The Walking Dead RPG

Ils ont investi une salle du rez-de-chaussée, celle qui sert habituellement pour les danses des prostituées. Les meubles repoussés dans les coins de la pièce, ils ont un semblant d’espace, sur un sol en moquette impregnée de saleté. Ce n’est pas idéal, loin de là, mais ça fera bien l’affaire.

Il est encore tôt, le jour se lève et la plupart des filles peuvent espérer rester tranquilles jusqu’au soir, où tout s’accélère. Elles, comme lui, ont enfilé des affaires simples dans lesquelles ils pourront bouger. Ray ne prend même plus la peine de cacher la cicatrice qui fend son avant-bras, la laisse respirer.

Javotte et Anastasie se sont joints à eux. D’abord pour se moquer, et puis, peut-être, par réel intérêt. Dans le cadre de la porte, Ray croise le regard d’Edith qui garde un oeil sur ses protégées, plutôt satisfaite de cette initiative. Nombreux sont les clients armés ou violents. Et ici, rien ne les protège vraiment. Les disgraciés, et en particulier les femmes, sont les défouloirs de bien des hommes frustrés.

Puisque personne d’autre n’entre - pas encore en tout cas, Ray toussote pour retrouver sa voix et souffle, “Ok… on va pouvoir commencer.” Il a conscience qu’il est loin d’être crédible dans son rôle de professeur. Il ne vaut clairement pas grand-chose, ses muscles ont fondu, ses réflexes emportés par la fatigue. Mais il a encore les enseignements de River en tête. Son bagage de kiné, aussi, est toujours utile lorsqu’il s’agit de sport.

“Allez, renforcement. Mettez vous au sol,” Fait-il en s'exécutant lui-même, prenant la position de planche, relevant légèrement le pied qui le fait souffrir, même si ça complique l’exercice. “Commencez par une dizaine de pompes. Posez les genoux si c’est trop difficile.” Il fait la démonstration du mouvement, avant de le commenter, “Les mains bien sous les épaules, descendez en douceur.” Il relève la tête pour vérifier qu’il n’est pas tout seul à se bouger. Les jumelles grimacent déjà et soufflent sous l’effort.

Lui parvient à enchaîner correctement malgré sa faiblesse dans la jambe. Il se relève pour encourager ses élèves, “Allez, encore un effort.” Ce n’est que le début de leur entraînement. Lorsque les filles finissent, avec ou sans mal, Ray reprend sa position initiale, sur les mains. “La même chose, mais une fois la pompe finie, vous ramenez vos pieds,” Il s’éxecute, “vous remontez en squat, sautez, si vous le pouvez.” il bondit sur un seul de ses pieds, “et vous redescendez.” en achevant son burpee qui, il le sait, en épuisera déjà quelques unes.

“J’en veux au moins cinq. Après ça, on attaquera les combats…” Et elles pourront choisir leur partenaire, celle qui reste viendra avec moi.

Tirez un dé 10 sur votre endurance. En cas d’échec, vous n’arrivez pas à finir, booooo !

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Ale moja żona zrobiła
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Tasya est dans un coin de la pièce, attentive aux explications de Ray. Depuis quelque temps, elle enchaine des petits exercices que lui a donné le kiné, pour retrouver une bonne mobilité au niveau de sa cheville et de sa clavicule. Elle s'obstine, ne loupe aucun entrainement et ses efforts payent au fil des jours. Ses fractures restent fragiles, mais elle peut désormais marcher sans béquille, sur de courtes distances en tout cas. C'est un réel soulagement. Les douleurs se font moins intenses aussi. Ses côtes en particulier qui la faisaient énormément souffrir sont beaucoup moins sensibles.

Aujourd'hui, Ray a organisé un petit entrainement pour l'ensemble des filles du bordel et la mexicaine ne louperait ça pour rien au monde. Vu où ils sont, le danger est constant, il est primordial qu'elle sache se défendre. Beaucoup de femmes ont l'air de penser comme elle et Tasya est plutôt satisfaite de voir le succès de l'entrainement du kiné. Elle lui adresse un petit sourire d'encouragement. Tous les griefs semblent enterrés pour le moment, et elle peut dire qu'elle apprécie les personnes présentes ici : Phoebe évidemment, Ray et même Harper qu'elle apprend à connaitre peu à peu.

Elle s'exécute et se met à genoux pour les pompes, elle préfère épargner sa cheville pour le moment. Immédiatement, toutes les douleurs dans son corps se réveillent mais elle serre les dents et tâche d'enchainer les mouvements sans ciller. La fatigue prend également rapidement le dessus. Bon sang, elle a perdu en muscles, en tonicité. Il faut vite qu'elle se reprenne.

Finalement, elle se relève, et enchaine avec les autres exercices. Son visage est figé par l'effort et par la douleur que ça entraine sur son corps meurtri. Au bout de 4 burpees, elle s'arrête et pose ses mains sur ses côtes trop douloureuses. C'est frustrant de ne pas arriver à aller au bout de son effort. Elle est déçue, mais elle ne doit pas oublier dans quel état elle était il y a encore quelques semaines. « C'est dur » souffle-t-elle à Phoebe, à ses côtés. Tasya attrape une bouteille d'eau pour en boire une longue gorgée.

Spoiler:

Message In A Bottle

Just a castaway, an island lost at sea,
another lonely day with no one here but me
More loneliness than any man could bear
Rescue me before I fall into despair

C'est avec un peu de retard que j'ouvre la porte de la salle du rez-de-chaussée, clignant des yeux alors que je découvre que le cours improvisé par Ray a rencontré plus de succès que je ne l'aurais imaginé. Un poil gênée, d'une par mon arrivée tardive, de deux, par ma tronche qui rivalise sans difficultés avec ma gueule des premiers jours à ma disgrâce, je marque un temps d'arrêt. Figée au seuil de l'entrée, j'attends bêtement qu'il se passe quelque chose. Un bref instant, je m'interroge. Le sempiternel mais qu'est-ce que je fous là tournoie dans ma tête, à la manière d'un disque rayé, se fracassant contre les parois de mon crâne sans que je ne sois en mesure de prendre une décision définitive. A la place, je me contente d'observer les femmes présentes en train d'effectuer des exercices qui semble fait transpirer leurs pratiquants. Ayant loupé les consignes du début du cours, je pèse le pour et le contre, avant, au bout du compte, de souffler, cédant à la raison première de ma venue ici.

Qui se résume à : je ne suis pas là pour rien branler, en somme. J'ai besoin aussi d'évacuer ces sentiments qui m'étreignent et m'étranglent, et les exercices de Ray me semblent être une bonne alternative à des envies de meurtre. Cela étant, quand je vois tout le monde jouer des articulations, je fais la moue, songeant que je ne risque pas de faire honneur aux sportifs du quartier. Je soupire néanmoins, fermant la porte derrière moi alors que je me traîne un peu plus dans la salle, me calant au fond, au risque de passer pour la cancre de service. L'avantage de ce cour, c'est qu'il a de quoi remplacer les sessions de self-defense que Kendale avait mis en place depuis peu. Et que j'avais tout autant foiré avec ma faible condition physique. Pas étonnant que je me sois fais défoncer par un trône, quand on voit le peu de muscles qui filtre sous ma peau. En masquant à peine mon dépit, je suis aveuglément les autres personnes présentes, m'engageant dans la pratique de pompes qui ont tôt fait de m'épuiser. C'est très rapidement que je sens la sueur perler sur mon front à mon tour, et qu'un vertige me prend, une migraine s'acharnant toujours à gâcher le moindre de mes efforts, dès lors que j'exécute une action un peu trop physique.

Je suis forcée de mettre un genou à terre, et je passe une main fébrile sur mon bras qui affiche encore des bandages maladroits, soufflant doucement. Ouch. Le rétablissement est plus long que prévu et je me retrouve à rester arc-boutée, jaugeant les autres sportives en herbe par-dessous mes cils. Elles s'en sortent plutôt bien, elles. J'émets un petit rictus à l'attention de Tasya, aux côtés de Phoebe, quand je remarque néanmoins qu'elle doit à son tour se stopper. J'en viens à l'imiter quand elle se saisit d'une bouteille d'eau, me souvenant d'un coup que j'ai aussi apporté une gourde, et je me cache derrière le liquide transparent - oui je sais, très mature, en espérant que personne ne remarquera mon incapacité à aller plus loin. Aller, si je reprends un peu de couleurs dans les minutes suivantes, j'arriverai peut-être à accomplir le prochain exercice, non ?

Spoiler:

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Watched my hands curl into fists, your name just went on my list. I won't say I'm sorry, I'm angry all the time. You think I fly, but I like to crash and burn, I guess I'll just never learn, how to keep my nerves.
☾☾ And it feels like a poison to me ☾☾ To Be So Angry All The Time

Son regard capte celui d’Hoani qui entre pour les rejoindre. Ray l’accueille d’un simple signe de tête, sourire difficilement étiré sur ses traits fatigués. Depuis son arrivée, il ne sait pas trop comment composer avec elle. Il a tourné le dos aux rebelles il y a un an de ça, mais n’oublie pas qu’ils ont creusé une tombe ensemble, dissimulé des preuves ensemble. Aujourd’hui, il ne sait plus trop s’il doit renouer avec ce passé, trop indécis, trop angoissé, surtout, à l’idée de s'exposer à un nouveau châtiment.

Les filles souffrent des exercices qui mettent à mal leurs corps meurtris. “C’est normal que ce soit difficile. Vous vous en sortez bien.” Mais peut-être a-t-il mis la barre trop haut vu leur état. Lui-même a beaucoup de mal, entre sa blessure et l’amaigrissement qui bouffe ses forces un peu plus chaque jour.

“Trop facile !” Fait Javotte en se redressant après plusieurs burpees, chassant la sueur qui perle sur son front d’un revers de manche, ricanant en regardant le calvaire de Tasya et Hoani. Sa jumelle, en revanche, a également bien de la peine à finir. “Allez Annie tu t’es ramollie ou quoi ?” En l’aidant à se relever.

“Mettez vous en duo. J’ai besoin de l’une d’entre vous aussi.” Javotte s’accroche solidement au bras de sa soeur, comme pour l’empêcher de filer. Je fais signe à Phoebe de s’approcher, Tasya et Hoani pourront se mettre ensemble.

“Tenez. L’une de vous prend ça.” Fait-il en attrapant les coussins défraîchis d’un large canapé miteux. Il les balance à chaque duo, en garde un dans ses mains. “On peut déjà s’entraîner à frapper là dedans.” Il approche Phoebe, lui donne le coussin. “On reste en garde haute, au niveau du visage.” en levant les poings devant lui, légèrement de côté, “On va faire un enchaînement simple. Droite, gauche, uppercut.” Mime-t-il en coups légers contre le coussin que tient Phoebe devant elle. “Faites ça une dizaine de fois avant d’échanger et… n’hésitez pas à taper fort, mais à viser.” A-t-il peur de se prendre le poing de Phoebe dans le nez ? Un peu.

Dans leur duo, c’est lui qui commence. Ray mesure sa force comme s’il en avait encore, mais la précision n’est pas vraiment là. A deux reprises, c’est lui qui rippe sur le coussin et frappe Phoebe à l’épaule et à la hanche. “Désolé…” grimace-t-il, conscient que sa performance est assez catastrophique.

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Elle s'en sort bien ? M'ouais, Tasya a plutôt l'impression d'être complètement rouillée et qu'on est en train de la passer sous un camion. La douleur se réveille dans chacun de ses membres, vient tirer sur ses côtes en rémission et sur ses os trop faiblement consolidés. Pour autant, elle ne lâche rien, hors de question d'abandonner. Il est primordial qu'elle sache se défendre ici. Elle ne veut pas être un boulet pour les autres. La mexicaine ignore Javotte et son sarcasme. De toute manière, elle s'entraine pour elle-même, pas pour la compétition. Au contraire, ce petit jeu venant des deux sœurs est ridicule.

Les filles doivent maintenant se mettre en duo. Javotte et Anastasie se mettent l'une à côté de l'autre, Ray et Phoebe ensemble et c'est vers Hoani que la brune se tourne. « Désolée, t'as pas hérité de la meilleure » souffle-t-elle avec un petit sourire, navrée pour elle. Si elle avait su, cela ferait bien longtemps qu'elle aurait entretenu sa condition physique. Là, sa grossesse récente, la torture d'Alec et le manque de nourriture l'avaient considérablement affaibli.

Ray lance le coussin à Hoani. Tasya se met donc en position en essayant d'imiter les mouvements du kiné. Elle porte ses deux mains à son visage. Le coup droit part dans le coussin avec pas mal de force, l'uppercut aussi mais dès qu'il s'agit de monopoliser son bras gauche, la souffrance est trop forte et Tasya vise à côté. Une grimace de douleur déforme ses traits, mais elle ne se plaint pas. La brune est concentrée. Elle s'y reprend à plusieurs reprises et constate toujours la même faiblesse du même côté. Bon, après, Alec lui a fracturé la clavicule gauche, c'est donc normal que ça la fasse souffrir un peu. «  Pause ! à toi ! » souffle Tasya à bout de forces, venant attraper sa bouteille d'eau pour la porter à ses lèvres. Elle est déjà en sueurs.

Elle vient prendre le coussin pour permettre à sa coéquipière de s'entrainer à son tour. « Vas-y doucement, hein » lui glisse-t-elle avec un petit sourire. Qu'elle ne se retrouve pas avec le nez cassé !

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Bien s'en sortir ? C'est assez relatif, et je grimace malgré le vain compliment de Ray. J'ai envie de me laisser rouler sur le sol tellement le moindre effort m'épuise, mais je vais essayer de gober le mensonge et de puiser dans le peu de forces qu'il me reste. Que puis-je faire d'autres, de toute façon ? J'essaie de me convaincre que je ne suis pas une bonne à rien, mais c'est un peu compliqué, en l'état. D'autant plus lorsque certaines s'affichent un peu trop contentées par leurs exploits. Chouette, Javotte a réussi, tant mieux pour elle, quand elle veut elle nous encourage aussi.

Finalement, et heureusement presque, le brun enchaîne sur un autre exercice, et c'est Tasya qui me rejoint. J'ai l'impression que nous dansons sur un même pied d'égalité, et cela me rassure quelque peu d'être avec elle. A vrai dire, c'est elle qui a su m'apaiser au dispensaire, et je me sens presque privilégiée de pouvoir me reposer sur elle. Un petit sourire accompagne alors son commentaire, et je rétorque à mon tour : « C'est plutôt moi qui m'excuse, je ne risque pas de relever le niveau. » Lever le bras est déjà bien assez difficile en soit.

Je regrette que les entraînements avec Kendale et les autres soient survenus si tardivement. Si j'avais su, je serais aller le voir bien plus tôt. On ne peut pas dire que j'ai eu le temps de glaner en muscles depuis que je suis ici. Quelle idiote j'ai été. Même Louisa doit se moquer de ma condition physique, elle qui a forcément dû préserver sa forme d'antan. En grimaçant, je m'oblige alors à me mettre en position avec la brune. Le coussin dans les bras, j'encaisse les coups portés par la mexicaine, repérant sa douleur, sa faiblesse. Je l'encourage, d'hochements de tête approbateurs, d'exclamations faussement enthousiastes. La félicitant même pour ses efforts qui paient: « Yes, tu gères ! » Je vais jusqu'à esquisser une plaisanterie à son attention : « Tu m'as menti en fait, tu t'étais déjà entraînée ! »

Et puis... vient mon tour. Sans grande volonté, je tends le coussin à Tasya, et plie les bras, tant bien que mal. Je retiens déjà un râle d'agonie, et balance par réflexe mon premier coup dans le vide. Oh bon dieu. Je me râcle la gorge, gênée, et réitère mon mouvement. L'offensive est réussi, mon poing frappe la cible, secouant faiblement le coussin. Bon, c'est déjà ça. Requinquée, je recommence et manque, cette fois, de frapper ma partenaire. « Oh merde ! » Je lâche un juron, vexée, déçue, désolée, aussi. Le spectacle que je dois renvoyer est pathétique et je me répands en excuses, la tête baissée, prête à m'avouer vaincue. « Pardon Tasya, je ne voulais pas te faire mal. Je suis navrée, je n'arrive à rien. » Quelle piteuse partenaire je fais, dis donc. « Si tu veux échanger... » Ou changer carrément d'équipe, je comprendrai.

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Ray peine à exécuter son propre exercice, il a conscience d’être un professeur assez pathétique. Mais il est le seul à avoir eu droit aux entraînements militaires de Walla-Walla - c’est aussi le seul homme du bordel, il est donc, par nature, le mieux placé pour ça. Passé son tour, il reprend l’épais coussin pour permettre à Phoebe de se défouler, et pourquoi pas de se venger de ses coups mal placés. Et elle se débrouille particulièrement bien ! Si son poing ripe contre le tissu dans un premier essai maladroit, les suivants sont à la fois précis et puissants.

Tout en encaissant, il tourne la tête vers les deux autres duos. Javotte et Anastasie font un peu n’importe quoi mais semblent prendre du plaisir à la tâche, au moins. Hoani et Phoebe s’en sortent plutôt bien malgré quelques maladresses, mais le kiné serait bien mal placé pour leur reprocher.

Les coups pleuvent encore quelques minutes et, lorsque l’air de la pièce s’est largement réchauffé et que la sueur commence à perler, il est temps de changer d’exercice.

“Vous pouvez boire, si vous voulez.” Une courte pause pour souffler et se désaltérer, le temps aussi de ranger les coussins.

“Restez avec votre partenaire.” Enfin, elles pourraient bien changer si ça leur chante, pourvu qu’elles soient par paires. “On va voir quelques gestes de self-défense. Le but est de vous dégager. Ensuite… en situation réelle, vous devriez juste filer.” Et ne pas se sentir pousser les ailes de combattantes contre les hommes qui pourraient les agresser. Si l'altercation a lieu dans une chambre, le simple fait de sortir dans les couloirs du bordel pourrait les mettre hors de danger.

Ray se remet en position avec Phoebe, prends sa main pour passer son bras autour de son cou, se penchant en arrière pour réduire leur écart de taille. “Si on vous prend de cette manière, le mauvais réflexe serait de pousser vers l’avant. Ca ne ferait qu’empirer la situation.” Démontre-t-il directement, “Au contraire, il vaudra mieux reculer. Vous pouvez utiliser votre environnement pour plaquer l’autre contre un mur. Ensuite, tenter de frapper ce qui vous est accessible : les yeux, le nez, l’entrejambe…” Cite-t-il en illustrant ses paroles par des gestes ralentis, qu’ils soient lisibles et inoffensifs pour sa partenaire. “Je vous laisse essayer.” En échangeant sa place avec Phoebe, finalement soulagé de s’exercer avec une femme sans que les contacts rapprochés ne le mettent en état de panique.

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