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Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:19


Stanley Mavericktell me more about you

prénom(s) : Stanley
nom : Maverick
date de naissance : 16 juin1991
âge : 26 ans

ville de naissance : McLean, VA
métier : PMC Contractor
groupe : The Remnants

avatar : Jack O'Connell

what i am

qualites
passionné
hyper loyal
fun
dégourdi
exigeant
audacieux
defaults
effronté
râleur
immature
mesquin
insatisfait
Details physiques :
Stanley est un jeune homme somme toute ordinaire. Il a la peau claire, les yeux bleus acier et ses cheveux châtains tirent vers le roux selon la lumière. De taille moyenne, s’il est musclé, il a toujours eu un corps relativement sec. Baigné dans l’athlétisme, il a beaucoup couru dans son adolescence, se spécialisant pour le 400m haies. Il ne fait pas particulièrement attention à son physique et ne travaille nullement son style. Sa coiffure, comme la longueur de sa barbe, ne dépendent donc que de son courage pour en faire quelque chose. C’est pareil pour les vêtements, il porte généralement ce qu’on lui donne et reste très classique. Sa seule caractéristique sortant un peu de l’ordinaire : une grande croix celtique tatouée sur son flanc gauche.

Côté visage, il n’est pas vilain garçon. Vous verrez toutefois souvent ses traits figés en deux expressions. La contrariété : visage fermé, sourcils froncés et mine potentiellement patibulaire. L’hilarité : œil taquin, sourire béat un peu idiot et rire bruyant. Il mâchouille aussi constamment des chewing-gums.

Equipement :
Pour l’équipement, en tant que membre des forces armées, il dispose de pas mal de choix. Ses préférences ? Un bon vieux poignard commando Ontario pour achever les rôdeurs. Pour de potentielles rencontres avec des survivants, mieux vaut cependant s'équiper davantage. Le Beretta est alors généralement suffisant, mais au besoin, Stan sait manier des armes plus lourdes.

Psychologie

Stan est un jeune homme à la fois simple – voire primaire -  et complexe. Dès l’école, ses camarades se divisaient en deux groupes bien distincts : ses amis, qui l’adoraient, et les autres, qui, s’ils ne le détestaient pas tout à fait, ne le portaient pas en grande estime. Pas de demi-mesure. Il faut dire que le garçon n’est pas toujours des plus sympathiques de prime abord. Il est moqueur, cassant, et aime toucher là où ça fait mal. C’est con, mais lui ça le fait marrer de s’en prendre aux plus faibles, gratuitement. Ça montre surtout le niveau… Pourtant lorsque quelqu’un entre dans ses petits papiers, la donne est complètement inversée. Il est alors le gars avec lequel on s’amuse follement, puisqu’il déborde d’idées, plus ou moins éclairées, pour rigoler et faire la fête ! Il est en effet toujours en quête de nouvelles expériences !

Il faut dire que Stanley est un garçon qui sait exactement ce qu’il veut ! Bien qu’il ne l’anticipe que rarement. Ainsi une fois qu’il a son idée en tête, il n’y a pas grande chose qui l’arrête… surtout pas un quelconque manque de culot ! Il passe alors souvent pour quelqu’un d’impertinent et un brin râleur, notamment aux yeux de ses supérieurs qui voient toutefois en lui un bon élément. Car son dada, c’est l’action. Et il ne craint pas plus que ça de se salir les mains. Le sport a d’ailleurs été une de ses premières passions. Il en a quelques autres, et pour elles, il peut tout consacrer. Absolument tout. Il reste néanmoins d’une loyauté sans faille. Il ne laissera jamais tomber une mission, un copain, ou un frère d’arme, c’est certain.

Ce constat était valable « avant » et l’est toujours tout autant. La nouvelle donne du monde n’a rien changé à l'homme qu'il était. Elle lui permet simplement d’explorer davantage ses capacités et ses limites. Car si la vie sur l’île est relativement paisible, l’extérieur est un grand terrain de jeux. Il faut y être dégourdi, avisé. Courageux aussi. Et pour cela, Stan se débrouille comme un chef. Il a toujours été exigeant avec lui-même. Et avec les autres, ceci dit, ce qui complique généralement la tâche. Car le monde et les choses ne tournent hélas pas toujours dans son sens, et il ne lui en faut pas davantage pour le faire grincer des dents. Frustration. Insatisfaction. Rien de tel pour réveiller en lui le grognon !




Story of survival

Pre-apocalypse

Octobre 2015 – Brainbridge Island

« T’as eu des nouvelles de Maman ? Demanda Stanley, pendu à son téléphone portable, l’air visiblement contrarié. Appuyé contre le rebord d’une fenêtre, il regardait par cette dernière des militaires s’agiter dans la cour des baraquements qu’ils occupaient. La famille Chambers avait été rapatriée sur l’île un peu plus tôt dans la journée. Les premiers d’une longue série. Le jeune homme était pour sa part arrivé dans le coin presque une semaine auparavant et depuis deux jours, sa mère était injoignable. Je peux pas t’en dire davantage, mais bouge ton cul Coco, merde ! Prends ta caisse, vas-y, t’en as pour deux heures tout au plus ! »

Celle à qui il parlait sur ce ton, c’était sa frangine : Colombine. La jeune femme avait un an de plus que lui et leur relation avait toujours été comme qui dirait… tendue ! Ils avaient beau s’apprécier – dans le fond – ils n’avaient jamais vraiment réussi à se supporter. Aussi avaient-ils passé ces dernières vingt années à se chamailler ! Stan poussa un soupir en entendant sa sœur lui répondre.

« Rappelle-moi quand t’es là-bas » conclut-il.

Avec les derniers évènements, et la merde qui semblait s’être emparée du pays, il était en droit de s’inquiéter pour sa mère. Veuve depuis presque dix ans maintenant, elle vivait seule dans la bourgade de Virginie, dans les environs de Washington DC, où elle avait élevé ses deux enfants. Elle était certes entourée de ses voisins et amis, mais elle n’en restait pas moins vulnérable. La mort du père, fauché par une crise cardiaque à la quarantaine, avait pris tout le monde par surprise. Fin de leur petite vie insouciante. Si Stan n’avait jamais été vraiment proche de lui, son absence avait toutefois laissé un grand vide dans leur famille. Elle avait aussi responsabilisé un peu l’adolescent qu’il était à l’époque. Un peu…

« Stan, réunion de coord’ dans dix minutes » fit un collègue en l’apostrophant. Il allait prendre part dès le lendemain à d’autres missions de récupération. En se mordant la lèvre, le jeune homme fit un signe de tête entendu aux gars avec lequel il bossait. Dans un geste, il lui signifia qu’il le rejoignait dans deux minutes.

Il essaya ainsi d’appeler son ami de toujours, Esca. Répondeur. Merde. Il lui laissa un message. Les deux garçons avaient fait les quatre cents coups ensemble dans leur enfance. Des trucs de gamins, généralement très cons, qui n’avaient souvent faire rire qu’eux. Mais qu’importait ! Aujourd’hui encore, ils restaient tous les deux particulièrement immatures et bien qu’ils ne se voyaient plus beaucoup, leur lien restait solide. Stanley passa finalement un dernier coup de fil. La liaison s’effectua cette fois rapidement.

« Tu es bien arrivé ? Lui demanda une voix féminine.
- Oui, jeudi dernier. Ça commence à chauffer, on dirait… T’es où ?
- Toujours au bureau.
- Sherry… » répondit-il dans un soupir.

Son ton était empli d’impuissance. Il n’avait jamais eu aucun contrôle sur elle. Aucun. Et pourtant… Sherry Price avait 46 ans. Blonde, cheveux coupés au carré, elle était pour Stan la classe incarnée. C’était une femme férue de travail, brillante et charismatique, ce qui lui avait valu une jolie position dans les quartiers de la CIA dans les années 2000. Stanley avait mis longtemps à découvrir son lien avec le Bureau et il n’avait jamais réellement compris son rôle dans l’organisation. Aucune importance. Rien ne la prédestinait en tout cas à croiser le chemin d’un morveux comme Maverick et encore moins à se laisser séduire. Une passade un peu folle, qui s’était transformée en bien davantage. Mais leur relation faisait partie de ces vilaines histoires impossibles. Alors ils se contentaient tous les deux de bonheurs intenses mais épars. Et d’une complicité inébranlable. Ainsi allait la vie. Chaque seconde en valait pourtant la peine.

Jeune homme de passion, Stanley n’avait d’ailleurs pas hésité une seconde, à la sortie du lycée, à abandonner son premier amour, le sport, et plus précisément l’athlétisme, pour cette femme. Afin d’évoluer dans sa sphère. Il avait ainsi décliné la jolie bourse que lui donnait une chouette université pour rejoindre ses bancs, pour se former au combat et se spécialiser dans la sécurité. Il avait enchainé ainsi quelques jobs comme agent de sécurité et garde du corps. Son physique d’athlète ainsi qu’une bonne dose de piston de la dame lui avait ensuite permit de rejoindre, deux ans plus tôt, Academi, où il avait effectué quelques missions en Afrique ou encore en Ukraine.  Il y avait vu et fait des choses dont il aurait pu ne pas être fier. Mais il avait appris au cours de ces expériences que la frontière ténue entre le bien et le mal n’était souvent qu’une question de points de vue. Alors il avait appris à agir - à obéir surtout - sans se poser trop de questions. Sans retourner trop souvent sa conscience aussi.

Et il était là sur cette île aujourd’hui, à l’autre bout du pays.

« Fais attention à toi, Stan, ok ? Lui quémanda la femme, en fin de conversation. Le garçon la rassura.
- On se voit bientôt ! » Il voulait y croire. Il n’en serait rien. Et Sherry en avait parfaitement conscience. Elle ne répondit pas.

Le cœur un peu lourd, Stanley raccrocha finalement et regarda quelques secondes l’écran de son téléphone. Il avait les boules, mais ce n’était pas le moment. Il avait une réunion à rejoindre et un job à faire. Si bien qu’il chassa de son esprit les images de sa sœur, sa mère, son pote et sa maitresse, pour assister au briefing du Colonel Norwood.

Post-apocalypse

Avril 2017 - Bremerton

La route les ramenait au camp. Les quelques hommes présents dans le 4x4 étaient silencieux et digéraient chacun à leur façon ce qu’ils venaient de vivre. Parmi eux, assis à l'arrière, Stanley avait la mine fermée et le regard ancré dans le paysage. Depuis la ferme dans la montagne, ils avaient rejoint la ville éventrée et le regard du jeune homme se posa sur un rôdeur qui tendait les bras dans leur direction.

« Fais gaffe » ordonna un autre des gars au conducteur, qui chassa la remarque d'un revers de main. Comme s'il ne l'avait pas vu. La voiture fila sans le percuter.

Cet environnement, au cours de ces dix-huit mois, Stan s’y était habitué. Il avait toujours su prendre les choses telles qu’elles venaient. Il se souvenait néanmoins de la première fois où il avait croisé un infecté. De la balle qu’il avait logée dans sa tête. De l’eau était passée sous les ponts depuis ce mois de novembre et le ménage qu’ils avaient effectué près du Fort Ward : il n’utilisait presque plus son arme à feu pour éliminer ces charognes, puis elles ne le laissaient plus aussi perplexe. Il s’était fait à leur vilaine apparence, à leur odeur nauséabonde. A leur simple existence. Il n’avait jamais tressailli pour les abattre. Un ennemi est un ennemi. Point à la ligne.

Le véhicule effectua un soubresaut en roulant au-dessus d’un obstacle que Stanley n’identifia pas. Celui-ci lui arracha toutefois une légère grimace, et il porta sa main sur son pantalon ensanglanté, avant de pincer les lèvres. Connard, se dit-il, en repensant au vieux barbu qui lui avait tiré dessus. Par chance, il s’était complètement loupé - il avait vaguement touché sa cuisse - et ne lui avait pas causé grands dommages. Mais quand même, ça faisait un mal de chien ! Il n’en voulait pas à ce pauvre type d’avoir essayé de se défendre. Enfin quoique… ils leur avaient pourtant laissé le choix, à lui et son groupe…

Oui, car depuis quelques mois, les positions des survivants de l’île s’étaient endurcies. C’était qu’ils en avaient morflé avec cette attaque de pillards l’été précédent. Puis la mort de Norwood en décembre avait tout bousculé. Chambers avait décidé d’attaquer le problème sous un autre angle. Plus agressif. Le jeune effronté le soutenait. D’autant que Jensen avait repris les commandes des forces armées, et ça c’était franchement la panade ! Stan jeta un regard sur ce dernier au volant. Il était concentré. D’une certaine façon, l’île les protégeait du chaos qui régnait sur le continent. Ils avaient la belle vie : la sécurité, le confort. Le garçon aimait son quotidien là-bas, il s'y était fait sa place. Puis l'extérieur lui donnait l'adrénaline qui rendait tout le reste tellement plus puissant. Les autres, là, ailleurs, ils ne connaissaient que la misère et la mort. Il fallait être fou pour refuser de les rejoindre. Ou simplement très con. Il revit un quart de seconde le corps de la gamine squelettique tomber sous les balles de ses coéquipiers.

Cette image réveilla en lui une envie pressente de fraicheur. Dans un mouvement, le jeune homme glissa sa main droite dans la poche de sa veste kaki, pour en sortir un paquet de chewing-gums abimé. Il se fourra l'un d'eux dans la bouche, et se garda bien d'en proposer aux autres. La menthe intense vint l'irradier jusqu'aux sinus. Il avait beau être toujours recouvert de sang et de sueur, il se sentit comme lavé de l'intérieur. Il inspira fortement, remplissant ses poumons de parfum mentholé. Pas de doute, ce soir, il irait boire un coup avec les copains, dragouillerait peut-être quelques filles - sans succès - et ferait table rase de cette journée. Il le fallait.

La voiture s'arrêta alors, non loin du bras de mer où ils prendraient un bateau qui les reconduirait tout droit sur l'île. Chez eux.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : Aude
• Âge irl : keuf keuf
• Présence : régulière
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? c'était y a un moment

• Code du règlement genre…

fiche (c) langouste.
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Re: Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:30

Rouhlala !

Bonsoir :111:





So high
ANAPHORE
Casey Maverick-Summer
Casey Maverick-Summer
The Rogues
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Re: Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:36

OUAIIIIIIIIIII

Je te redis pas bienvenue, tu es chez toi, mais j'ai pas commencé à lire que je love ce compte :MisterGreen: Jack O'Connel oblige !

Pour la route :111:

Team COOK:
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Re: Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:43

Rebienvenu collègue Cool
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Re: Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:46

*cache le Alan sous Lawrence et la Christy sous Stanley*


Rebienvenue à la maison Stan Maverick 1442386177
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Re: Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:55

hihi :111:

merciii :109:
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Re: Stan Maverick

Mer 21 Juin 2017 - 21:59

Donc si on cherche Lawrence et Stanley ont fait des bébés à un moment donné?

Bienvenue avec ce nouveau perso en tout cas ^^
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Re: Stan Maverick

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