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A la vie, à la mort. U.C

Mar 20 Fév 2018 - 21:38


Judy  Jones
26 ans Américaine Thanatopractrice Issaquah Ranch

i've got a war in my mind


Expliquez ici le caractère actuel de votre personnage.
Je ne suis pas vraiment ce qu'on appelle un leader, je préfère suivre le troupeau, même si je reste souvent en retrait. Cela ne signifie pas pour autant que je sois lâche, mes parents m'ont toujours appris qu'il fallait affronter ses peurs, c'est simplement que prendre du recul permet de mieux observer ce qui nous entoure et puis il faut avouer que je n'ai jamais été à l'aise dans les rapports sociaux.

Mes années de lycée n'ont jamais été catastrophique, mais disons que résoudre mes problèmes d'algèbre me semblait infiniment plus simple que d'aborder mes congénères. D'un côté, cela était plutôt positif puisque ça m'a permis de me concentrer sur mes études.

Quoi qu'il en soit, aujourd'hui ce n'est pas plus simple qu'à cette époque, car dans ce monde en proie à la violence et à l'anarchie, la confiance est une chose précieuse. Les vivants se sont toujours cachés derrière des masques, un défaut que les morts n'ont pas, qu'ils marchent ou non, ils restent sans surprise. Pas de beaux parleurs ou de manipulateur chez les décomposés, tout ce qu'ils veulent, c'est nous bouffer... Bon d'accord, ça ne les rend pas vraiment sympathiques pour autant.
J'essaye de contribuer à différentes tâches. Etant plutôt douée de mes mains, j'arrive à être plutôt polyvalente et je peux donc tout autant recoudre une plaie ou aller faire du « shopping », même si prendre des risques n'a jamais été dans ma nature. Heureusement, j'ai la chance d'être plutôt réactive, sûrement toutes ses heures à courir, escalader et crapahuter avec mes frères, j'ai donc toujours réussi à échapper assez facilement aux mordeurs, contrairement à d'autres...

Je pensais bien connaitre la mort, mais je n'en connaissais que le silence et le froid... La première fois que j'ai eu affaire à sa violence mes émotions m'ont submergées et j'en suis restée tétanisée. La peur, l'impuissance, les regrets, la colère, le dégout... Le chagrin... Je n'ai pas su l'appréhender. En vrai, je n'ai jamais été douée pour contrôler les émotions fortes.

Jusque-là, se mettre en colère ou montrer sa peur n'était pas dramatique, mais se laisser aller à la panique ou se mettre la mauvaise personne à dos peut amener à des situations plutôt périlleuses, surtout qu'il m'arrive de dire les choses telles que je les vois, sans filtre et ça ne plait pas toujours, tout comme le fait que j'aie plutôt tendance à camper sur mes positions, je suis une véritable tête de mule. Ce n'est pas que je veuille blesser qui que ce soit, je suis simplement un peu trop franche et direct.


and blood on my hands


Expliquez ici les caractéristiques physiques de votre personnage..


Debout devant mon miroir, je ne me pose plus la question de : "Pourquoi certains clients ne me prennent pas au sérieux?" J'ai beau avoir 26 ans, j'ai toujours une bouille d'enfant et ce n'est pas ma longue tignasse blonde et mes grands yeux verts qui vont m'aider.

Pourtant, là en sous-vêtements, j'ai le corps d'une vraie jeune femme, pas très grande certes, un mètre soixante-deux, soixante-trois peut-être, mais une femme, mince,  avec des formes exactement là ou il le faut. Le problème vient certainement du fait que je ne le montre pas...

Je sais bien que ma mère à longtemps essayé de me faire porter des robes ou de me faire des coiffures de fille, mais rien à faire, je me sentais bien plus à l'aise avec les mêmes vêtements que mes frères et ça n'a pas changé aujourd'hui. De toute manière, aujourd'hui le shopping n'est plus vraiment le sport olympique. Pour en revenir à mon look de garçon manqué, ma tenue de tous les jours ressemble plus à "jean, t-shirt, chemise, basket" que "robe Channel et Louboutin" pas assez pratique pour courir.

J'ai toujours aimé courir, entre autre. La pratique du running, de l'escalade et du base-ball, que je pratique depuis une dizaine d'années, a fait que j'ai un corps athlétique. Attention, je ne ressemble pas à une body buldeuse pour autant, loin de là et dieu m'en garde.

Au mois, même si je n'ai jamais eu de succès avec les garçons, j'étais prête quand il a fallu survivre à la fin de l'humanité. J'ai pris mon sac à dos, deux trois sous-vêtements, quelques vivres, une couverture de survie, un minimum de matériel d'hygiène et médical à ma disposition et un petit couteau pliable que je garde toujours dans une poche arrière. La lame n'est pas très longue, ce n'est qu'un couteau de survie, mais je m'applique à le garder bien aiguisé et surtout, très perforant.

J'ai également un Sig Sauer P320 que m'a laissé mon frère, un modèle de l'armée que je porte dans un holster de cuisse. Et je sais m'en servir...



a storm is coming


avant l'épidémie.

Je n'aimais pas le mercredi, c'était le jour sans école et je devais donc rester avec mes parents, toute la journée. Ce n'était pas leur compagnie que je redoutais, loin de là. J'ai toujours eu de très bons rapports avec eux, il faut dire que je suis la petite dernière et la seule fille.

Ce que je détestais, c'était le silence. Ce silence lourd et oppressant, comme si le simple son d'une voix était un blasphème. C'était le même silence solennel d'une église. Seuls quelques sanglots étouffés avaient l'audace de l'interrompre.

Je ne comprenais pas le chagrin de ces gens, il faut dire qu'à l'aube de sa vie, il est difficile pour un enfant d'en comprendre le crépuscule.

Quand je ne tenais plus en place pendant une veillée mortuaire, maman me chassait discrètement de la salle et je me retrouvais à me balader dans le funérarium. Je préférais ça. Bien que je ne puisse pas voir à l'intérieur du haut de mes un mètre vingt, les cercueils me mettaient terriblement mal à l'aise.

Je déambulais donc dans les couloirs, sans but précis, jouant avec les motifs de la moquette, mais à chaque fois, je me retrouvais devant la porte de bois sombre menant au sous-sol. Cette partie m'était totalement interdite et comme tout ce qui est interdit, elle piquait ma curiosité au plus haut point.

Un jour, la porte entrouverte fit céder ma pauvre volonté et je suis descendue. La température semblait chuter un peu plus à chaque marche et la lumière tamisée du rez-de-chaussée fit place à un éclairage au néon beaucoup plus agressif. Je troussais mon petit nez en sentant cette étrange odeur encore inconnue, le mélange de l'odeur métallique du sang mêlé aux émanations de formol.

Je m'avançais au centre de la pièce où se dressait une table métallique sur laquelle quelqu'un dormait. J'attrapais le bord de la table en me mettant sur la pointe des pieds pour regarder l'homme, me rendant compte qu'il était entièrement nu, seul une serviette recouvrait son bassin. Un tuyau sortait de son cou pour rejoindre la machine ronronnant et aspirant un liquide rouge qui s'écoulait dans des bidons.

L'homme ne bougeait pas, même sa poitrine ne se soulevait pas. Il était pâle, presque translucide. Cela tranchait fortement avec ses cheveux noirs tirés vers l'arrière.

Je le fixais, comme hypnotisée par ce visage immobile et sans expression. Je me disais qu'il était peut-être malade avec le froid de la pièce et comme ma maman lorsque j'étais malade, j'approchais ma main de sa joue, veillant à ce qu'il ne se réveille pas.

Je fus surprise par le contact de la peau glacée et molle, comme si elle n'avait plus de substance.

- Attention, il va te mordre.

Je sursautais et m'écartais de la table en entendant la voix de mon frère dans mon dos. Je fixais l'homme sur la table d'un air méfiant, mais il était toujours aussi immobile.

- Tu racontes n'importe quoi !

Steeve souriait d'un air moqueur. Il savait que je gobais ses âneries d'adolescent comme vérité ultime malgré mes protestations.

- Si, Jude, si tu l'embêtes, il se réveillera et il te croquera. Les morts adorent la chaire toute tendre des gamines comme toi.

Il agrippa mes épaules et me força à approcher du corps. Je me mis à hurler en me débattant.

- Non Steeve, laisse-moi, je vais le dire à papa.

J'arrivais à me libérer de son étreinte et trébuchais contre une petite desserte que je renversais au passage. Les outils métalliques tombèrent sur le sol dans un vacarme monstre. Alors que je m'attendais à voir le mort de relever pour venir me dévorer, c'est mon père fulminant qui débarqua.

Je n'ai plus franchi cette porte de mon enfance. Les morts me terrifiaient, du moins, les vrais. Grandissant avec trois frères plus âgés, dont j'étais extrêmement proche, je n'avais pas d'autre choix que d'évoluer entre les jouets mutants et les films de zombies. De toute manière, les poupées et autres licornes à paillettes ne m'intéressaient pas. J'étais un véritable garçon manqué, au grand désespoir de ma mère qui s'obstinait à vouloir me mettre de jolies robes, alors qu'elles finissaient soit couverte de boue, soit déchirée dans les arbres.

Au collège, on me regardait un peu bizarrement, surtout à partir du jour où l'on a dû présenter le métier de nos parents lors d'un exposé. Mais heureusement pour moi, je n'ai jamais été réellement persécutée. Le fait que Brent, mon frère aîné, soit plutôt bien bâti et bagarreur, à sûrement joué en ma faveur.

J'ai tout de même essuyé de nombreuses réflexions durant ma scolarité, des piques d'adolescents, d'un niveau proche des pâquerettes du genre : “Hey Judy, t'es toute pâle, tu ne devrais pas voler le maquillage de tes cadavres.”

Je tentais de ne pas y prêter attention, mais jours après jours, au fond de moi je finissais par haïr le travail de mes parents, le funérarium, les chrysanthèmes et tout ce qui avait un rapport de près ou de loin aux cadavres.

Mes frères ne semblaient pas avoir cette rancœur, au contraire, l'année de mes dix-sept ans, les jumeaux, Zack et Steeve, avait entamé leurs études pour pouvoir reprendre l'entreprise familiale. Brent lui n'était simplement pas assez patient et minutieux pour ce travail et avait préféré rejoindre l'armée deux ans auparavant.

- Alors, Jude, tu as choisi ? Tacoma ou Seattle pour tes études?

Je relevais la tête, mâchant mon morceau de viande lentement, essayant de gagner du temps.

- Hum.. en fait, je…

Ma mère me fixais, de toute évidence, je ne pourrai pas échapper à la question fatidique.

- San Francisco…

L'air de rien, je prenais un autre morceau. Attendant la tempête.

- San francisco, mais qu'est-ce que tu vas faire là-bas? Les écoles de thanatopraxie sont très réputées ici… Tu n'as pas besoin… d'aller si… loin...

Et voilà, l'éclair de compréhension venait de foudroyer mon père. Je m'attendais à voir la déception sur son visage, mais il resta impassible. Ma mère, elle gardait la bouche ouverte de stupeur.

- Ecoutez, je ne veux pas travailler au funérarium et vous n'avez pas besoin de moi, les jumeaux seront tout à fait capable de le reprendre.

- Ce n'est pas une question de faire fonctionner l'affaire Judy, tu ne te rends pas compte, le funérarium est dans la famille depuis des générations et c'est ton devoir, autant que tes frères de continuer. Déjà que Brent nous a laissé tomber.

- Margaret ça suffit. Judy, j'aimerais qu'on aille faire un tour après le dîner. Et ne lève pas les yeux au ciel, je ne te forcerai pas à choisir une vie qui ne te plaît pas. Je veux juste parler.

Les néons clignotèrent avant de s'allumer, jetant leur lumière blanche et froide dans la pièce. Je n'y avais plus mis les pieds depuis la première fois, mais tout semblait comme dans mon souvenir, mis à part qu'aucun corps n'était étendu sur la table.

Mon père s'approcha du mur de gauche où six tiroirs mortuaires s'alignaient. Il en ouvrir un.

Sous le drap, il y avait une vieille femme, livide, les paupières enfoncées, comme si ses globes oculaires s'étaient ratatinés dans leurs orbites.

- Qu'est-ce que tu vois là Judy ?

- Un cadavre.

- Non, c'est Madame Hobson, Mary. Elle avait quatre-vingt-sept ans, une sœur, deux enfants et six petits enfants.

- Oui et ? Elle est morte, elle ne reviendra pas et lui mettre du blush n'y changera rien.

Mon père passa l'une de mes mèches derrière mon oreille, que je retirais aussitôt.

- Oui elle ne reviendra pas. Ta mère te dirais que ce métier permettra à la famille de Mary Hobson de moins souffrir. Elle aurait raison. Ce sont toujours les vivants qui souffrent Judy, nous devons leur permettre de dire un dernier au revoir à leurs défunts et d'en garder un souvenir agréable. Mary est morte dans son sommeil, elle n'a pas été trop dégradée. Mais certains n'ont pas cette chance, les accidents de voiture, les crimes violents… personne ne veut se rappeler cela. Mais tu vois, pour moi ce n'est pas le plus important.

Mon père pris le pendentif autour de mon coup, une petite croix en or qu'il m'avait offerte l'année précédente, pour mon anniversaire.

- On dit qu'après notre mort, nos âmes s'envolent pour rejoindre le seigneur et pourtant, on dit également que nous ne pouvons trouver le repos sans une sépulture décente. Alors, je me suis posée la question. Qu'en est-il entre le moment de la mort et l'enterrement ?

Je frissonnais. Imaginant ces gens, la conscience prisonnière de leur propre corps. Criant silencieusement dans le noir…

- Tu vois c'est pour ça que j'aime faire ce que je fais. Je les accompagne vers leur dernière demeure, je prends soin d'eux, je les rassure. Ils n'ont plus que nous…

Ces mots résonnèrent dans mon esprit pendant des jours et des jours. À plusieurs reprises, Mary Hobson hanta mes nuits.

Deux ans plus tard, après avoir terminé le lycée, j'intégrais le département des sciences mortuaires à l'université de Seattle.

Mes quatre années d'études se sont passées sans encombre, j'ai toujours été une bonne élève et les excès n'ont jamais été mon truc. Bien sûr, j'ai fait des fêtes, bu de l'alcool et fréquenté des garçons, les expériences normales pour une jeune femme, mais je n'ai jamais été arrêtée par la police et je ne suis pas tombée éperdument amoureuse.

J'ai décroché mon diplôme, sans grandes difficultés et j'ai rejoins le cocon familial pour travailler avec mon père et les jumeaux. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.




on the highway to hell


Expliquez ici l'histoire de votre personnage depuis l'épidémie.

→ Les faits doivent commencer dès les premiers temps de l'épidémie, merci de vous référer à la Chronologie

→ La survie de votre personnage devra être bien détaillée. Nous autorisons les sauts temporels si ces derniers ne sont pas très longs. Vous devez expliquer ses aventures, ses déplacements, ses rencontres. Même si votre personnage intègre un groupe, cela ne veut pas dire qu'il ne se passe plus rien au quotidien.

→ Aucun minimum de ligne imposé mais un texte très détaillé fera obligatoirement un bon nombre de ligne. Conseil d'ami.

→ Intégrer un groupe en manque de membres, ou prendre une scénario vous rapportera des points supplémentaires !

time to meet the devil

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fiche (c) elephant song.
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Re: A la vie, à la mort. U.C

Mar 20 Fév 2018 - 21:44

Bienvenue dans le coin bon courage pour ta fiche, j'ai hâte d'en voir un peu plus!
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Re: A la vie, à la mort. U.C

Mar 20 Fév 2018 - 22:23



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche et la recherche d'avatar !!

Si tu as des questions, n'hésite pas à les poser, le staff est là pour y répondre o/
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Re: A la vie, à la mort. U.C

Mar 20 Fév 2018 - 22:24

Bienvenue ici Smile pour courage pour la rédaction de ta fiche... et pour te trouver un avatar !
J'ai hâte de voir ce que tu vas écrire avec un métier pareil ahah.
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Re: A la vie, à la mort. U.C

Mar 20 Fév 2018 - 22:28

Aloha et bienvenue à toi !

Envoyé depuis l'appli Topic'it
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Re: A la vie, à la mort. U.C

Mar 20 Fév 2018 - 22:31

Bienvenue et bonne rédaction ! =)
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Re: A la vie, à la mort. U.C

Mer 21 Fév 2018 - 3:15

Bienvenue par ici :MisterGreen: bon courage pour ta fiche et la recherche de ton avatar!
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Re: A la vie, à la mort. U.C

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