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I can't take back the words I never said -Lilou Black

Dim 1 Nov 2015 - 5:07


Lilou Black
26 ans • Américaine • Laborantine • Centurylink Field

i've got a war in my mind

Explique ici en 12 LIGNES MINIMUM le caractère de ton personnage.  

Si l'on dit souvent qu'on est jamais soi-même, l'idée s'appose entièrement à Lilou. Un peu en constant équilibre entre sourire et nostalgie, entre force et fragilité. Il y a toujours l'apparence, ce qu'on perçoit d'elle et qui donne de la couleur à sa personnalité, et puis ce qu'on y trouve quand on creuse plus en profondeur, quelque chose de plus sombre et fébrile. Lilou est une fille plutôt souriante, assez sociable pour s'adapter à beaucoup de monde, assez ouverte pour jamais se choquer d'un humour trop gars, trop puéril. Une grande imagination, des projets plein la tête, Lilou aime rêver, parler d'utopie pendant des heures et voir le meilleur du monde. Mais c'est une femme très émotive qui le cache et s'isole lors des jours sombres. En deuil depuis de longues semaines, la demoiselle s'enferme sur elle-même et refuse de montrer sa faiblesse ou demander de l'aide. Un sentiment de solitude qu'elle fabrique elle-même, elle n'a jamais aimé ressentir le plus dur de ses sentiments et préfère les anesthésier entre cachets et fumette, n'ayant pas encore la stupidité encore de tomber dans les substances plus radicales et dures.
Lilou, c'est une femme qui pense qu'elle doit être indépendante et s'assumer entièrement seule pour être méritante. S'appuyer sur les autres représente un échec et c'est certainement ce qui joue sur son caractère versatile. Elle se rend bien compte qu'elle est incapable d'avancer entièrement seule même si elle a fait beaucoup de chemin, et elle se flagelle pour ça. A côté de ça, elle est capable de la plus grande force et des meilleures conseils pour ceux qu'elle aime et qui s'appuie sur elle. Elle rêve d'être un pilier avec tout ce que ça implique, mais elle a conscience aussi que ses fondations ne sont pas toujours très stables ou solides.
Mais cette petite chose n'en démérite pas. Venant d'un milieu modeste, elle a su tracer un chemin correct. Elle se mésestime mais il lui arrive parfois de se comparer à d'autre et de réaliser le chemin parcouru, parfois il lui faut un petit coup de pouce, parfois c'est d'elle-même.
Si elle pouvait, elle vivrait dans son esprit. Souvent le regard dans le vide, ce n'est pas tout à fait de la peine, simplement une Lilou plongée dans un monde où elle contrôle absolument tout.
Petite femme paradoxale justement, le contrôle, elle l'aime le prendre pour se rassurer mais se jette dans des chemins inconnus pour donner un sens et de l'émotion à sa vie, repartir de zéro en changeant de ville, ne pas choisir le lycée du coin, ne pas choisir le même chemin que ses frères et sœurs, ne pas faire comme les autres, toujours prouver qu'elle est capable de grande chose par ses propres moyens.
Le cœur de Lilou n'est pas assez gros pour encaisser la perte des autres. Elle s'attache énormément aux gens qui l'entoure. Il suffit d'un fou rire, d'un délire ou simplement être de sa famille. Oh certes, il lui arrive parfois de se lasser de certaine personnes, parce qu'elles changent, tout comme elle, mais souvent, il faudra du temps à la californienne pour l'accepter et tourner la page.
N'étant pas qu'émotion, Lilou n'a pas la tête creuse. Elle apprend vite, cogite plutôt bien et peut se prendre longtemps la tête sur des calculs ou des problèmes. Lui donnant un sentiment d'euphorie quand elle touche du doigt la solution, Lilou pourra malheureusement baisser les bras si elle n'y arrive pas pendant trop longtemps. Elle se repose sur ses acquis la vilaine, un contre effet du fait qu'elle se sous estime certainement.  Mais Lilou est plutôt du genre manuelle, douée en bricolage du dimanche et système D, Lilou se montrera cependant très moyenne en cuisine, juste assez bonne pour se faire quelque chose de mangeable dès l'instant que la recette est simple et rapide.



and blood on my hands

Une fille plus grande que la moyenne avec ce léger complexe d'avoir été toujours plus grande que les garçons. Des cheveux fins, oscillant entre le blond et le roux, s'éclaircissant à chaque été, des yeux bleus marquant un regard rempli d'émotion et de sentiments, subtile reflet de ses pensées et de son état d'esprit, caché par un sourire léger et permanent, un visage fin, un peu clair, presque nacrée entretenue par la frilosité d'être au soleil. Sa peau est fragile, réactive, rougit à la moindre tentation et chaque trop longue exposition au soleil l'affuble de nouveau grains de beauté qui se parsèment petit à petit sur son corps depuis sa naissance. Ce n'est pas la sportive et la courageuse, mais une femme qui fait attention à sa ligne, une femme qui a toujours préféré l'oisiveté aux longues courses dans le supermarché.
Parfois femme, parfois cocooning, Lilou ne s'habille qu'en fonction de ses journées, entre le laboratoire où la sobriété est conseillé, les sorties dans un bar ou la jupe est de sortie et les journées si vide qu'un vieux t-shirt et une culotte suffiront, elle n'est pas la plus fashon des femmes mais sait prendre soin d'elle. Quand elle a envie, quand elle en a le courage.
Une guitare souvent sortie de son étui, Lilou chante, Lilou joue de la musique, pour elle principalement. Autrefois, elle a eu des rêves d'avenir dans la musique, manque de motivation, elle ne joue que pour remplir le silence de son appartement, accompagner  sa peine, faire plaisir à ceux qui veulent bien l'entendre. Si elle devait garder qu'un seul objet, ce serait certainement cette vieille guitare sèche que lui avait offert sa mère quelques années avant sa mort. Dans ses poches, ou son sac, quelques cachets datant d'une vieille blessure au dos, qu'elle a longtemps continué de feindre pour continuer de s'en procurer et une boite bien hermétique qui renferme ses herbes magiques.
Son plus gros défaut, sa propension à fumer, malgré le manque de grâce de ce geste. Lilou n'a pas envie de plaire si cela doit la contraindre à y renoncer. Avec le temps, cette réserve s'amenuise et ça l'inquiète...

a storm is coming

ton histoire, avant l'épidémie, en 30 LIGNES MINIMUM.
Lilou a vu le jour dans une province forestière de Californie entre Sacramento et Reno dans le Nevada. Maison modeste mais confortable, elle a une sœur et un grand frère. Dernière de la famille, elle y vit une belle enfance à la campagne jusqu'au divorce de ses parents. Elle n'a que sept ans à ce moment là et ne comprend pas encore les conséquences d'une telle situation. Si son enfance n'a pas été horrible et traumatisante, elle avoue sans complexe ne se rappeler que les cris et les colères de son père lorsque ses parents étaient encore ensemble. Mais il ne lui a jamais fait aucun mal. Des tentions dans le couple, soutenus par des années de mariage et d'espoir de faire fonctionner cet engagement. Mère célibataire, la mère de Lilou est vite abandonnée par son ex-mari qui décide de partir de la Californie et s'échappe à tout devoir financier envers ses enfants. Ancienne femme au foyer, elle doit vite se reconvertir pour trouver un métier et nourrir ses trois enfants. Adieu la campagne, la petite famille maintenant monoparentale déménage pour la ville en direction de Sacramento. Ils y emménageront dans un appartement au lieu d'une maison, et l'ancienne madame Black trouvera un boulot de cantinière dans une école privée. Ce n'est pas le grand luxe, mais ça paye les factures et ramène de la nourriture non consommée le soir à la maison, permettant d'économiser pour les grandes occasions.

Lilou est une petite fille discrète et timide, elle s'intègre difficilement dans sa nouvelle école dans un premier temps, mais s'entoure vite de quelques privilégiés qui deviendront ses amis d'enfance par la suite. Elle attaque le secondaire avec un caractère assez effacé, un physique encore loin de celui qu'elle a aujourd'hui. Grande depuis toujours, elle se sent hors norme et facilement pointé du doigt. Grande, plate, les cheveux coupé en carré, tirant sur le roux, les moqueries de l'école la poursuivent un bout de temps. Jusqu'à sa puberté. Le vilain petit canard commencera sa transformation vers le magnifique cygne.

Le lycée, les premiers émois amoureux, Lilou est horriblement sensible et pleine de naïveté. Elle n'est pas une élève brillante, mais pas catastrophique, elle se repose sur ses acquis et n'a pas réellement le cœur à travailler ses cours en rentrant le soir. Elle n'est pas très proche de son frère et sa sœur se conduit comme une deuxième mère, beaucoup plus autoritaire que la première. Ce qui l'éloigne émotionnellement de celle-ci. La vraie nature de Lilou commence à se forger et elle réalise qu'elle a un caractère indépendant et contradictoire. Elle apprend la guitare à son lycée avec quelques passionnées. Se laissera embarquée par le mouvement de groupe avant de se démotivée complètement quand ces derniers obtiennent leur diplôme et s'éloigne de Sacramento pour leurs études. Sans encouragements, Lilou n'est capable de rien.  
Poussée et encouragée par une mère concernée, Lilou entame des études en biologie et chimie moléculaire dans l'université du coin. Sans réelle idées d'avenir, elle choisit uniquement les matières dans lesquelles, elle a le plus de facilités. Pour financer ses études, elle travaille le week-end et les soirs de semaine dans un fast-food. Ses nouvelles fréquentation l'initie à ses premiers excès. Alcool et surtout cannabis. Elle attendra néanmoins la fin de ses études pour accumuler les soirées et acheter par elle-même son herbe.

A 22 ans, elle obtiens son diplôme en biologie. Elle mettra un certain temps cependant à trouver un job qui lui correspond et soit en adéquation avec le dit diplôme. Souvent au bas de l'échelle dû à son manque d'expérience, c'est aussi ses connaissances qui sont limités. Lilou oublie rapidement le superflu et est bien contente de s'être débarrassée de l'université. Toujours chez maman et la dernière à l'être. C'est le début d'une longue catastrophe dans la vie de Lilou. Sa mère est déclarée cancéreuse et le nom de la maladie effraie toute la petite famille. Au bout de trois ans de lutte et de traitement qui ruineront les maigres économies de chacun. La mère de Lilou décède suite à l'incapacité de maintenir le traitement à cause de son financement. Le monde de la californienne s'écroule et la demoiselle tombe en dépression. Encore dans l'appart de sa mère, elle s'enferme pendant plusieurs mois dans sa chambre, ne vivant que de sa weed et des pizzas à emporter. Elle ne sort que pour chercher son tabac ou son herbe, elle commence même à faire pousser chez elle pour limité ses relations sociales. Amis et frères s'inquiètent. Elle est finalement expulsée de l'appartement pour non payement des factures. Avec l'aide de quelques amis, Lilou se reprend sans pour autant avoir surmonter le deuil de sa mère. Elle se met à chercher un boulot dans le pays.

Les seuls intéressés par son profil est une petit labo émergeant dans la pharmaceutique et la cosmétique, à Seattle. Si l'idée rebute sa sœur, possessive. Lilou voit l'occasion d'y avoir un nouveau départ. Elle se trouve un petit studio dans un quartier à plus d'une heure de son boulot en transport en commun, au dessus d'une épicerie chinoise sur King Street. Mais c'est tout ce que Lilou peut se payer en réalité. Si les repères sont complètement brisés et l'entourage renouvelé. Elle ne se sociabilise pas comme elle le devrait. Refuse les sorties entre collègues, préfère rester enfermée chez elle quand elle n'a pas à travailler..

on the highway to hell

Parce qu'au début elle n'y croit pas. Ça l'indiffère ce qu'elle voit à la télé, ce qu'on dit à la radio. Oui ya des agressions, y en a toujours eu, les infos s'amusent à accroître la peur des gens et Lilou poursuit sa routine sans se méfier plus que ça. A vrai dire elle s'en fou bien de tout ça. Elle a rencontrer quelqu'un sur internet, histoire de sortir en dehors du boulot pensait-elle. Elle a rencontrer Ian et un peu plus vieux, il est plutôt charmant et la magie à l'air de prendre entre les deux. Un peu maladroit, il est tendre dans sa façon de lui parler, de la traiter. Elle ne prête pas plus attention au reste du monde...
Puis les horreurs de la télé, viennent se présenter sous ses yeux. Elle est dans le bus quand elle voit un regroupement de l'autre côté de la route. Une foule entoure un convoi de policier et Lilou est curieuse alors elle ouvre grand ses yeux. Les personnes, qu'ils entourent, s'approchent inlassablement. Elle fronce les sourcils, elle se demande pourquoi se montrer si rebelle avec une arme en face de soit. Puis un tir éclate, Lilou sursaute, la main couvrant une bouche ouverte par le choc, elle n'y croit pas. Elle regarde autour d'elle, tout les passagers ont eu la même réaction, certain chrétiens font le signe de croix.
Chez elle, Lilou se terre et tape « agression Seattle » sur Google. Sont répertoriés dans un délai incroyablement court, des dizaines d’agressions de ce genre. Abus policier au fou dangereux qui se balade, elle commence enfin à croire les infos. 
Les jours suivant, elle se rend à son travail la peur au ventre, un tournevis dans le sac et une bombe de poivre en spray, jusqu'au jour où la direction décide de lui-même de fermer pour des raisons d'insécurité trop importante. La situation s'était nettement dégradée et Lilou ne voulait plus sortir de chez elle. 
Devant la télé, qu'elle regarde de plus en plus. Lilou fume son énième joint quand elle apprend l'ouverture de la loi martiale. Encore peu sûre de ce que cela impliquait, elle tape ce terme sur internet. Mais la connexion refuse de fonctionner rapidement. Elle appelle sa sœur dans l'espoir d'avoir des nouvelles de Sacramento. Elle n'arrive pas à les joindre. Une névrose terrifié commence pour Lilou, son pire cauchemar. 
A plusieurs jour de la loi martiale maintenant, elle n'a pas mis le pied dehors, pas même pour les beaux yeux de Ian.
Les vivres viennent à manqué, conserves et surgelés ne sont plus suffisante et ce n'était pas comme si elle avait fait des provisions pour des mois de survis en recluse dans son appartement. Elle est bien forcé à mettre le pied dehors, sans trop savoir quoi faire.
Son premier réflexe à été de trouver les forces militaires qu'elle pu trouver. Très vite mise au courant de l'existence du camp de réfugié mise en place à Centurylink Field, à 20 minutes à peine de chez elle. Un sac de randonnée rempli sur le dos, plus une valise à roulette, Lilou embarque dans un bus bondés d'autre survivants en direction du camp...

time to meet the devil

• pseudo › Lilou
• âge › 26 ans

• comment as-tu découvert le forum ? › Je crois que c'était sur un top site il y a fort fort longtemps
• Ton ancien personnage ?  › Lilou Black also
• et tu le trouves comment ? › Comme dirait Cordula Sublime ma chérie ! 
• présence › 4/10 jours

• code du règlement › Words cut deeper than swords
• crédit › de la bannière et du gif, écrire ici
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

Dim 1 Nov 2015 - 9:07

Lilou :smile6: Ton avatar est tellement seksy! Mais chute sinon Leah vas me taper!
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

Dim 1 Nov 2015 - 12:11

Lilooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu <3 !
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

Dim 1 Nov 2015 - 12:21

Ma Lilouuuuuu :smile49:
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

Lun 2 Nov 2015 - 16:02

Han mais c'est... Mais c'est... Mais c'est LILOUUUUUUUUUUUUUUUU :smile12:
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

Lun 2 Nov 2015 - 18:26

Lilouuuuuuu ! Bon retour ♥
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

Jeu 5 Nov 2015 - 16:16

Le monstre de foire lève timidement une main immense et un sourire gêner apparait sur le faciès monstrueux de Bobby. Le regard bleuté du colosse se détourne de la silhouette de la blonde.

Euh... Bienvenue et bonne chance... Euh... Fais attention à toi ok?
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Re: I can't take back the words I never said -Lilou Black

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