Sujet: Re: Tempête x Elliot ; Mar 2 Aoû 2022 - 15:35
Un pâle sourire soulève les lèves de la mexicaine tandis qu'Elliot la prend par les épaules. « C'est gentil, mais ce n'est pas à toi de supporter tout ça financièrement. » Tasya secoue la tête. « Tu devrais garder tes économies. » Dans tous les cas, Tasya est mariée, elle a Jacob, les enfants, elle ne risque pas de se retrouver plus en difficulté dans les semaines ou mois à venir. Pour son amie, c'est différent, son veuvage rend sa situation plus précaire.
« Tu as raison. » affirme-t-elle en commençant à énumérer les dégâts visibles dans la pièce. « On peut aussi remplacer les carreaux brisés par du tissu ou du carton, ça fera l'affaire en attendant le retour de Jacob. » Normalement, les conditions météorologiques devraient s'arranger avec l'arrivée de l'été, non ?
A l'étage, c'est la même conclusion : certaines vitres ont été brisées, l'eau qui a pénétré à l'intérieur de la maison a fait quelques dégâts, mais heureusement, elles ne s'en tirent pas trop mal. En rentrant dans la cuisine, c'est un autre constat qui lui tire une grimace : les poules ont fait leurs besoins un peu partout et se sont attaquées au sac de blé présent dans un coin de la pièce. Il y en a partout. Rapidement, la mexicain ouvre la porte donnant sur le jardin et met dehors les deux volailles. Dans un coin de la pièce, elle fait une petite trouvaille : deux œufs. « On a au moins notre repas du jour ! » soupire-t-elle en montrant sa trouvaille à son amie. Mieux vaut en rire.
Message In A Bottle
Just a castaway, an island lost at sea, another lonely day with no one here but me More loneliness than any man could bear Rescue me before I fall into despair
Sujet: Re: Tempête x Elliot ; Mar 2 Aoû 2022 - 16:13
Tasya ne veut pas que je participe aux frais. Je trouverai le moyen de mettre un peu d’argent quelque part, même s’il faut que je la laisse trainer comme si c’était la leur. Nous faisons un petit tour de la maison et j’hésite entre soupirer en voyant les dégâts, ou bien positiver parce que ça pourrait être pire.
J’ai bien quelques idées pour les fenêtres que je partage immédiatement avec Tas.
- Si on pouvait cirer du tissu avec de la cire d’abeille. Ce serait un peu étanche au moins. Ne sait-on jamais si une autre tempête ne nous attend pas ! Le carton ne survivrait pas.
J’ai un grand sourire par contre lorsque nous découvrons les œufs laissés par les nouvelles pensionnaires de la Mexicaine.
- Elles se mettent déjà au travail, tu as bien choisi ! Je pouffe de rire ce disant. Il faut mieux rire que pleurer, non ?