Retrouver la maison avait quelque chose d'incroyablement satisfaisant, maintenant qu'elle y était enfin. Avisant les vagues proches de la plage, terminant de se réveiller en douceur en fumant une cigarette avec Echo, avant d'aviser Em rejoindre l'endroit qui lui faisait office d'infirmerie. Faisant signe à l'afro américain qu'elle le rejoignait plus tard, confiant Samhain à ses soins avant de prendre la direction du point de rendez-vous, ayant au moins la décence de taper à la porte avant d'entrer dans les lieux, après avoir jeté sa cigarette pour éviter à la blonde d'avoir une attaque.
J'suis un peu en avance, désolée. qu'elle s'excuse pour la forme, senfonçant les mains dans les poches de son jean déchiré en avisant cet endroit qu'elle fuyait d'habitude comme la peste, quand elle le pouvait. Autant dire ... Rarement. Ongles arrachés, passage à tabac, égratignure. L'idée lui arrache un bref sourire, alors qu'elle reprend à l'attention de la blonde face à elle. J'te le redis Em. J'suis vraiment pas calée en soins, autre que s'occuper d'un chien. Elles en avaient longuement discuté sur le trajet retour, après qu'elle ait vomi ses tripes deux jours d'affilée. Une aide à l'infirmerie ne serait pas de refus, et si elle était d'avantage experte en explosifs, elle ne crachait jamais sur l'idée d'apprendre un peu. Surtout si ça pouvait permettre un soutien sur le terrain, si jamais une expédition tournait mal en mer ou sur terre. Restant debout sans trop savoir si elle devait s'asseoir ou non, avant de passer une main contre sa nuque, pas spécialement à l'aise dans cet environnement.
Tu veux ... Un recap de c'que je maîtrise, ça peut aider ? Ouais, bien vu Lex. Histoire de lui faire le super compte rendu de toutes situations de merde dans lesquelles elle avait pu se trouver sans soins réels, lui permettant d'arborer des supers cicatrices disgracieuses un peu partout tiens, elle allait adorer. Ou hyperventiler, au vu du soin précaire de certaines.
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Le retour avait été moins festifs qu’il n’aurait pu l’être. Ou qu’il n’aurait dû l’être. Elle avait espéré au fond d’elle qu’Isha soit de ce voyage, mais elle savait qu’il n’était pas encore prêt pour le voyage de retour. Elle avait essayé de le convaincre, mais elle savait aussi qu’elle l’aurait forcé à abandonner sa promesse, et le voir malheureux ne l’aurait en rien rendue plus heureuse. Alors elle s’était faite à l’idée qu’elle allait encore devoir attendre avant de pouvoir le resserrer dans ses bras. Avant qu’il ne puisse revoir ses enfants. Mais désormais, son cœur était enfin libre de respirer à nouveau. Et ça la changerait, c’était certain.
Alors c’était avec un nouvel espoir et une toute nouvelle force de continuer à vivre et à faire plus qu’elle s’était levée ce matin. Elle s’était occupée de Gemma et de Logan qu’elle avait finalement confié à d’autres pour la matinée, car ce matin, elle allait donner un cours. C’était une première pour elle, mais elle en était fière. Et elle le savait, sur le terrain, elle n’était pas la plus utile alors si elle pouvait permettre à d’autres de donner les premiers soins quand elle ne serait pas là, elle avait tout de suite accepté l’idée.
On frappe à la porte et Lex rentre, timide, presque mal à l’aise. Elle ne croit pas l’avoir déjà vu comme ça et c’est avec son éternel sourire bienveillant qu’elle accueille la brune “ Non, c’est parfait ! J’ai déjà donné la tribu à quelqu’un d’autres, on ne sera pas embêté ! “ Elle l’invite à s’assoir, ramène deux tasses de thé qu’elle a préparé avec les herbes qu’elle a trouvé à Kitsap. Elle continue de lui sourire “ Ne t’inquiète pas, je ne suis pas là pour te juger au contraire, je vais t’apprendre les bases de toute manière, les choses prioritaires que tu auras besoin de savoir sur le terrain quand je ne serais pas là “
Lex se débrouille bien mieux qu’elle en mission, elles n’ont pas du tout les mêmes compétences, les mêmes caractères, mais c’est bien pour ça qu’elles sont ici aujourd’hui, partager leurs connaissances, se rendre plus fortes mutuellement “ Je veux bien que tu me dises ce que tu sais oui. Et puis en fonction de ça, je pourrais me faire une idée. J’aimerais déjà t’apprendre les gestes de premiers secours. Savoir vérifier les blessures et surtout, le plus important, savoir si elles ont besoins d’être soignées tout de suite, ou si elles peuvent attendre. C’est la base en urgence, prioriser les blessures. Gérer son stress et faire abstraction de tout ce qu’on sait sur les personnes que l’on soigne “ Oui, ça en faisait aussi partis. Dans un groupe, avec des alliés que l’on connait un peu moins, peut-être même avec des personnes que l’on n'apprécie pas, il ne faut pas se laisser emporter par ses sentiments “ Il y aura la théorie et puis … On passera à la pratique, ce sera plus drôle je te promets “ Et elle se met à rire.
Une menace à son enfant, trouble le sang d'une mère.
Pas de gosses dans les environs, donc. Et si elle insiste pour évoquer son manque d'aptitude dans le domaine, c'est le sourire bienveillant d'Emilie qui la rassure aussitôt, hochant la tête avec lenteur, quoi qu'un bref rictus se rapprochant d'un sourire ne vienne se dessiner sur ses lèvres à l'idée. L'écoutant évoquer ce qu'elle souhait lui apprendre en prévision des jours ou elle ne serait pas présente sur le terrain, quoi que la liste ne semble ne jamais vouloir s'arrêter, lui donnant presque le vertige alors qu'elle vient énumérer moralement chaque détail. Vérifier les blessures, les prioriser en fonction de leur gravité... Ok, ça devait être faisable concrètement. Et pour la gestion du stress ? Là, le sourire est un peu plus sincère.
Ben... Ca peut paraître bizarre, mais c'est souvent en situation d'stress que j'suis le plus sereine figure toi. Il suffisait de voir le sang froid suite à la mort de Sasha, ou encore la gestion de crise pendant la chute du Merchant. C'était comme si son cerveau avait complètement normalisé ce genre de d'évènement, ou un truc du genre. Sans doute qu'un psy aurait pu mieux lui expliquer, mais elle doutait fort d'avoir envie d'en passer par là, se doutant qu'il serait du genre à lui faire remarquer qu'elle avait concrètement, un sacré grain. Ce qu'elle savait faire, donc. Il ne lui faut pas longtemps pour réfléchir, venant rapidement relever son t-shirt pour lui dévoiler sa panoplie de cicatrices. La longue dû au coup de poignard, celles nombreuses sur ses avants bras, la fine balafre blanchie le long de sa gorge, et un bref aperçu d'un début le haut de son épaule. J'ai souvent été seule avant d'arriver au motel. J'ai dû apprendre avec les moyens du bord alors... Je crois que j'suis pas si mauvaise, pour les bandages de fortune, et la désinfection.
Ouais, enfin. On s'entendait que la question quoi.
J'ai fait pareil pour toute mes blessures. De l'alcool pur sur les mains, sur les plaies, et j'ai appuyé jusqu'à ce que le sang arrête de couler. J'essayais de changer les bandages tous les jours, mais c'était galère parfois, alors ... J'essayais au moins de les laver, et de d'en profiter pour désinfecter encore en prévision. Ok, ça sonnait foncièrement mauvais quand elle l'exposait à voix haute. Passant une main contre sa nuque en soupirant, reprenant à son égard. J'ai tenté les sutures, une fois. Mais .... les stries sur son avant bras parlent à sa place. Le fil de pêche c'était clairement pas l'idée du siècle.
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La sage-femme sourit à Lex, quand celle-ci lui dit que c’est en situation de stress qu’elle est le plus à l’aise et qu’elle connait les gestes de premiers secours de fortune “ Et bien, tu vois, tu as déjà de bonnes bases, maintenant l’idéale serait de te montrer les bons gestes. Les bandages de fortunes, ça peut effectivement te sauver de plus graves complications, mais si déjà, autant les faire correctement, tu verras que pour la suite, ça te fera gagner un temps fou et … Ça peut vraiment sauvé la vie de quelqu’un “ Elle le savait mieux que quiconque, les premiers secours lui avait déjà permis de sauver bien des gens, même parfois, ça permet d’éviter les infections, les amputations et elle en passe “ Et puis, contrairement à ce que tu peux croire, il y a beaucoup de gens qui sont plus à l’aise en situation de stress. Le tout c’est de faire en sorte que ça soit un bon stress “ Certains se sentait plus en confiance quand il y avait un enjeux véritable derrière. La blonde évidemment, savait gérer ce stress, habituée aux urgences pédiatriques.
Elle écoute ensuite ce qu’elle lui raconte et encore une fois, elle n’est pas choquée ou surprise par ce qu’elle lui raconte “ Et bien, en réalité, ce sont plutôt de bons gestes. Il ne faut pas oublier qu’on est beaucoup moins bien équipé qu’avant. L’important avec une blessure c’est de faire en sorte qu’elle soit propre le plus souvent, en fait, il faut juste la surveiller avec plus d’attention qu’avant. Sans les médicaments, les guérisons sont plus longues alors il ne faut pas s’inquiéter tout de suite. L’idée aussi, vu qu’on manque de matériel, c’est de réussir à bien analyser ton environnement pour trouver parfois, des instruments de fortune. Ton fils de pêche n’était très certainement pas la meilleure des idées, mais si ça évite que tu vide de ton sang, c’est franchement pas mal “ Elle aussi parfois, elle avait dû improviser. Fait des attèle avec des bouts de bois, des bandages avec des moreau de t-shirt, désinfecté avec de l’alcool censé plutôt être bu “ J’ai fait beaucoup de recherche, surtout avec les plantes, qui sont désormais les meilleurs médicaments que nous avons “ Mais rien n’était magique pour autant. Et puis, en rigolant elle rajoute “ Le mieux ça reste d’éviter de se blesser “ fait en haussant les épaules “ Mais je n’aurais plus rien à faire si c’était le cas “ Et puis, avec les Exilés, honnêtement, elle était plus que servie.
Elle se lève ensuite, cherche un morceau bout de peau d'un animal précédemment chassé par le groupe, du fil et une aiguille qu’elle pose sur la table “ Pour les sutures, je vais t’apprendre sur cette peau. Elle n’est pas exactement comme là notre, mais ça te donnera déjà une idée. Le tout, c’est d’être précise et régulière “ Facile à dire quand il fallait faire vite “ On va s’entrainer, tu verras, le geste deviendra automatique et puis honnêtement, on ne cherche pas la perfection. Juste à pouvoir refermer une plaie proprement “ Elle prend l’aiguille et le fil et se met à l’ouvrage “ Je te montre une fois, et tu en feras plusieurs. Là tu peux prendre ton temps, cet animal ne te le reprochera pas “ finit-elle par dire en rigolant.
Oui, elles sont censées étudier, mais la blonde ne changera pas, et elle aime être au courant de ce qu’il se passe au camp alors, elle demande “ Comment va Anton en ce moment ? “ Car il n’est clairement pas du genre à venir voir Émilie.
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Au moins, Em à l'air moins pessimiste qu'elle sur l'idée de la voir en médic de terrain. Ce qui lui arrache un bref sourire, alors qu'elle évoque la situation de stress, haussant les épaules. J'ai zéro mérites, en vrai. J'ai juste pris l'habitude de réagir aux situations critiques. Pas comme si ces dernières années l'avaient laissés en paix, après tout. Loin de là. Mutineries, attaques, chute de campement... La liste n'avait fait que s'allonger sans jamais lui laisser un seul répit.
Mais au moins, écoute t-elle avec attention sa prof du jour, hochant la tête alors que Em assure qu'elle à eu les bons gestes plus d'une fois, grimaçant à l'idée. Là aussi, elle n'avait aucun mérite. Quand à éviter de se blesser ? Un rire la secoue brièvement, secouant doucement la tête. Ouais, alors vu les excités d'ce groupe... J'te promets pas de miracles la. Elle la première. Rien avec qu'avec sa cicatrice à la gorge, ou la lettre gravée à même son sternum, elle était sans doute la moins bien placée pour ouvrir sa grande bouche dans l'immédiat.
L'avisant préparer peau et aiguille dans le but de lui montrer les sutures, venant s'accouder à la table pour l'observer avec une attention redoublée, se transformant en élève appliquée au moins le temps de la journée. Planter l'aiguille, sortir le fil, recommencer. Ca va, elle devrait pouvoir gérer. En théorie, en tout cas; Juste en théorie. Il n'y avait pas de sang, pas de corps convulsant sous la douleur, ni de gémissement de paniques. Mais sa tentative de s'imaginer le cas disparaît aussitôt que le prénom d'Anton sort dans la conversation, relevant les yeux vers la blonde, un peu prise au dépourvue.
Oh, il ... Bien. finit-elle par lâcher, se reprenant tout de même un peu plus. L'avantage avec Anton, c'est qu'il faut s'inquiéter quand on l'entend pas. L'ancien flic avait toujours eu un certain côté sans filtre qu'elle appréciait particulièrement, et l'idée lui arrache un sourire sincère, reprenant à l'attention d'Em. Ca à été un peu galère, après notre retour avec Cez, Yulia et Maes. J'lui en ai fait baver malgré moi, mais ... Il à assuré. Particulièrement, même. Et toi ? Ton mec à Seattle ? Si elle n'en avait jamais parlé, il n'empêchait. Isha avait finalement survécu à la chute du Merchants, c'était une bonne nouvelle pour la blonde, non ?
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Elle esquisse un bref sourire quand Lex lui qu’elle a juste prise l’habitude d’être confrontée à des situations extrêmes, compliquées et pleines de stress. Évidemment, elle s’en doute. Les deux jeunes femmes ont appris à se connaitre au fil du temps et Lex en a bavé, plus d’une fois. Émilie en est d’autant plus admirative “ Ce sont les expériences qui nous forgent, bonnes ou mauvaises. Il faut juste savoir en tirer le meilleur “ Très philosophique tout cela, mais tellement vrai. Elle avait aussi compris depuis que Isha n’était plus avec elle qu’elle devait se montrer plus forte. Alors elle s’était faite violence pour continuer de vivre et tenter de pouvoir venir en aide au maximum de personne. Et pour le moment, sa mission se passait sans encombre.
Elle rigole à son tour à la remarque de Lex. Éviter les blessures oui, plus facile à dire qu’à faire. Surtout avec eux, les Exilés “ Ouai, on aurait dû dire les excités, pas les exilés ! “ qu’elle rajoute à sa remarque sur un ton des plus léger. Rire, au oui, ça lui faisait du bien.
Son élève du jour se veut appliquer et attentive, elle apprécie grandement et elle lui laisse alors volontiers la place pour s’exercer un peu. Elle a l’air relativement à l’aise et même si le patient ne bouge plus. Déjà trop mort pour ça. C’est finalement la mention d’Anton qui lui fait relever les yeux, surprise. Peut-être n’aurait-elle pas dû demander ? Mais elle se croit assez proche pour parler de ce genre de chose avec Lex sans en être gêné. Et puis, ce n’est pas comme si elle n’avait pas eu l’occasion de les entendre ou de les voir.
La réponse est surprenante mais en même temps, pas tant que cela. Si Émilie pouvait se permettre de dire qu’elle connaissait Anton, il est vrai qu’elle n’avait eu l’occasion de le voir qu’en public, et elle ne pouvait qu’admettre qu’il avait toujours assuré en termes de protection. Clairement trop bavard, mais toujours sur le coup. Elle sourit à son amie “ Je suis contente que vous vous soyez aussi bien trouvé. C’est important d’avoir quelqu’un sur qui compter “ Elle repense à ce qu’ils ont vécu là-bas, sur le bateau. Yulia lui en avait parlé, surtout au début de sa grossesse quand elle faisait face à toutes ses émotions. Elle avait fait en sorte d’être aussi présente que possible. Mais certaines cicatrices ne sont pas visibles.
Elle souffle ensuite à sa question “ Oui “ Elle ne sait pas quoi dire en réalité “ Mon mari, pour être exacte “ qu’elle rajoute, un petit brin de fierté dans le regard “ C’est … plus compliqué que toi. J’crois qu’il … Qu’il a encore des choses à régler “ Elle détourne son regard, tente de trouver quelque chose d’autres à faire, pas très enjouée à l’idée d’en parler. Elle récupère une sorte de panier ou s’y trouve toute sorte de bocaux, remplis de plantes et de graines “ Je vais t’apprendre à faire la différence, et comment les préparer, si jamais “
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Aussi bien trouvés. C'était le mot, oui. Esquissant un sourire attendri à la remarque de la blonde, reprenant. Il m'a tanké au Merchants, c'était le coup de foudre assuré. Et l'idée lui arrache un rire bref à l'idée. Dans l'urgence, percutée de plein fouet par un type en armure anti émeute, ça avait le don de secouer ouais. Réitérant les points en essayant de rester concentrée, reprenant à son attention. J'aurai pas pensé dire ça un jour. Mais j'm'imagine plus un monde sans lui à mes côtés. Ou l'inverse.
Relevant le nez quand elle évoque Isha, qu'elle n'a fréquenté que quelques minutes au moment de l'assaut contre le Merchants, cessant un instant son ouvrage pour l'écouter avec attention. Sérieux ? Félicitations, alors. Un mariage, carrément. Ca devait être quelque chose de cool à voir, surtout ces dernières années...
Mais la discussion devient plus sombre, soudainement. Les choses à régler, c'était une langue qu'elle parlait plutôt couramment, pour ainsi dire.
Du genre, cauchemars qui te hantent même réveillés, ou des choses concrètes ? questionne la brune, son regard se baissant brièvement en pensant à ses propres démons. Tu m'as connu à la chute du motel, et quelque part ... J'allais déjà mieux. explique t-elle brièvement, sans rentrer dans les détails, avant de reprendre. Mais quand les Remnants ont rasé mon premier camp, j'étais prête à cramer l'monde entier. Et si elle ne connaissait pas Isha, sans doute qu'il n'avait pas du apprécier la chute de son propre foyer. D'une manière sans doute plus vindicative que le reste de son équipe...
Mais la blonde ne semble pas vouloir s'appesantir sur le sujet, aussi ne cherche t-elle pas à la brusquer, avisant plutôt les bocaux en fronçant les sourcils.
Ok, les sutures j'peux gérer, mais tes plantes ? Ca avait déjà l'air un peu plus effrayant quand même. D'mande moi d'te faire un explosif artisanal avec une pile et de l'aluminium, de t'créer des feux d'artifices même. Mais les rares plantes que j'avais chez moi crevaient Em, même les cactus.
Au moins elle était prévenue pour la suite.
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