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≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 13:15


ECHO YAKUMA
26 ANS AMÉRICAINE MAFIEUSE TRAVELERS

i've got a war in my mind


Expliquez ici le caractère actuel de votre personnage.

Impitoyable est bien le premier trait qu'on pourrait lui confier car elle est inaccessible à la pitié, qu'aucune considération d'humanité ne réussit à la stopper dans sa folle lancée. Son rattachement avec les émotions a été brisées. Aucune once de culpabilité ne peut traverser son esprit, et ça, c'est un avantage considérable. Autrefois, elle considérait les personnes faibles comme des ordures à mettre dans un sac plastique, indigne de son propre intérêt. Forcée par son aliénation d'embrasser cette dictature pour faire d'elle une âme détestable et cruelle qui, maintenant, considère les faibles comme une race à exterminer. Elle sait se tenir lors d'une éventuelle provocation, jouant alors avec les mots employés. Froide et d'une nature calme, la déstabiliser est devenu rare mais elle reste tout de même sensible aux critiques négatives, parce que la perfection est une parabole impossible à découper, impossible à titiller, au risque d'y s'implanter une épine.

La stratégie qu'elle dote n'est pas qu'une rumeur. Elle a passé les premières années de sa vie à s'intéresser aux stratagèmes et tout ce qui entoure le monde du combat. Echo croit même aux règlements de compte par la force des choses. Sûrement une obsession maladive me diriez-vous. Maline et alliée de la manipulation, elle a su autrefois enfreindre les lois de la bonté devenant alors un souffle maudit par les ténèbres. Ses dons de jongler avec les mots, manœuvrer et justifier ses arguments sont devenus implacables, utiles à annihiler un ennemi physiquement et mentalement. Au final, elle n'a que ses convictions qui puissent la cheminer vers une voie ferme. Le sarcasme qu'elle éprouve envers les personnes détestables est une chorégraphie malaxée pour faire évoluer la haine d'autrui. Cela marche très bien sur certaines personnes et, si jamais ils restent instables face à ses moqueries venimeuses, les vérités qu'elle peut lever en toute discrétion ont le don de réveiller leur pensé. Sa méfiance est indestructible. Elle a puisé cette faculté afin qu'aucun homme -ou femme-ou autre race du Monde- ne réussisse à pénétrer facilement dans son esprit et n'y puisse déceler ses faiblesses.

Entre dégoût pour certains et fierté pour d'autres, Echo reste néanmoins un espoir cabossé. L'espoir d'éradiquer la gangrène propagée par le mal. Echo sait qu'au fond de ce coffre claustré, il y a des trésors à parcourir, des horizons à découvrir. Un pion devenu soldat, qui a troqué son avenir pour celui des autres. La peur de décevoir l'écorche. Elle ne veut, ne peut pas se remémorer toutes ces années de culpabilité cachée. Son lancinant passé est lié à ces douloureuses séquelles. C'est cette douleur, cette souffrance qui commettent d'inexorables répercussions sur sa personnalité mais aussi sur ses relations mais par-dessus tout, son cœur. Le désir de vengeance, mais aussi la frustration d'avoir éperdument trouvé un courage vide, la rend farouche et méconnaissable. Son principal objectif est d'assouvir, d'apaiser cette soif et de ressentir à nouveau cette satisfaction d'avoir accompli des buts pour lesquels on se serait ardemment battu. Outre cela, existe une âme scellée, une délectable et lumineuse source de chaleur, cachée dans les profondeurs de son être. L'ancienne prisonnière est désormais la fusion de l'insolence et de l'orgueil, amorcé d'un souffle d'air, qui tient en un unique vers. Une véritable marque de l'aigre pureté et de la discorde à la fois ; Yakuma a perdu l'aiguille de la positivité.

Les cicatrices de son âme qui la parsèment ne gomment en rien l'indifférence dont elle fait face. Qui aurait l'audace de s'approcher de cette ronce, qui s'endort en enfermant avec elle le chaos, la destruction. Cette sensation de menace qui devrait normalement s'atténuer au fil du temps, qui pourrait en vouloir à la dorure, à ce cadrant brillant qui l'incarcère au fil et à mesure du temps ? Ce sont les mêmes qui s'énervent de la voir les deux genoux à terre pour finalement se redresser avec un rictus maladroit pour sûr, des êtres avec l'incapacité d'éprouver une once d'amour et elle-même assurément, elle-même qui expectore sans relâche sur cette faiblesse singulièrement frêle. L'amour la dégoûte, l'amitié la déçoit, les sentiments familiaux sont devenus inexistants. On a fait d'elle un monstre, et elle restera l'incarnation d'un monstre qu'on a embastillé contre son propre reflet.

L'absence de couleur sur son physique justifie son troc avec le Diable : de sa peau noirâtre à la blancheur, à ses yeux émeraudes, elle semble fantomatique. Les peines. Les éraflures. Les émotions devenues négatives. Une perpétuelle et infinie loi du talion qui ne peut s'éclipser sans sa folie. Elle est là, ancrée dans les racines de ses poumons, à jamais. Son seul baume... La léthargie. Une fatale genèse qui -d'une parabole parfaite- tranche le cumulus pour laisser pénétrer la vivacité d'un monde en couleurs. Temporairement. L'arrogance, dont elle fait preuve, ce goût acidulé qui pourrait faire déplorer à certaines personnes de se l'être mis dans l'antre de leur bouche, cette vilaine aiguille qui vient s'ancrer dans la pulpe du doigt et qui pensait pouvoir s'approcher de ce cataclysme enchaîné. Echo s'émule elle-même de cette aromate élégante, de ses aptitudes et des actes quelle aurait pu accomplir sans justificatif valide. Chaos et sang comme douce toxine, elle s'envenime en prétendant que son charisme est constant, et qu'elle réside en son sein une beauté et d'une puissance faites d'une limpide pureté.


and blood on my hands


Expliquez ici les caractéristiques physiques de votre personnage..

C'est à peine perceptible. Ce ne sont que des cendres qui se laissent soumettre sur un lac clair, aussi cristallin que la beauté d'un diamant. Lorsqu'elle entre en action, c'est accompagné par son inhumanité qui dédaigne ainsi chaque parcelle des horizons ; plante, arbre et même soleil. Une promptitude qui se meut paisiblement, effleurant de peu le tapis végétal, aucun bruit n'ose briser le silence aux oreilles des plus attentifs. Mobilité d'une fauve qui défie la flore de ses pas silencieux, en tandem avec énergie à en faire basculer ses adversaires d'un regard envoûtant. La surnommée «Roi» est l'essence même d'une ombre, similaire à la souplesse et la discrétion d'une geïsha, un souffle à peine expiré. La démarche de celle-ci est une lueur qui danse au travers des domaines, un être semblant immatériel de part sa gratitude, une âme calme qui voile sa façade la plus saturnienne.

L'agonie de la possession percute son instinct, le vent mordant glisse sur son visage concentré et arrache quelques frissons incontrôlés ainsi qu'une chevelure courbée -soumise à chaque divergence de cette énergie invisible. Un tambour accéléré lorsqu'elle aperçoit ta position, la dernière goutte de sueur qui profile ta peau, elle sait à quel moment elle tombera au sol. Une désireuse du carnage, cet être divin sait animer un combat par ses contrastes brusques, mesurés. Et même si ses prunelles délavées d'un jade royal ont gardé l'obscurité de son âme, Echo Yakuma a conscience qu'elle doit désormais s'armer d'une nouvelle scélératesse pour pouvoir combattre dans ce monde où chacun tente de sauver sa vie.

Le faciès crayeux de celle qui se prénomme «Déesse des Dieux» ne dévoile uniquement ses yeux à travers quelques rideaux de mèches, cette couleur cauchemar se présente, d'un noir corbeaux où de nombreux brouillards se confondent dans les montagnes. L'ovale parfait de son visage s'amuse à contrarier une Reine d’Égypte... La structuration de ses cuisses carénées et de sa fosse poplitée est le secret d'une faculté à se propulser physiquement avec agilité et souplesse. En remontant la pente de ces quilles, un fessier assuré de muscles vient se culminer délicatement d'une courbe parfaite sans oublier sa force dorsale qui ne sont véritablement pas le point fort de sa prestance. Les mystères de sa ceinture abdominale formant une vallée parfaitement tracée, dessinent de légères plaquettes. Son teint à peine bistré, préservé des rayons du soleil, confirme l'uniforme de ses pellicules alpestres. Rien n'a véritablement rayé l'épiderme de l'Archange perverti, seul son inénarrable entaille plaquée contre son torse a échappé à l'exception. Nul ne sait d'où elle peut provenir, et nul ne voudra se munir d'un tel courage pour la questionner.

La pulpe de ses doigts danse sur sa peau noirâtre, c'est comme si sa chair ne s'est plus offerte aux rayons lumineux, pourtant lorsque ses lèvres baisent le sérum rougeâtre de l'humain, de couleurs vives raniment les vestiges, un hâle doré ; c'est sûrement celui qu'un individu à l'apparence mortelle et faible pourrait se donner.

Rangée sous le rideau de sa chevelure, Echo cache en réalité un visage inanimé ; sauf quand il s'agit de se ranger dans une bataille. Son regard équivoque et insondable est sans aucun doute une provocation pour ceux qui arborent une certaine timidité à la Corrompue. Mais quelques échardes persistent pour la provoquer, des échardes qui piquent et qui laissent sur leurs passages de douloureuses batailles dans le paradoxe de la survie. C'est ainsi que Yakuma peut aussi facilement s'attirer les foudres d'un guerrier bien trop énigmatique sans se soucier qu'il peut être noyé dans son regard indifférent. Et c'est sans parler de l'affront avec celui-ci ; sa force physique est sans doute l'un de ses blizzards préférés. Enliser ses antagonistes dans une survie où l'espoir s'étiole, dans une petite mort qui les harponne férocement, sous sa prestance féline braquant ses iris de rage sur le paysage qu'elle dissèque. Au-delà de la constitution de son corps, elle se vêtit d'un incroyable tissu étendu traditionnel rendant hommage aux valeurs que son père avait tenté de lui infliger.

C'est accompagner de sa batte, Sanity, qu'elle t'arrache des soupirs et des cris de douleur. Orné d'un fil barbelé parfaitement tissé sur celle-ci où des bouts de chairs trône encore en Reine sur celle-ci qu'elle vient la fracassé sur ton faciès pour l'écraser, le défigurer. Pour l'accompagner lorsque celle-ci est trop compliquer à dégainer, un simple couteau pour trancher une gorge et la couvrir d'un liquide rougeâtre. Pour conclure son arsenal, un simple fusil de main pour exploser des crânes avec facilité, loin d'être son arme favorite.


a storm is coming


Expliquez ici l'histoire de votre personnage avant l'épidémie.

Des lèvres pâles s'extirpe la litanie haineuse, tandis que la mère tend ses doigts décharnés vers l'ombre enfantine dressée devant sa prison de verre. Reflet d'une abjecte impuissance, d'un amour agonisant et rance, la gamine reste immobile, réminiscence perpétuelle de ce qu'il lui a fait subir, et le besoin de la serrer dans ses bras se confond avec la nécessité de la réduire à néant. Effacer l'acte, oublier sa violence. Mais l'engeance, elle, aurait voulue être aimée ; juste pour en sentir la saveur glisser contre son cœur, de cet amour chimérique, celui qui hante et désenchante alors que le rêve se fane et se froisse. Puis il s’extirpe des ombres, se poste sereinement aux côtés de la gamine, étreignant son épaule d'une pression placide. « Pourquoi ne m'aime tu pas ? » Murmure t-elle, ses grands yeux marrons miroitant un spleen funèbre et languissant. L'injustice est flagrante à son cœur infantile, avide de ces douceurs peintes mais jamais étreintes. Pourquoi, pourquoi, pourquoi ‹‹ Tu ne dois jamais aimais, tu dois être crainte et c'est tout ce dont tu as besoins? ››  Le fiel de son poison s'immisce, acide, au creux de ses veines. La vérité est tranchante, dérangeante. mais les accents sont envoûtants, comme des promesses qui lentement s'immortalisent ; l'amour inaccessible, la peur devint irrésistible. ‹‹ Les émotions sont dangereuses Echo. ›› Qu'il assène, désignant d'un geste de la main ça mère. ‹‹ 'C'est une faiblesse. ›› La faiblesse est réprouvée, c'est par elle que les hommes commettent des erreurs, se trahissent, meurent. Intrinsèquement liée au cœur de l'humanité, ce cœur tambourinant, ce cœur impuissant, ce cœur qui nous tue ou nous laisse misérablement vivants. Ils s'aiment, ils aiment leur fille, leur premier enfant, mais il ne peuvent le montrer. Occulte son hurlement, préfère l'indolore néant. La leçon est inculquée, le bien et le mal, notions volontairement évincées. La nuit, le trouble se diffuse, la quiétude l'étreinte ; des couleurs magiques se propagent et s'agrémentent dans les recoins reculées de cette mosaïque inachevée. Les contours à peine esquissés, le tableau reste fixe dans un présent aux tambours creux et forts. Elle est un clair-obscur, elle est une rage juvénile. Un énième souffle s'en sort, l'enfant se retourne dans l'espace étroit qui lui sert de chambre. Elle n'avait ni hérité de la couleur bleu-électrique de sa mère, ni du vert jade de son père mais un mélange des deux. Echo aurait préféré perdre son souffle et ne pas subir son adolescence ; elle aurait aimer n'avoir jamais vécue, mais la vie est injuste.
Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau.


A huit ans, on est insouciant. A huit ans, on ne comprend pas tout ce que les adultes disent. A huit ans, on est libre. Du moins, elle l'était. Le soucis le plus important pour elle était de trouver son frère et sa soeur. Faire une partie de cache-cache dans les sous sols de la villa, non mais quelle idée! A peine avait-elle fini de compter qu'elle en avait déjà marre. Pas après pas, elle piétinait le sol froid et dur pour atteindre son but. Déjà toute petite, elle n'était pas du genre à abandonner. « Claire, Marco. ›› Demanda-t-elle dans l'espoir qu'ils répondent. C'était idiot. C'était évident qu'ils n'allaient pas indiquer l'endroit de leurs cachettes. Depuis quelques temps maintenant, Echo avait l'impression de sentir son corps changer, elle avait l'impression qu'une chose était en train de grandir en elle, voir même d'évoluer. L'impression de perdre le peu de repères qu'elle avait acquis était présente. Elle soupira bruyamment. Elle en avait par dessus la tête de chercher sans les trouver. La jeune Yakuma était pourtant certaine d'avoir fouillé tous les recoins inimaginables. S'arrêtant pour inspecter les alentours du regard, elle entendit soudain un bruit à côté d'elle, près du lac. ‹‹ Je vous est trouvez ! ›› S'exclamait-elle en sautant derrière l'un des plus gros rochet. Mais son sourire angélique disparu aussi vite qu'il était apparu : ils n'étaient pas la. ‹‹ Bouuh ! ›› Son cœur fit un bon dans sa poitrine. Aussi vite que possible, elle se retourna et mis ses bras en avant pour se protéger, en fermant les yeux. Surprise, l’aînée ouvrit les yeux et compris. Que c'étais nul d'autre que Claire et Marco qui l'avais pris par surprise.
Puisque le temps passe,
Mon frère, ma sœur je vous aimes à en crever,
Vos rides je les chasses et,
donne à vie à ce que vous rêvez.

Paraitre pour apparaître c'est comme souffler pour respirer. Toujours très différent de reculer pour mieux sauter. Nuance tes couleurs lunaires, Echo. Déploie tes ailes de dentelles qui sont les tiennes. On ne peut t'arracher que ce que tu veux bien donner ou perdre. Un oiseau chanteur peut être une once de bonheur mais tout cela ne sera qu'un leurre à leurs yeux. Un discours que tu n'entends pas pour la première fois de la bouche de celui que l'on nomme le peintre des expressions. Ta sœur cadette le nomme ainsi non pas pour son rictus antipathique mais pour sa capacité aux multiples visages qu'il dépeint. A la fracture de ta nature, une fissure s'est dessinée comme un animal sauvage prendrait ses marques sur son nouvel environnement. Le tien ? Il n'est qu'un extrait temporaire avant le résultat final. Un mélange de mots que les adultes usent pour embarquer la foule, pour faire naître la colère et attiser une justice qui ne viendra sans doute jamais. Tu as toujours eue conscience des choses explicites comme implicites. A l’œil nu, tu perçois le cœur d'une profondeur et sans rien dire tu sais déjà ce que les faits seront. Un sixième sens qui disparaît sous l'ire agacé, une fois qu'il est prononcé. La fleur ne doit aucunement se soucier de celle à coté d'elle, elle doit la laisser fleurir aussi. Loin de la compétition, loin de la jalousie. Des dires qui parcourent ta mémoire d'enfant dont la jeunesse est trahit par la réalité de tes pensées. Quelques mèches rebelles portées par le vent printanier barrent ton visage. Un chatouillis léger caresse ta peau mais qui ne perturbe aucunement ta concentration. Entendre l'eau, ressentir son flux vibrant et sa puissance. L'eau coule, coule et s'écoule encore. Chemin même porteur de la vie, mère nourricière d'une existence qui se meurt, qui s'occulte. L'ennemi n'est pas en soit le véritable adversaire. L'ennemi primaire – celui du moment – et celui qui te fait face. ‹‹ Que vois-tu ? ››. L'interrogation est prononcé avec un calme et un détachement déconcertant. Une intonation de voix coutumière mais ferme qui permet d'intensifier la concentration. La question était toute simple mais ne peut se contenter d'une réponse ouverte. Pas de oui pas de non possible. Assise en tailleur sur l'herbe encore humide de la rosée du matin, tu fronces encore un peu plus tes paupières closes. Deux doigts viennent se poser à la base de ta gorge, assez pour entendre les battements de ton cœur régulier. La présence de ton précepteur est proche mais ne perturbe aucunement l'équilibre pondérée de ta respiration. ‹‹ Je te pose la question une seconde fois : que vois-tu ? ››. On pourrait croire que la patience est arrivée à bout de ton professeur mais il n'en est rien. C'est un avertissement, tu connais la leçon et ce que cela pourrait engendrer si tu ne répondais pas à la demande de celui qui est plus âgé que toi de six années. Les émotions ne sont ni noires ni blanches mais assez sournoises pour former une brume épaisse autour de ton moi intérieur. Toutes des traîtresses envahissantes ! La colère émerge doucement mais certainement comme des racines qui grandissent. Qu'est-ce que tu entrevois au loin de ton âme ? Oses avancer vers le voile qui masque tes rêves et les dirige vers le glissement des cauchemars. Une esquisse. Des volutes de fumée comme une ébauche floue pour déterminer les contours d'une silhouette féminine. Cette dernière est imparfaite, peu précise mais suffisante pour que tu saches la désigner. Le visage de brouillard se détourne légèrement avant de s'évanouir. Des lors, tes yeux s'ouvrent rapidement. Deux bruits divergents de lames acérées sorties de leurs fourreaux. L'une pour se loger dans ton dos, l'autre pour se figer au sein de sa cote gauche. ‹‹ Excellent, tu m'as prit au dépourvu. ›› Un rire amusé pour détendre l'atmosphère, pour exprimer la finalité de la session pour aujourd'hui. Le jeune homme – bien qu'encore adolescent – se relève, rangeant son arme blanche dans son étui de cuir. ‹‹ Le dépourvu n'est pas toujours ce qui sauve une vie ! ›› A peine dix ans et pourtant tu transpires une maturité, une réalité que tu veux versatile par d'autres facettes. Aspen était ton mentor depuis quelques temps déjà, il avait été trouvé par ta mère. Une requête dont tu ignorais – encore – la nature mais tu sais qu'une faveur était de mise. Tout fonctionnait ainsi aujourd'hui, ainsi que l'être humain s'anime. L'art de la vantardise, du larcin ou même de la puissance des mots, vous les partagiez. Il était différent, mais le dialogue n'en était pas moins éloquent, important d'une soif d'apprendre.  ‹‹ Peut être, mais bien souvent c'est un laps de temps suffisant pour s'en sortir. ›› Te dit-il tout en s'agenouillant à ta hauteur, le sérieux de son regard se focalisant sur le tien. Il attendait toujours une réponse à son interrogation. Il ne lâcherait pas le morceau tant qu'il n'aurait pas la formation d'une phrase valable et concrète. ‹‹ Moi. ›› C'était court, c'était bref mais limpide et vrai. C'est ton reflet que tu as vu au cœur de ton esprit. Tu avais pleinement conscience de la signification de ce rêve. C'étais ton propre obstacle et un jour tu devras affronter ta plus grande faiblesse. Celle de la spiritualité de ton être. Au loin, le regard du patriarche t'observe. Une seule et unique œillade pour te rappeler que la déception est grande. Grande de ne pas être celle, de ne pas être celui que tu aurais du être.
Un combat n'est pas un victoire sur une défaite.
C'est un duel dont l'image est imparfaite.

L'obscurité berce le ciel et les rayons lunaires couleur miel se reflètent sur les bords du lac. C'est un ballet d'harmonie, les nocturnes du soir. Enfant, ce spectacle t'émerveillait pour si peu. Si peu de choses pour t'arracher la franchise d'un sourire et celui ci disparaît. Tout s'efface, tout s'évanouie car chaque chose à sa place et chaque temps se meurt. Cesse de fermer les yeux sur une vérité dont tu as déjà la connaissance. Te fourvoyer ne servirait à rien, si ce n'était à t’abîmer davantage sur un terrain miné d'avance. Ecoute moi, Maven. Ô oui, pour cela il t'avait écouté et cela n'avait pas été sans le moindre mal. Mot pour maux, son ouïe était absolue mais juste pour une fraction de quelques minutes qui t'a semblé paraître dix années. Le terrain de ton existence était aride, climat ibérique et noirceur tenace. Le courant d'air, la piste d'une fugitive en cavale avec pour seul compagnie ta conscience et la boucle fermé de ton protecteur. Confie toi à moi. Dis moi pourquoi tu m'abandonnes ! Je ne laisserai jamais rien t'arrivé, tu le sais ça !? Avait-il tonné. Une voix emplit de haine et de détresse mais qu'il ne pouvait cacher. Il t'avait porté vers des élans que tu adorais parcourir encore et encore. Des rires que l'on ne pourrait observer désormais qu'au travers d'un antérieur qui s'éloigne un peu à chaque pas qu'effectue la grande aiguille de l'horloge qu'est la vie. Le cycle est le même mais il se poursuit. Debout face au lac, tes prunelles d'une encre sombre s'abandonne sur la surface lisse de l'eau. Limpide, cette dernière ressemble à un miroir naturel où tu ne t'attardes même plus, tu ne te vois même plus. Ne sois pas triste, mon colibri et sert toi donc de la colère pour servir tes desseins, pour prendre tes décisions. La conscience est sournoise, elle ne cesse de te murmurer des propos. Tu les recules, tu fais barrage mais pour combien de temps encore. Silence. Tu apprécies cette quiétude au cœur de la nuit qui évolue en divine maîtresse tout comme une déesse pourrait chasser les étoiles. Ta main gauche se lève avec grâce vers le ciel avant de suivre un enchaînement assidu des enseignements dont tu as la connaissance. ‹‹ Tu joues encore à ça. C'est d'un ridicule ! ››. Une voix noyée dans le sarcasme au possible, mais une voix qui rassure dans ce monde incertain. Son porteur est ennuyeux, râleur et contradictoire mais il était là. Il ne l'était pas là par choix mais par devoir. Réciproquement vous ne pouviez vous supporter et de votre malheur né votre fardeau commun. Tu l'ignores, laisse son ironie se disperser selon les volontés d'Arthur. Cela a toujours été ainsi entre vous, conflit et contraire vous éloigne alors que tant de choses pourrait vous rapprocher. Le rire narquois résonne encore tel l'écho aux creux des gorges rocheuses. Il cherche à attirer ton attention, exprimer une rancune dont il te juge responsable. En soit, il n'aurait pas tout à fait tord mais tu t'en gardes bien de le mentionner. Il marmonne et t'asticote minute après minute, puis vient la première étincelle qui pique ta peau. Ton poing droit se sert mais tu maintiens toujours la stabilité de tes émotions. Chut, il te faut conserver le socle de la neutralité pour ne pas perturber le flux. Tu fermes les yeux, une légère respiration s'échappant d'entre tes lèvres. ‹‹ Alors tu ne fais rien ? Tu restes là à recevoir ce que l'on te donne ?! Merde ! Tu nous as mis dans cette situation Echo et maintenant c'est à moi de récolter les pots cassés ! ›› Le jeune homme bouillonne de colère, fait rugir les reproches qui forment un brasier dans ses pensées muettes que tu devines nuit après nuit après votre fuite. Tu ne les récuses pas, tu les entends mais ne donne aucune suite. Pourquoi faire, cela ne changerait rien ou presque. Pour la seconde fois, il réitère son attaque mais avec un degré supérieur au précédent. Le picotement est presque une brûlure – bien que ténue –, elle t'arrache une grimace et avec elle les prémices d'un agacement tangible. ‹‹ Arrête ça. Arrête ton manège, cela t'avancera à quoi ? A passer tes nerfs sur une personne différente de toi ? Vas-y, si cela t'amuse ! ›› L'ire est croissant, il monte crescendo à l'instar d'une partition musicale. Et là, comme un pressentiment tu sais qu'il va répliquer avec plus de ferveur. La troisième fois serait la dernière. Serais-ce ta dernière envolée mon colibri ? Peut être bien oui, alors profite. Ta conscience facétieuse ricane. Elle ne sait faire que cela après tout. L'électricité flotte dans l'air, elle est palpable. Ta patience et ton agilité et le seuls moyen d'esquiver ses attaques. Son coup fuse en ta direction tandis que que tes bras chorégraphient rapidement pour te protéger. Erreur. Erreur fatale ma douce, tu n'es pas équiper pour te prendre un coup de poing l'aurais-tu oublié ? Non, tu le sais mieux quiconque et pourtant tu as choisi de le faire. Tu n'entends plus que le grésillement dans ton esprit, le bourdonnement sourd dans tes oreilles. La vision troublée et l'inquiétude qui prend vie au cœur d'une voix lointaine. Un brouillard épais, la sensation que l'obscurité embrasse la lumière, avant de disparaître entre ses bras. Le seul témoin de ce secret sera la cicatrice qui marque à jamais ta nuque.
Et la danse de l'eau cesse doucement.
Et le cœur bat lentement.
Les portes s'ouvrent sur le néant.

La nuit étend son voile, ombre d'un bleu similaire à l'encre de chine. Elle laisse parler les lueurs subtiles des étoiles, son pouvoir se cachant derrière ses illusions poétiques. Les jours s'écoulent un à un et se ressemblent. Jour après jour, c'est le même décompte où les heures deviennent des minutes et où les minutes deviennent elles-mêmes des secondes. Tout se confond en un seul thème mais la problématique sera toujours la même. Tant que tu demeureras dans l'entre deux, sur les deux rives, rien ne changera. Dès lors, la règne de la lune devient une distraction qui amoindrie l'ennui d'un quotidien redondant. Quarante-neuf minutes. Il avait prétendu partir en reconnaissance, un autre moyen détourné pour s'éloigner de ta présence. Tu ne lui en voulais pas, il te faisait une fleur en te laissant en solitaire car cela vous permettez de respirer l'un comme l'autre. La distance étant quelques fois nécessaire pour mieux accorder des violons qui peinent toujours à trouver une harmonie de choix. L'inimitié n'était pas le terme le plus approprié à votre lien, à dire vrai c'était juste compliqué aux limites des contradictions. Installée sur un rocher, tes prunelles observent le plafond d'une obscurité qui chatoie sous la luminescence des constellations. Certaines d'entre elles se profilent avec une netteté inattendue pour la saison, mais c'est une œuvre de tous les instants qui agrémente cette vie que tu mènes. Ta conscience cancane, se moque de toi, te nargue. Elle ne fait que cela, c'est récurrent. Cela éveille ton ire alors que tu rumines. Cinquante-cinq minutes. Tu les comptes sous la beauté du ciel, c'est un passe-temps comme un autre. Abimée dans la nature de la terre, tu peux entendre au loin les vibrations d'un petit ruisseau qui s'anime. L'écho de son courant mugit avec assez d'abondance pour que tu puisses en ressentir la sève. Le hululement sauvage d'un grand-duc, puis le croassement coutumier d'un corbeau. Un cri qui pourrait être strident mais que tu as toujours voulu sécurisant à l'ouïe. Un son rauque, profond qui te rappelle que tout ne s'échappe pas aussi vite que la poussière. Communiquer l'oiseau que l'on dit de mauvaise augure à tord est un luxe que tu peux encore te permettre. Un caillou lancé contre un tronc d'arbre. Le bruit résonne. Les sens en alerte, tu te relèves, le bout de tes doigts agrippant le manche de ta dague. ‹‹ Mauvaise direction, Echo. ›› Atone est la voix de ton interlocuteur mais ironique est le sens de ses dires. En effet, la diversion était astucieuse. Tu avais focalisée ton attention sur le centre d'arrivée de la pierre et non sur son départ , quelle idiote! ‹‹ Je ne te le fais pas dire, tu m'enlèves les mots de la bouche. ›› Un rire sans la moindre retenu, une moquerie qui témoigne déjà d'une personnalité arrogante et d'un alter égo qui manque d'humilité au possible. Plus aucun doute ne plane sur l'identité de la personne qui se trouve collé derrière ton dos. Arthur. Celui qui s'insinue dans les pensées. Celui qui se veut mystère entre les tourments de l'ironie pure et de l'assurance carrée qui lui colle à la peau. Le jeune homme faisait parti de ce passé aux nombreux trous noirs, où tout simplement certaines interrogations n'auront jamais de réponses. Inutile de les chercher, vous ne trouverez rien. ‹‹ Je me contenterai de dire que tu as fait une erreur de débutante. Plutôt surprenant pour une Yakuma. ›› Tu en portait le patronyme mais tu étais différent, une étrangère. La colère sommeille mais ne gronde pas encore assez, tu la canalises. L'ire est ton pire défaut, il allume bien trop de mèches à l'intérieur. ‹‹ Une déception, tu devrais être au courant depuis le temps. ››  réplique est plate, froide. Pourquoi rebondir sur une vérité qui se vérifie un peu plus au présent ? Tu t'avances pour t'éloigner un peu plus du brun dont la silhouette se fond parfaitement avec le décor de la faune et de la flore nocturne. Tu ne trouvais aucune explication valable à sa présence ici. Que faisait-il ici après tout dans ce coin paumé de la carte du pays ? ‹‹ Il n'est pas là pour te protéger chère épouse. ›› C'était loin d'être une demande mais plutôt l'attention nette d'un reproche. Un souffle amer s'échappe de tes lèvres alors que vous êtes face à face désormais. ‹‹ Une affirmation qui n'est pas de te ressort. Cela ne te regarde pas, c'est clair. ›› L'encre sombre de ses iris se fixe sur les tiennes. Un duel visuel qui semble s'éternisé entre un silence lourd de son coté et d'une colère palpable du tien. Tu jures intérieurement et ne manque pas de l'insulter au passage en espérant qu'il lise dans ton esprit à ce moment là. L'ange rigolard laisse son rictus suffisant éclairer son visage. Abruti! ‹‹ Tu es une Yakuma,, une fille de mafieux, une tueuse à gage, je savais bien que tu avais ce coté rebelle. ›› ‹‹ Tu ne sais rien, strictement rien. ›› Il secoue la tête plusieurs fois avant de se rapprocher dangereusement et sans pudeur de toi. Il se penche, juste assez pour que sa bouche caresse le lobe de ton oreille. ‹‹ Je sais bon nombre de choses en ce qui te concerne. Pas un mot de ma visite de courtoisie, mon cœur. Méfie-toi. ›› Tes sourcils se froncent à l'entente de ses propos. ‹‹ Méfie-toi de tout, les secrets sont parfois traîtres. C'est comme les promesses, elles sont de viles traîtresses. ›› Il vient serait ton visage entre ses mains avant de te repousser. Il paiera pour le mal qu'il t'a fait, mais au fond de toi Echo, tu es amoureuse, l'amour rend idiot.
L'amour rend idiot,
La vie est une idiote,
Nous sommes tous orphelins
de l'amour éternel d'une mère
partie vers le ciel.

on the highway to hell


Expliquez ici l'histoire de votre personnage depuis l'épidémie.

Arme à la main, habillé d'une tenue peu recommandée au vu de la froideur du temps elle avance dans la pénombre avec une agilité féline utilisent le bout de ses pieds sur lesquelles elle s'appuie pour éviter d'attirer l'attention de l'intrus. Ses battements de cœur s'accélère, des grognements résonne dans le couloir éclairer par une lumière qui s'étouffe dans l'obscurité. Une silhouette bossué, cabossé qui proémine dans le cercle de lumière. Echo est perdue, seule. La silhouette ne ressemble en rien à ce qu'elle a vu par le passé. L'arme pointer dans la direction de la silhouette dessiner dans la nuit. ‹‹ Arthur ? ›› Son souffle se coupe, la silhouette s'approche d'elle, il est différent, ignoble et menaçant. Elle ne comprend pas, elle délire, elle a essayé de ne pas y croire, mais la preuve est bien présente face à elle. Il s'approche d'elle le fessant s'affaler au sol l'arme à la main, elle ne prend aucune décision. Il s'écrase sur elle son regard est noir. ‹‹ Arrête s'il te plait.. ›› En réponse, des grognements violents sa bouche s'approche du cou d'Echo comme pour la mordre, la faire abandonner ce monde, lui faire courber l'échine, non. Elle se dégage de l'emprise de la bête noire, inhumaine arme à la main elle n'hésite plus un détonement qui résonne dans la bâtisse. La balle se réfugie dans le buste de la cible, mais rien. Il ne faiblit pas et ce relève. Il avance dans sa direction, elle retire la balle se réfugie dans la hanche d'Arthur, son petit ami ce redresse à nouveau. Des larmes s'échappe des yeux d'Echo, elle s'apprête à abdiquer, mais elle refuse, elle tire dans sa direction, la balle atterrit dans le crâne d'Arthur, il chute et ne ce relève plus. Elle tombe au sol, affaiblit. Les heures passent après avoir examiné son époux qui n'est plus, elle n'a cessé de pleurer cette nuit-là. La ville était à feu et à sang, elle devait fuir, partir sans comprendre le pourquoi du comment. La vie est une garce et elle le prouve encore une fois, les piliers fondamentaux de ce monde ce sont écroulés. Elle fuit, sac accrocher à son dos, moto prête à démarrer, elle fuie sans savoir où elle va, mais la mort n'est pas sa destination. Elle les voient tous, s'entre-tuer ce précipités sur elle, elle fonce droit devant esquivent les obstacles. Plus rien ne sera comme avant elle s'en-doute mais elle compte bien survivre dans ce désastre qui assiège le monde.
J'accuse la violence de tout détruire.
La lune sera toujours ton unique pilier.
On t'accuse de ton silence,
Le cœur sera toujours ton seul geôlier.

Dans ce monde, il y a des gens qui préfèrent la solitude, mais il n'y a personne au monde qui puisse la supporter. Malgré elle Echo tira sur les rênes de la renaissance. Elle frissonna, incapable de fixer son passé, consciente de son insignifiance. Le monde n'est que rouge, qu'une flamme immense qu'on ne peut éteindre. Echo ère dans les rues de la ville, en solitaire, un duel astrale en 1 contre 1 devant le ciel qui peine à se montrer sous ça plus belle couleur. La mort marche, c'est comme ça qu'elles les voient, comme des envoyés d'en-bas pour ôter la vie à tous les survivants. Des groupes se sont formés pour leur résister, Echo a décidée de rester seule de son côté. La survie c'est son truc depuis son plus jeune âge, elle ne veut pas être utilisée au sein d'un groupe ou règne complot et tentative de coup d'état pour renverser le dirigeant. Survivre est devenu un fardeau. Les hommes s’entre-tuent entre eux ne fessant plus la différence entre un humain et un monstre. Plus personne ne fait la différence entre un humain et un mort qui marche sur terre en titubent. La vie a bien changée depuis, il ne lui reste plus rien hormis sa moto, son flingue et Sanity. C'est tout ce qui lui reste de ce monde devenu un néant elle roule seule entre les maisons, entre les morts et ça lui va. Elle préfère ne pas imaginée comment aurait pu être sa vie elle se contente de ce quelle voie elle vit au jour le jour comme par le passé, mais aujourd'hui elle tue sans faire la différence entre un humain et un mort, c'est sa vie maintenant, pas la plus belle d'entre-toute, une vie sans espoirs, mais en réalité il y autant d'espoirs que d'étoiles dans le ciel, elle ce contente de cela comme philosophie et ça la maintient en vie.


time to meet the devil

• pseudo › Croc de lune
• âge › L'âge du son

• comment avez-vous découvert le forum ? › Forumactif
• et vous le trouvez comment ? › Magnifique !
• présence › 5/7j
• personnage › créé [X] - scénario [...] - prédéfini [...]

• code du règlement › HE WHO SAT ON IT HAD THE NAME DEATH.
• crédit › Croc de lune, tumblr
passeport :

fiche (c) elephant song.


Coucou, l'histoire pendant l'apo est hyper courte my bad, but je me laisse une assez grande liberté de ce côté pour faciliter les liens et compléter ma fiche en fonction de ceux-ci. I love you
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Re: ≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 13:16

Bienvenue ici ! Very Happy





What a lovely day.
Maxine E. Reynolds
Maxine E. Reynolds
Junk Town | Bras droit
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Re: ≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 13:18

Coucou et bienvenue à toi !

Malheureusement je pense que ton avatar ne sera pas accepté ( trop maquillé etc pour la fin du monde ) et je ne sais pas si les avatars animés sont acceptés . Mais BRAVO pour ce graphisme quand même Smile

Invité
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Re: ≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 13:20

Merci I love you
.
Je peux lui retirer son make-up si ça gène, c'est moi qui lui ai rajoutée. pirat
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Re: ≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 13:20

Aloha et bienvenue ...

Comme dit par Samuel, peur que ton avatar ne passe pas mais pour le reste, très intéressant !

Y'a un sacré arrivage de Travelers ces derniers temps ...
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Re: ≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 13:25



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Bienvenue à toi, cependant comme l'ont souligné Samuel et Jenna, effectivement, l'avatar ne fonctionnera pas pour le contexte, il te faut absolument un visage humain, une célébrité même et un avatar contexte, pour la suite. Si tu as des questions n'hésite pas, le Staff est là pour y répondre Wink
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Re: ≋ mémoires de cendre.

Lun 26 Nov 2018 - 14:00

Bienvenue à toi !

Je rajouterais sur l'avatar qu'on autorise uniquement les avatars statiques (mais ça reste très joli celui ci comme dit au-dessus!)

Bonne rédaction même si ça a l'air très avancé =)
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Re: ≋ mémoires de cendre.

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