. Et ça fait que quelques jours qu’il rampe vraiment. Avant c’était plus… tu vois les vers de terre ? Bah la même. » Le fait qu’il soit toujours accroché à Wakiza aide vachement à son développement, c’est assez bluffant. Il veut le copier constamment et j’avoue que mon côté pédiatre est ravi d’analyser tout ça. « Vrai qu’il tient bien sur ses jambes ce jeune homme. » Preuve en est qu’il s’accroche aux barreaux et se soulève. Avant de retomber sur Andrew qui éclate de rire. « … normal. »
Un hochement de tête en réponse à propos de Lisandro. « J’espère juste qu’il se perdra pas trop en cours de route. » Il avait déjà eu du mal à revenir, après son amputation. Là au moins, il est pas interdit d’infirmerie, c’est déjà ça. Et j’avise le bureau qu’elle me désigne, faisant mine de réfléchir longuement à la question. « … allez, vendu. Mais rêve pas, t’auras pas accès à mes sucreries facilement juste parce que t’es à côté. »
Bon, tout ça est balayé quand elle me montre la bague. Que j’examine avec attention avant de relever la tête vers elle. « T’as vraiment pensé que je pourrais refuser ? » Et, quand elle me donne plus de détails, j’ai un froncement de sourcils intrigué. « Il faudra que je fasse des trucs particuliers en tant que témoin ? Que je sache si je dois aller parler à Sahale ou pas. » Le reste me fait rire. « Ah ouais ? Tu sais déjà ce que tu devras dire alors ? » Forcément, je suis curieux, comme tout ce que peuvent nous apprendre les nouveaux membres de notre groupe. On a la chance de découvrir une nouvelle culture, mieux encore, de la partager. Alors clairement, je vais pas me priver. « Bon, niveau nourriture, on peut ptet tous apporter un truc, ça évitera de trop galérer. T’en dis quoi ? »
Et je lui rends un large sourire quand elle parle de Cass et Andrew. « Oh, faut que je lui trouve un petit nœud pap’. Il sera trop classe. » Cass aussi, j’ai aucun doute là-dessus. J’ai une grimace compatissante quand elle évoque Olivia et je souffle, un ton plus bas. « On pourra faire une belle fête cet été. Elle sera contente de voir que tout s’est bien passé pour vous cet hiver. » J’espère juste que Quinn saura apprécier le moment sans trop penser à tous les absents. Même si c’est plus facile à dire qu’à faire.
"Our wounds are often the openings into the best and most beautiful part of us."
La comparaison lui arrache un rire, secouant doucement la tête. Ok, mais un ver de terre super mignon quand même. Surtout quand il gazouille de la sorte avec Wakiza, qui s'échine encore et encore à essayer de tenir debout. D'ici peu, elle ne doutait pas qu'il essaierait de courir dans la neige pour tester ses limites. Avisant les deux avec un air attendri, avant de prendre son meilleur air offusqué à sa remarque.
Moi, voler les bonbons ? D'accord, elle l'avait peut-être fait une fois ou deux dans la réserve personnelle de Lisandro. Mais il n'avait qu'à les manger plus vite ! Jamais, ô grand jamais, dans ta réserve à toi.
Ele ne pouvait pas promettre la même des autres. Et de toute manière, la discussion dérive sur le mariage, esquissant un sourire. Nos réserves sont déjà basses, je ne veux pas imposer un rationnement supplémentaire pour mon mariage...Mais comme il le disait. Ils pourraient aisément se rattraper à l'été avec l'arrivée de Liv pour un vrai festin en contrepartie. Hochant la tête avec ferveur à l'idée de trouver un noeud papillon pour son fils, proposant même. On peut tenter de les habiller de manière assorti avec Wakiza ? Si Nima nous laisse faire, quoi...
Moins sûr. Même si elle la laissait souvent pouponner son fils, avec ses absences répétées. Mais ils trouveraient, elle en était persuadée. Et déjà, la discussion dérivait sur cette histoire de nourriture à potentiellement apporter, de manière à ne pas abîmer les stocks de tous. La au moins, résidait l'avantage des mariages en petit comité. Ils ne pilleraient aucun stock...
- FIN -
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