Damian Saddler

Sam 1 Juil 2017 - 20:35


Damian Walker
23 Etats-unien Jeune traducteur EMERALD FREEDOM

i've got a war in my mind


Explique ici le caractère actuel de ton personnage.


Eloquent: Damian a toujours su s'exprimer avec une certaine aisance. De plus, les cours de traduction qu'il a eu ont renforcé cette capacité.

Réfléchi: Damian réfléchira toujours lors qu'une situation se présentera face à lui. Il songera à tous les aspects et saura retourner un problème dans tous les sens afin d'en trouver la solution. Cependant, cela ne lui garantit pas une réussite à 100%, puisque l'erreur est humaine.

Loyal: Damian, une fois bien intégré dans un groupe de personnes qu'il affectionne, sera d'une loyauté sans égal. Il ne trahira jamais l'un des siens. Ses amis les plus proches savent qu'ils peuvent lui faire confiance.

Patient: Damian est quelqu'un de très patient. Il a la sagesse nécessaire pour attendre que cela se passe plutôt que de foncer tête baissée. La patience est une vertu que peu de personnes possèdent. Cependant, celle-ci a une limite, comme chez tout le monde.

Ambitieux: Damian est quelqu'un d'ambitieux. Dès qu'il se fixe un objectif, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour l'atteindre. C'est d'ailleurs cette qualité qui lui a permis de réussir ses études de traducteur, entre autres.

Extraverti: Damian n'hésitera jamais à aller aborder quelqu'un pour quelque raison que ce soit. Il n'aura non plus jamais peur de prendre la parole dans un groupe plus important.


Fier: Damian est très fier. Il déteste qu'on le critique, lui ou ses idées. Il n'acceptera pas non plus d'être trompé et reconnaîtra que très rarement ses torts.

Prétentieux: Damian est un peu prétentieux, surtout quand on touche à son domaine de prédilection. Ayant fait des études et se sachant très cultivé, il en arrive parfois à se sentir supérieur aux autres.

Rancunier: Trait de caractère qui va de pair avec sa loyauté. Si lui est loyal, il a en horreur les gens qui ne le sont pas. Ainsi, l'individu qui osera lui faire un coup bas ne sera pas pardonné si facilement.

Jaloux: Damian est très jaloux, même si ce n'est pas maladif non plus. Il est jaloux en amour, bien sûr, mais aussi quand il voit quelqu'un de meilleur que lui dans un domaine qu'il affectionne. Par exemple, s'il voit quelqu'un qui maîtrise plus de langues que lui ou qui tire mieux que lui, cela ne lui plaira pas du tout. Néanmoins, cette jalousie le poussera à se surpasser.

Critiqueur: Damian n'hésitera jamais à critiquer quelqu'un selon ses choix ou ses opinions, si ces derniers ne lui plaisent pas. Selon son humeur, son affinité avec la personne, la critique sera plus ou moins violente.

Froid: La froideur de Damian vient de sa méfiance envers les gens qu'il ne connaît pas. Il s'exprimera avec un ton plus neutre ou plus froid avec les inconnus ou les gens qu'il n'aime pas.


and blood on my hands


Explique ici les caractéristiques physiques de ton personnage..

Damian Walker est un jeune homme de type caucasien. Il mesure un mètre quatre-vingt (1m80) et pèse septante-deux kilos (72 kg). Il fait régulièrement du sport pour rester en forme, d'où son corps assez musclé. Il a des cheveux courts et bien coupés, châtains et des yeux marrons. Il a également une légère barbe de quelques jours.
Au niveau du style vestimentaire, Damian aime bien s'habiller de façon chic. Il met souvent une chemise blanche et un petit veston noir par dessus, un pantalon noir et des chaussures de villes. Il a aussi un holster pour son Smith & Wesson à la ceinture. Dans la poche de son veston, il garde les munitions de son Smith & Wesson. En tout, il possède un chargeur plein (6 balles) en plus de 4 balles de réserve dans sa poche.
Il se balade également avec son sac à dos, qu'il utilisait lors de ses études. Dans ce sac se trouve le strict nécessaire: une gourde d'eau, une petite trousse de secours (pansements, désinfectants, etc), une barre chocolatée, une boîte de haricots et une boîte de raviolis.



a storm is coming


Explique ici l'histoire de ton personnage avant l'épidémie.

Damian est né le 11 juillet 1993 à Tacoma, dans l'Etat de Washington. Son père, agent de police, et sa mère, infirmière, l'ont élevé avec amour et lui ont donné une belle éducation. Ils se sont toujours démenés pour mettre leur fils dans les meilleurs conditions qu'il soit. Son parcours scolaire se déroula tout au long de sa vie sans embûche. L'on pouvait même dire que Damian était un très bon élève. Les efforts réalisés par Damian et ses parents ont payé. En effet, Damian reçut une bourse afin d'étudier la traduction à l'université de Tacoma. Là, il put apprendre le français, l'allemand et le japonais, qu'il maîtrisera parfaitement. D'ailleurs, dans le cadre de ses études, il fera un Erasmus à Mons, en Belgique, pour y perfectionner son français. Il obtint son diplôme de traducteur multidisciplinaire en juin 2015.

Etant jeune adolescent, Damian fut initié au monde des armes à feu par son père. En effet, celui-ci lui apprit très tôt à tirer. "Cela pourrait t'être utile un jour, mon fils." avait-il répété à Damian. De là naquit chez lui un amour pour les armes à feu.


Au niveau relationnel, Damian n'est pas quelqu'un qui s'attache facilement à quelqu'un. Il n'a que très peu d'amis, même si ceux-ci sont dignes de confiance et connaissant Damian depuis qu'ils sont tout petit. Aussi, Damian a une petite amie, du nom de Rebecca, qu'il rencontra à l'université, lors d'une soirée estudiantine.

Tout souriait à Damian. Il avait tout pour être heureux: des amis fidèles, des parents aimants, une petite amie magnifique, un beau diplôme entre les mains. Malheureusement un drame vint le frapper: sa mère mourut d'un arrêt cardiaque. Les médecins avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir pour la réanimer, mais en vain.

Malgré ce drame qui vint le toucher, Damian continue d'avoir de beaux projets pour l'avenir: fonder une famille, se marier, faire un travail qui lui plait, prendre son indépendance,etc et compte faire tout pour y arriver, mais...


on the highway to hell


Explique ici l'histoire de ton personnage depuis l'épidémie.


9 Octobre 2015

Ce jour-là, j'étais chez moi, travaillant sur une rude traduction. Je vivais toujours chez mes parents, bien évidemment. Je n'avais pas de quoi me payer quoi que ce soit pour l'instant. Tandis que je travaillais, mes parents, eux, regardaient la télévision. J'entendais vaguement ce qu'il se disait aux informations. J'ai cru entendre que des violences avaient eu lieu à Seattle. Je ne fis pas plus attention que ça et me remis au boulot.

12 Octobre 2015

J'avais bossé toute la journée. 8 heures à rester assis sur un bureau, il fallait bien que je prenne l'air. Avant ça, je décidais de traîner un peu sur internet. Tout d'abord, je consultai mes mails, rien de nouveau. Puis, j'allai sur facebook. Là, un lien vers un article, article selon lequel des corps se seraient relevés. Pfff, qui croirait à ces bêtises? A coup sûr, c'était encore un gamin en manque d'attention qui avait rédigé ce torchon. J'éteignis mon ordinateur et pris un bon bol d'air frais.

18 Octobre 2015

Malgré ce qu'on racontait sur Seattle et malgré la présence de militaires au sein de la ville, mon pote, Tommy avait organisé une petite soirée chez lui et j'avais décidé d'y aller. Il vivait au quatrième étage de grands appartements. La soirée était folle, à tel point que je n'étais plus en état de prendre la voiture pour rentrer à Tacoma. Tommy nous proposa de nous héberger cette nuit, les autres et moi.

19 Octobre 2015

Nous venions de nous lever. Tommy avait allumé la télévision et tomba sur une page spéciale du journal télévisé, dans laquelle il était dit que les militaires avaient investi la ville, que des camps avaient été crées, qu'une loi sur je-ne-sais-quoi était passée. Bref, beaucoup d'informations mais j'étais encore trop malade de la veille pour y prêter totalement attention. Dans l'après-midi, nous entendîmes des coups de feu. A ce moment, je sus qu'il y avait un problème. Tommy nous interdit de partir aujourd'hui. En effet, toute la journée, aux informations, il était question de violences et d'émeutes dans les rues de Seattle. Il fut aussi question d'une épidémie. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait.

27 Octobre 2015

Cela faisait 8 jours que je vivais chez mon ami, Tommy. Vu le chaos qui régnait dans la ville, valait mieux ne pas sortir tout de suite. En effet, les violences étaient devenues régulières, ainsi que les pillages et les vols. C'était devenu une véritable jungle en bas. Malgré tout, je n'eus pas le choix: un militaire vint frapper à la porte et nous intima de descendre afin d'être escorté jusqu'au camp de réfugiés. De plus, il paraîtrait que les gens atteints de la maladie qui sévit depuis quelques jours les rend insensibles aux balles. Nous sortîmes du bâtiment. J'oubliais, mon précieux Smith & Wesson était resté dans la voiture, bien caché sous le siège. J'osais espérer qu'il y était toujours. Je prévins les autres du léger détour que je devais faire et que vu la situation d'urgence, il me fallait une arme pour me protéger. Au départ, le militaire était réticent mais il vit très rapidement que je n'aurais pas changé d'avis et m'accompagna jusqu'à la voiture. Heureusement pour moi, cette dernière n'avait rien, si ce n'est qu'on l'avait ouverte pour la fouiller, comme je m'y attendais. Je m'abaissai et mis ma main sous le siège, espérant y trouver mon précieux flingue et ce fut le cas. Tout y était: pistolet dans son holster et munitions. Je pris donc mon arme, mis 6 balles dans le barillet et les 4 dernières dans la poche de mon veston et nous pûmes reprendre la route. Sur le chemin, nous rencontrâmes l'un de ces infectés mais... était-il en train de mordre une autre personne? L'incompréhension et la terreur devaient se lire sur mon visage.

Novembre 2015

Il y a quelques semaines de cela, le militaire nous avait escorté jusqu'à un petit camp de réfugiés situé dans un petit village. Nous devions être une petite cinquantaine à tout casser. Malgré tout, la vie était active et bien régulée dans ce petit village: chacun devait mettre la main à la pâte. Tout était bien organisé: d'un côté, les gens armés procédaient à des patrouilles de temps en temps afin de vérifier s'il n'y avait pas d'infecté aux alentours et aussi pour trouver des vivres. Les femmes un peu moins fortes et même certains hommes devaient s'occuper des enfants. Personnellement, j'étais chargé de deux choses: étant armé, je patrouillais de temps en temps mais aussi j'étais chargé de dispenser des cours de langues aux enfants et jeunes adolescents. On ne sait jamais, cela pourrait leur servir. La vie suivait son cours sans embûche et nous étions même revenus presque à la normale, nous enfermant dans une certaine routine ennuyeuse.

18 Décembre 2015

Aujourd'hui, un homme est mort. Pourtant, il n'avait subi qu'une seule morsure. Laissez-moi vous raconter les faits. Nous étions une petite patrouille de quatre hommes et notre mission était d'aller chercher des vivres, qui commençaient à manquer. Nous voyageâmes à pied pour privilégier discrétion et pour économiser le carburant. Nous arrivâmes très vite à une petite boutique des environs. Nous y entrâmes et regardions chaque rayon attentivement. Malheureusement, il ne restait presque plus rien et nous dûmes nous contenter de quelques conserves. Cependant, alors que nous nous apprêtions à partir, un infecté surgit de derrière l'un des rayons et mordit au cou l'un de nos hommes. Je sortis alors un couteau que l'on m'avait prêté et lui planta dans le crâne, le tuant immédiatement. Ainsi, le conseil que l'on m'avait donné était vrai: "visez la tête!". Dans l'urgence, nous arrêtâmes immédiatement la patrouille et retournâmes au camp avec le blessé. Le médecin l'examina sur-le-champ et tenta de désinfecter la morsure le plus possible. Cela avait l'air vain, l'homme souffrait de plus en plus. D'une simple morsure découla de la fièvre, des vomissements, des pertes de connaissance et, au final, la mort. Le pire dans tout ça était qu'il ne resta pas mort très longtemps. Il se réveilla et se leva. Ses globes oculaires étaient remplis de sang, son regard avait changé, il se jeta sur le médecin et tenta de le mordre. Pris par un réflexe, un autre homme présent dans la pièce à ce moment sortit son couteau et lui planta dans le crâne. Ainsi, une seule morsure suffit à nous contaminer. Une seule morsure et c'était la mort...

Janvier 2016

La vie continuait normalement, même si l'hiver était particulièrement rude cette année. Autour du camp, nous avions installés plusieurs pièges et la sécurité était renforcée. Par contre, j'avais l'impression que le nombre d'infectés avait grimpé de façon exponentielle depuis le mois dernier. L'on en retrouve de plus en plus bloqués dans nos pièges ou rôdant non loin du camp quand on sort. J'espérais que l'on puisse tenir encore un bon moment mais j'en doutais.

19 Février 2016

Ce que je redoutais arriva. Une véritable horde prit d'assaut notre camp et nous fûmes obligés de fuir. Malheureusement, nous perdîmes un nombre incroyable de gens, ce jour-là. Sur la cinquantaine de personnes dans le camp, seuls une petite dizaine, dont moi, purent s'échapper. Mon ami, Tommy, lui, n'en eut pas la chance. Lui, comme le reste ne servirent que de repas à ces monstres. Malgré tout, il fallait avancer. Avant de partir j'avais réussi à préparer un petit sac à dos avec quelques vivres à l'intérieur. je ne savais pas combien de temps nous marcherions mais il fallait impérativement trouver un abri sûr.

27 Mars 2016

Après plus d'un mois à errer dans les terres américaines, s'arrêtant à chaque maison que nous pouvions trouver pour nous y reposer. Un long mois sans avoir un abri fixe et sans savoir où nous allions, nous trouvâmes un petit groupe de personnes dans le même cas que nous. Ils devaient être sept ou huit, grand maximum. Alors que nous discutions tranquillement, ce qui s'apparentait être le chef de leur groupe, ainsi que deux autres personnes, pointa son arme sur nous, nous intimant de leur donner tout ce qu'on avait. Ce qu'il ne savait pas en revanche, c'était que d'autres personnes que moi étaient armées. Bien sûr, le militaire que j'avais rencontré au début était toujours là, ainsi que deux autres hommes armés. Tout s'était joué et nous fûmes les plus rapides, nous les avions tous tués. Je n'en revenais pas d'avoir eu à faire ça. Comme si la menace des morts ne suffisait pas, maintenant même les vivants s'en prenaient à nous. Cerise sur le gâteau: les coups de feu attirèrent des infectés, qui se dirigèrent vers nous. Nous dûmes donc courir pour sauver notre peau.

24 Avril 2016

A partir de ce jour-là, j'étais tout seul. Mes compagnons avaient tous été dévorés par des infectés et, je ne sais par quel miracle, je suis le seul à avoir survécu. Ce récit fut bref mais je me devais d'écrire chaque moment important depuis le début de cet immense bordel.

2 Mai 2016

J'errais, sans but. Je commençais à abandonner tout espoir de survie. Je songeais fortement à me laisser mourir et ainsi rejoindre mes amis, ma famille et sans doute Rebecca, que je ne pus jamais joindre depuis ce fameux jour où tout a commencé. Peut-être fallait-il que je parte pour de bon, histoire de ne plus souffrir. Peut-être mes proches étaient-ils en paix de l'autre côté. J'étais seul, absolument seul. Tous les gens autour de moi mouraient. Je m'assis contre un arbre, le regard vide, j'attendais que vienne mon heure. J'attendais de pouvoir mourir, que ce soit par un infecté ou naturellement. Je ne pensai que par après à me tirer une balle dans la tête, de sorte à ce que ma mort soit douce et instantanée. Je sortis donc mon Smith & Wesson de son Holster, le collai contre ma tempe et m'apprêtai à tirer, quand je fus tout à coup tiré par le col. C'était un étrange individu:

"Que t'apprêtais-tu à faire avec ton arme?"

"Cela ne te regarde pas. J'ai juste envie de mourir et j'ai mes raisons. Peux-tu comprendre ça?

"Arrête, mec. Ce n'est pas la bonne chose à faire. Tu es tout seul?"

"Oui, tout mon entourage est mort."

"Le mien aussi. Ce n'est pas une raison pour ne pas te battre! Viens, suis-moi,
je vais t'amener à notre camp."


Je refrénai mon envie de me suicider et le suivis. Au moins, j'avais enfin trouvé des personnes vivantes et n'ayant pas l'air hostiles. Si tel avait été le cas, quel intérêt aurait-il eu à me demander de le suivre au lieu de m'abattre sur-le-champ afin de me dépouiller?

Nous arrivâmes dans une grande école. L'endroit avait l'air propice à la survie et en plus de ça, était lourdement protégé. Je rencontrai leur chef qui m'accueillit rapidement. Il m'expliqua les règles en vigueur à la vie de tous les jours et je m'y pliai, bien content d'être enfin en sécurité.

De Juin à Août 2016

La vie de tous les jours dans ce camp était paisible, bien qu'harassante. Chaque jour, il fallait travailler dur pour faire fonctionner le camp. Chaque jour, il fallait effectuer de multiples tâches allant de la plus amusante comme apprendre à tirer (même si je le savais déjà) jusqu'à la plus ennuyeuse comme du nettoyage ou de la cuisine. En tout cas, je m'étais bien intégré au groupe. Je ne pouvais pas encore participer aux patrouilles mais je sentais que ça ne saurait tarder, quoique je n'étais pas pressé. Enfin, bref, j'avais tout doucement repris goût à la vie.

11 Août 2016

Aujourd'hui fut une sale journée. En effet nous subîmes l'assaut d'un groupe de personnes. Des pertes furent à enregistrer dans les deux camps, même si elles étaient beaucoup plus importantes du côté de nos assaillants. J'étais personnellement chargé de protéger les civils les plus faibles, à l'intérieur. Je n'eus donc pas grand chose à faire et une réelle catastrophe fut évitée, de justesse.

De Septembre 2016 à Novembre 2016

Depuis l'attaque survenue le mois dernier, la vie avait repris son cours. Tout était revenu à la normale, pour le plus grand bonheur de tout le monde. Ainsi, nous nous enfermâmes à nouveau dans une routine ennuyeuse. Quelque chose qui était intéressante à noter était que dès le mois de novembre, nous croisâmes moins d'infectés, ou rôdeurs, comme on aime les appeler. C'était comme s'ils fuyaient la ville.

De Décembre 2016 à Février 2017

L'hiver arriva. Il fut encore plus rude que celui de l'an passé. Quand on y repense, cela faisait déjà plus d'un an que nous, vivants, luttions pour notre survie tous les jours. A partir du 23 décembre, je fus envoyé presque à chaque fois en patrouille. Cela consistait en les choses habituelles: scruter les alentours et aller chercher de quoi survivre: nourriture, boissons, médicaments,... Bref, tout ce qui pouvait être utile. Malgré tout, ce 23 décembre fut spécial. En effet, lors de notre patrouille, nous pûmes sauver in extremis une petite fille qui était au prise avec des rôdeurs. Noel approchait et sauver une vie innocente était un beau cadeau. La petite fille en question s'appelait Jade et avait 12 ans. Je me promis de la protéger comme si c'était ma petite soeur.

Lors des mois de janvier et février, nous eûmes de fortes chutes de neige. Patrouiller était dangereux, très dangereux. J'eus malheureusement l'occasion de le constater. Je ne comptais plus les fois où nous revenions de patrouille et devant annoncer que l'un d'entre nous n'avait pas survécu. La plupart du temps, un membre du groupe se faisait avoir par un de ces monstres caché sous la couche de neige. Heureusement, j'ai une fois de plus pu m'en sortir indemne. A croire que j'avais un ange gardien.
Plus personne ne voulait patrouiller. De cela naquit des tensions au sein du groupe. Je pouvais les comprendre, qui voudrait risquer sa vie pour rien?

De Mars 2017 à Avril 2017

Voilà, l'hiver était terminé. La neige ne régnait plus et le beau temps était de retour. Il était plus agréable de sortir maintenant et les patrouilles, bien que toujours dangereuses, l'étaient bien moins qu'encore un mois auparavant. Les tensions survenues auparavant se sont apaisées et la bonne humeur était au rendez-vous. Les patrouilles, et la vie en général, reprirent normalement.

17 Mai 2017

Aujourd'hui, nous fûmes attaqués par une horde de rôdeurs qui passait justement par ici. Tout le monde a eu les bons réflexes. Les enfants et les femmes se sont cachés à l'intérieur, dans des endroits sûrs, juste au cas où. Les "combattants", eux, ont fait le ménage. Tout a été dirigé d'une main de maître. Au final, nous n'avons perdu personne et la horde n'aura fait aucun dégât majeur. C'était donc juste pour témoigner de l'efficacité de notre groupe et de la solidité de notre refuge. Tout était parfait.

Juin 2017

Le mois de juin fut assez calme. Aucune attaque, rien d'exceptionnel au niveau des patrouilles, rien de bien fou à raconter, si ce n'est l'anniversaire de la petite Jade, qui a maintenant 13 ans.



time to meet the devil

• pseudo › sur internet, écrire ici
• âge › 23

• comment as-tu découvert le forum ? › en tapant TWD RP sur google
• et tu le trouves comment ? › bien agencé, bien détaillé, j'aime beaucoup.
• présence › régulière avec quelques rares absences au cours de l'année (voyage, travaux ou examens)

• code du règlement › You are a survivor and you always were.
• crédit › de la bannière et du gif, écrire ici
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Damian Saddler

Sam 1 Juil 2017 - 21:09

Bienvenue ici Smile
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Re: Damian Saddler

Sam 1 Juil 2017 - 21:39

Bienvenue Damian !
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Re: Damian Saddler

Sam 1 Juil 2017 - 23:19

Bienvenue parmi nous, bonne rédaction pour la suite !
Daniel Radcliffe est déjà pris par un de nos membres, et fait attention à prendre un avatar en accord avec l'univers de Walking Dead Smile
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Re: Damian Saddler

Dim 2 Juil 2017 - 1:42


Bienvenue Damian et bonne rédaction de fiche ))
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Re: Damian Saddler

Dim 2 Juil 2017 - 2:07

Bienvenue Damian ! Comme l'a dit Rafael, Daniel Radcliffe est déjà utilisé. Mais le nom de famille Walker est aussi déjà pris   ^^. Il faudra trouver un autre visage et un autre nom de famille. Afin de ne pas te tromper, jette un petit coup d’œil sur nos bottins pour être sûr qu'ils ne soient pas déjà pris.

Quand tu auras trouvé, envoie moi un MP qu'on puisse faire le changement Smile
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Re: Damian Saddler

Dim 2 Juil 2017 - 9:09



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Bienvenue Damian ! Bon courage pour ta fiche !
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Re: Damian Saddler

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