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Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 3:32

EliosLonnie
Rosario
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WHO AM I
- Informations personnage -
Nom : Rosario.
Prénom(s) : Elios Lonnie.
Âge : 28 ans.
Date de naissance : 4 avril 1992.
Lieu de naissance : San Antonio, Texas, USA.
Nationalité : Américano-mexicaine.
Groupe : The Remnants.
Ancien métier : Reporter.
Célébrité : Cole Sprouse.
- Défauts -
Sarcastique
Froid
Impulsif
Rancunier
Maniaque
- Qualités -
Curieux
Audacieux
Adroit
Débrouillard
Endurant

WHAT'S IN MY HEAD

- Psychologie du personnage -

Comadreja.

Ses amis de quartier et membres des Serpientes s’étaient rapidement mis à l’appeler ainsi: en même temps, ce surnom avait un sens très évocateur. Fouine. La curiosité d’Elios était connue par tous, même par ceux le connaissant que peu. Au cours de sa jeunesse, ce trait d’esprit s'apparentait plus à un défaut chez lui, car il eut le don de se retrouver dans un certain nombre de situations bien délicates, à fouiner là où il ne devait pas. Ce n’est qu’avec le temps qu’il apprit à l’utiliser de manière positive, notamment dans ses études et son travail. Avec la fin du monde il se montrait d’autant plus prudent, les conséquences d’une trop grande curiosité pouvant être bien plus importantes qu’avant. Néanmoins, c’était une qualité qui s’avérait être utile en tant de survie.

C’est aussi quelqu’un de très audacieux dans sa façon d’être, qui fait preuve de beaucoup de détermination, ainsi qu’une forte volonté de faire les choses malgré les risques.  Plus jeune, notamment à l’école,  il ne redoutait pas forcément le risque de la honte ou du rejet: néanmoins le rejet de sa propre famille le marqua tout de même, et ce plus qu’il ne l’aurait voulu. De même qu’il n’hésitait pas à faire face aux étiquettes et à la politesse. Aujourd’hui, il sait que cette capacité à faire face à la peur ne pouvait être qu’un atout pour lui, dans ce nouveau monde. Il fallait être capable de prendre des risques pour survivre, surtout si c’était l’unique moyen d’échapper à la mort.

Adroit et débrouillard, depuis son plus son âge, il a toujours été plus ou moins doué pour réussir ce qu’il entreprenait, tout en se tirant d’affaire de manière bien habile. Utilisant parfois ces deux qualités à mauvais escient enfant, comme lorsqu’il semait la pagaille dans la cour de récréation, il arrivait toujours à bien s’en tirer grâce à sa débrouillardise. Plus tard cela lui a sauvé bien des fois la mise lorsqu’il se montrait trop curieux. Il en usait toujours dans son métier de reporter, arrivant ainsi à mener des enquêtes jusqu'au bout sans aide supplémentaire. Aujourd'hui, ces deux caractéristiques se sont accentuées chez lui, surtout par instinct de survie. Ne pas être dépendant des autres est devenu important, même si à cause de ça il refuse assez souvent l'aide des autres.

Soucieux de vouloir tout bien réussir, il s'attache facilement -et ce avec excès- au moindre détail, étant maniaque. Que ce soit dans ce qu'il entreprend, ou simplement vis-à-vis de la manière de ranger ou de s'organiser, il a besoin de revoir les moindres détails de manière quotidienne, afin d'en éliminer le moindre défaut. C'est pour cela qu'il n'aime pas que l'on touche à ses affaires, car un objet mal utilisé ou rangé peut devenir une source de contrariété pour lui. Il n'impose cependant pas sa façon d'être aux autres, mais seulement lorsque ces derniers se trouvent dans son espace personnel. Cela pose beaucoup de problèmes en tant de survie, mais ses proches y sont habitués.

Elios possède aussi un côté froid face à des inconnus. Les mauvaises expériences de rejets vécues par le passé, notamment celle de ses grands-parents à son égard, ne l'ont pas aidé à avoir une vision positive des autres d'une manière générale. Cette froideur va aussi de pair avec son côté sarcastique, dont il use fréquemment, que ce soit au dépend des autres, ou simplement pour tourner en dérision une situation. Bien que ce soit son réel sens de l'humour, cela lui permet de garder éloignés les autres.

Très rancunier, il ne supporte pas qu'une personne qu'il connaisse le trahisse, et cela remonte au début de son adolescence, lorsqu'il faisait encore parti des Serpientes. La trahison était la pire des choses que pouvait faire un membre du groupe, et même après n'avoir pas suivi le groupe dans le clan adulte du gang, cet esprit refusant de pardonner les autres ne s'était pas estompé. Le monde actuel n'a pas arrangé cette partie de lui-même: à ses yeux, une trahison ou une action provoquant un tort pouvaient avoir de graves répercussions quant à la survie, que ce soit pour la survie individuelle ou collective.

Malgré tous ces défauts, Elios est souvent décrit comme une personne endurante, autant physiquement que mentalement. Il n'est pas du genre à rester effondré face à la souffrance et à la fatigue. Si les rejets subis l'avaient auparavant poussé à la colère, cela lui avait permis de forger son mental tout comme son endurance. Cette caractéristique s'est accentuée au fur et à mesure des pertes douloureuses auxquelles il avait dû faire face durant ces cinq années de vagabondage.


WHAT AM I MADE OF

- Physique / équipement -

Difficile de ne pas constater les origines hispaniques d’Elios rien qu’avec son physique: sa peau est bronzée naturellement, et ses cheveux bruns foncés. Seul ses yeux verts, qu'il a hérité de sa mère, dénotent. Il n’est pas très grand, mais il s’en accommode sans problème: après tout la force est bien plus importante que la taille, surtout dans un monde où la survie règne. Avoir fait de manière régulière du sport -baseball et musculation- avant la fin du monde, tout en étant en bonne santé, lui a permis de conserver une partie de sa forme physique par la suite. Il a aussi un tatouage sur l'épaule gauche, représentant le crotale de mojave et symbole des Serpientes, depuis ses 16 ans. Il a de plus en plus de cicatrices sur le corps depuis qu'il s'est mis à vagabonder à travers l'état de Washington, étalées sur le corps sauf la tête. Le seul endroit étrangement intact est son épaule gauche, là où se trouve son tatouage. Il est aussi facile de le reconnaître car il porte très souvent un bonnet.

Depuis le début de la fin du monde, il garde toujours avec lui son sac à dos herschel: il contient une gourde métallique plus ou moins remplie, selon s'il trouve des points d'eau pour la remplir. Il garde aussi précieusement un couteau de cuisine trouvé dans une maison abandonnée. Il a toujours sur lui une petite trousse de premiers soins, que sa mère lui avait donné avant la fin du monde, et qu'il remplit d'objets de soins quand il en trouve. Une petite réserve de flocons d'avoine conditionnée, le seul aliment qui lui reste datant de plus de cinq ans. Il a aussi toujours sur lui la batte de baseball en bois de son père, sur laquelle subsiste encore des tâches de sang. Dans ses poches de veste en cuir, il y garde précieusement des photos:  la première est de sa famille au complet, la seconde son jumeau et lui, la troisième Alison et lui,  puis la dernière ses amis de Serpientes et lui.

HEAR MY STORY


L’histoire d’Elios commença avec celle de ses parents, deux personnes au vécu tout à fait différent. Son père, Carlos Rosario, était né à Cancún, au Mexique. Lui et sa famille avait tout quitté pour immigrer aux Etats-Unis, à San Antonio: installés dans un des barrios de la ville, ils font partie intégrante de la communauté hispanique y habitant. Sa mère, Ella Warren, venait d’un tout autre milieu: sa famille était américaine jusqu’au bout des ongles, dont les origines se limitaient au Royaume-Uni. D’une classe assez aisée, ils n’attendaient de leur descendance que la réussite. Et de bons mariages concernant les femmes.

Les deux se rencontrèrent au lycée. Tous deux inscrits au club d’espagnol dès leur freshman year, leur première impression mutuelle avait été mauvaise. Ella voyait Carlos comme un rebelle, traînant trop avec des fauteurs de troubles: et son humour douteux avait le don de la désespérer. De son côté, Carlos trouvait Ella trop sérieuse, voir même ennuyante. Néanmoins ils apprirent à se connaître, et se trouvèrent des points communs: tous les deux aimaient le sport. Carlos faisait partie de l’équipe de baseball de l’école, tandis qu’Ella faisait de la natation.

Pour passer plus de temps ensembles, l’un venait régulièrement chez l’autre pour étudier. Si la famille de Carlos accueillait avec plaisir Ella, lui proposant sans cesse des quesadillas, ce n’était pas la même chose dans la famille de cette dernière. Les Warren ne voyaient pas d’un bon œil que leur fille fréquente un chicano, les mexicains étaient à leurs yeux de très mauvaises fréquentations, et ils n’avaient -à leurs yeux- rien à faire sur le sol américain. D’autant plus que l’environnement de Carlos n’arrangeait pas choses: il habitait à South Valley avec sa famille, quartier réputé par la présence des Serpientes, un gang hispanique local. Alors la pression des parents d’Ella sur cette dernière s’accentuait: elle devait arrêter de fréquenter ce tacohead, quand bien même elle n’était pas d’accord. Toute cette pression eut pour conséquence la retenue des deux adolescents l’un envers l’autre, malgré un intérêt réciproque. Mais malgré les interdictions de ses parents, Ella se rendait souvent chez Carlos et sa famille: c’était un des rares endroits où elle se sentait bien, comme un second foyer. Invitée par Carlos pour la prom night, elle fit l’affront à ses parents d’accepter. Ce fut une de leurs meilleures soirées.

Après le lycée, ils se perdirent de vue. Une bonne nouvelle du point de vue des parents d’Ella, qui avaient longtemps souhaités que leur fille cesse de fréquenter Carlos. Ce dernier n’avait d’ailleurs pas pu poursuivre ses études, car ses parents ne pouvaient pas les lui payer. Il était donc devenu serveur dans un bar sportif de la ville, non loin de l’université de santé. Ce fut à ce même endroit qu’il revit Ella, un an plus tard. Les deux ne pensaient pas se recroiser un jour, même si la jeune fille étudiait dans l’école d’infirmières non loin. Cette fois-ci ils ne laissèrent personne se mêler à leur relation: ainsi, quelques mois après leurs retrouvailles, ils se mirent en couple.

La nouvelle fit grincer les dents des Warren: ils avaient beau essayer de séparer leur fille de ce mexicain, plus rien de fonctionnait. Le point de non retour fut franchi lors des fiançailles de Carlos et Ella: à partir de cet instant, les Warren renièrent complètement cette dernière. Ils n’était pas non plus venus au mariage, auquel le couple les avait pourtant  invités. Ces derniers avaient conscience que tout n’allait pas être facile, mais ils étaient prêts à faire face aux difficultés ensembles.

C’était dans ce contexte qu’Elios, ainsi que son jumeau Lonnie, virent le jour. Ses parents louaient un petit appartement dans le quartier de South Valley, n’ayant pas pour projet de vivre ailleurs pour le moment. Beaucoup entouré par sa famille paternelle, Elios eut l’occasion de grandir entre deux cultures: si bien qu’en apprenant à parler, il mélangeait souvent l’espagnol et l’anglais. Grandir uniquement entouré par sa famille n’avait pas que des avantages: à sa rentrée au daycare, il se montrait timide envers les autres enfants, les rejetant s’ils osaient bousculer sa tranquillité. Cela ne l’empêcha pas de lier des amitiés, qui durèrent pendant de longues années.

Il ne se plaignait pas de l’école: après tout il était intéressé par à peu près toutes les matières proposées, avec tout de même quelques préférences. De ce fait, il se différenciait nettement de son jumeau Lonnie, dont les notes étaient déjà le cadet de ses soucis durant sa première année d’école primaire. Elios participait généralement avec intérêt aux activités de l’école, et appréciait tout particulièrement le club de théâtre. Y participer l’aidait à gérer sa timidité.

A ses huit ans, la famille s’agrandit à nouveau: Elios fut ravi de l’arrivée de sa première petite sœur, Charlotte. Il se montra rapidement protecteur avec elle, ne souhaitant pas qu’il lui arrive quoique ce soit de mal, ce qui avait le don d’amuser ses parents. C’était à peu près à cette même période que la famille commença à voyager pendant les vacances scolaires: ils en profitaient pour se rendre au Mexique, pays natal de son père. L’appartement familial devenait aussi trop petit pour cinq personnes, alors ils déménagèrent dans une maison cette fois-ci plus au cœur de South Valley, non loin de celle des grands-parents paternels d’Elios.

Ce dernier était d’ailleurs proche de sa famille: après tout, il avait été élevé dans un esprit de famille à la fois mexicain et américain. Passer du temps avec ses grands-parents, ses oncles et tantes mais aussi le grand nombre de ses cousins et cousines était la norme pour lui. Tous s’amusaient plutôt bien ensembles, et l’on y parlait exclusivement l’espagnol. Le jeune garçon s’entendait tout aussi bien avec sa fratrie: son jumeau et lui, malgré une différence marquée au niveau du caractère, étaient très proches. Il était souvent dit de leur relation qu’elle était complémentaire: l’un avait ce dont l’autre manquait.

Toutefois, Elios ressentait comme un vide dans sa vie pourtant équilibrée: il voulait connaître sa famille maternelle. Pourquoi n’étaient-ils jamais venus les voir ? Étaient-ils au moins au courant de leur existence ? Il n’avait malheureusement pas de réponses à ces questions. Du moins lorsqu’il en posait à sa mère, cette dernière n’y répondait pas vraiment: elle parlait vaguement d’opinions trop différents, mais elle s’arrêtait souvent à ces vagues explications. Toutefois, il ne voulait plus se contenter de ce genre de réponses: et la vérité, il était prêt à la savoir quoi qu’il en coûte.

Erreur fatale.

En grandissant Elios était décrit, par son entourage, comme une personne très curieuse: il le prenait toujours comme un compliment. Après tout, durant ses trois années passées au collège, il s’était beaucoup impliqué dans le journal de l’établissement: de tous les autres élèves y écrivant, c’était lui qui décrochait les informations les plus croustillantes. Toutefois, ce n’était pas toujours une qualité: sa curiosité avait aussi le don de le mettre dans des situations plutôt délicates. Mais cette fois-ci, cela allait l’impacter directement.

L’année de sa rentrée dans le lycée de ses parents, sa seconde sœur Sabrina vit le jour. Il faisait toujours parti de ce groupe d’amis d’enfance, et commençait à se lier d’amitié avec d’autres élèves, dont des enfants de membres des Serpientes. Lui et son jumeau se disputaient souvent à ce propos, mais Elios n’en faisait qu’à sa tête: ce n’était pas le seul sujet de désaccord entre eux. Son désir de connaître ses grands-parents maternels ne s’estompait pas, et ses recherches portèrent leurs fruits. Il avait retrouvé leurs traces. La vérité, elle, fut difficile à supporter.

"-Bonjour monsieur… Je suis Elios Rosario, votre…
-Ann ! Son fils est là !
-...Petit-fils…
-Je t’avais dit que ce n’était pas une bonne idée de leur envoyer des lettres. On se retrouve avec ce demi-américain devant notre porte maintenant."

Ce n’était pas la première fois que l’adolescent faisait face à ce genre de comportements. Il avait déjà croisé le chemin de personnes se délectant de lui rappeler ses origines mexicaines. Ou simplement qu’il n’était pas complètement américain. Cela avait habituellement le don de le faire sourire, mais venant d’un membre de sa famille c’était tout autre chose. Se sentant profondément blessé et rejeté, Elios se renferma sur lui-même. Lorsqu’il n’était pas plongé dans ses études, il fréquentait d’autant plus les Serpientes mineurs, et gardait tout sa colère en lui. Même Lonnie n’avait pas été de suite au courant.

Sombrant dans un profond désir de revanche, il prend une décision peu réfléchie, sur laquelle il ne pouvait pas avoir de contrôle: il rejoignit les Serpientes mineurs. Faire partie d’un gang était une situation très dangereuse, même si le rôle des mineurs avait justement été pensé pour qu’ils ne subissent pas de potentiels problèmes. Ils n’étaient pas impliqués dans le trafic de drogues, mais en échange d’une protection et d’aides, ils devaient prêts à tout pour sauver les leurs. Lorsque ses parents l'apprirent, la nouvelle tomba comme couperet: Elios, leur enfant le plus sage et le plus sérieux, faisait partie d’un gang ? Les semaines suivantes furent compliquées. L’adolescent était souvent surveillé, et avait l’impression d’étouffer.

Pourtant, Elios n’avait pas décroché du système scolaire: ses notes étaient toujours assez bonnes, il faisait désormais partie de l'équipe de baseball et il participait toujours régulièrement à la production du journal de son lycée. Pourtant, il ne savait pas exactement ce qu’il souhaitait faire après avoir obtenu son diplôme, mis à part suivre des études de journalisme. Il se doutait que les Serpientes ne lui offriraient aucune chance d’avenir stable, si il s’y impliquait en étant adulte: mais il aimait l’esprit de famille et de soutien sans faille dans le groupe des Serpientes mineurs. Et ça, il n’était pas encore près à vouloir s’en séparer.

Après avoir été diplômé du lycée, Elios réussit à être admis à l’université pour suivre des études de journalisme, aidé d'une bourse assez correcte. Cédant au souhait de ses parents, qui voulaient qu’il s’éloigne des Serpientes, il avait choisi d’aller étudier à Dallas. Dans ce premier départ assez loin de sa famille, il était accompagné par son jumeau Lonnie: les deux allaient habiter ensembles en colocation, la différence était que ce dernier ne se rendrait pas à l’université. Ils louaient un appartement dans la ville, et Elios devait aussi travailler à côté de ses cours pour payer les dépenses.

C’était une période heureuse, pour Elios: il n’avait pas le temps de s’ennuyer entre ses cours et son petit boulot, il profitait même parfois du peu de moment libre qu’il disposait pour sortir ! The Church, un boite de nuit, était son endroit de prédilection: il y rencontra Alison Jones. Les deux commencèrent à se fréquenter quelques mois après. Ce n’était pas sa première relation: il était sorti avec deux filles au lycée, mais à ses yeux ce n'était pas quelque chose de vraiment sérieux. Avec Alison, les choses semblaient être différentes: mais il ne voulait pas s’avancer trop vite, et préférait prendre le temps de profiter du moment présent.

Après quatre années d’études, Elios avait de quoi trouver un emploi. Il hésitait cependant à rester au Texas: certes toute sa famille y habitait, mais il ne se sentait pas attaché à cet Etat, et la mentalité ne lui plaisait pas. Sa décision fut cependant rapide: accepté pour un travail de reporter pour la radio Kiro-FM à Seattle, il décida de déménager le plus rapidement possible là-bas. Quelque part il regrettait de laisser totalement tomber ses amis, notamment ceux de Serpientes, mais si il restait, cela allait lui apporter bien plus de malheur que le contraire. Et il risquait de sombrer avec eux.

Deux mois à peine après avoir reçu son diplôme, Elios s’installait à Lynnwood, une ville non loin de Seattle. Alison et Lonnie avaient décidé de venir avec lui: ainsi le trio vivait dans un appartement, dans lequel chacun commençait pas à pas sa nouvelle vie. Dès les premières semaines, Elios s'épanouissait plutôt bien dans son travail: il ne se lassait pas parcourir Seattle à la recherche de sujets croustillants dont il pourrait potentiellement parler. Son temps libre, il le dédiait en grande partie à Alison, avec qui il aimait découvrir la ville: sa relation avec cette dernière s’était approfondie au fil de temps, et les deux dessinant déjà, petit à petit, un futur ensembles.

Lors du Noël de 2014, le trio retourna au Kansas: ils passèrent ainsi les fêtes entourés par leurs familles. Seulement, Elios ne se doutait pas que ses parents lui avaient préparé une surprise: ils avaient décidé de le rejoindre à Seattle, préférant vivre près de leurs premiers enfants. La nouvelle eut le don de le rendre heureux, surtout que cela allait lui permettre de voir plus souvent ses petites sœurs. Bref, la vie se déroulait tranquillement pour Elios, le bonheur l’emportant sur les tracas du quotidien: il avait même retrouvé son meilleur ami, lui aussi ancien membre des Serpientes.  Sweet Booze, aka Marco Romero.

Les mois passèrent doucement: l’été 2015 fut marqué par ses fiançailles avec Alison. Le mariage était prévu pour l’année suivante, et beaucoup de personnes avaient été invitées: tout semblait se dérouler de manière merveilleuse, comme si Elios allait finalement connaître un bonheur complet, loin des rejets qu’il avait pu vivre de par le passé, vis-à-vis de ses origines. Et puis la fin du monde arriva.


9 au 18 octobre 2015. Lynnwood, WA.

Les choses ne semblaient plus tourner si rond, à Seattle. Depuis presque une semaine, les collègues d’Elios parlaient d’attaques prise de folie fulgurante, prenant pour cible des innocents. L’un d’entre eux avait été témoin d'une attaque de ce genre, et il ne s’en était pas remis. La plupart des journalistes de la Kiro-FM avaient été assigné à enquêter sur cet étrange fait divers dont Elios: pour autant, aucun n’arrivait à soutirer plus d’informations, pas même ce dernier. En dehors de son travail, il se mit lui aussi à réfléchir: quelque chose ne tournait pas rond dans toute cette histoire. S’il y avait des agressions multipliées, pourquoi n’étaient-ils pas plus mis au courant des événements ? On leur cachait quelque chose, c’était sûr. Mais la vérité était-elle trouvable ? Pourtant, les choses ne semblaient pas s’arranger. A son retour au travail le lendemain, on le prévint du départ de son collègue témoin d'une agression: “parti à la campagne”, disait-on. Il avait peur. Qu’est ce qui pouvait déclencher la fuite aussi précipité d’un homme, si ce n’était pas un danger incontrôlable ? Plus le temps passait, et plus l’inquiétude d’Elios s’emplifiait. Ne pas savoir lui faisait peur.

Soudainement, on parlait de morts revenant à la vie. L’information semblait avoir fuité des hôpitaux, pourtant elle était sujette à polémique: bien des gens n’y croyaient pas, et pourtant, Elios trouvait qu’il y avait de quoi se poser des questions: qu’est-ce que le pays cherchait à cacher, si ce n’était quelque chose qu’ils n’arrivaient pas à contrôler ? Le jeune adulte était partagé entre la joie de tenir un sujet tout aussi brûlant que ce dernier, et une certaine appréhension des événements futurs: est-ce que cela signifiait que tout le monde était en danger ? La situation était sous contrôle, disaient les autorités. Elios tout comme ses collègues n’en étaient pas si sûrs, même s’il semblait y avoir enfin un aveu de la part des dirigeants: un nouveau virus avait fait son apparition. Quelque chose que personne n’avait connu jusque là. Bien décidé à faire diffuser le sujet autrement que la façon dont le faisait les autorités, il écrivit son article puis le diffusa à travers la radio: “Contrôlons-nous le virus, ou le virus nous contrôle-il ?” Son passage à la radio eut un certain record d’audience. Et tout bascula.

19 au 27 octobre 2015. Lynnwood, WA.

Elios, Alison et Lonnie devaient partir. Face à eux, ils n’avaient que deux choix: partir de suite de la ville ou aller dans un camp accueillant les civils. Le choix n’eut même pas besoin d’être discuté: le trio ne voulait pas laisser la famille Rosario derrière eux. Soit ils partaient tous ensembles, soit ils restaient. Pour autant, le départ de leur appartement n’avait pas été facile. Ils laissaient derrière eux une vie qu’ils avaient si patiemment bâtie, pour faire un grand saut dans l’inconnu. Alors, il firent en sorte de prendre avec eux le plus d’affaires possible avant de partir, chacun chargé d’un gros sac rempli à craquer. Ce qu’ils ne savaient pas, c’était qu’ils ne reviendraient jamais. Ou pas avant un long moment, et le monde aurait déjà complètement changé.

Regroupés dans un lycée non loin de là où ils vivaient, ils y retrouvèrent les parents d’Elios et Lonnie, ainsi que les petites sœurs de ces derniers. Quelques jours après, Sweet Booze était lui aussi arrivé au lycée, après avoir cherché Elios. Ce dernier tenait plus que jamais à rester groupé avec ses proches, car une potentielle séparation pouvait mener à ne pas se revoir avant un long moment. Et même si les autres personnes présentes dans le gymnase où ils avaient été regroupées ne semblaient pas être une menace, il se méfiait. Que devenait l’homme, dans ce genre de situations tout à fait inédites ? Un monstre.

Elios n’avait plus de contact avec Kiro-FM. Du peu qu’ils entendaient la radio, seul un message était passé en boucle: celui approuvé par le gouvernement, sûrement loin de la réalité des événements. Dans ces moments-ci, il regrettait presque de ne pas être resté jusqu’au bout à son travail, même s’il se doutait que la majeure partie de ses collègues étaient sûrement partis comme lui. Et puis les rumeurs couraient: on parlait de malades insensibles aux balles, que rien ne semblait tuer.

Décembre 2015 - Janvier 2016. Lynnwood, WA.

Rien n’était revenu à la normale, et Elios ne se faisait plus aucune illusion: les autorités n’arrivaient pas à contrôler la situation. Telle était la vérité dont beaucoup étaient en train de découvrir, alors que les militaires commençaient à les mettre à contribution. Elios n’avait pas hésité à mettre la main à la patte, refusant de rester plus longtemps impassible comme d’autres le faisaient déjà. Les expéditions devenaient de plus en plus dangereuses, et il n’était pas rare de voir un groupe revenir avec seulement une moitié de personnes encore en vie. Lorsqu’Elios vit son père se proposer pour faire une excursion hors du lycée, il avait essayé de l’en empêcher: mais il n’avait pas réussi. Et ce fut le drame.

Cette fois-ci, le groupe était composé de deux soldats, six adultes, Elios et enfin le père de ce dernier. Ils devaient aller chercher de la nourriture dans les environs, cette dernière s’amoindrissant rapidement, car il y avait beaucoup de bouches à nourrir. Cependant tout ne se passa pas comme prévu: et ils se retrouvèrent entourés par ces fameux malades: ceux n’ayant encore jamais été confronté à cette situation se mirent à paniquer. Les autres, dont Elios, avaient toujours du mal à s’y faire, mais le choc était passé. Toutefois, la situation se transforma en chaos lorsque plus en plus de malades vinrent vers eux: et le père d’Elios se fit mordre violemment par l’un d’entre eux.

Ce dernier avait beau tirer dans la tête du mordeur, les autres malades se jetaient à leur tour sur son père, si bien qu’il était difficile de l’apercevoir. Malgré le déchirement de voir son propre père perdre ainsi la vie, il devait fuir le plus rapidement possible. Après un course de longue haleine, non pas sans se retrouver en danger à plusieurs reprises, Elios était rentré au lycée. Les deux soldats avaient eux aussi réussi à s’en sortir: mais ils semblaient être les seuls survivants. Après ce traumatisme, Elios n’était déjà plus le même.

Les tensions se multipliaient, dans le gymnase où ils étaient confinés: une grande partie d’entre ne faisait plus confiance aux militaires qui devaient normalement les protéger. D’autres souhaitaient partir, mais le fait qu’ils veulent se servir dans les réserves communes avant de le faire ne plaisait pas au reste du groupe. Alors les conflits éclataient de plus en plus souvent, en arrivant parfois à des décès: ce fut dans un de ces moments, qu’au cours d’une énième dispute, des membres du groupe commirent l’erreur fatale de laisser les entrées du lycée ouvertes. Attiré par le bruit de vivants, des rôdeurs s’engouffrèrent dans l’espace clôturé: dès lors, ce fut la panique.

Par manque cruel de moyens, la plupart des civils se retrouvèrent acculés par les rôdeurs puis attaqués: difficile de s’y retrouver dans cette quinquaphonie, et la seule chose à laquelle Elios pensait à l’instant même, c’était de s’enfuir loin de cet endroit. Après des heures à frapper des rôdeurs, sa batte était couverte de sang, et il était épuisé: mais au moins, il avait réussi à sortir de cet enfer. Lonnie et Alison était eux aussi sortis vivants du lycée, rapidement suivi par Sweet Booze qui protégeait Charlotte et Sabrina. Mais sa mère était introuvable. Ne pouvant pas prendre le risque d’aller la chercher à l’intérieur, seule une décision pouvait être prise: il fallait partir, et ce le plus loin possible. Heureusement, ils pouvaient encore avoir accès à la voiture d’Elios, garée juste devant son appartement. Etant six, ils durent s'entasser dedans: Elios ayant été désigné comme conducteur, il s’empressa de rouler à toute vitesse en direction de l’est. Adieu Seattle.

Mars 2016. Leavenworth, WA.

Le petit groupe avait réussi à rouler jusqu’à Leavenworth, jusqu’à ce que la voiture n’eut plus la moindre goutte d’essence. Tout ce qui leur importait était de trouver un abris, et cela tombait bien car la ville semblait avoir été vidée de presque tous ses habitants. Seuls quelques rôdeurs parcouraient l’endroit désormais plongé dans le silence, qui devait avoir connu beaucoup de prospérité, à la vue de l’architecture si particulière de la ville. Alors qu’ils se rendaient dans un des hôtels de la ville, ils furent surpris par un autre petit groupe de survivants: d’abord très méfiants, ces derniers acceptèrent cependant qu’Elios et sa famille s’installe dans l’autre partie de l’hôtel jusqu’à la fin de l’hiver. Le groupe avec lequel ils cohabitaient était en fait la famille possédant l’hôtel, qui s’était empressée de s’y réfugier lorsque les choses avaient commencé à tourner au vinaigre.

L’endroit était agréable, et cela les changeait de l’inconfort permanent de la voiture, dans laquelle ils avaient vécu pendant presque deux semaines. Sans compter le manque cruel de sécurité qu’elle représentait, ainsi qu’un espace plus que restreint. La proximité les avait en partie épargnés du froid, mais ils avaient manqué de nourriture: en résumé, l’hôtel s’était un peu montré comme pour une bouée de sauvetage pour le groupe, mais d’autant plus aux yeux d’Elios. Car si ce dernier s’inquiétait déjà beaucoup pour ses proches, il l’était désormais d’autant plus pour Alison. Si cette dernière et Elios ne l’avait remarqué durant les premiers mois, le ventre d’Alison passait désormais difficilement inaperçu. Elle était enceinte.

Elios ressentait un mélange de joie et d'inquiétude: ce n’était vraiment pas le moment pour avoir un enfant, mais après tout, que pouvaient-ils y faire ? La fin du monde avait provoqué le chaos dans leur vie, mais un nouvel être humain allait rejoindre leur famille. Pour le groupe, ce bébé représentait un espoir.

Entre eux, une organisation se mettait en place: chaque membre du groupe avait une tâche spécifique, qu'ils répétaient de manière quotidienne. Elios allait chercher des vivres dans la ville avec Lonnie et Sweet Booze, tandis qu’Alison restait à l’hôtel avec Sabrina et Charlotte. Si la répartition des tâches avaient une apparence plutôt sexiste, c'était surtout parce qu'Elios refusait qu’Alison ou que ses deux petites sœurs soient en danger.

Il était de plus en plus difficile de trouver de la nourriture dans les environs, et le nombre de rôdeurs semblait étrangement augmenter depuis quelques jours… Tous savaient ce que cela signifiait: ils avaient encore jusqu’à la fin du mois pour profiter de leur confortable abris, avant de devoir à nouveau vagabonder sur les routes. Au moins, le froid de l’hiver était passé: mais le danger lui, planait plus que jamais autour d’eux.

Août 2016. Moses Lake, WA.

Si perdre son père n'avait pas été une chose facile, la mort d'Alison le fut d'autant plus. A ce moment là ils bourlinguaient de ville en ville, lorsque cette dernière sentit qu'elle allait accoucher. Se trouvant dans la petite ville de Rock Island, barricadés dans une maison, elle donnait naissance à leur enfant. Seul Elios était présent, Lonnie et Sweet Booze ayant emmenés Charlotte et Sabrina dans une autre cachette. Après des heures de travail, le bébé naquit enfin. C'était un garçon. Mais cela avait trop épuisé Alison, en plus de d'une grande perte de sang: et elle en perdit la vie. Pour ne pas arranger les choses, les peurs du nouveau-né attirait les rôdeurs.

L'enterrement dut être fait à la va-vite. Brisé d'avoir à nouveau perdu une personne importante à ses yeux, il refusa de rester plus longtemps dans la ville. Heureusement, ils n'étaient plus seuls dans leur voyage à travers l'état puisque la famille de l'hôtel avait décidé de les accompagner: leur survie serait beaucoup plus certaine en formant un groupe de neuf personnes . Ils traversèrent ainsi un certain nombre de villes, avant d'arriver à Moses Lake. La chaleur était omniprésente, presque insupportable: devoir s'occuper d'un bébé ne rendait pas la tâche plus facile pour le groupe, car en plus du strict nécessaire il fallait désormais trouver tout ce dont un petit être comme lui devait avoir besoin.

S'ils s'étaient tranquillement dans une maison de la ville, leur routine n'allait pas durer. Faisant face d'autres survivants moins enclins à partager les réserves restantes, il y eut des affrontements où plusieurs personnes furent tuées, dont deux membres du groupe: ils n'avaient donc pas d'autre choix que de partir à nouveau sur la route au cours du mois de septembre, malgré que l'automne était en train d'arriver rapidement...

Janvier 2017. Richland, WA.

Devoir vivre sur la route n'était pas aisé, surtout lorsque l'hiver arrivait, plus froid que jamais. Heureusement pour le groupe, ils se trouvaient dans une nouvelle ville juste avant que les températures ne chutent de manière spectaculaire: ils avaient donc choisie une maison dans laquelle s'abriter, vidée de tout habitants, du moins en vie. Le rôdeur d'une vieille dame s'y baladait, laissant une odeur particulièrement puante, dû aux fortes températures de l'été. Une fois ce désagrément mis de côté, ils purent s'y installer avec les moyens du bord. Le salon était réquisitionné pour le transformer en chambre, où les couvertures et autres draps de la maison avait été disposés afin de faire un grand lit.

Malgré sa combativité, Elios avait encore du mal à se remettre de la mort d'Alison: parfois il avait l'impression de la voir partout, que ce soit près de lui où dans le coin d'une rue, comme si elle veillait sur lui. Ou qu'elle n'était jamais partie. Tout lui rappelait sa fiancée, et de ce fait il se remémorait de sa mort: pourtant, il faisait toujours en sorte de garder bonne figure, et ne se laissait aucun temps de repos. George avait besoin de lui. Cet enfant n'avait déjà plus de mère, s'il perdait Elios que deviendrait-il ? Qui allait s'en occuper ? Alors il s'impliquait d'autant plus dans la survie du groupe.


Généralement, Elios préfère se lever tôt, à peu près en même temps que l'ascension du soleil dans le ciel. C'est quelqu'un qui a un grand besoin d'avoir des choses à faire, et après avoir mangé un rapide premier repas, il s'occupe généralement de son fils George. Au cours de la journée, il essaie de se rendre utile là où on a besoin de plus d'aide. Même s'il ne peut pas encore faire profiter ses qualités d'ancien reporter au sein de la communauté, il met tout de même un point d'honneur sur le fait d'être efficace, à défaut de faire connaissance avec les autres survivants.

Le soir, il reste en compagnie de Lonnie et George, les jumeaux ayant besoin de passer du temps ensembles, depuis qu'ils étaient les seuls survivants de la famille. Ils veillaient ainsi tout les deux sur George, dont ils suivaient les progrès d'apprentissage au fur et à mesure du temps. Ils apprenaient à revivre tant bien que mal, après subi de nombreuses pertes de proches.


Time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Arisu.
• Âge irl : 20 ans.
• Présence : Partielle.
• Personnage : Inventé [x ] / scénario/prédef [ ]
• Code du règlement : OK - Maddie

• Comment avez-vous découvert le forum ? :
En me baladant sur internet.
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? :
L'aspect coolax du site.
• Crédits (avatar et gifs) :
Pinterest & Google Images.


passeport :
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Re: Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 4:09

Bienvenue chez nous !
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Re: Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 4:32

Salut Elios, sois le bienvenue par ici ! Elios - The Joke's On You 3867377882



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !
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Re: Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 5:19

Bienvenue ici et bon courage pour ta fichette
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Re: Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 8:22

Bienvenue Elios !! Bonne rédaction !
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Re: Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 9:32

Bienvenue à toi Smile
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Re: Elios - The Joke's On You

Sam 2 Mai 2020 - 10:32

Bienvenue ici! Bon courage pour ta fiche!


Inachevés
La médiocrité commence là où les passions meurent. C'est bête mais j'ai besoin de cette merde pour sentir battre mon cœur. J'ai tellement misé sur mes faiblesses et mes failles, j'mérite une médaille au final j'ai fait qu'briller par mes absences.
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Re: Elios - The Joke's On You

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