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2 participants

Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 16:44


Mike DooleyLa pluie d'aujourd'hui est le whisky de demain !

prénom(s) : Mike
nom : Dooley
date de naissance : 19 Mai
âge : 67 ans

ville de naissance : Greystones (Irlande)
métier : Sans-Emploi - Magouilleur
groupe : The Gentle Bastards

avatar : William H. Macy

what i am

qualites
Débrouillard
Prudent
Rigolo
Rusé
Tenace
defaults
Egoïste
Imprévisible
Menteur
Râleur
Vulgaire
Equipement :
Une Casserole rouillée - Des tessons de bouteilles - Une Pipe fait maison avec laquelle il fume de l'herbe, littéralement, car le tabac ne cours pas les rues - Une vieille boite d'allumette en métal avec des gravures dessus - Un couteau à beurre en argent, fauché dans une maison cossue - Et pour finir, son objet le plus précieux, une photo sexy de Dolly Parton signé avec une marque de rouge à lèvre dessus.
     
Details physiques :
Il ne fait pas du tout son âge, peut-être que l'abus d'alcool durant toute sa vie l'a conservé, comme un bébé siamois dans du formol. Il est toujours débraillé, les cheveux en pétard et gras, une barbe de plusieurs jours avec une halène de cheval. Son regard est souvent vitreux, grâce à la gnole qu'il fabrique lui même....En toute franchise, il s'agit plus de white spirit qu'autre chose, pour tout dire ça en a même le gout.  

Psychologie

Il faut vraiment être cinglé ou complètement inconscient pour vouloir savoir ce qu’il y a dans la caboche de cet énergumène. Si le bon dieu était un alcoolique égocentrique, il ne fait aucun doute que Mike serait son champion. Plus sérieusement, c’est à se demander comment quelqu’un qui accumule autant de défauts est encore vivant. Comment est-ce possible ? C’est une bonne question, il faut dire que son sang irlandais n’est pas étrangé à tout ça, s’il tient encore debout aujourd’hui c’est très certainement grâce à la chance des l’irlandais. Son goût prononcé pour l'alcool vient probablement de là aussi. C’est bien connu, tout est une question de gène.
En parlant de gène, son oncle était un débrouillard comme on en fait plus, c’est surtout lui qui lui a appris tout ce qu’il sait, les combines pour se faire de l’argent facile, les magouilles universelles pour survivre dans un monde où règne la loi du plus fort. À bien y réfléchir, c'est entièrement grâce à l’influence du tonton que Mike est devenu aussi tenace pour survivre dans ce monde à moitié mort. Rusé comme un renard, il a réussi à profiter des camps de survivants qui se formaient ici et là, puis avoir la prudence de partir avant que les choses ne se gâtent. Le parfait égoïste qui ne pense qu'à sa propre survie, souvent au détriment des autres. Il faut dire qu'à son âge, il ne peut se permettre d’être le papy gâteau, il serait une cible facile pour les autres survivants. À la place, il préfère râler continuellement, garder un ton moqueur et balancer quelques pics ici et là, pour montrer qu’il n’est pas encore à enterrer. Mesquin, il arrive encore à surprendre avec ses idées farfelues et ses mensonges bien ficelés. Les rares personnes qui le croisent ou avec qui il fait affaire sont toujours surprises par le personnage. La première impression est souvent : ” Voilà un vieil homme rigolo et plein d’esprit” sauf qu’ils se rendent très vite compte qu’il s’agit en réalité d’un homme imprévisible sur qui ils ne peuvent pas compter.  

 




Story of survival

Pre-apocalypse


Je suis né à Greystones, à une époque où les parents n’avaient pas forcément le guide de la parfaite petite famille. Ma mère, Kiara, était une femme forte, avec un vrai caractère de cochon, elle arrivait à tenir tête aux hommes au point ou certains changeaient de trottoir quand il la croisait. Malgré tout, elle avait su faire preuve d’amour à mon égard, à sa manière . Il faut dire qu’être une femme dans les années 50-60 n’était pas chose aisée, surtout avec un esprit aussi libre que le sien. Mon père, Sean quant à lui, était un bon à rien, un alcoolique doublé d’un raté. Il était du genre à maudire le monde entier pour ses échecs, sans une seule fois remettre en question ses choix. Il venait d’une vieille famille d'éleveurs irlandais plutôt réputés, mais en voulant devenir pêcheur à Greystones, il est devenu très vite le vilain petit canard. Tout ça pour finalement ne passer qu’une saison en mer sur un vieux bateau de pêche miteux qu’il s’était acheté en empruntant de l’argent à droite à gauche. La suite fut inévitable, quand on n'a pas le pied marin et aucun sens des affaires, on n’essaye pas de devenir pêcheur. Avec tout l’argent qu’il avait emprunté, très vite, des gens patibulaires commencèrent à nous menacer pour récupérer tout cet argent.

Pour la première fois de sa vie, il prit une bonne décision, il demanda de l’aide à un autre vilain petit canard de la famille Dooley, mon oncle Crowley. Un homme intelligent, qui avait le sens des affaires, il n’y en avait pas deux comme lui. Grace à ses relations dans des milieux parallèles, dirons-nous, il a réussi à annuler toutes les dettes, ou plutôt à les mettre en suspens le temps que l’on puisse tout rembourser. Après cette histoire, mon oncle Crowley s’est installé à la maison, ce fut la meilleure chose qui puisse m'arriver dans la vie. Il y avait enfin une vraie figure masculine à la maison, pendant que mon père se retournait la tête dans les pubs du port, mon oncle lui restait avec moi pour m’apprendre la vie. J’ai adoré grandir à côté de cet homme, c’était comme avoir un père normal, même si celui-ci m’apprenait à tricher aux cartes et à faire les poches. Pour la première fois, j’avais une vraie relation père-fils. D’ailleurs, je me suis toujours demandé pourquoi maman avait choisi mon père et pas oncle Crowley.

En grandissant, je suis devenu l’apprentie de mon oncle, je faisais tous les coups avec lui. À nous deux, on était même arrivé à se faire une petite réputation à Greystones. Mais malheureusement, on a fini par tomber sur un os… Et de taille. Les dockers, c’était une vraie petite mafia à l’époque, ils avaient quasiment tout le pouvoir en ville. Un jour sans le savoir, on a pigeonner le fils d’un des dockers aux cartes, on lui a tout pris, même son slip. Bien évidemment, sa s’est très mal passé, le vieux Malone, qui était un peu le “patron” du port à décider de faire de nous des exemples. Mon oncle… Mon pauvre oncle a été enfermé dans une caisse et balancé en mer, de mon côté la seule chose qui m'a sauvé à ce moment, c'est mon âge, je devais avoir 12 ans. Le vieux Malone m’a ramené à la maison et à rappeler à ma famille que nous devions toujours beaucoup d’argent et qu’il n’était plus question d’attendre maintenant. Le soir même mon père pour la première fois de sa vie réagi en homme, il nous fit traverser la mer pour rejoindre l’Amérique. Lui resta à Greystones… Après ça, nous avons plus eu de nouvelles. En l’espace d’une journée, j’avais perdu mon oncle et mon père.

Les débuts en Amérique furent très durs pour moi et ma mère. Nous avions peu d’argent et nous déménagions beaucoup allant d’une ville à l’autre, d’un état à l’autre. Ma mère accumulait les petits boulots, elle réussit tout de même à m’envoyer à l’école, chose pour laquelle je n'étais pas fait. Sans qu’elle ne le sache, j’étais dans toutes les magouilles, je mettais en pratique tout ce que mon oncle m’avait appris. Cependant, l’Amérique était un continent bien plus vaste que l'Irlande, où se côtoyait bon nombre de personnes très différentes, les affaires étaient souvent compliquées à concrétiser.

Une fois arrivé à l’âge adulte, le monde du “travail” s'ouvrait à moi. S’il était compliqué de faire des affaires en étant adolescent, pour un adulte, ce n’était plus le cas. On me prenait au sérieux, il faut dire que mon charme naturel devait y être pour beaucoup. Je ne compte plus le nombre de personnes que j’ai roulées avec un beau sourire. D’ailleurs grâce à ce fameux sourire et à la chance des Irlandais, ma mère et moi avons pu devenir de vrai amerloc en réussissant à nous intégrer dans un pays réputé pour offrir une chance aux gens courageux. On ne reniait pas pour autant nos origines, ce qui ne plaisait pas toujours à la vieille garde américaine. Il faut dire que les Irlandais n’avaient pas toujours bonne presse là-bas, certainement à cause de l’IRA et du caractère bien trempé de la plupart des Irlandais.

De manière générale, ma vie fut une suite de magouilles et de trafic. Quand les problèmes survenaient, ce qui arrivait tout le temps, bizarrement, j’arrivais toujours à m’en sortir. Un vrai petit trèfle à quatre feuilles. Je ne sais pas si ma mère le savait, que son fils unique était un escroc bien que je me considère comme un homme d'affaires. Malheureusement, la maladie l’emporta, les médecins n’ont jamais vraiment su me dire ce qui l’avait emporté. Mais je pense que le mal du pays et la perte de mon père qui a toujours été une blessure qui ne s’est jamais refermée y sont pour beaucoup.



Post-apocalypse



9 Octobre 2015 - Portland : Pub The Paddy’s
Il devait être deux heures de l’après-midi, je me trouvais au Paddy’s, un pub irlandais où j'avais l’habitude de me mettre des murges mémorables. La journée, c’était bien passé, durant la matinée, j’avais réussi à faucher quelques portefeuilles à des hipsters du coin. Il faut dire que ces gens-là, avaient toujours les poches bien remplies, ce qui faisait le bonheur du proprio du Paddy’s, car au final, c'était toujours lui qui récupérait ces magnifiques billets verts. Enfin bref, j’étais tranquillement installé au bar, sirotant un schnaps maison, uniquement réservé au habitué. Et là, sortie de je ne sais où, un mec complètement perché ! Le bougre rugissait et bavait comme un saint-bernard, le type était vilain, la nature ne l'avait pas gâté. Au moment où je finis mon verre, l’animal vient vers moi et essaye de me mordre ! Le patron passe par-dessus le bar et demande au type de se calmer sinon il allait appeler la police. Vous savez ce que le vilain a fait ?! Il lui a sauté à la gorge et à commencer à le mâchouiller ! Y’avait du sang partout, le patron s’est pas laisser faire et lui éclater la bouteille de schnaps sur la tête! Rien à faire, le mec complètement déchiré continuait d’essayer de le mâchouiller ! Je n'avais encore jamais vu ça…Les flics sont venus, ils ont embarqué le dégénéré et une ambulance à amener le patron aux urgences. À ce moment-là, j'étais loin de m’imaginer que pour les années à venir, ce serait monnaie courante de voir ce genre de scène. Je ne sais pas ce qu’est devenu le patron du Paddy’s… Mais avec ce que je sais maintenant, il a dû se transformer en l’une de ces choses, il a peut-être même à son tour bouffer des gens… Allez savoir.

13 Novembre 2015 - Portland : Mon appartement
J’étais dans mon appartement, non loin du Paddy’s, dans un petit bâtiment de trois étages. Au rez-de chaussé de ce bâtiment, il y avait une laverie automatique et un petit pawn shop. Le loyer coûtait une misère, il faut dire que le quartier était un peu en ruine, délaissé par une grande majorité de la population. Personnellement, cela me convenait parfaitement, mes petits trafics n’avaient pas besoin de voisins indiscrets. À ce moment je pensais encore naïvement, que les problèmes survenus ces derniers jours finiraient par passer, faut dire qu'à la télé on n'arrêtait pas de nous répéter qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter que tout était sous contrôle. Sous contrôle, mais il y avait tout de même un couvre-feu à respecter sinon on se faisait embarquer par les flics. Si j’avais su que le monde allait partir en couille, j’aurais été trouver les meilleurs spot pour survivre à cette apocalypse. Au lieu de ça, j’étais chez moi à me bourrer la gueule avec du whisky pas cher et un reste de pizza. J’étais devenu sans m’en rendre compte un vieux monsieur pathétique. Un magouilleur solitaire, se torchant la gueule dans son coin, pendant que le monde cours à sa perte. Je me souviens quand fin de soirée, complètement brouillé par l’alcool, je suis sortie dehors pour prendre l’air. Et c’est là que j’ai ressenti pour la première fois cette peure, les rues étaient complètement désertes, il n’y avait pas un bruit. La plupart des gens avaient rejoint leurs familles dans d’autres états, tous les gens du quartier ou presque étaient partie. Et en cette nuit du 13 novembre 2015, j’ai compris que j’étais complètement seul face à ce qui pourrait arriver.


25 Décembre 2015 - Portland : Camp de fortune n°1
L’hiver était là, les dirigeants qui nous avaient jurés que tout cela serait bientôt fini, qu’il fallait juste se montrer patient, ces gens-là étaient parties on ne sait où se réfugier dans des bunkers, bien planquer au chaud. Pendant ce temps, nous le petit peuple, nous sommes regroupées comme on pouvait pour ne pas crever de faim et de froid. À bien y réfléchir, c'était peut-être la première fois depuis des années que j’étais entouré de gens pour Noël. Je suis peut-être un peu fêlé, ou bien, je suis juste un immonde salopard, mais j’étais heureux que d'autres vivent la même chose que moi. Comme si cela adoucissait ma peine, “ Arf, je ne suis pas le seul à en baver pour une fois “. Dans ce camp improvisé, il y avait des personnes de tout horizon, des pauvres, des gens de la classe moyenne, et même quelques petits-bourgeois qui n’avaient pas réussi à suivre leur compatriote fortuné dans leurs bunkers. Voir ses idiots en chier était un vrai plaisir, certains me prenait même pour un fou, car je ne pouvais m'empêcher de sourire et de rigoler en voyant ses idiots pleins aux as en chier. Mine de rien, le calme de ce premier camp, de ce premier regroupement me manque un peu, car avec le temps, le pire de l’être humain est ressorti. D’ailleurs, la plupart de ses bourges se sont certainement fait bouffer quelques années plus tard et pas forcément par des zombies… Faut dire qu’il était compliqué pour nous autres, hommes du vingt-et-unième siècle de nous nourrir sans avoir accès aux supermarchés, la plupart ne sachant pas se nourrir dans la nature. Heureusement pour moi, je viens d’une famille d'éleveur de bétail, je sais me démerder pour ne pas crever la dalle. Maintenant, que j’y pense, j’aurais peut-être pu en aider certains… Oh et puis merde, chacun ses problèmes, je suis un vieille homme après tout, c’était au petit jeunes d’aider pas l’inverse !  


Juillet 2016 - Portland : sur la route
Quand les gens ont finalement compris que rien ne serait plus comme avant, des opportunistes et des timbrés ont commencé à vouloir faire la loi. Rester dans des camps devenait dangereux, et comme mon oncle me l'a appris, quand ça pue la merde c’est que ça pue la merde. Je n’ai donc pas attendu de me faire zigouiller, pour me barrer vite fait bien fait. Surtout qu’un vieil homme comme moi serait une cible facile pour tous ses cons. Non monsieur, un Irlandais sa reste en vie. J’ai donc commencé à prendre la route, sans vraiment savoir où j'allais aller. Je peux vous dire que j’en ai chié, la chaleur était terrible au point où il était presque impossible pour moi de marcher dans la journée… Problème, la nuit, c’était le moment le plus dangereux, autant pour les marcheurs qui rôdait que pour les crevures prêtes à saigner un vieux pour quelques bricoles, si ce n’est pire. J’en ai vu des choses horribles, j’ai vu à quel point les gens étaient prêts au pire quand il a commencé à y avoir des relents de fin du monde. La question n’était plus, quel meuble IKEA je vais m’acheter, mais plutôt quand vais-je pouvoir boire ou manger. Et quand les gens ont faim, quand on connaît enfin véritablement la faim, le cerveau ne fonctionne plus de la même façon, on serait même prêt à bouffer notre voisin, sans oublier que le soleil tape fort sur la caboche de certains, je ne vous explique même pas les dégâts.

Mars 2017 - Portland: MOONSHINE!*hic*
Le printemps offrait une température parfaite pour la confection d’un liquide magique que beaucoup d’Irlandais et d’Américains adorent… l’alcool ! Et pas n’importe lequel, du Moonshine ou Poteen comme on dit chez moi. C’est dans cette optique que mon mois de mars s'est déroulée. Car pendant l’un de mes vagabondages en forêt, j’avais trouvé un vieil atelier d’alcool de contrebande. Il y avait tout ce qu’il fallait pour faire de la gnole ! Des alambics et une réserve d’orges et de pomme de terre. Pour le coup, j’avais de quoi faire à boire et à manger. Ce fut, un mois parfait ! Si parfait que je ne me souviens même plus des mois suivants, faut dire que je m’étais fait des réserves de Moonshine pour plusieurs mois, enfin… plusieurs semaines, j’ai un peu abusé, il est vrai. Pour être franc, pour retrouver tous mes esprits, il m'a fallu presque un an ! C'est que ça tabasse le Moonshine ! D’ailleurs, je crois que ma vue n'est jamais vraiment revenue à la normale, sauf si le temps est toujours brumeux depuis.


12 Février 2022 - Seattle : Joyeux anniversaire le casse-croûte !
Cette date fut très particulière pour moi, d’une part, car il s’agissait de mon anniversaire et d’autre part, c’est le jour où j’ai bien failli me faire bouffer par une bande de cons aux cerveaux fondus… Il faut dire que Seattle était du genre très accueillant avec les nouveaux, a tel point que deux groupes se sont battus pour savoir qui allait me bouffer, plutôt sympa hein. Je crois que je n'avais jamais été aussi désiré de toute ma vie, et pourtant, papy en a fait des choses haha. J’ai roulé ma bosse comme on dit, j’en ai fait tourner des têtes héhé… Enfin bref, je m’égare. J’me suis donc fait attraper par un groupe qui se faisait appeler “Screw You” , d’après ce que j’ai compris ça faisait des semaines que le groupe crevait la dalle et qu’ils ne s’étaient rien mis sous la dent. Et là, gentleman comme je suis, je passe par là pour leur offrir un buffet sur patte. J’ai essayé de leur dire que j’étais un vieil homme malade, que j’avais certainement la gale. Mais rien n’y fait, ils voulaient quand même me bouffer. Mais heureusement, grâce à ma bonne étoile, un autre groupe dont je ne connais pas le nom s'est pointé et à réclamer une part du gâteau ( moi ). Et là, j’ai utilisé tout mon savoir-faire, j’ai commencé à jouer le commissaire-priseur en me mettant en vente. J’étais là :“ Qui est prêt à mettre un couteau + une hache pour ce magnifique homme devant vous, sachez que la viande maturée est encore plus goûteuse ! “ . Les mecs étaient perdus, mais certains membres de leurs groupes respectifs se sont pris au jeu, on pouvait entendre : “ Moi, je donne un couteau de boucher et un stylo bic ! “, “Et bien moi, je donne une machette et une montre à gousset “. Ils souriaient comme des idiots, on pouvait voir leurs chicots pourris, jaunis. Certains rigolaient et huaient en fonction de ce qui était proposée contre le droit de me bouffer. Cette scène improbable aurait été plus drôle si la finalité n’avait pas été de me manger. Pour éviter cet état de fait, j’ai utilisé les techniques de mon oncle pour manipuler les foules et réussir une bonne arnaque, j’ai poussé les deux groupes à se foutre sur la gueule en les montants petit à petit, les uns contre les autres pour qu’ils ne soient plus concentré sur ma personne. Et là ni une ni deux, technique numéro 40, tayooo ! Je m’en suis sortie avec quelques courbatures et de méchante crampe, ce qui n’était rien en comparaison de ce qui me serait arrivé s’ils avaient été du genre à partager.


Survie

Il y a peu de temps, un groupe de gens pour le moins fort sympathique s'est intéressé à ma divine personne. Il faut dire qu’avoir un Irlandais dans son groupe sa porte chance et puis je suis quelqu'un de plutot fortiche. À ce moment-là, j’étais plus que partant pour rejoindre un groupe, car à cette période, c’était un peu la merde pour moi, les pépins s’enchaînaient les uns après les autres, j’ai manqué de me faire bouffer une bonne dizaine de fois, aussi bien par les bouffeurs de cerveau que par des humains sans cerveau. Je n’avais pas l’intention de rester, tout au plus profiter de l’hospitalier et prendre mes jambes à mon cou. Sauf que… Merde alors ! Ces gens-là, on la classe ! Ils vivent dans un putain de château ! Oui mon neveu ! Un putain de château ! Et pour ce qui est de faire la fête, non de dieu, ils savent ce que c’est ! Donc bon… Ils m’ont vendu du rêve, je dois bien l’avouer. Et puis surtout, je suis un vieil homme maintenant, j’ai besoin d’un peu de calme entre deux cuites.

Actuellement, j’aide à la confection de meubles pour un futur bar qui sera installé sur une péniche, oui haha ! Une putain de péniche ! Décidément, ces gens m'épateront toujours. Après de mon côté, avec un alambic fabriqué maison et quelques pommes de terre, j’arrive à faire un peu de gnôle. D’ailleurs, il faudrait que je touche deux mots au big boss, je suis certain qu’elle adorerait qu’il y ait du moonshine dans son futur bar. Pour le moment, je garde ça pour moi, je sirote ça tranquillement dans ma piaule. Je ne sais pas si c’est parce que mon palais est anesthésié par ses longues années de picole, mais j’vous jure que ma potion magique est géniale ! Quand on boit ça, on a même de la fumée qui sort par le nez, tout bonnement incroyable ! Bon assez bavasser, je dois retourner bosser, il faut que j’me fasse bien voir, si je veux un jour faire des affaires avec la patronne. J’utiliserais mon charme naturel pour mettre tout ce beau monde dans ma poche.

.

time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Goonies
• Âge irl : 30 ans
• Présence : Deux ou trois jours par semaine
• Personnage : Inventé
• Comment avez-vous découvert le forum ? C'est un forum qui me fait de l'œil depuis des années
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? L'envie de rp à nouveau
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ X ] / Non [ ]
• Crédits (avatar et gifs) Fait par moi-même.

• Code du règlement Ok - Maddie

fiche (c) langouste.
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Re: Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 16:45

Bienvenue a toi et bon courage pour ta fiche Wink
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Re: Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 16:49

Welcome Mike ! study
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Re: Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 16:52

Bienvenue Mike !





Light this world

ANAPHORE
Neela J. Yeo-Jeong
Neela J. Yeo-Jeong
Administratrice
She-Hulk
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Re: Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 17:43

Bienvenue par ici Mike !
Invité
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Re: Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 20:56

Bienvenue et bonne rédac ! Wink
Invité
Anonymous
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Re: Mike Dooley

Mer 4 Mai 2022 - 21:51

Bienvenue sur le forum Mike !



bienvenue sur le forum !


Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !


Si tu as des questions, n'hésite pas !

Bon courage pour ta fiche !
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Re: Mike Dooley

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