The Walking Dead RPG

Hmm... Je le fixe un instant, sans trop savoir quoi en penser avant de froncer les sourcils : Vrai que le doute serait un bon début, je suis sans doute trop pénible pour laisser une belle occasion passer sous mon nez de cette manière. Un sourire perce sur mes lèvres, l'instant d'après je soupire : Dis-moi un truc crédible sur ton expérience en la matière, pour que je puisse rivaliser si on me pose des questions ! J'insiste d'un regard perçant, en lui donnant même un coup de coude de circonstances : Me regarde pas comme ça, il faut bien que l'histoire ait du sens, non ?

Et puis, ça motivera encore plus les conjonctures, même si ça n'a rien de la réalité. J'ai un sourire mutin rien qu'en y pensant, ça m'amuse sans doute trop pour que ça soit honnête. J'ose croire que tu m'inviterais si vous faisiez vraiment de la meth là-dedans, que je ris doucement avant de secouer la tête, reprenant un peu du joint, je le lui rends pour l'échanger contre mon verre : Sérieusement ? Un nouveau rire, troublé cette fois : Je veux bien continuer à t'en dire si elle te manque trop, parce qu'il s'agit de ça, non ? Mais pas sûre que ça te fasse le même effet, l'accent n'est pas tellement au rendez-vous.

Don't make me sad, don't make me cry. Sometimes love is not enough and the road gets tough, I don't know why. Keep making me laugh, let's go get high : The road is long, we carry on, try to have fun in the meantime

« Préviens-moi d’abord, que je sache pourquoi il débarque au laboratoire la prochaine fois » Là, il commençait à boire suffisamment que pour minimiser la prise de risque. Par contre la question qu’elle lui pose le prend un peu de court. « Quoi ? » Puis elle s’explique. « Mh. Un truc que les autres pourraient confirmer. » Le pire était sans doute qu’il réfléchissait. « Je fais ce truc… avec la langue… » Mais il s’interrompt en la regardant : « Oublie ça… Tu n’as qu’à lui dire que j’ai une tâche de naissance à l’aine. C’est une sorte de gros grain de beauté carré. Calypso peut confirmer. »

Il la regarde de haut en bas alors qu’elle estime être dans les VIP qu’il mentionne. « Mmh je ne sais pas, Maverick n’étant pas le bienvenu, ça aurait été dommage que tu lui racontes après un shoot. » Dit-il, en ponctuant d’un clin d'œil amusé. « Tu aurais eu ta dose, va. » Qu’il ajoute quand même, en levant les mains au ciel, comme un geste d’évidence.

« Mmh, non ce n’est pas pareil… Mais quand même. » S’amuse-t-il, en ôtant peu à peu les filtres de son parler. « D’une certaine façon, elle me manque. Mais ça ne fait plus aussi mal… Parce que c’était bien et que ça s’est bien terminé. » Ce qui était cent pour cent vrai. « J’aime juste pas voir Juan venir lui tourner autour à la fin de ses journées. » Dit-il, en haussant les épaules, restant un peu jaloux malgré tout. « Mais elle fait c’qu’elle veut après tout. » Et finalement, lui aussi. Même s’il devait s’avouer que ça n’avait plus la même saveur.

( crawling back to you )

i die everytime you walk away, don't leave me alone with me, see, i'm afraid of the darkness, and my demons, and the voices – see nothing's gonna be okay.

Hein quoi ? Tu fais quoi avec ta langue ? Je le fixe longuement, le regard plongé dans le sien, accrochée à ses mots. J'ai envie de savoir et la frustration me gagne quand il renonce et me parle d'une tache de naissance : Oh ! Pas vraiment le choix, je pince les lèvres et soupire : Ok, je prends note, c'est quand même vachement moins croustillant que le truc avec la langue, bon sang ! Je veux savoir ! A moi de ronger mon frein...

Je ne me remettrais jamais avec lui, juste pour avoir un max de drogues à consommer en paix ! J'ai un rire amusé qui m'échappe, j'espère que ça semble être crédible comme phrase. En bonne irresponsable en tout cas, comme j'ai pu l'être passé un temps, peut-être. Et un autre rire alors que je m'assoie sur le bord du transat pour me pencher vers Fried : Ah oui, elle m'a dit que tu étais un gros jaloux ! Je ne l'imaginais pas comme ça, mais force est de constater qu'on ne se connait pas tous très bien : C'est moche, Fried ! D'autant plus quand tu n'es pas un exemple de fidélité, toi-même !

Don't make me sad, don't make me cry. Sometimes love is not enough and the road gets tough, I don't know why. Keep making me laugh, let's go get high : The road is long, we carry on, try to have fun in the meantime

Il rit, de ce rire typiquement masculin qui sait si bien de quoi il parle. « Si je te raconte, ce ne serait plus pareil entre nous, Summer. » Il ponctue d’un clin d'œil charmeur. Après tout, ils ne risquent pas d’essayer ça ensemble, n’est-ce pas ? « Ne sois pas si déçue, tu me fends le cœur. » S’amuse-t-il, alors que visiblement il a titillé son imagination.

« Mmh, j’aime ce que j’entends » Son ton est léger. En réalité, il n’en a pas grand-chose à faire qu’elle se remette avec ou non. C’est un choix qui la regarde assurément. Et qu’elle soit de nouveau avec lui ou non, ça n’empêcherait pas Stanley de lui jeter un regard noir en passant.

A la mention de sa jalousie, il lui jette un regard en coin avant d’amener son verre à ses lèvres. « Roh oui, bon et alors ? Je ne suis pas infidèle en plus, je n’ai jamais trompé personne et encore moins Calypso. C’est peut-être parce que je sais ce qu’ils ont dans la tête que je suis jaloux. » Suggère-t-il, pour garder la face. « Du reste, je ne fais de mal à personne. La plupart du temps, ce n’est que pour passer le temps et elles sont tout à fait partantes et au courant. C’était juste différent avec Calypso… et d’une certaine façon, avec Adrienne. » Même si pour le coup, à l’époque, les deux savaient pertinemment que cette histoire aurait une date de péremption. « Mais c’était vraiment différent avec Calypso. Peut-être que ça s’est terminé … bien, mais je n’avais pas vraiment vu la fin arriver. » Il hausse les épaules ensuite.

« Mais c’est pas de moi qu’il est question ce soir, il me semble. Pas que ! » Oui, il préfère détourner l’attention de lui, en passant. « Et puis ne viens pas me dire que t’es pas une jalouse dans l’âme, et même chose pour Stanley. J’en mettrais ma main à couper. » Lance-t-il, lui renvoyant la balle.

( crawling back to you )

i die everytime you walk away, don't leave me alone with me, see, i'm afraid of the darkness, and my demons, and the voices – see nothing's gonna be okay.

Oh allez ! Je veux savoir ! Je trépigne sur place, quasiment comme une gamine en lançant un regard à Fried avant de le saisir par les épaules : Dis-moi ! Je ne lâcherais pas le morceau, jusqu'à ce que lui vende la mèche en tout cas. Plus il joue du mystère, plus j'ai envie de savoir, c'est assez terrible, non ? Un rire m'échappe cependant : C'est pour ça que tu es jaloux ? Parce que pour toi, tous les mecs pensent à la même chose ? Vu que toi-même tu penses tout le temps à ça ? Je ne suis pas spécialement étonnée tout compte fait. Avec Adrienne ? J'avais oublié cette part de ta vie, que j'ajoute.

Oui, notamment parce que ça remonte à loin. Et qu'après Calypso, j'ai même pu croire qu'il n'y en aurait pas d'autres. Il y a parfois des personnes qui balaient tout ce qui s'est passé avant, et avec qui il n'y aura jamais d'après eux. Tu aurais fait les choses différemment pour éviter la fin ? Que je lui demande en fronçant les sourcils. Un nouveau rire cependant : Stan, non, enfin, pas tant que ça : Moi, putain, grave, et je m'en cache pas. J'ai balancé quelques assiettes à la gueule de Stan quand j'ai appris que son équipe s'était rendu au motel. Et il y a eu d'autres histoires, j'ai très peu de limites je crois sur mes réactions, une vraie plaie.

Don't make me sad, don't make me cry. Sometimes love is not enough and the road gets tough, I don't know why. Keep making me laugh, let's go get high : The road is long, we carry on, try to have fun in the meantime

Il en rit d’autant plus. Mais l’alcool aidant, il cède. « Une de mes conquêtes a appelé ça Le Serpent » Dit-il, en souriant. Et pour les explications que Friedrich donne à Casey à cet instant ; allez voir la page 144 du livre Jouissance Club et le schéma du Serpent (si si). Il observe la réaction de la jeune femme, particulièrement fier et amusé. Oui, cette conversation est hallucinante. Mais ils ont ingéré suffisamment d’alcool et de marejuana pour que cela soit presque logique.

« On est quasiment tous pareil… La preuve en est ! … Je crois qu’elle va lui dire oui bientôt. » Juan n’est en aucun cas un type lourd ou envahissant. Il est charmant et… patient. Bien sûr que Calypso va finir par sortir avec lui. Peut-être que ce serait déjà fait s’il n’y avait pas eu leur histoire commune. Sans doute. Soit. « Adrienne n’est pas aussi rigide qu’elle en a l’air - et ce n’est pas la seule, d’ailleurs. » Commente-t-il, sans filtre, en pensant à Layla tout à coup.

« Si j’avais su que ça allait se terminer, je crois que j’aurais torpiller la relation avant alors… C’est mieux comme ça. » Au moins n’y avait-il aucune rancœur, et personne ne devait subir les tensions d’une rupture difficile au laboratoire. « Stan n’est peut-être pas jaloux, mais il n’a jamais apprécié qu’on puisse s’entendre toi et moi, encore moins quand Esther a fait sa fixation sur moi » S’amuse-t-il à lui rappeler. Il rit quand elle parle d’assiette volée et brisée. « J’aurais adoré voir ça ! » Sincèrement. « Moi, c’est la mauvaise foi qui me trahit, je ne sais pas combien de fois Calypso a dû me remettre les idées en place à ce sujet. Cela étant, j’avais raison au début de notre relation sur le fait que Juan lui faisait déjà du rentre-dedans. » Est-ce que ça justifiait ses excès de jalousie ? Probablement pas.

( crawling back to you )

i die everytime you walk away, don't leave me alone with me, see, i'm afraid of the darkness, and my demons, and the voices – see nothing's gonna be okay.

Wow, ok, je vais regarder ça, je fixe Fried après ces explications, curieuse évidemment d'en savoir plus que ça. Je ne suis pas une grande liseuse pourtant mais je crois que juste pour ça, je vais fournir un effort. J'espère qu'il y a des illustrations, ou des dessins comme dans les comics parce que sinon, ça risque d'être vraiment compliqué pour moi : J'ai l'impression d'être tout de suite beaucoup plus intelligente ! Ouais, je suis moqueuse avec moi-même, là.

Pas la seule ? J'ai déjà du mal à avaler cette couleuvre : Adrienne a l'air sacrément coincé du cul. A croire qu'elle range tous les balais et son outillage pour ses avions directement dedans. Il y a des gens à qui ça plait, j'imagine. A qui tu penses ? Que j'ajoute alors en plissant le regard, curieuse évidemment.

Et un rire m'échappe : On a tous nos défauts sur ces questions-là, puis, ceux avec qui on est aussi ont des défauts. Genre... Ok, Calypso n'a pas du tout l'air d'en avoir vu comme ça, là-dessus c'est vrai que la chercheuse est super douée. Mais Stan, il en a une tonne ! J'ai un temps de réflexion : Bon peut-être pas une tonne, j'essaie de me rassurer comme je peux, un soupire m'échappe : Il n'a jamais voulu me dire ce qu'il s'est passé à Portland. Ce qu'il s'est passé et... Pourquoi il est comme ça, que j'ajoute. C'est ça, son défaut.

Don't make me sad, don't make me cry. Sometimes love is not enough and the road gets tough, I don't know why. Keep making me laugh, let's go get high : The road is long, we carry on, try to have fun in the meantime