Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 19:10


Sybil Woodson
27 ans Américaine Milliardaire Travelers
Life sucks. Get a helmet.

Explique ici le caractère actuel de ton personnage.

L’égoïsme, l’arrogance, la fierté… Des défauts qui me sont bien propres. Je ne vois pas l’intérêt de me soucier des autres, ma propre survie est bien plus importante. Je ne veux pas prendre de mauvaises décisions à cause des autres. De plus, je n’y peux rien si la plupart des survivants ne savent pas se débrouiller seul. Mourrez, ou débrouillez-vous. Je n’ai pas de temps à perdre avec des idiots ou des idiotes qui cherchent de l’aide pour quoi que ce soit. J’arrive à me débrouiller seul, alors pourquoi pas eux ? Je ne m’abaisserai jamais à demander de l’aide à qui que ce soit. Aussi, je ne m’avouerai jamais vaincu. Même en tort, je continuerais sur ma lancée. Rien ne peut m’arrêter, même pas la mort. Je pense que c’est ici qu’intervient ma détermination. Même si tout semble perdu, je continuerais à y croire. Je ne sais pas pourquoi, mais je continue à m’accrocher à la vie même si rien ne m’en donne l’envie.

Dans le cas présent, mon aspect malin ne rentre pas du tout dans mes qualités. Pourquoi ? Tout simplement parce-que dans la majorité des cas, cet aspect se retourne contre les personnes qui m’accompagnent. Je ne fais aucune distinction entre enfants, adolescents, adultes ou personnes âgées. Si vous devenez trop dangereux, je vous élimine. Je préfère me déplacer seul plutôt qu’en groupe, il y a moins de contraintes et de risques de trahisons. Peu de personnes sont encore dignes de confiance, au jour d’aujourd’hui. Ce qui me permet d’être encore en vie après des mois apocalyptiques, c’est sûrement mon ingéniosité. Je ne suis pas particulièrement intelligente, mais j’ai le sens de l’analyse. Chaque mot, chaque geste, chaque regard, tout a un sens pour moi. Je ne dis pas que je devine tout en un regard, mais je comprends vite ce qui se passe autour de moi. De cette manière, je peux sortir de situations inconfortables voire dangereuses.

Je n’ai pas peur de commettre certaines choses qui va à l’encontre des moeurs. Si ma survie en dépend, alors je suis prête à tout. La plupart des personnes qui m’accompagnaient ne m’appréciaient que par ma capacité à faire le « sale boulot ». J’aurais tout d’un survivant parfait si je n’avais pas cet horrible caractère. Qui voudrait d’une personne comme moi dans son groupe ? Autant faire bande à part. J’aime me déplacer en ma seule compagnie. Pour finir, je suis une personne naturellement élégante. En cas d’extrême urgence et seulement en dernier recours, je pourrais porter un vieux pull, tout en restant élégante. Bien évidemment, je n’affectionne pas vraiment, voire pas du tout, les tissus que le bas peuple ose porter.



Explique ici les caractéristiques physiques de ton personnage..

Bien que cette soudaine épidémie soit apparu, je n’ai pas quitté mes vêtements de prédilection. Vera Wang, Vivienne Westwood… Ils me tiennent encore compagnie. Je passe mes nuits dans de la soie et, je passe mes journées dans du cachemire. Certains de mes magasins favoris avaient été piller bien avant que j’arrive, sûrement l’oeuvre de paysans*. Ah… Ils devaient être satisfaits. Maintenant que le système était tombé, il pouvait se procurer des choses qu’ils ne pouvaient pas avant. Comme des vulgaires rats qui tombaient sur un vieux morceau de pain… Quoi qu’il en soit, la mode a toujours fait partie de moi. Qu’une épidémie meurtrière fasse son apparition ou non, mon élégance ne me quitte jamais. Gardant une certaine routine de vie, je change régulièrement de vêtements. Des chemisiers, des pantalons allumettes, des pantalons tailles hautes, des chemises… Tout cela contenu dans l’un de mes sacs. Chaque jour, je fais en sorte que mes vêtements soient bien coordonnés, bien qu’en sachant pertinemment que je ne croiserais personne. Je ne m’habille pas correctement pour les autres, mais pour moi. Qui ne rêverait pas d’être habillé convenablement en temps d’apocalypse ? Je ne veux pas ressembler à ces insignifiantes personnes qui osaient vagabonder avec des vieux pulls sans doute tricotés par un membre de leur famille. Un jour, même, il m’est arrivé de voir une jeune femme en Doc Marten… Que la toute puissante Prêtresse de la Mode puisse lui pardonner son pécher. Je lui aurais sûrement conseiller des bottes si elle ne s’était pas faite avoir par des rôdeurs. Les Loro Piana, les Lanvin et même les Stuart Weitzman s’avéraient être utile en ce temps apocalyptique.

Du haut de mon mètre 70 et de mes 65 kilos (Voix off: rajouter 3 kilos), il ne m’est pas vraiment difficile de trouver des vêtements à ma taille. Cependant, comme toutes femmes, je possède des complexes. Des affreux complexes. Commençons par mon nez, il est bien trop gros ! Il devrait même être un peu plus droit, cela améliorait mon profil de gauche. Quant à mes hanches, elles sont bien trop développées. Merci, mère. J’aurais aimé avoir les yeux bleus et, non de simples yeux marron. Aussi, fût un temps où j’avais les cheveux longs. Aujourd’hui, je privilégie les cheveux courts, afin de pouvoir fuir le cas échéant. Et si la personne qui me poursuit me rattrapait par les cheveux ? Les avoir courts est bien plus sûre. Mes cheveux ont d’ailleurs la même couleur que mon coeur, noir comme de la suie, sacré coïncidence. Maintenant, relevons les points positifs. Globalement, mon visage est fin et mes lèvres sont pulpeuses. Mes yeux sont en amande, ce qui soit dit en passant me permettait de faire de sublime smokey-eyes. Malgré mes hanches, j’aurais facilement pu me lancer dans une carrière de mannequinat.


Pour parer d’éventuelles menaces, j’ai réussi à me procurer une hache sur un site d’abattage d’arbres. Mais cela n’est pas suffisant pour se croire en sécurité. Je possède un couteau de taille moyenne en céramique, que j’utilise rarement. Lors d’une attaque, je suis bien plus dans le brutal qu’il ne le faudrait. Une hache me convient parfaitement. Dans mon sac à dos se trouvent les éléments de survies banales: une bouteille d’eau que j’essaie de remplir dès que je peux me le permettre, des victuailles trouvées sur mon chemin, un cordage en mauvais état et une lampe torche en fin de vie, à moins que je trouve des nouvelles piles.

*Sybil nomme toutes les personnes qui ne sont pas de son rang social des paysans.
welcome to the hell

Explique ici l'histoire de ton personnage avant l'épidémie.

Ah… La nature humaine. Depuis la nuit des temps, vous êtes persuadés que l’Homme est bon. La solidarité, l’égalité, la fraternité… De nos jours, ce discours relève de l’utopie. Ce n’est pas à cause de cette épidémie que l’Homme est devenu mauvais, écoutez-moi bien. L’Homme est mauvais depuis le commencement. La société ainsi que toutes ces magouilles périphériques, constituaient un rempart entre le mal et le bien. Vous êtes bon, alors donnez nous de l’argent. Mais, si je ne m’abuse, depuis que la société a été détruite, le mal ne perdure pas ? Les meurtres, les viols, les vols sont devenus courant pour subvenir à nos besoins. Pensez-vous alors que la société fait régner l’harmonie ? Vous vous trompez. La société ne servait qu’à endormir vos petits et fragiles cerveaux d’imbéciles que vous êtes. Les règles, les lois, et j’en passe, ne servaient qu’à assoupir votre réflexion et vos actes. De parfaits petits moutons téléguidés… Qui ne voudrait pas être à la tête d’une telle société ?
Cependant, et à présent, nous sommes enfin libres. Libre, vous vous demandez ? Oui, libre. J’aime la vie que je mène aujourd’hui. La loi du plus fort. Je n’ai jamais aimé devoir donner aux pauvres, je suis d’ailleurs allergique à toutes règles quelles qu’elles soient. Aussi loin que je m’en souvienne, je me suis toujours débrouillé comme je le pouvais, demander de l’aide n’est que futile et accentue particulièrement le fait qu’on ne peut pas se débrouiller seul. Quoi qu’il en soit, il me semble que je dois reprendre l’avant de l’épidémie. Ecoutez-moi bien, et si je vous disais que je n’étais pas comme je le suis aujourd’hui ?

Le chant des oiseaux, les arbres en fleur, la rosée du matin… J’aimais me réveiller et parcourir de mes pieds nus le jardin que ma famille possédait. Je commençais ma journée par les salutations envers les employés de mes parents. Mme. Rosenbach, l’une des femmes de ménage, s’occupait de moi depuis que j’étais toute petite. J’avais appris à voir à travers ces yeux la beauté du monde qui nous entourait, je la considérais comme une seconde mère et, elle me considérait comme son unique fille. Elle et son mari ne pouvait concevoir d’enfants. D’une certaine manière, je fus le remplacement de ce grand malheur. M. Rosenbach travaillait dans la demeure comme jardinier, c’était l’un des meilleurs de la région. J’aimais arpenter les différents labyrinthes qu’il m’avait exclusivement construit, et à la fin de chacun se trouvait une surprise. Une rose gallica, un gloxinia, des dahlias,… Chaque jour, je découvrais une nouvelle sorte de fleurs. Les rayons du soleil avaient l’habitude de chatouiller mes pommettes puis de donner un tout autre aspect au jardin. Les pétunias devenaient plus colorés, les roses se dressaient fièrement contre le lever du soleil et certaines fleurs commençaient à s’ouvrir. Un si doux spectacle… A chaque pas que je faisais, une nouvelle odeur exquise parvenait à mes narines, excitait mes sens et réveillait mon inspiration. J’aimais dessiner. Ma chambre était essentiellement envahie par des esquisses, des brouillons et des dessins finalisés de fleurs. Au petit-déjeuner, je rejoignais mes parents dans la vaste véranda que nous possédions. Se présentaient alors divers mets plus savoureux les uns que les autres, maintes odeurs de nourriture se mêlaient dans la pièce, de quoi raviver mes papilles. Je m’asseyais souvent dans l’un des fauteuils en acajou, le plus proche des vitres, pour admirer le paysage qui s’offrait à moi. Il y avait un vaste jardin, puis plus loin se dessinait un lac où je péchais plus jeune avec mon grand-père. Plus à l’est, se trouvait l’écurie où séjournait mon cheval et ceux de ma famille. Nous étions tous cavaliers de père en fils. Mon père s’habillait exclusivement de costume italien qu’il achetait lui-même, ma mère quant à elle privilégiait la soie et les autres tissus de même renommés. J’avais pris goût à cette vie, où, je n’avais qu’à lever le petit doigt pour recevoir ce dont j’avais besoin. Il n’y avait sans doute pas meilleur endroit que mon dressing pour trouver des robes Vivienne Westwood, des escarpins Vera Wang ainsi que des Manolo Blahnik, etc. Je nageais dans le bonheur, et dans les billets violets.

Mes parents ayant assez d’argent pour survivre des décennies sans lever le petit doigt, je ne me destinais pas à grand-chose. Les bals, les cours à domicile, les sorties matinales et les sorties shoppings étaient les seules choses qui chamboulaient mes journées. Je ne voyais que rarement mes parents, je passais davantage de temps avec les Ronsebach. Ce n’est que plus tard que j’appris la vérité. Ma grand-mère, le seul patriarche encore vivant de notre famille, m’avait délibérément éloigné de mes parents. Ils sont mauvais, leurs coeurs sont aussi noirs que de la suie, répétait-elle continuellement. Elle voulait me protéger de l’obscurantisme de mes parents et avait mis au courant les Rosenbach, ce qui ne les dérangeait pas plus que cela. Les prières de ma grand-mère avaient été entendues puisque j’étais devenue une jeune fille, puis femme, attentionnée avec les personnes qui m’entouraient, je respirais la pureté et je n’avais pratiquement aucune pensée négative ou diffamatoire. Une parfaite épouse. Distinguée, discrète, bienveillante. Un parfait petit pantin. Quoi qu’il en soit, ma vie fût tranquille en Pennsylvanie, à Butler, jusqu’à cette épidémie.

Explique ici l'histoire de ton personnage depuis l'épidémie.

Une partie de moi avait toujours voulu sombrer dans le côté obscur, comme l’appelait si bien ma grand-mère. Un dicton bien connu du monde disait « telle mère, telle fille », non ? La plupart des mères de bons partis me conseillaient souvent de regarder le père avant le fils, car le fils devenait dans la plupart des cas le reflet de son père. Ceci ne pouvait être adapté à mon cas ? J’avais l’impression d’être enfermé dans une cage, comme un pauvre oiseau qui ne demandait que la liberté. Il ne fallut que peu de temps pour que les récentes violences à l’encontre de la population dans certaines villes viennent se glisser à l’oreille de certaines commères de notre statut. Nous avions d’abord pensé à un canular du bas peuple, afin d’attirer l’attention sur la pauvreté de certains quartiers. « Des sans-abris qui mordent des passants ! Ils vont encore nous faire croire que c’est par manque de nourriture, bon Dieu ! » avait lancé l’un des amis de mon père, en visite d’affaire. Puis, plus tard, une intoxication par les stupéfiants dans l’alimentaire avait été évoqué. Nous ne prenions pas ces affaires au sérieux, il n’y avait pas de quoi. Mon père, ainsi que ses associés, pensaient simplement que les médias n’avaient plus rien à se mettre sous la dent, quoi de mieux  qu’un sujet inventé ? Ma mère et ses amies, quant à elles, se méfiaient tout de même de cette enquête. Elles craignaient un soulèvement du bas peuple, que c’était un coup monter pour accuser les plus aisés financièrement. Moi ? Je n’avais pas d’avis. J’étais encore en sommeil. Quand un virus fût finalement déclaré, certains de ma famille commençaient à prendre peur mais d’autres gardaient la tête sur les épaules. Ils n’y croyaient toujours pas. « La presse tente de masquer les sujets les plus sensibles ! La bourse est au plus mal, et ne parlons pas des bénéfices des entreprises d’exportations ! » répétait mon père. Ce n’est que lorsque les militaires avaient commencé à se manifester que ma famille changeait d’avis. Nous commencions à renforcer notre demeure, si bien qu’elle s’assimilait plus à un bunker qu’autre chose au bout d’un certains moments. Nous ne savions pas ce qui nous attendais, mais nous étions prêts. Des frères, des soeurs, et même des cousins éloignés rejoignaient notre maison. Certains employés étaient contraints de rester, les militaires empêchant l’accès à leur domicile. Les Rosenbach en faisaient partit, et, cela me rassurait qu’ils étaient restés. Mais toute chose avait une fin… Suivant la chute de certains camps de réfugiés, notre demeure fut encercler par des rôdeurs. Nous ne savions pas à quoi nous avions à faire, le tiers des personnes présentes dans notre demeure s’en  était sortit.

Et puis, je me suis réveillée. Je ne voyais plus les choses de la même façon. C’était un lundi, je crois. Tout avait disparu. Je ne ressentais plus rien. Je ne ressentais plus de compassion à l‘égard de qui que ce soit, je ne voulais plus être gentille et prendre soin des autres. Cette épidémie, ou quoi que ce soit d’autres, m’avait révélé. Elle nous a tous révélée. Voilà où je voulais en venir. Cette épidémie ne nous a pas transformés, elle nous a permis de voir qui on était réellement. Ne pleurnichez pas, n’utilisez pas cette épidémie comme une excuse à ce que vous êtes réellement. Il n’y a pas de mal à se comporter comme une bête sauvage, fondamentalement, nous sommes des animaux. Ainsi, je n’utilise pas comme prétexte cette épidémie pour justifier mes actes. Je pense donc je suis. L’élément déclencheur de ma vraie nature, sans doute, a été le fait que ma grand-mère ait abandonné les Rosenbach. Lâchement, cruellement. C’était dans l’une des maisons que nous occupions, autrefois. Des rôdeurs avaient réussi à s’y introduire et nous tentions pas tous les moyens de nous enfuir, au point que ma grand-mère avait fermé l’une des portes au nez des Rosenbach qui étaient talonnés par ces monstres. Je m’en souviens encore aujourd’hui. Les cris, les os qui craquaient, l’odeur, les appels à l’aide. Ma grand-mère était la plus hypocrite de l’espèce humaine, elle était sans doute la pire de notre famille. On ne renie pas sa famille. Elle aurait pu déployer autant d’effort qu’elle aurait pu, mais la noirceur dans mon coeur était bel et bien présente. Depuis cet évènement, je me déplace exclusivement seul. Je n’ai aucune confiance en ses soi-disant groupes. Tout a toujours une fin. La trop grande concentration d’humains dans un même endroit n’est jamais bonne. Il m’est arrivé de rencontrer des personnes blessées, mais je ne les aidais jamais. Je ne voulais pas me mettre en danger inutilement. Et s’ils étaient mordus ? L’un de mes cousins mordus s’était transformé en ces monstres. Très peu pour moi. Aussi, je n’ai aucun problème de conscience. Je fais donc ce que je souhaite, et j’abandonne qui je le veux. Moi ? Sans aucune pitié ? Vous êtes mignons. Faites attention, les enfants, l’oiseau est sorti de sa cage.

Combien de marcheurs avez-vous tué ? — Sans doute une cinquantaine.
Combien de personnes avez-vous tué ? — 5 personnes.
Pourquoi ? Silence.
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 19:51

Bienvenue Smile

Bon courage pour le reste de ta fiche Very Happy
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 20:17

Bienvenue !




Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
Yulia Iojov
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 21:21

Merci à vous deux Wink
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 21:35

Bienvenue parmi nous, bonne rédaction pour la suite :MisterGreen:
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 21:48

Merci ! Very Happy
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

Sam 15 Avr 2017 - 22:03

Bienvenue :099:
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Re: Les fleurs poussent aussi parmi les ruines

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